(✰) message posté Dim 2 Nov 2014 - 1:02 par Invité
Y’a cette douleur presque omniprésente dans votre relation. Cette douleur sauvage. Tu devrais l’détester pour être aussi brusque. Pour t’faire mal. Pour s’en foutre. Mais nan. Tu l’détestes pas. Parce que quelque part, t’aimes ça. T’aimes ça parce que ça t’fait sentir vivant. Là, dans ce monde où t’es l’impression d’exister sans vraiment vivre. D’être juste là. Invisible. Et tu fais semblant. Souvent. Tout le temps. T’as ce sourire ancré sur les lèvres et ce poids au cœur. Tu sais même pas vraiment pourquoi. C’est juste cette impression de vide. Comme si rien ne comptait vraiment. Et finalement, sous son corps, t’as l’impression de vivre. Lorsque tu sens ses ongles marquer ta peau. Lorsque tu sens son membre te prendre un peu trop violemment. Lorsque tu sens ses dents contre ta peau. Tu dois être un peu con. Tu t’redresses un peu tandis que sa main passe dans ton dos. Ses doigts dessinent une nuée ardente sur ta peau trop pale. Et il pose ses mains sur tes hanches en se retirant avec une lenteur troublante. Tu te cambres un peu plus, mordant ta lèvre, contenant un soupire. Tes doigts se crispent sur le bureau. Sa lenteur accentue ton désir. Et brusquement, il commence ses vas et vient. D’abord lentement et profondément. Ca t’fait soupirer de plaisir. De l’sentir comme ça. Au fond de toi. Puis rapidement, il accélère. Il se fait plus brusque. Plus sauvage. Et tes soupires se transforment en gémissements. Cette fois ci, tu te retiens pas. Tu t’laisses aller à exprimer ton plaisir. Tu t’en fou de toute façon, y’a l’alarme qui couvre tout. Ca doit être la première fois que tu te laisses vraiment aller avec lui. Parce que vous faites toujours ça dans des endroits étranges. Dans les vestiaires, dans les douches, dans des salles de classes ou des toilettes. Toujours ici. Trop prêt des gens. T’as jamais été chez lui comme il a jamais été chez toi. Pas encore. Peut être jamais. Dmitri t’arrache un cri en enfonçant ses ongles dans ta peau. Et tu te contractes autours de son membre sous la réaction à la douleur. Et ça t’excite. Bordel, t’es tordu. Tu sens son visage se nicher un instant dans ton cou et ça t’fait frissonner. T’as chaud bordel. Ton corps crame. Brule comme un volcan. Tu sens l’plaisir monter au fil de ses coups de bassin. Tu bandes tellement que t’oses même pas te caresser de peur de venir trop tôt. Un cri de plaisir s’échappe brusquement de tes lèvres alors que Dmitri vient frapper contre ta prostate. Et tu t’cambres de façon particulièrement provoquante sous le plaisir que tu viens de ressentir. « awwhh…encore… » Tu réfléchis même pas. C’est ton corps qui parle pour toi. Là. Avec ta voix un peu cassée, déformée par le plaisir. T’as les yeux rendus vague par le plaisir et le corps transpirant. Bordel, c’est trop bon …
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(✰) message posté Lun 3 Nov 2014 - 8:07 par Invité
L'alarme te vrille le cerveau, le plaisir te vrille le ventre et p*tain qu'est-se que t'aimes ça. T'es tordu peut-être, mais ce genre de truc te fait bien plus profiter et t'éclater que n'importe quelle autre partie de jambe en l'air. Tu le diras jamais c'est certain le reconnaître c'est déjà une torture silencieuse pour ton esprit. Tordu, vicieux, pas normal, mais peu importe vraiment quand t'as son cul à disposition. Parce que tu penses à rien d'autre. Tu penses à rien hormis cette vague de plaisir qui monte en toi et noie ton cerveau. Hormis tes vas et vient à peine régulier face à ton plaisir et ton envie. Tu penses pas tellement à lui, tu t'en fous il n'est qu'un moyen pour parvenir à la jouissance le reste tu t'en fous. Même si tu sais qu'il prend son pied, même si ça te fait marrer de l'entendre entre gémissements et léger cris. T'es pas normal peut-être mais t'aime ça être l'acteur des deux émotions qui primes chez lui à ce moment là. Oui toi t'es comme ça. Et puis voilà.
