"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici (Simon&Locke)  I need food!  2979874845 (Simon&Locke)  I need food!  1973890357
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(Simon&Locke) I need food!

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Destiny Tynged
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() message posté Dim 19 Oct 2014 - 0:58 par Destiny Tynged
I need food!

Simon Hamilton & Locke N. Stjerners



Vous (Simon) prenez le train exceptionnellement. Vous avez décidé cette fois de faire ce trajet via le train pour aller plus vite. Sauf que le train s'arrête au milieu du trajet, car il y a un problème sur la voie. Le problème, c'est que vous commencez ne pas vous sentir bien, vous n'avez pas mangé de la journée et vous craignez la crise d'hypoglycémie. Dans la rangée, à côté de vous se trouve un inconnu (Locke), qui est en train de manger des gâteaux. Vous hésitez à lui en demander un. Allez-vous finir par lui demander, ou va-t-elle remarquer d'elle-même, que vous commencez à être un peu pâle.

Il n'y a pas d'ordre défini dans ce RP. Ce RP est issu du système "Le RP est aveugle"


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() message posté Dim 19 Oct 2014 - 23:09 par Invité
Une énième dispute avec sa mère lui valait sa place assise dans ce train. Ils s'étaient encore dit les pires horreurs. Merde dire qu'il était venu pour récupérer sa place dans la maison familiale, au final il venait de se faire virer. Virer plus de toit, sa mère lui avait meme pris les clés de la maison ! Il ne pourrait plus rentrer de facon clandestine. Il est désormais voué à errer dans la rue. Jamais sa colère n'avait atteint un tel niveau. Son crane bouillonnait encore, il avait envie d'hurler ou de frapper quelqu'un ou quelque chose. Et pourtant Dieu sait que Sims est quelqu'un d'incroyablement calme. Mais Sims était un bébé, et les événements le dépassaient. C'etait pour cela entre autre qu'il se retrouvait dans ce train. C'était une fugue sans en etre une. Il avait pris le premier train pour lequel ses minces économies lui permettaient de s'acheter un ticket. Bref, en réalité c'était le mouvement du train qui le bercait, l'apaisait. En temps normal il ne prenait jamais le train. Trop de monde, trop de stress et pas assez d'argent aussi. Alors Sims regarde le paysage défiler la tete appuyée sur la vitre, qui lui la fait bouger par secousses. Mais Sims se sent bien meme si la faim pointe le bout de son nez. Bah oui parce que en plus de se faire virer de chez lui, sa mère n'a meme pas voulu qu'il prenne un petit truc à grignoter. Après tout, ce n'était pas comme si il n'avait pas d'argent en poche et qu'il n'était pas sur de manger avant bien longtemps. Rien que cette pensée le mettait encore plus en colère. Il jeta un bref coup d'oeil autour de lui, mince trop de gens il aurait bien envie d'hurler sans passer pour un sombre fou. Chose impossible.

Une vingtaine de minutes s'étaient déjà ecoulees lors que le train se stoppa en plein milieu de la voie. Sims ne le remarqua pas immédiatement tant il ruminait farouchement. Mince sa vie partait dans tous les sens, plus de mère, amoureux de sa psy et bientot jugé pour une betise sans nom... Lorsque le jeune anglais prit conscience de l'arret du train, son ventre lui martyrisait violemment et c'était plutot compliqué de l'ignorer. Surtout que sa tete semblait tourner rapidement. La chaleur tapait en plus sur. fenetre. Quelle idée aussi de chosir la fenetre, et puis quelle idée de fuir comme un bébé alors que personne ne remarquerait son absence. Viré viré viré, bloqué, bloqué, bloqué, voilà ce qui tournait dans sa tete. Et puis faiiiiiiiiiiim ! Voilà il allait mourir dans l'indifférence, entouré des personnes inconnues et dans un train ! Imaginez l'enterrement ! Comment est il mort ?Oh... Dans un train à cause du soleil et d'une faim matinale . Et puis y a ce gars là à coté de lui qui bouffe dans son paquet de gateaux depuis tout à l'heure. Sims a envie de lui arracher et de vider la paquet dans sa bouche mais il lui reste des manières et puis maintenant qu'il est à la rue, il n'a certainement pas envie de commencer à mendier. Bon alors Sims ferme la et continue ton trajet.
Dix minutes plus tard, le conducteur passa un message pour leur dire que le train ne redémarrera pas de suite, ce n'était meme pas prévu dans les moments à venir. Sims allait clairement mourir, il se sentait mal, très mal. Le chaud, le monde, l'énervement, la faim tout cela le mettait dans un état étrange. Il ne se sentait pas vraiment, au bord d'une petite crise d'hypoglycémie...
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() message posté Lun 20 Oct 2014 - 15:12 par Invité


