"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici [hot & flashback] victor & dmitri ▲ mains baladeuses 2979874845 [hot & flashback] victor & dmitri ▲ mains baladeuses 1973890357
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[hot & flashback] victor & dmitri ▲ mains baladeuses

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() message posté Lun 27 Oct 2014 - 5:47 par Invité
Tu détestes cette classe. Cette prof insupportable. Ses mimiques affreuses et sa voix de crécelle. Et puis aujourd’hui, ta meilleure amie n’est pas là. Malade. Elle se meurt probablement toute seule dans son lit à se tortiller de douleur. Alors t’es là, sur le coté de la classe à l’avant dernier rang, tout seul. Le cours a commencé depuis environ dix minutes et tu t’ennuies déjà à mourir. A mourir. Vraiment. Tu dessines sur ton cahier en rêvassant. T’aimerais bien pouvoir sortir dehors. Aller prendre des photos. Ou juste sortir. Peu importe. Ne pas rester là dans cette salle déprimante.

Et c’est là qu’il débarque. Dmitri. Petit con en excellence. Il est là. Avec sa nonchalance et son visage blasée. La prof dit plus rien. Ca change que dalle de toute façon. Elle pourrait l’envoyer voir la CPE une nouvelle fois, mais elle en a marre. Alors elle se contente de faire un geste de la main vers la seule place libre de la salle. Tu remarques bien la gueule qu’il fait en te voyant et ça te fait sourire un peu. Dmitri, c’est un con. Franchement. Ses remarques stupides sur ta sexualité. Son attitude de petit délinquant. Sa petite gueule amochée par les coups de poings d’une bagarre de rue. Il a tout du stupide bad boy sans cerveau. Pourtant, tu sais qu’il en a un de cerveau. T’as été ami avec lui pendant un temps. Y’a longtemps. Trois ans peut-être. Avant que tu foutes tout en l’air avec Lysandre et qu’il se mette à te haïr. Qu’ils se mettent à te haïr. C’est fou ça. Ce qu’un petit baiser peut changer. C’était pas grand chose pourtant.

Il s’assoit à coté de toi. Ou plutôt, il s’étale, t’évitant volontairement du regard. Et une nouvelle fois, ça te fait sourire. Il fait toujours ça. Semblant. Semblant que vous n’avez jamais rien fait. Semblant qu’il y a trois jours, il n’était pas en train de te baiser sauvagement dans les vestiaires de sport après le départ de tout le monde. Semblant d’être le parfait hétéro qu’il n’est pas. Et toi, ça te fait rire. T’aimes bien ça. Jouer avec lui.

Toi, tu te redresses un peu. Tu le regardes discrètement. Il est beau ce connard. Avec sa lèvre un peu gonflée d’une précédent bagarre et sa gueule de délinquant. Et il fait exprès de regarder cette stupide prof juste pour pas croiser ton regard. Un sourire malicieux s’affiche sur ton visage alors que tu viens glisser ta main sur l’intérieur de sa cuisse, la remontant lentement. Et tu regardes devant toi avant de mordre ta lèvre pour t’empêcher de sourire comme un idiot. Ta main arrive au niveau de son entrejambe.
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() message posté Lun 27 Oct 2014 - 11:48 par Invité

Tu marches avec Lysandre dans les couloirs déserts de ce lycée que tu n'aimes pas . Si ça ne tenait qu'à toi tu aurais dégagé depuis longtemps. Si ça tenait aux profs aussi, mais non ta mère crois en ta matière grise et la CPE semble persister dans le fait que toi et Lysandre serez un exemple de cas pathétique qu'elle aura réussit à pousser au diplôme. Alors voilà t'es toujours coincé dans ce bâtiment sans réussir à totalement te faire virer. Tu as plus d'heure de retenues à ton actif que celles de cours, mais bon... Et ce matin c'est Lysandre que venu te chercher jusqu'au fond de ton pieu pour te motiver à y aller. Toi depuis avant hier tu zones dans ton lit parce que t'as mal aux côtes après cette baston à l'arrière d'un bar avec un drogué qui voulait pas payer. Mais Lys' il s'en fout un peu il s'emmerde à trainer chez lui, et il veut pas faire le chemin seul. Branleur. Vous avez même pas cours ensemble.