Et tu ries en l'entendant à moitié crier sous tes ongles, mais t'as pas vraiment à te moquer, pas trop le temps et l'esprit parce qu'il se contracte de manière beaucoup trop bonne pour que tu ailles faire quoi que ce soit contre. Ce spasme de son corps trop tendu te fait plus que grogner de plaisir alors que t'es à deux doigts d'étouffer dans ta respiration saccagée par le plaisir, et ta propre envie d'en finir. Mais non, c'est trop bon à la fois pour finir si vite, et trop long aussi. T'es de ceux qui savent pas se décider sur ce sujet là, tout simplement. awwhh…encore… Tu ries dans son dos, tu ries contre sa nuque sans avoir l'intention de t'arrêter c'est certain. Pas en si bon chemin, pas en l'entendant gémir sous tes coups de reins qui à chaque fois que tu t'enfonces en lui te procurent trop de plaisir pour supporter réellement cela. Tu lâches sa hanches t'appuyant sur son épaule pour continuer alors que ton regard reste un instant fasciné par les quelques goutes de sang qui perlent à sa peau. Tu la martyrises cette membres trop blanche qui entoure son corps. Et alors ?! Ta la gorge en feu et ton membre près à en finir avec ce plaisir qui se mue en douleur ô combien exquise. Tu voudrais à la fois faire durer et en finir au plus vite pour arriver à ce sentiment de plénitude totale. Tu sais jamais s'que tu veux, c'est ça ton problème dans l'fond mais ça on s'en fout hein ?! Non coup s de reins après coups de rein, grognements après grognements, ses gémissements te font encore plus d'effet alors que t'en a oublié presque l'alarme incendie.
T'as chaud et tu as besoin d'air, d'eau, de tout mais surtout de son corps pour terminer le travail. Jusqu'à se qu'il se contracte trop, jusqu'à se qu'il se cambre beaucoup trop pour te laisser la possibilité de continuer alors que tu serres les dents étouffant un râle de plaisir en te sentant venir avec une satisfaction jouissive. C'est le cas de le dire dans ton état alors que tu te tends, sans t'écarter de lui, sans te retirer de lui dans sa manière de se tendre qui te rendrait presque addictif. Bordel. Cerveau inondé, t'as du mal à respirer. Mais satisfait. Bordel, t'es normal.
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(✰) message posté Mar 4 Nov 2014 - 8:22 par Invité
Tu l’entends rire. Putain de rire. Et son souffle chaud s’égare sur ta nuque, t’échauffant un peu plus. Il est excitant ce connard. Tu sais même pas pourquoi tout ça t’excite autant. Il est violent et égoïste. Il s’fout bien de ton plaisir. Pourquoi, il est là. Toujours là. Tu te demandes même si t’as jamais ressenti autant de plaisir avec quelqu’un d’autre. Tu dois êtres foutrement maso pour prendre autant ton pied avec lui. Foutrement exib’ aussi. T’es toujours là. A baiser n’importe où. N’importe où excepté un lit. C’est fou ça.
Tu gémis un peu plus, fermant un instant les yeux pour te laisser te perdre dans le plaisir pur. La douleur est là. Quelque part. Elle te raccroche à la réalité. Et toi, tu viens passer ta main sur le bord de son dos, te redressant un peu. Et presque comme une vengeance, tes ongles s’enfoncent dans sa peau sous un coup de reins particulièrement bien placé. Et tu l’griffes en revenant poser tes mains sur le bureau pour t’appuyer.