I need food !
Simon Hamilton & Locke Stjerners

And I've got cakes. ✻✻✻  J’arrivais pas à croire que j’avais trouvé un carnet entier de ticket non utilisé. Enfin, trouvé… Disons que je l’avais emprunté sans date précise de retour à une femme se trouvant devant moi au supermarché, alors que je m’ennuyais dans la file d’attente. Je n’en étais pas spécialement fier, mais il y avait des moments où je ne m’en rendais même pas compte jusqu’à remarquer ces objets qui ne m’appartenaient pas au creux de ma main. C’était là que je me rendais compte que j’étais vraiment kleptomane, mais comme si j’avais l’argent pour avoir des consultations, pour me soigner. Déjà, ça me permettait d’avoir des choses que je n’aurais sûrement jamais – comme un carnet de tickets – et ensuite, j’avais absolument pas d’argent à perdre pour ça. Aujourd’hui était également un jour où je ne travaillais pas, et j’en avais profité pour décider d’aller faire une visite au British Museum, qui était heureusement gratuit. Je n’avais donc pas grand-chose à faire aujourd’hui, et ça me ferait sûrement du bien de vivre une journée où je n’avais pas à réfléchir, pas à me soucier des apparences, de comment les autres me voyaient. Je commençais enfin à m’habituer à Londres, à son énergie bien différente des villes norvégiennes. C’était dans cet état d’esprit que j’étais entré dans la rame de train, me trouvant presqu’immédiatement une place assise. Il n’y avait pas énormément de monde, mais pour quelqu’un comme moi qui n’avait pas l’habitude de ce train souterrain et qui avait pris la décision de se déplacer librement à vélo et cela depuis quelques années, c’était un peu oppressant. Je n’aimais pas spécialement être enfermé, mais je ferais avec au moins pour aujourd’hui. Ce n’était pas comme si je prenais le train tous les jours. D’ailleurs je ne comprenais pas comment faisait ceux qui passaient leur vie dans ce train, aux heures de pointe. Ils devaient être fous. J’en étais là dans mes pensées lorsque le train s’arrêta sur la voie, m’arrachant un grognement mécontent, qui fut répété par la quasi-totalité des londoniens présents dans le wagon. Je n’étais pas spécialement attendu, mais ça ne me mettait jamais à l’aise. J’avais toujours l’impression qu’il pouvait se passer n’importe quoi, et qu’on ne finirait par ne jamais ressortir de ce train.
Il commençait à faire chaud, à cause du soleil sur les vitres, et l’immobilité rendait plus d’un passager nerveux, moi le premier. Pour faire passer le stress, je commence à fouiller dans mon sac pour en ressortir un paquet de gâteaux que j’ouvre immédiatement, en attrapant un pour le manger aussi rapidement, m’attirant presque un grognement de satisfaction. Au moins j’avais autre chose sur quoi me concentrer pendant qu’on restait sans rien faire au beau milieu d’une voie de train et où il pouvait nous arriver  n’importe quoi. Je tapais nerveusement du pied contre le sol, avant de soupirer. Pourquoi fallait-il que ça m’arrive à moi, alors que je devais prendre le métro pour la deuxième fois depuis mon arrivée à Londres le mois dernier. Je restais comme ça pendant environ dix minutes, jusqu’à ce que l’on entende la voix du conducteur nous dire qu’il n’était pas prévu que l’on reparte rapidement. Une bouffée de stress s’empara de moi, et mon cœur s’emballa. Je respirais plusieurs fois calmement. C’était sûrement un accident technique, en tout cas rien de grave, mais à l’idée de passer encore du temps enfermé dans ce train immobile, je sentais ma poitrine carrément oppressée. Je n’étais pas spécialement claustrophobe, mais je détestais savoir que toutes mes sorties étaient bloqués. … Quoique c’était un peu la définition de claustrophobe. Je tournais la tête, observant mes compagnons d’infortune, et mon regard tomba sur un jeune qui semblait encore plus mal que moi. Il semblait ne pas aller bien du tout, et il était tout pâle. Je fronçais les sourcils, me demandant si j’allais être celui qui allait faire un geste désintéressé en direction du jeune garçon, ou si quelqu’un allait le faire à ma place. Mais il me semblait que personne ne semblait lui porter attention, et s’il s’évanouissait dans cinq minutes, j’aurais l’air malin. Je jetais un regard sur mes gâteaux, et je me dis que je pouvais bien en sacrifier un. « Monsieur ? Vous allez bien ? » Question rhétorique, mais ça m’avait comme qui dirait échappé. Je lui tendis un paquet de gâteaux avec un de mes faux sourires amicaux et polis. . « Vous voulez manger ? Vous vous sentirez mieux après. » Je restais quelques secondes silencieux, réfléchissant, avant de continuer. « Je m’appelle Locke. Il semble qu’on ait encore du temps à passer coincés ici, autant faire connaissance. » Lâchais-je en détournant légèrement le regard. Et d’un autre côté, me concentrer sur une discussion m’empêcherait de stresser plus que ce que je ne devrais.
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() message posté Jeu 23 Oct 2014 - 7:39 par Invité
Sims allait mourir, surtout si ce foutu train n'allait pas redémarrer aussi rapidement qu'il le devrait. Cette situation rappelait à Simon, l'unique fois qu'il avait pris le métro enfant avec sa mère. Il devait avoir 6 ans mais avait la taille d'un gosse de 4 ans. Sa mère lui tenait fortement la main, et Sims comprit pourquoi lorsqu'un troupeau rentra d'un seul corps dans le wagon. Il s'était senti poussé, bousculé, mais surtout coincé entre les deux paries de jambes de deux hommes plutôt gras et costauds. L'air avait commencé à manquer environ 2 minutes après le départ du métro. La main de sa mère lui faisait mal, et la température lui montait sévèrement à la tête. Ses jambes ne le portaient plus vraiment. Le pauvre garçon avait été miraculeusement sorti du wagon la station plus tard, faisant une crise de panique sur le quai. Une chance qu'il soit assis aujourd'hui, car si quelqu'un se mettait à faire une crise panique, il était convaincu qu'il le suivrait dans la seconde, ou bien tenterait de l'assommer. Mais pour le moment, Sims restait concentré sur son propre malaise qui ne tarderait pas à venir le titiller.