Et te voilà donc dans les couloirs à chercher ta classe en même temps que ton meilleur pote. T'es encore à moitié endormit, t'as mal au crâne et tu sais que ta tête légèrement amochée par quelques coups reçu va encore faire polémique dans la salle des prof. Tu vois pas pourquoi ils s'en font... c'est pas eux que tu tapes quoi. Trouvant ta porte tu laisses Lysandre continuer en lui disant qu'à midi vous vous cassez et qu'il est hors de question que t'ailles supporter un cours de chimie à 15h. Et tu rentres dans la salle sans frapper, installant un silence "sans le vouloir". T'es là debout devant tout le monde nullement gêné ou impressionné alors que la prof de détaille un instant. Tu la fixes attendant qu'elle parle, et ça ne vient pas alors que tu souries à son geste de t'installer au fond. Sourire de connard tu avances jusqu'à le perdre en voyant ton binôme de table. Lysandre est un homme mort. Pourquoi faut-il que tu doives de taper les cours, plus le pédé à côté ?! Tu hésites à faire demi tour mais elle reprend à parler la débile devant la classe alors tu as pas le choix d'y aller.

Tu lâches ton sac sur la table avec bruit tirant du pied ta chaise le plus loin de lui que te permet la table avant de t'y avachir simplement. Tu sais pas se qui t'a prit la dernière fois. Enfin si mais tu sais pas pourquoi ! Alors l'avoir à côté maintenant c'est tout bonnement... non. Tu fixes la prof indifférent à son regard que tu sens sur toi, tu sais que s'il arrête pas dans cinq minutes il va se prendre ton poing. Tu essayes pas vraiment d'écouter le cours, t'en a rien à foutre de se qu'elle peut dire, ton sac toujours sur la table tu sors un crayon et un carnet défoncé par le non soin qu'il subit. Peut importe tu compte même pas noter... Dans ta concentration tu manques de bondir de ta chaise en sentant sa main sur ta cuisse. Tu te redresses à peine te tendant énormément à son geste alors que tu blêmis presque de le sentir remonter plus haut. Ta main fini par réagir alors que tu attrapes son poignet avec force tes doigts se serrant autour de sa peau alors que tu jettes un regard à ses élèves trop à l'écoute du cours ou trop endormie pour voir quoi que ce soit. Tu essayes de lui faire virer sa main la repoussant avec aucune douceur ta mâchoire crispé alors qu'il a fallut de si peu pour te réveiller l'esprit et le corps...
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() message posté Lun 27 Oct 2014 - 21:32 par Invité
Tu te retiens de rire face à sa réaction. Il sursaute tellement que tu te demandes presque s’il ne va pas faire une crise cardiaque. D’un coté, c’est mignon. Il a l’air tellement désemparé. Tu regardes son visage du coin de l’œil, souriant légèrement tout en continuant de monter ta main vers son entrejambe.
Malheureusement pour toi, il se reprend rapidement. Sa main vient attraper ton poignet qu’il sert avec force. Et tu grimaces, retenant un gémissement de douleur. T’as l’impression qu’il broie ton poignet avant de repousser ta main presque violemment. Connard. Tu voulais juste jouer un peu, toi. Une petite moue contrariée s’affiche sur ton visage alors que tu viens masser doucement ton poignet, jetant un regard vers Dmitri. Et tu souffles doucement « … Ca va … détend toi un peu… ».

Tu ne fais rien pendant un temps. Tu restes juste là, faisant semblant d’écouter le cours. Tu te perds un peu dans tes pensées. Dmitri, il est bizarre. T’as l’impression de rien connaître de lui. Rien du tout. Il est juste carrément violent et foutrement indécis. Et finalement, t’aimes ça. Sa violence. Sa fougue. C’est fou comme elles t’excitent. Quand il vient te plaquer un peu brutalement parce qu’il est trop excité. Quand tu sens la morsure de ses dents contre ton cou, t’arrachant un gémissement de douleur. Nan, c’est clair, ce mec a un truc foutrement excitant.