Tu l’sens qui accélère encore. Qui vient un peu plus profond à chaque coup de reins. Et tu peux pas retenir ces gémissements et couinements de plaisir presque à chaque fois que son bassin vient claquer contre tes fesses. Tu l’sens l’plaisir monter. Encore et encore. Devenant presque désagréable tant il est puissant. Frôlant doucement la jouissance sans l’atteindre encore. Ca t’rend barge. Tu trembles sous cette frontière extatique et douloureuse. Puis tu la sens monter. La jouissance. Encore un peu. Jusqu’à la libération. Et tu te tends. Tu gémis fortement en te contractant plusieurs fois au rythme de ta jouissance. Les yeux dans l’vague, tu t’égares dans ce monde un peu à part. Cette bulle de plaisir. Tu sens à peine Dmitri venir aussi. Trop perdu dans ta propre jouissance. T’es là, cambré contre lui, la tête en arrière. Le corps tremblant et transpirant. Il te faut quelques secondes avant de réussir à reprendre conscience de la réalité. De sortir de l’exaltation de la jouissance.
Il est encore en toi. Tu l’sens encore. Et ça t’fait doucement frissonner. Tu sens encore la chaleur de son corps contre le tien. Un léger soupire de contentement s’échappe de tes lèvres tandis que ton regard se pose sur le bureau. T’as jouit. Beaucoup jouit. Ca t’fait rougir un peu. D’avoir fait ça sur le bureau d’un professeur. D’avoir marqué la place de ta semence. Ton souffle se calme progressivement et tu le sens se retirer. Toi, tu t’retournes pour le regarder. Pour voir son visage encore marqué par son plaisir. Et ça te fait doucement sourire. Et comme d’habitude, t’as cette gueule d’après sexe. Ces joues trop roses. Ces cheveux trop en bataille. Ce visage trop satisfait.
Et brusquement, l’alarme s’arrête. Et y’a ce silence …
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(✰) message posté Ven 7 Nov 2014 - 21:10 par Invité
Parfois tu te demande se que t'es en train de faire, se qui a pas tourné rond, se qui t'a poussé à faire ça. C'est depuis cette fameuse après-midi après le sport. Vous étiez crevé, Lys' était rentré chez lui en séchant ces deux heures de cours inutile. Toi tu sais même plus pourquoi t'étais là à faire le bon petit étudiant qui va en cours. Et tu te souviens juste avoir croisé son regard, se qui t'avais au plus haut point énervé. Les insultes avaient commencé comme ça alors que les derniers se pressaient de sortir pour éviter d'être témoin d'un énième coup d'éclat de ta part, d'être témoin d'insultes sans qu'aucun ne riposte. Pas lus intelligent que la moyenne. Voilà comment tout à commencé, en l'insultant et d'un seul coup... t'as jamais su. Et depuis tu sais toujours pas. Comment ça te prend, comment ça peut largement dépassé le reste du plaisir que tu connais. T'en sais rien. Mais dans un sens c'est Victor, et c'est bien, parce qu'il ferme sa gueule, parce qu'il dit rien, parce qu'il s'en contente. Parfait, t'as pas besoin de le faire taire. Ça te ferait chier de perdre ton jouet quand même. Oui ton jouet.
Et t'as finis de jouer, t'as fin de t'amuser à faire monter le plaisir. T'es là le rythme cardiaque désorienté par ce surplus d'information trop importante en émotion. T'aimes bien ça. Ne pas penser. D'ailleurs tu choisis souvent d'y avoir recoure, c'est bien mieux que de se vriller le cerveau. Tu finis par t'écarter de son corps transpirant, t'es pas mieux. T'as chaud, un truc horrible t'es moite, tu crèves de chaud, t'as soif, et bordel t'es bien ! Difficile à croire peut-être mais ouais là t'es bien, le souffle encore trop désorienté tu passes une main dans ta nuque avant de remettre tes cheveux "trop long" sur le haut de ton crâne en arrière. Tu attrapes ce bout de plastique bougeant même pas pour l'envoyer dans la poubelle du bureau du prof, tu souries rien qu'en imaginant la tête de la personne qui verra ça en plein cours. T'en es réjouis d'avance. Le bruit que fait la capote en atterrissant au fond est dégueulasse mais tu t'en fous t'amusant à regarder alors les "dégâts" causé cette fois-ci pour ton homologue. Ok là vous avez fait fort.