Une voix sortit Sims de sa concentration extrême. Il tourna doucement sa tête et tomba sur un jeune homme brun plus âgé que lui. Sims reconnecta son cerveau pour essayer de comprendre ce que son camarade de siège lui disait. Ha! il lui demandait si ça allait bien. J'veux pas vous faire peur, mais j'crois que je vais mourir, répondit Simon dans le plus grand des mal. Il adressa quand même un franc sourire au brun pour le remercier de l'attention portée. Vous voulez manger ? Vous vous sentirez mieux après. Sims grimaça, évidemment c'est pas son genre de demander, et encore moins de profiter de la gentillesse des gens. Ca le gêne car il sait qu'avec son maigre budget il ne pourrait pas lui rendre la monnaie de sa pièce. J'veux bien merci. Mais euh... j'ai rien sur moi pour vous dédommager, ça vous dérange pas ?, demanda Simon toujours un peu faiblard. Le jeune homme lui tendit alors un biscuit que Sims avala après avoir croqué deux fois dedans. Il se retourna alors vers ce gentil passager et lui adressa un sourire de remerciement, Sims sentait déjà les picotements s'éloigner. Je m’appelle Locke. Il semble qu’on ait encore du temps à passer coincés ici, autant faire connaissance. Sims hocha la tête pour confirmer l'idée du jeune homme, au moins il passerait le temps, et la situation en serait moins lourde. Enchanté Locke alias SuperGâteau, plaisanta Simon. Moi c'est Simon mais je préfère qu'on m'appelle Sims. Alors, pourquoi êtes vous dans ce maudit train ?, demanda Simon.
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() message posté Sam 25 Oct 2014 - 0:11 par Invité