Tu vois Dmitri gigoter sur sa chaise. Il est là, à changer de position toutes les trois minutes. Un regard vers lui et tu finis par deviner que ta main a eu plus d’effet que tu ne le pensais. Tu l’vois, son membre un peu tendu dans son pantalon. Un nouveau sourire s’affiche sur ton visage alors que tu fais malencontreusement tomber ton stylo entre vous deux. Et tu te baisses pour le ramasser, te retrouvant particulièrement prêt de son entrejambe. Et tu fais exprès de pendre ton temps. De rester dans cette position un peu trop longtemps. Puis tu te mords un peu la tête en remontant, croisant son regard. « … t’as l’air mal à l’aise … » Tu chuchotes, le sourire aux lèvres.
Tu finis par avancer un peu ta chaise vers lui. Pour te rapprocher et facilité ton jeu dangereux. Ta main vient de nouveau se glisser sur sa cuisse. Sans bouger cette fois. Et déjà particulièrement haut. Il se crispe de nouveau, regardant les réactions des autres. Mais les autres, ils s’en foutent. Ils se doutent de rien. Rien du tout. « … C’est bon, personne regarde. Tout le monde s’en fou … » Et doucement, tu commences à masser l’intérieur de sa cuisse.
Tu sens ton membre se tendre toi aussi. Il t’excite ce con.


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() message posté Lun 27 Oct 2014 - 23:04 par Invité

Avec Lysandre tu devrais savoir qu'il t'embarques toujours dans des sales plans. Sans même qu'il le sache. Et là sans même qu'il soit là -et encore heureux- ta mâtiné tourne rapidement à l'horreur. Déjà mal commencé en finissant par te poser à côté du pédé, faut en plus qu'il commence son manège. Comme si tu trouves pas ça assez gerbant se que tu lui a fais avant. Enfin y'a plusieurs jours maintenant. C'est pas lui forcément qui te débecte, c'est tout ça. Tu sais que c'est n'importe quoi. Lysandre te démontera si ça venait à s'apprendre. Mais la première fois que c'est arrivé, tu l'as menacé s'il en parlait, et puis tu t'es dit que ça recommencerait pas. Tu le pensais. Mais y'a se que tu penses... et se que tu penses et a envie que tu le vois passer dans un couloir. Mais là... en pleine classe. T'es à la limite de péter un câble. … Ca va … détend toi un peu… Tu le vois masser son poignet alors que tu tourne juste la tête pour le fixer avec un sérieux air de meurtrier. Il s'arrête et tu essayes de faire de même avec tes pensées. Tu te remets avachis sur ta chaise remontant ton pied sur ton genoux opposé pour essayer d'arrêter ce genre de connerie... Tu as envie de le frapper ce crevard. Et tu avances un peu ta chaise réussissant pas à écouter la prof parler.

Son stylo te fait tourner le regard alors que tu l vois se pencher et que t'as tout bonnement envie de le flinguer alors que tu fermes un instant les yeux supportant guère la vision de son visage si proche de ça. Comment fait-il pour arriver à ce genre de réaction ? Tu comprends même pas comment c'est possible alors que tu restes stoïque les dents serrées. … t’as l’air mal à l’aise … Tu le foudroies tu regards. Tu l'ouvres encore et j'te fais avaler tes dents. Tu siffles entre tes dents à mi-voix ravis de le voir se redresser quand même. Du coin de l’œil tu le vois rapprocher sa chaise alors que t'aimes vraiment pas ça tes doigts arrêtant de jouer avec ton stylo alors que tu le fixes du coin de l’œil. Et sa main qui revient sans que t'ai eut le temps de calmer ce genre de réaction, et de toute manière ce simple contact remet ton corps de nouveau sous tension alors que tu le quittes des yeux fixant la salle un temps. … C’est bon, personne regarde. Tout le monde s’en fou … Tout le monde s'en fout... Non pas toi, toi tu t'en fous pas. Pas du tout même. Et tu peux clairement pas le laisser faire ici.. Et pourtant tu sens ses doigts bouger et tu en frissonnerais presque ta gorge s’asséchant vachement alors que tu fais rien pour le virer.

Et en peu de temps il te fout vraiment la trique ce connard. Tes doigts se crispant sur la table alors que tu te redresses sur ta chaise les dents serrées parce qu'il joue beaucoup trop au con. Et beaucoup trop avec le feu. Avec une fille tu en auras eut rien à foutre et même une mains dans ton calbute en plein cours t'aurais pas gêné. Mais c'est un putain de mec... et pourtant tu crèves d'envie de le prendre encore plus que si c'était n'importe quelle blonde de la classe. Tu le laisses faire, ses doigts sur ta cuisses commençant à sérieusement créer un manque de place dans ton jean tu lui lances un regard entre colère glacial et envie dévastatrice. Mais se qui t'empêche de vraiment le stopper et l'insulter c'est de voir -sans avoir forcément posé ton regard à cet endroit là- la réaction dans son jean alors que tu le touches même pas. Tu aurais presque envie d'en rire, de lui, de son envie. Presque.

