"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Past is the past…  /w Rory  2979874845 Past is the past…  /w Rory  1973890357
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Past is the past… /w Rory

 :: It's over :: Corbeille :: Anciens RP
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() message posté Lun 15 Sep 2014 - 0:31 par Invité

Past is the past… FEAT. RORY
« But when you’re make a sextape. It’s too late, you are famous! »
La rentrée, moment le plus cruel de toute l’année. Bien que le bal de promo était quand même la plus stupide des inventions. La rentrée était reine dans ce domaine. On pense que les élèves ont du souci à se faire : Professeurs tyrannique, camarades flemmard ou qui pue la sueur. Oui on peut avoir de tout dans une classe voir même dans une université. Mais cela dit on blâme les jeunes. Mais pensez-vous assez aux professeurs ? Imaginez moi par exemple… Je suis professeur depuis seulement trois ans à l’université et pourtant j’en bave autant que quand j’étais élève ici. Vous me direz ‘ Mais pourquoi enseignez dans la même fac que ta fréquenté jeunes ?’ Eh bah je vous répondrais ‘ Je vous emmerde ! Pas le temps !’ Eh oui… Cela dit la journée fut tranquille, j’étais habillé des plus professionnellement parlant : Un jean taillé droit bien sur cela faisait plus professionnel que mes sarouel que je peux mettre quand je pars en vadrouille en forêt, une chemise en flanelle de ton clair et d’un veston noir, j’avais cette mèche gris cendré venait d’apparaitre depuis quelque temps je la voyais venir… Ça me donne un côté mature sans doute. Bien qu’elle fut tranquille ce fut une première depuis la rentrée, entre l’arrivé de Kaspar dans ma vie qui veut être mon assistant, d’ailleurs le voir à mes cours me perturbe… Je n’ai pas totalement confiance en lui, j’ai du mal à donner ma confiance. Cela dit dans la salle j’ai vu une tête familière. Rory, Rory Hepburn. Une jeune étudiante en histoire que j’ai eue comme élève au lycée il y a deux ans qui était très donné en histoire. Un bonheur pour les yeux… De lire une copie parfaite enfin malgré quelques erreurs lors de son test de fin d’étude mais que voulez-vous… Mais cela me rappelle une histoire.
Deux jours avant la rentrée, je consultais mes mails comme tous les soirs après avoir eu Eira au téléphone. Je remarque alors un Mails d’un inconnu qui avait utilisé l’adresse mail de l’université. Le titre : «  Nouvelle folie de Nicki Minaj. » Assez rigolé Ewan… Il était temps de l’ouvrir, intrigué par ce mail. Je me demandais bien ce que c’était. Je vois un lien, je clique dessus tout honnêtement du monde. Quand je vis un site de vidéo autre que YouTube ou bien Youpom. C’est là que je vis le corps d’une fille nue en train de se faire d’effleurer par un mec… Hum mal membré ? Cela dit c’est quand sa tête se mit à chavirer que j’ai automatiquement refermé mon pc manquant de péter l’écran. Je connaissais cette jeune fille et malgré le concept je pourrais être renvoyé… Mes yeux viennent de… Sans leurs consentements violer Rory Hepburn. Il m’a fallu trois litres de bières et au moins la moitié d’un bon scotch de 20 ans d’âge pour oublier cette vision. Malgré qu’elle était sacrement… Désirable sur cette vidéo… Non Ewan pensée impur envers une élève c’est le MAL !
Cela dit la jeune fille était présenté à mon cours, je me suis sentis mal pendant tout l’heure de cours… je n’arrivais même pas à la regarder dans les yeux. Je dois bien vous avouez que après avoir liquidé mon bar… je l’ai regardé en entière… je n’ai plus aucun jugement personnel après autant de verre… Mais cela dit je me rappelle de tous et même mon cœur qui grince comme une horloge rouillé me faisait incroyablement mal. « Bon aujourd’hui nous allons étudier les vestiges de l’ère Edo au Japon. » Oui j’aimais aller loin dans les années et surtout dans l’autre continent. Les deux heures passèrent aussi vite que possible et j’en bénissais la déesse qui veille sur moi… oui pour moi dieu est une femme… Ce ne serait pas drôle sinon ! Les élèves quittèrent l’amphithéâtre. Il ne restait que Rory qui semblait perdu, normal pour une deuxième année surtout de ce que j’ai compris elle venait de prendre option Archéologie… Comme quoi je suis un trop bon professeur. Je me suis approché d’elle après avoir rangé mes affaires : « Mademoiselle Hepburn ? Vous semblez pensive… Vous allez bien ? » Je me suis approcher a quelques rang d’elle, m’appuyant sur le dossier d’un des sièges en regardant Rory. « Cela dit ça me fait plaisir de vous voir à mes cours… J’ai l’impression que faire de la publicité à tous les élèves voulant se lancer dans l’histoire à marcher » j’ai dit cela d’un air plaisantin voulant détendre un peu l’atmosphère, faut dire que j’ai l’impression d’étouffer surtout avec ses flashback qui me reviennent en tête…
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Margot Bernstein-Woolf
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() message posté Lun 15 Sep 2014 - 1:22 par Margot Bernstein-Woolf


past is the past but when you make a sextape,
it's too late you're famous!
