| ( ✰) message posté Lun 21 Avr 2014 - 21:03 par Invité Keira Amadeus Delantina London calling to the faraway towns NOM(S) : Delantina. PRÉNOM(S) : Keira Amadeus. ÂGE : 23 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 28 Mars, à Rome. NATIONALITÉ : Italienne. STATUT CIVIL : En couple, mais c'est compliqué. MÉTIER : Peintre. TRAITS DE CARACTÈRE : Honnête - Indépendante - Folle - Rêveuse - Franche - Casse.cou - Fêtarde - Drôle - Lunatique - Jalouse - Possessive - Destructrice - Solitaire - Loyale - Fidèle.mais.pas.trop - Secrète - A beaucoup d'imagination GROUPE : Double-Decker
| My style, my life, my name Elle n'aime pas vraiment s'attacher : elle trouve ça futile, et cela ne fait que faire souffrir les gens. Dû à son grand plein d'imagination, elle aime inventer des choses et des histoires. Parfois, les gens se demandent qu'est-ce qu'elle est : elle est étrange, et tellement fofolle qu'on a du mal à y croire. Casse-cou, elle adore faire n'importe quoi du moment qu'elle a sa dose d'adrénaline. Elle aime bien sortir le soir avec ses amis, ou son petit ami : elle n'est pas vraiment fidèle, mais pas infidèle non plus ; elle se comprend. Elle est capable de tuer pour protéger ses anges, comme elle dit : ceux qui compte le plus pour elle. Elle a toujours aimé peindre : quand elle va mal elle peint, quand elle est heureuse elle peint, quand elle est bizarre elle peint. Elle peint tout le temps. Elle aime bien danser dans la rue, faire n'importe quoi du moment qu'elle peut extérioriser ce qu'elle est. Une nature explosive : toujours à bouger, à dire des choses, à pousser des gueulantes quand il faut. Elle ne se laisse jamais marcher sur les pieds. Elle aime bien faire des grimaces, tirer la langue pour rien, faire des mimiques bizarres. Oui, elle est... Destructrice : une douce destruction voilà tout. |
My style, my life, my name PSEUDO : Fleur de Jaune. PRENOM : Kelly. ÂGE : 17 ans. PERSONNAGE : Scénario. AVATAR : Cara Delevingne. CREDITS : Tumblr. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Facebook. |
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| ( ✰) message posté Lun 21 Avr 2014 - 21:03 par Invité At the beginning A la vie, à la mort. La famille, je la vois comme ça. Même si je suis un peu en marge de tout ça : la folle de service, celle qui fait n’importe quoi et pourtant, qui est très censée dans sa tête. Oui, je suis un paradoxe à moi-même. « Ma lune et mon soleil » : papa me le répétait souvent. Depuis toute petite je fais tourner les têtes, et les cœurs s’arrachent à ma vue. Je suis d’une passion destructrice, une tornade qui arrache tout sur son chemin. Pourtant, je ne veux pas vraiment de mal, mais ils tombent tous amoureux de mes yeux, et de mes cheveux ; des mots qui sortent de mes lèvres, et de mon âme. Mais je tiens à la liberté, plus qu’à n’importe qui, plus qu’à n’importe quoi : j’aime sortir, boire, danser avec eux, fermer les yeux et oublier. Je n’ai juste pas oublié l’homme. Alors, revenons quelques peu en arrière : mon enfance d’abord. Fragile, furtive, abandonnée : j’étais entourée de mes deux frères et mes deux sœurs, tous plus grands que moi, avec une légère tendance à vouloir me protéger. Et pourtant, j’étais et je suis toujours volage, indépendante, sans avoir besoin de rien, ni de personne. Alors, j’étais en perpétuel conflit avec eux. Avec mes parents, et ma famille en général. Mais ils craquaient souvent, tête de mule comme j’étais : il n’avait aucune chance, jamais je ne craquais. Mais ma vie, elle a basculé quand j’ai eu 17 ans, et quand je suis passée de l’école privé à l’école publique. Parce que oui, je viens d’une famille aisée, d’un quartier de bourge, d’écoles privées. Mais je n’avais plus envie de ça : de ces gosses de riches, qui ne pensent qu’à baiser ou à l’argent. Leurs cerveaux ne m’intéressaient pas. J’ai donc demandé à mes parents si pour la dernière année, je pouvais aller dans un lycée public. Et quand ils ont acceptés, j’ai entamé ma première et dernière année d’enfer. Un couloir bondé, plein à craquer, je suffoquais et pourtant, quand j’ai croisé son regard, plus rien n’existait. Et p*tain, ça m’a fait