Tu jettes un regards à l'horloge de la classe intérieurement pestant contre le temps qu'il reste en cours dans cette salle. Non t'aimes pas être excité et rien pouvoir faire, enfin c'est excitant ok, mais toi tu veux son cul maintenant. Serrant les dents tu attrapes sa main, sans vraiment de douceur, la remontant de toi même jusqu'à ton membre plus que tendu sous ton jean, sans même lui adresser un regard.
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() message posté Mar 28 Oct 2014 - 0:43 par Invité
T’es un vrai gamin. A t’amuser avec lui pour faire passer le temps qui défile trop doucement. Alors tu joues. Tu l’provoques. T’adores voir les expressions de son visage. Tu sais très bien qu’il va finir par s’énerver. Tu le vois sur son visage. Cette colère qu’il tente de dissimuler sans grand succès. « Tu l'ouvres encore et j'te fais avaler tes dents. » Tu dis rien. Tu te contentes de sourire en approchant ta chaise de lui.

Ta main gauche revient sur sa cuisse. Et tu joues malicieusement avec. C’est fou comme tu peux sentir sa tension rien qu’en le touchant. Même pas besoin de le regarder. Et il te laisse faire. Et bordel, ça t’excite. De savoir que le fait bander en plein milieu du cours sans qu’il t’en empêche. Et croiser son regard qui te lance des éclairs accentue même ton excitation. Tu t’égares un instant dans ses yeux bleus, le regard pétillant de malice, avant de détourner de nouveau les yeux. Tu poses ta tête sur ta main droite, légèrement tourné vers lui. Et t’observes régulièrement son visage. Ses réactions. Sa main crispé contre la table te fait sourire.

Tu fais exprès que le caresser autours de son membre tendu sans le toucher. Parce que t’es un mauvais joueur toi. Un peu trop perfide. T’as envie de le rendre fou de désir. Et ça a l’air de plutôt bien marcher. Il finit par attraper ta main. Tu te crispes légèrement un court instant, pensant qu’il va de nouveau l’écraser méchamment. Mais non. Non, il vient juste la porter contre son membre. Sur la bosse qui déforme joliment son jean. Alors tu te redresses un peu. T’asseyant plus convenablement. C’est plus simple pour l’atteindre. Regardant devant toi, tu te mords la lèvre en faisant glisser ta main le long de son membre que tu devines sans peine. Tu le fais à plusieurs reprises, massant vigoureusement sa verge.
Ton regard parcourt la classe un instant. Personne ne semble faire attention à vous. Tant mieux. Ton regard fini par se poser sur Dmitri puis sur son entrejambe. Et le plus discrètement possible, tu viens détacher son jean de la main gauche avant de glisser ta main sous son boxer. C’est chaud. Terriblement chaud. Ta main le capture, réalisant quelques vas et vient. Et comme souvent lorsqu’il est question d’excitation, tes joues rosissent sous le désir. Tu te sens à l’étroit dans ton jean. La situation t’excite terriblement. Alors doucement, tu viens masser ton membre toi aussi. De ta main libre. Tu fermes même un instant les yeux, profitant simplement de la situation.

Ton pouce passe malicieusement sur son gland, le massant un instant. Ton regard s’égare vers l’horloge qui orne la salle. Encore vingt minutes de cours. T’es pas sur de tenir. C’est long. Foutrement long. Et plus tes caresses sont poussées, plus t’as envie de lui. De le sentir en toi. De sentir sa fougue et sa colère. Bordel, t’es con. Tu t’mets toi même dans une situation frustrante à crever.
… Pourtant, c’est presque comme si ça t’excitait encore un peu plus. D’être bloqué là. Au milieu de tous ces gens. T’es vraiment tordu comme mec quand même …
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() message posté Mar 28 Oct 2014 - 21:18 par Invité