ewan mackinnon & rory hepburn
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Septembre rimait avec rentrée. Enfin, littéralement, non, ce mois de l'année ne rimait pas avec rentrée, mais c'était quelque chose que les professeurs, les enfants et les parents s'amusaient à dire. Moi, étudiante en seconde année d'histoire à l'université, ça ne m'amusait absolument pas d'entendre ce genre de dicton débile. La rentrée, c'était nulle, qu'on se le dise. C'était reprendre le rythme, se lever à nouveau à des heures descentes, et dire bye bye aux supers soirées de l'été dont on ne garde aucun souvenir. Septembre rime aussi pour moi, au premier anniversaire de la mort de mon petit frère. Celui grâce à qui je fais des études : parce qu'il ne pourra jamais les faire. Sinon, j'aurais rallongé les deux années sabbatiques que j'avais déjà pris après le lycée. Étonnant que je n'aime pas septembre lorsqu'on sait que ça me rappelle la mort d'un être aimé que je suis toujours persuadée d'avoir tué parce que c'était moi qui conduisait cette foutue voiture, hun ?
J'avais été une élève lambda l'année précédente : résultats corrects, attitude correcte. Les gens se retournaient sur moi uniquement parce qu'ils m'avaient vu affichée sur un panneau de cinq mètre sur dix en plein centre ville, en sous-vêtements. Poser pour de la lingerie, ma seule façon de gagner de l'argent pour mes études et ma vie à Londres. Je n'en avais pas honte. Je ne me sentais pas violée, je portais techniquement quelque chose qui couvraient mes parties intimes. Et puis merde, j'étais assez jolie pour pouvoir faire ces campagnes de pubs, je devais plutôt prendre ça pour un compliment. Mais les étudiants qui me reconnaissaient ne s'attardaient pas là dessus, et ils n'étaient pas très nombreux à faire le lien entre ce panneau publicitaire et moi, qui traînait généralement dans des jeans boyfriends et des vans ou des converses. Il y avait un fossé entre cette fille sur le panneau et la vraie Rory.
Sauf que cette rentrée là, en septembre deux mille quatorze, les gens se retournaient sur moi. Et je peux aller plus loin en racontant comment ils me regardaient. Les filles me regardaient avec dégoûts, comme si j'avais fais quelque chose d'horrible, de dégradant pour l'image de la femme. Et les hommes, ah les hommes : entre les sourires en coin et les regards qui me déshabillent de façon métaphorique, j'étais servie. Et tout ça, à cause d'une fichue sextape qui avait fini par se retrouver accidentellement sur internet à cause d'un pirate. Elle serait passée inapperçue cette sextape si la personne qui l'avait faite avec moi n'était pas un fils de. Ouais. Associez le nom « Rory Hepburn » à celui de « Hyland » et vous serez au courant de tout le scandale.
Et ça expliquait mon immense appréhension à retourner à la fac ce semestre. A cause de tout ça. De tous les regards. Mais je n'allais pas m'arrêter pour ça. J'étais plus forte que ça. J'étais une Hepburn. J'étais capable de passer par dessus tout ça. ET QUI SAIT : peut-être que j'allais devenir la nouvelle Kim Kardashian ? A la différence prêt que moi, je me tapais un sacré accent écossais, et que je n'avais absolument pas le même derrière qu'elle.
Alors j'essayais de poursuivre le cours normal de ma vie, laissant cette histoire de sextape de côté, même si chaque personne qui me regardait m'y faisait penser. C'était viral. D'ici quelques semaines, tout le monde aurait oublié. Du moins, j'espérais. Pitié, oui
J'avais été dans mon amphi d'archéologie -oui, c'était intéressant, surtout que c'était avec un prof que je connaissais du lycée- comme d'habitude, comme si de rien n'était. Et à la fin du cours, j'avais pris mon temps, histoire de sortir parmi les derniers et ne pas me faire matter. Certaines personnes avaient déjà assez vu de mon corps. Merci, aurevoir.