I need food !
Simon Hamilton & Locke Stjerners

And I've got cakes. ✻✻✻ C’était bien ma veine, que ce train soit arrêté en plein milieu de la voie pour je ne sais combien de temps, alors que je ne le prenais jamais. Soit tous les trains avaient des problèmes, soit j’avais une grande dette en karma. Ou alors quelqu’un d’autre avec une énorme dette en karma dans ce train, en faisant bénéficier tout le monde. Peu importe la raison, mais je trouvais que c’était quand même un immense manque de chance. Je me demandais néanmoins si on pouvait être remboursés pour le prix du trajet si on s’arrêtait assez longtemps, tiens… Ca me serait bien utile, et ce serait bien la seule chose pour laquelle j’arrêterais d’être en retard. Mais en jetant un coup d’œil à côté de moi, je m’aperçus bien rapidement que je n’étais pas le seul à me sentir mal, et qu’un des passagers se sentait encore plus mal que moi, et au bord de l’évanouissement. Je jetais un coup d’œil à mes gâteaux, avant de faire ma bonne action du mois et de lui tendre un peu de nourriture, souriant. Je l’appelais, lui demandant comment il se sentait, même si son état pouvait se lire sur son visage. « J'veux pas vous faire peur, mais j'crois que je vais mourir. » Je ne savais pas si je devais m’arrêter de sourire ou pas, mais je continuais néanmoins de le faire, dans le doute. Je secouais la tête, alors que je me disais qu’on serait arrêtés encore plus longtemps s’il faisait un malaise. Ou mourrait. D’un côté, je sentais que si tout le monde commençait à s’agiter, j’allais sûrement l’imiter et tourner de l’œil, mais de l’autre, j’avais vraiment envie d’aller voir s’il était possible de se faire rembourser. Hum. Heureusement que personne ne pouvait lire dans mes pensées, sinon je passerais pour un sacré connard.
Mais je lui propose tout de même un peu de nourriture, ce qui doit plus me donner l’air d’un saint qu’autre chose. « J'veux bien merci. Mais euh... j'ai rien sur moi pour vous dédommager, ça vous dérange pas ? » Je secouais immédiatement la tête. « Bien sûr que non, ne vous en faites pas. Ce n’est qu’un biscuit, au final. » Je n’allais tout de même pas le faire payer pour qu’il évite de s’évanouir. Parce que vu la pâleur de son visage, ça n’allait pas vraiment tarder. Le jeune homme attrapa finalement la nourriture, qu’il avala rapidement, et il reprit un peu de couleurs peu après. Au moins, il ne semblait plus à deux doigts de s’évanouir comme il y a quelques secondes. « Vous pouvez en prendre un autre, si ça ne va pas mieux. » Ajoutais-je tout de même. Il ne me semblait pas être du genre à quémander ou à accepter facilement, mais je pouvais toujours lui dire qu’il avait le droit de se nourrir. Je ne roulais peut-être pas sur l’or, mais je pourrais facilement acheter d’autres gâteaux en sortant d’ici.
Je finis par me présenter, préférant passer le temps à discuter plutôt qu’à ne rien faire et attendre désespérément que le train reparte. Dans une grande ville telle que Londres, c’était peut-être étrange pour les gens de se parler entre eux dans le train, mais j’avais grandi dans de véritables trous paumés au fin fond de la Norvège, et là-bas tout le monde se connaissait. D’ailleurs, je ne pouvais pas nier que l’anonymat dont on pouvait jouir dans les métropoles était bien agréable. « Enchanté Locke alias SuperGâteau. Moi c'est Simon mais je préfère qu'on m'appelle Sims. Alors, pourquoi êtes vous dans ce maudit train ? » Je soufflais du nez à mon nouveau surnom, sans me départir de mon sourire, mais celui-ci devenait de plus en plus sincère au fur et à mesure des phrases prononcées par mon vis-à-vis. Celui-ci préférait un surnom, comme moi d’ailleurs. Bien que j’avais depuis des années perdu l’habitude de me présenter avec mon vrai nom, Lochlan, préférant de loin le diminutif de celui-ci. « Sims, donc, commençais-je. Je me rendais au British Museum, je ne suis arrivé que récemment dans la ville, et je n’ai pas vraiment eu le temps de m’y rendre depuis. » Répondis-je, en expliquant sans entrer dans les détails. Je devais avouer que je n’avais pas vraiment l’habitude d’aller dans les musées, alors que j’étais un passionné d’histoire. Le fait que celui-ci soit gratuit avait décuplé mon envie de m’y rendre, mais avec mes recherches d’emplois, mon emménagement et mon frère, le temps avait filé bien plus vite que je ne l’aurais imaginé. « Et vous ? » Demandais-je poliment, lui donnant l’occasion de m’expliquer à son tour ce qui faisait qu’il avait atterri là.
 
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