Tu te comprends plus tellement ces derniers temps c'est vrai. Mais tu cherches pas non plus à le faire, tu es pas le genre de mec à t'assoir sur une chaise et essayer de te comprendre. T'es pas le genre du mec à analyser. T'es pas de ceux qui veulent des trucs logique, pas de ceux qui posent les questions. Toi t'es de ceux qui foncent dedans, sans comprendre, sans savoir, sans rien. De ceux qui maintenant font passer leur putain de plaisir bien avant toutes machinations de l'esprit. Il te ferait pas dormir ce crevard si tu commençais à analyser ces conneries. Alors tu bois quand tu y penses, que t'es qu'un p*tain d’anormal. Et sinon, tu penses pas. C'est simple comme chemin. Et quand Lysandre l'insulte au passage, tu dis rien, tu te fermes simplement, tu ne te sens même pas coupable de quoi que ce soit. T'es pas pédé, t'aimes juste son cul de temps à autres. Et du restes tu t'en fous, alors que Lysandre le descende tu t'en fous hein. Il a choisit de montrer ses conneries à ton meilleur pote, maintenant ça te concerne pas.

Se qui te concerne plus directement c'est se qui se passe dans ce genre de moment. Ce genre de moment comme là, où t'as la trique juste à sentir ses doigts sur ta cuisse, où t'as le cerveau en ébullition. Il est là avec sa gueule de petit merdeux innocent, à t'observer de temps en temps tu le regardes pas mais tu le sens faire, tu le sens son regard. Même si la de suite de son regard tu t'en fous, se dont tu te fous pas c'est de sa main qui passe sur ton jean avec une pression qui te ferait le retourner bien rapidement si vous étiez pas en classe. Avec des élèves autour. T'as envie de le frapper, autant que t'as envie de le sentir continuer. T'es qu'un p*tain de taré, si ce genre de chose t'ont toujours excité avec sa main à lui c'est pire dans les deux sens. Tu devrais pas. Tu devrais le frapper. Vraiment. Mais non tu le laisses même ouvrir ton jean aussi incrédule par son audace que ravis de l'effet. Te redressant en posant ton coude sur la table tu fermes un instant les yeux pour te contenir, restant le plus stoïque que possible.

Aussi stoïque qu'on peut être quand on sent une main prendre son membre beaucoup beaucoup beaucoup trop dur, et bouger autour pour continuer dans ce sens là. Tu fixes la pendule en bougeant légèrement lorsque tu sens son pouce beaucoup trop plaisant à cette endroit. T'as vraiment trop chaud et t'es là à serrer un instant tes dents sur ton poids te foutant royalement de la douleur sur ta main si c'est pour contenir tout bruit. Faut vraiment qu'il arrête. Et quand tu lui jettes un simple regard observant ses joues colorés et ses paupières un demi instant closes tu pourrais presque en rire si t'étais pas à ce point "tétanisé" par sa main qui continue ses mouvements le long de son membre. Tu baisses le regard à la fois moqueur et à la fois ravis de voir son état et sa main qui fait à l'identique se qu'il te fait. Hors de question de le toucher, tu t'en fous totalement qu'il se branle lui même. Toi t'as déjà assez de mal à te contenir alors que tu vois que seulement trois minutes sont passé depuis ton dernier regard sur la pendule. Et si ton plaisir voudrait qu'il accélère et renforce ses mouvements sur toi ta main rejoint par dessus ton boxer la sienne lui imposant un rythme plus lent pour ta propre sainteté d'esprit. Tu veux sortir de cette classe prétexter n'importe quoi pour le choper dans une salle déserte, mais vu ton degré d'excitation tu crains de guère pouvoir cacher réellement ça... Alors t'es là sur ta chaise, ta main continuant "d'accompagner" la sienne pour te caresser.
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() message posté Mer 29 Oct 2014 - 0:51 par Invité
Tu l’regardes mordre son poing pour rester silencieux. Et tu sais à quel point c’est dur. De se retenir de gémir sous le plaisir. Quand il te baise dans les vestiaires ou les toilettes et que tu crèves d’envie de te laisser aller à exprimer ton plaisir. Mais non. Il faut rester silencieux. C’est stupide pourtant. Parce que, même sans gémissement, on comprend rapidement. La respiration trop forte. Le petit bruit des vas et vient. Son bassin qui vient parfois claquer contre tes fesses. C’est assez explicite.
Mais là. Là c’est différent. Parce que là, vous êtes pas enfermés dans une cabine. Vous êtes pas à l’abris des regards. Cette fois ci, vous êtes clairement visible. Et c’est encore plus excitant.