Toujours dans son dos, t'as pas bougé et lorsque lui il se retourne tu l'observes un instant. Tu trouves ça drôle, de voir la même gueule qu'il a après vos ébats. Tes ébats, parce que bon certes il prend son pied mais c'est pas comme si tu pensais à cela pendant l'acte. Il a toujours sa peau trop blanche qui rougie trop vite, beaucoup trop vite. Toi t'es pas plus bronzé, mais tu as guère remarqué des afflues de sang cependant. Il est là, le souffle semblable au tien, les joues qui doivent être brûlante. Et il te fixe, alors que tu te rend compte que t'aimes pas tellement la proximité entre vous deux. Pourtant tu dis rien. Et lorsque l'alarme se tait enfin, le silence rajoute à cela une dose d'insupportable. Pourtant tu bouges pas. Qu'est-ce t'as ? Tu veux ma photo ? Tu grognes avec pourtant un sourire narquois remplit d'une provocation nullement violente pour autant. Non pour le moment t'es encore trop adoucie par le plaisir qu'il t'a procuré.
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(✰) message posté Sam 8 Nov 2014 - 10:16 par Invité
Tu te baisses pour remonter ton boxer et ton jean, le regard encore un peu voilé par la jouissance. L’alarme s’est arrêtée. A croire qu’elle était là juste pour vous. Juste pour que vous puissiez vous échapper de la classe. Juste pour que vous puissiez satisfaire ce désir qui vous cramait le ventre. Et maintenant, ils doivent se demander où vous êtes. Ils sont censés faire l’appel dans ce genre de cas. Pour savoir qui n’est pas là. Pour savoir qui est en train de crever sous la flamme. T’esquisses un léger sourire à cette pensée. Parce que, ça avait beau être un exercice. Tu crevais quand même sous les flammes. Simplement pas les même. Un peu plus métaphorique. Mais pas moins dévorantes.
T’attaches ton jean tandis que ton regard se pose sur lui. Et ça te fait sourire de voir qu’il est dans le même état que toi. Trop chaud. Trop bien. Il a le même regard encore un peu vague. Et ce visage détendu qui lui va terriblement bien. Tu regardes son corps un peu trop parfait un ton gout. Putain de petit con trop attirant. « Qu'est-ce t'as ? Tu veux ma photo ? » Tu laisses échapper un petit rire avant de te retourner, lui répondant d’un air détaché « ... Qu’est ce que tu veux que j’en foute de ta photo ? » C’est pas méchant. C’est plutôt joueur. Un peu malicieux. Tu souris avant de lui tourner le dos. Ton regard se pose de nouveau sur le fruit de ta jouissance qui orne encore le bureau. Ca t’fait rougir un peu malgré toi. Alors t’attrapes un paquet de mouchoir qui trainait sur le bureau pour nettoyer la tache blanche avant de le jeter à la poubelle. C’est pas vraiment une bonne idée de laisser ça ici. Sur le bureau d’un prof. C’est définitivement pas très classe.
De nouveau, tu te retournes vers lui avant de t’approcher, déposant furtivement un baiser sur sa joue avant de t’éloigner rapidement. Tu sais pertinemment qu’il déteste ça. Qu’il déteste ce genre de geste. Mais ça te fait rire. Alors tu le fais quand même. « Aller, à plus … » Le sourire aux lèvres, tu te diriges vers la sortie de la pièce puis vers la sortie du bâtiment pour rejoindre les gens de ta classe. Tu le laisses là. De toute façon, tu sais très bien qu’il va simplement récupérer ses affaires et se barrer chez lui. C’est pas vraiment le genre à retourner en classe juste comme ça. Il va surement t’éviter pendant quelques jours, puis finalement, ça recommencera. Vous finirez pas baiser comme des sauvages une nouvelle fois.