bizarre de dépendre de quelqu’un. Je suis dans cette boite-là, à repenser à toutes ces années depuis lui, depuis cette passion destructrice. Et je danse, encore et encore. Oui, un regard, juste un, juste ces yeux, ce sourire, et mon monde à commencer à tourner autour de lui. Et alors, j’ai eu peur, mais c’était tellement beau, tellement, bon, tellement… Tellement nous. Une présentation, quelques rencarts plus tard et ça y est, il était à moi, et j’étais à lui. C’était … Comme un monde imaginaire qui n’appartenait qu’à nous. Mais un monde d’enfer où Satan nous attendait au quart de tour. Oui. Pendant 6 mois. Pendant 6 mois on s’est détruit, mais je l’aimais tellement. On était tellement fusionnels, et tellement éloignés à la fois. J’aurais donné n’importe quoi pour qu’on survive à ça. Mais ces soirées, à boire, à se coller à d’autre : parce que ma liberté vaut plus que n’importe quoi. Cette possession, le fait de le voir avec d’autres, l’insupportable fait de le voir si loin de moi. Et putain que je l’aimais cet homme, j’aurais fait n’importe quoi pour lui. Mais les soirs avec lui, de débauche mais d’amour ont eus raison de nous. Et ce « c’est fini » m’a détruit. A terre, j’étais à Terre. Tout était fini. Mon monde avait explosé, et mon cœur avec. Mon âme était à lui, tout était à lui : mes lèvres, mes seins, mes jambes, ma passion, mes tableaux… Tout lui était dévoué. C’était ma passion, mon miroir destructeur. Il était à moi. Et du jour au lendemain, j’ai fini seule, abattu au milieu de ce monde d’hypocrites. Et je ne sais pas vraiment si je m’en suis remise. Mais là, je danse, au milieu des gens, et je chante, et je me colle aux gens sans même penser à l’Homme qui partage désormais ma vie. Mais l’Homme que je ne pense plus aimer. Parce que oui, alors que je croyais l'avoir quitter, et être partit assez loin, à Londres, avec mon compagnon actuel, pour le fuir, et fuir les souvenirs. Mais alors que je pensais être heureuse et épanouie avec lui, il a suffit d'un endroit, du sport, un regard, et tout était repartit. Cette débauche, cette destruction amer était repartit dès lors que mon regard à croiser le sien : et il m’obsède. Mes pensées, ma vie, mes faits, mes gestes. Tout me ramène à lui désormais. Mais je sais que rien n’a changé, et que rien ne changera plus. Alors avec mélancolie, j’avale ce énième verre, et je pense au futur que nous aurions pu avoir. Si seulement… |
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Alycia Hemsworth growing strong » Date d'inscription : 15/02/2014
» Pseudo : margaux ; stardust
» Schizophrénie : jamie & gabrielle
| ( ✰) message posté Lun 21 Avr 2014 - 21:13 par Alycia Hemsworth Si tu as besoin d'aide pour trouver un avatar, n'hésite pas Bienvenue chez nous :yayay: Bon courage pour ta fiche |
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| ( ✰) message posté Lun 21 Avr 2014 - 21:14 par Invité |
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| ( ✰) message posté Lun 21 Avr 2014 - 21:15 par Invité Bienvenue |
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| ( ✰) message posté Lun 21 Avr 2014 - 21:56 par Invité han, le scénario de jasper c'est trop cool de l'avoir choisi ! bienvenue et bon courage avec ta fiche ! |
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| ( ✰) message posté Lun 21 Avr 2014 - 22:29 par Invité Bienvenue |
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Margot Bernstein-Woolf MEMBRE » Date d'inscription : 15/02/2014
» Pseudo : violent delights. (morgane)
» Avatar : alicia vikander
| ( ✰) message posté Lun 21 Avr 2014 - 22:39 par Margot Bernstein-Woolf Le scénario de Jasper good choice bienvenue sur LC & bonne chance pour ta fiche |
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| ( ✰) message posté Lun 21 Avr 2014 - 22:41 par Invité Merci vous tous. Vous êtes des amours. (Mais je n'aime que mon Jasper) |
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| ( ✰) message posté Lun 21 Avr 2014 - 22:48 par Invité Bienvenue |
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| ( ✰) message posté par Contenu sponsorisé |
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