Sa main vient se poser au dessus de la tienne. Au dessus de son boxer. Et il te fait ralentir tes mouvements. T’esquisses un sourire avant de tourner le regard vers lui. Il est sexy quand il excité. Foutrement sexy. Y’a dans son regard ce petit quelque chose. Ce désir qui brule. Et toi aussi ça t’fait bruler.

Tes mouvements se font plus lents. Et il finit par retirer sa main. Toi, tu masses toujours ton membre à travers ton jean. T’oses pas vraiment aller plus loin. Et puis, tu veux te concentrer sur Dmitri. Sur son plaisir. Sa frustration. Tes mouvements sont lents. Lents mais amples. De nouveau, tu viens glisser ton pouce sur le bout de son membre, jouant un instant avec avant de le reprendre entre tes doigts. Et, un sourire aux lèvres, t’accélères brusquement tes vas et vient, manquant de lui arracher un gémissement. Tu sens son membre vibrer entre tes doigts tandis qu’il se contracte sous le plaisir. Tes mouvements redeviennent plus lents lorsque tu sors brutalement de votre bulle, interrompu par le cri strident de l’alarme incendie. Et pendant une longue seconde, tu te retrouves comme un con, à ne pas bien savoir quoi faire. Puis tout le monde commence à s’agiter. Un peu brusquement, tu retires ta main de son pantalon. L’essuyant sur ton jean avant de te lever toi aussi, passant ta main dans tes cheveux, un peu décontenancé. T’aurais bien continué toi. Et tu dois avoir l’air con maintenant. Avec ton érection.

T’attrapes ton téléphone, jetant un petit coup d’œil à Dmitri qui bande toujours autant. Bien plus que toi. Et ça te fait rougir légèrement malgré toi. T’espères que personne le remarquera. « Sortez calmement. Les premiers rangs en premier et ainsi de suite. J’ veux de l’organisation ! » Et vous sortez dans les derniers. Lui juste derrière toi. Tu t’apprêtes à suivre la classe lorsqu’il t’attrape brutalement le poignet pour t’attirer à l’opposé. Tu fronces un peu les sourcils. « Qu’est ce que tu fous ! y’a l’alarme ! » Un petit gémissement s’échappe de tes lèvres lorsqu’il te plaque un peu trop brusquement contre la porte d’une salle de classe. Et il ne tarde pas à l’ouvrir t’attirant à l’intérieur avec hâte.

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() message posté Mer 29 Oct 2014 - 1:15 par Invité

T'aurais définitivement pas du venir à ce cours là, pas du venir au lycée, pourquoi diable Lysandre doit-il toujours te réveiller pour de tels plans ?! D'ailleurs s'il savait. Mais ça tu t'en fous, là t'y penses pas. Là tu penses qu'à sa main sous la tienne, qu'à sa main sur ton membre, que ses doigts autour qui vont et viennent de manière beaucoup trop enivrante. Tu penses à la classe autour de vous, et ces élèves qui écoutent bien gentillement la prof. La trouvant ennuyante à mourir, trouvant le cours barbant. Toi de cette prof tu t'en fous, le cours est nettement en train de voir remonter ce cours dans ton estime rien qu'à la main de ce connard qui te branle sans avoir l'air de trouver ça anormal. Ce petit con irait vraiment loin juste pour provoquer ce genre de réaction. Que ce soit un regard trop trop appuyé dans un couloir, sa langue qui glisse sur ses lèvres, il n'arrête jamais. Pas forcément en le faisant exprès pour certaines fois...

Il ralentit un temps et si tu n'arrives pas à te reprendre entièrement c'est sur qu'au moins tu arrives à respirer un peu mieux. T'as trop chaud bordel, t'as trop chaud et sa main n'arrange rien. Et surement pas son pouce alors que tu serres les dents fermant un instant les yeux pour essayer de te retenir. Tu serres ton stylo essayant de rester... concentré. Et c'est impossible ta gorge se bloquant quand il accélère. Tu peux même pas l'arrêter sur le coup tant tu te tend pour te retenir, réduisant en miette ton stylo dans la main qui t'écorche la paume sans t'en soucier. T'es a deux doigts de gémir quand l'alarme te fais limite sursauter de sortant de cette connerie de plaisir pour te faire atterrir dans la réalité. Tu vires sa main refermant ton jean en tirant brutalement sur ton tee-shirt alors que le souffle coupé tu regardes tout le monde se lever un peu dans le désordre. Acte divin bordel. Tu hallucines récupérant ton cahier et ton sac sans l'ombre d'une hésitation alors que les élèves sortent tous et que tu chopes ton sac devant tes hanches en les suivant suivit par la prof qui vous devance une fois sortit de classe pour prendre les commandes.

