"Fermeture" de London Calling
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Margot Bernstein-Woolf
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() message posté Ven 18 Avr 2014 - 12:12 par Margot Bernstein-Woolf
Swana Douglas & Cerceï Monroe.
DANCE UNTIL WE DIE


Swana Douglas avait attendu la fin de la semaine pour pouvoir profiter d’une sortie en boîte de nuit. C’était devenu banal pour elle de se retrouver dans un club un vendredi ou un samedi soir (voir le jeudi si elle était capable d’assumer le fait de retourner en cours le lendemain avec une gueule de bois et des cernes jusqu’au cou, et faut pas croire qu’elle ne l’avait pas déjà fais. Ca lui arrivait plus souvent qu’on ne le croyait ! ). Ca brisait un peu son image de fille sérieuse et bosseuse. Elle claquait son fric dans des entrées à des soirées à thème, dans des cocktails qui coutaient presque aussi cher qu’une paire de talon chez Primark. Sincèrement, tout l’argent qu’elle avait dépensé à sortir depuis qu’elle était majeure aurait pu servir à nourrir tout un pays dans le besoin.
Mais son grand-père fermait les yeux. Il fermait toujours les yeux. C’était son héritage qu’elle dilapidait comme ça. Bien qu’elle devrait y aller sacrément fort pour pouvoir le dilapider aussi vite. Mais oui, le patriarche Douglas fermait les yeux sur les agissements de sa petite fille. Il lui payait ses années à l’université, et pour lui c’était sûrement trop. Parce que oui, il avait beau avoir élevé les jumelles Douglas, ça ne voulait pas pour autant dire qu’il les aimait comme la chair de sa chair et le sang de son sang. Elles étaient pitoyables à ses yeux. Et Swana avait pour cela du mal à comprendre pour Annathéa, sa sœur jumelle, avait repris un billet de retour pour l’Ecosse et vivait désormais à nouveau dans le grand manoir sordide qui leur avait toujours filées des frissons –en même temps Swana avait du mal à admettre que si sa sœur jumelle était partie, c’était à cause de l’importante dispute qu’il y avait eu entre elles.
Et puis sortir, c’était un moyen pour elle de se vider la tête. Que ça soit avec Moira ou Alessia, ses meilleures amies, ou des « collègues » de la fac –elle préférait les appeler ainsi plutôt qu’ « amis » puisque Swany restait dans cet esprit de compétition qui la forçait à prendre tout le monde pour un concurrent potentiel- elle devait sortir. Elle devait pour une fois penser à autre chose qu’à Annathéa –même si bon, certains endroits lui rappelaient obligatoirement certaines sorties qu’elles avaient faites- penser à autre chose qu’à son diplôme. Penser à autre chose. Ou penser à rien tout simplement, c’était bien plus facile.
C’était tout ce que réclamait Swana : quelques verres pour se sentir légère, de la bonne musique pour pouvoir se tortiller un peu. Et c’était ce qu’elle aurait ce soir.
Vêtue d’un jean en simili cuir, d’un débardeur blanc assez large et simple –qui rendait pourtant Swana classe-, et de talons qui faisait passer Swana d’un mètre soixante cinq à un bon mètre soixante-quinze, elle avait pris le chemin avec Alessia, sa meilleure amie, du ministry of sound. Il était bien évidement déjà passé une certaine heure. Pour qu’Alessia puisse l’accompagner, bien évidemment. Swana était toujours impressionnée par le fait que la jeune espagnole arrive à sortir après tant de représentations.

Bien qu’accompagnée de sa meilleure amie, Swana finit par se retrouver seule le temps d’un instant sur la piste. Où Alessia pouvait bien être ? Aucune idée. Parce que Swana avait déjà quelques verres dans le nez et qu’elle ne réalisait plus très bien –ou se fichait un peu, l’important c’était de se défouler- où était qui et qui faisait quoi.
Réalisant qu’elle était seule, Swana ferma les yeux un instant et fit de grands gestes. Danser à la Swana way ; soit faire n’importe quoi.
Et c’est à ce moment précis, qu’elle bouscula quelqu’un. Ou qu’on la bouscula, elle ne savait plus très bien. Un peu alcoolisée, sans comprendre qui était coupable de quoi, Swana se mit à hurler.
« Et dire pardon c'est contre nature ? »
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