Toi tu attends pas plus jetant un regard dans le couloir opposé tu la main attrapant sans peine le poignet de ton voisin de classe le tirant avec aucune douceur derrière toi alors que tu t'éloignes dans le couloirs perpendiculaire. Qu’est ce que tu fous ! y’a l’alarme ! Tu l'écoutes pas, l'attrapant le temps que tu galères à ouvrir la porte le poussant à l'intérieur avant de la fermer derrière vous et d'attraper une chaise la plus proche la coinçant sous la poignée. Tu vires ton sacs sur le bureau. L'alarme, et alors ? Tu t'en fous de leur putain d’exercice là tout de suite. Tu les remercies juste de ce p*tain de timing qui ne 'est rarement arrivé dans ta vie. Anyway tu coinces donc cette stupide chaise avant de te retourner vers Victor avec un rire plus que ravis et envieux. Pire qu'un prédateur quand t'as envie de sexe toi. Tu l'attrapes sans aucune douceur tes doigts défaisant déjà son jean avec avidité alors que tu fais pareil du tiens. Chopes une capotes dans mon sac.. Tu répliques en le retournant contre le bureau descendant déjà son boxer dont tu n'en a rien à foutre. Ton jean et ton boxer finissant à tes genoux sans aucune autre forme de procès t'es toujours autant excité par sa connerie de main alors que tu le laisses grognant de sa lenteur alors que tu lui récupères des mains une fois qu'il l'a trouve déchirant l'emballage d'un coup avant de l'enfiler. Ouais t'as pas envie de choper ses merdes.

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() message posté Mer 29 Oct 2014 - 2:57 par Invité
Ton excitation était légèrement retombée avec toute cette connerie d’alarme incendie. Trop de bordel. Ca t’a un peu égaré. Mais il suffit qu’il te plaque contre la porte pour que le désir revienne. T’espères jusque que c’est qu’un exercice. Qu’il y a pas le feu ailleurs que dans vos pantalons. Ca serait con de crever comme ça.
Le cœur battant sous l’excitation, tu le regardes coincer la porte puis vider son sac sur le bureau du professeur. Tu comprends pas vraiment l’intérêt de vider le sac d’ailleurs. Mais tu t’en fous faut dire. Tu restes un peu planté comme un idiot, attendant qu’il se retrouver vers toi. Et voilà. Il s’retourne. Il t’regarde. Il t’regarde avec son putain de sourire et ses yeux pleins de désir. Et bordel, rien que ça, ça t’fait bander. Parce que tu sais ce qui va suivre. Tu l’sais très bien.
Tu lèves les yeux vers lui, mordant légèrement ta lèvre dans un sourire. Et il t’attrape presque violemment. Mais tu t’en fou. Tu t’en balances. C’est excitant. Sa fougue. Sa violence. Cette façon qu’il a de te baiser comme si c’était la dernière chose qu’il ferait au monde. T’aimes le sexe avec lui. T’aimes foutrement ça. C’est sauvage. Presque animal. Mais c’est bon. Tellement bon …

Il détache rapidement ton jean alors que tu l’aides à faire de même pour le sien. C’est des gestes désordonnés. Un peu brouillon. « Chopes une capotes dans mon sac.. » Il te retourne brutalement, te plaquant contre le bureau. Tu comprends mieux l’histoire du vidage de sac. Accoudé contre le bureau dans une position provoquante, ton regard parcourt les objets étalés face à toi. Tu cherches sa capote tandis qu’il descend ton boxer, griffant légèrement tes fesses au passage. Ca t’arrache un léger grognement et tu te cambres un peu. Puis tu finis par trouver le bout de plastique. Tu l’attrapes un peu maladroitement avant que Dmitri ne te la prenne des mains pour l’enfiler. Et il ne s’attarde pas. Tu sens déjà son membre contre ton intimité, forçant l’entrée un peu sauvagement. Tu grimaces un peu de douleur, te cambrant fortement alors qu’il entre entièrement en toi. Un gémissement s’échappe de tes lèvres. Tu l’retiens pas. De toute façon, l’alarme stridente dissimule encore tous les bruits que tu peux faire. Tu devrais la trouver insupportable cette alarme. Mais tu t’en fou. T’y penses même pas. T’es ailleurs. Dans ta bulle. T’es trop occupé à le sentir te pénétrer progressivement jusqu’à être entièrement en toi.

T’as l’regard un peu dans l’vague. Entre la douleur et le plaisir. Il reste immobile un instant. Toi, tu t’redresses un peu, soupirant doucement. Et progressivement, la douleur se transforme en désir. Tu l’veux putain.
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() message posté Sam 1 Nov 2014 - 0:24 par Invité

L'alarme a incendie a beau sonner et retentir dans chaque pièce du bâtiment avec un degré parfaitement détestable, tu n'en a rien à foutre. Tout comme d'une possibilité que le bâtiment soit en feu. Toi comme ces élèves en bas qui se rassemblent bien sagement les un derrières les autres. Non tu t'en fous. Totalement, clairement. Toi tu te fous de tout, même un peu de lui, mais pas tellement. parce que bon en même temps c'est pas n'importe qui, qui peut foutre à ce point le feu dans ton boxer. C'est pas n'importe qui aussi qui aurait foutu sa main dans ton calbute en pleine salle de cours. Alors tu t'en fous pas tellement, ou pas trop trop. Tu sais pas. Là en faite tu te soucie surtout de ton envie, de ton membre gonflé et envieux. De son corps. De son cul. De lui. Oui c'est vrai, du reste tu t'en fou totalement. Mais de toute manière on ne te demande pas de comptes non ? Si ? T'en sais rien, tu t'en fous. Toi t'es au dessus, de tout. Et voilà. Tu veux juste tirer vulgairement ton coup, avec lui. Juste avec lui, ça par contre c'est problématique. Parce que c'est lui. Mais bon il est doué pour se la fermer, alors ça enlève pas mal de problème.

Tu récupères enfin cette maudite capote ayant eut envie de le tuer quand il a mit tant de temps à la trouver. Tu suffoques de ce trop plein d'envie, il a joué avec tes nerfs, avec ton plaisirs, avec tes limites. Il peut pas se plaindre. Puis c'est Victor, pas sur qu'il se plaigne. Il prend autant son pied que toi c'est certain. Et sans autre forme de sympathie ou de réflexion tu finis par le pénétrer, parce que tu te fous de quoi que ce soit d'autres, toi tu veux juste ça. Son cul. Tu t'en es jamais caché, il l'a bien compris depuis ce temps. Et malgré la sonnerie stridente infecte tu l'entend gémir. Tu sais que c'est pas vraiment te plaisir mais ça te fait rire quand même. Tu sais pas tellement pourquoi. Peut-être parce que tu aimes ça, l'entendre et savoir que de toute manière dans ce genre de truc il y trouve son pied. Tu t'en doutes non ? T'en sais rien. Tu t'es jamais posé la question, il te provoque, il te laisse faire, il revient, donc oui il doit prendre son pied. Et puis c'est pas ton problème non ? Toi là de suite c'est cette douce sensation de le sentir, de pénétrer en lui alors jusqu'au bout avec une sensation de plaisir. Tu te mors la lèvre restant un instant à savourer cela, puis bon t'es sympa tu le laisse reprendre tes esprits. Tu t'es toujours dit que ça devait faire foutrement mal...

Ouais enfin juste un instant t'attend parce que bon, tes doigts glissent le long de son dos sous son tee-shirt sans lui virer avant de l'attraper par les hanches commençant à ressortir ton membre avec une lenteur qui te fait frissonner. Et tu commences ainsi tes va et vient, qu'une bref moment lent alors que tu connais pas vraiment le retenue, accélérant le rythme au bon vouloir de ton propre plaisir ton front se posant un instant dans son cou alors que tes ongles semblent presque percer sa peau sans que tu y accordes le moindre intérêt. L'alarme continue et ça te plait, parce que ça couvre tout bruit. Et t'aimes cette urgence, t'aimes pouvoir te laisser aller après la connerie qui te retenait de tout faire en classe. Tu grognes à chaque fois que ton bassin vienne contre son corps faisant augmenter ton plaisir.
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