Et Mackinnon, mon prof, avait fini par venir vers moi. Comme si j'étais perdue. Pour faire le prof attentif à ses élèves.
« Mademoiselle Hepburn ? Vous semblez pensive… Vous allez bien ? » C'est rassurant qu'il s'inquiète du bien être de ses élèves. Moins quand on sait pourquoi je peux être dans un état second. Pitié, faites qu'il vive dans un igloo sans accès à internet et qu'il soit, pas conséquent, dans l'impossibilité d'avoir accès à cette foutue sextape.
 « Très bien, enfin je crois, merci. Je suis juste... On va dire que c'est la reprise, et... » MERDE. « Enfin, histoire personnelle. » En faisant plutôt référence à Soren, mon petit frère, qu'à la sextape.
« Cela dit ça me fait plaisir de vous voir à mes cours… J’ai l’impression que faire de la publicité à tous les élèves voulant se lancer dans l’histoire a marché » Je lâche alors un sacré soupir de soulagement. Il ne semble pas au courant de cette histoire de sextape. Surtout que ce prof est un dieu : que ça soit sur le plan physique ou sur le plan professionnel. Je m'attarderai plus sur le second plan, parce que c'est un prof génial, mais il ne faut pas négliger le premier. Je n'ai pas envie de perdre toute l'estime qu'il a pour moi pour une fichue sextape. Mon soupir est tellement perceptible qu'il doit se demander ce qui cloche chez moi. Rien rien, je suis juste heureuse qu'on ne me parle pas de ma sextape
 « C'est que vos cours sont vraiments intéressants vous savez ? Des fois je me dis que j'aurais du étudier l'archéologie tout cours. Et devenir une sorte d'Indiana Jones... » Ou Lara Croft.  « Et puis vous faites vivre ce cours, c'est plaisant, réellement. Ca fait presque du bien de retourner en cours pour voir tout ça ! »
Grand sourire. Merde. Comme cette impression que j'en fais trop.
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() message posté Mar 16 Sep 2014 - 18:21 par Invité

Past is the past… FEAT. RORY
« But when you’re make a sextape. It’s too late, you are famous! »
Je dois dire que malgré cette mauvaise plaisanterie de diffuser cela sur une étudiante et surtout que les professeurs peuvent voir ça, comment voulez-vous être sérieux à présent hein ? Je la vis seule alors qu’elle tenta de prendre son temps pour prendre les notes du cours je me suis approché d’elle. Bon professeur pédagogue que je suis, je me dois de me préoccuper de mes élèves surtout que j’avais peur pour elle, malgré qu’elle soit courageuse de revenir en cours malgré la péripétie, je me souviens de l’histoire la concernant il y a de ça quelques années. Je suis peut-être le plus doué pour parler de l’ancienne civilisation sans réseau social. Cela dit Soren Hepburn a eu droit à son article sur sa tragique disparition. Malgré les rumeurs que je n’ose croire, je peux comprendre que ce mois de Septembre ne soit pas le bon mois pour Rory. Je n’osais pas en parler ce qui était normal, pour moi c’était juste de m’occuper de Rory qui me semblait le plus important. Alors que je lui avais demandé comment elle allait, elle semblait pensive.
« Très bien, enfin je crois, merci. Je suis juste... On va dire que c'est la reprise, et... Enfin, histoire personnelle. » Je me suis mis à lui faire une petite moue un sourire en coin, je pouvais comprendre cela. Mais je n’osais pas en parler, ce n’étais pas de mon ressort et ce serait surtout déplacé après tout autant ne pas remuer le couteau dans la plaie non ? Je lui avouai alors que cela était un plaisir de la voir à mes cours, je dois dire que même si elle fait la tronche depuis le début du cours elle illumine tout de même un amphithéâtre, son coté élève modèle était surement pour grand-chose. Cela dit je ne m’attendais à un tel moment… Limite sur joué :
« C'est que vos cours sont vraiment intéressants vous savez ? Des fois je me dis que j'aurais dû étudier l'archéologie tout cours. Et devenir une sorte d'Indiana Jones... Et puis vous faites vivre ce cours, c'est plaisant, réellement. Ca fait presque du bien de retourner en cours pour voir tout ça ! »
Vraiment intéressant... Vous faites vivre ce cours, c'est plaisant, réellement… du bien de retourner en cours… Mange les compliments en pleine face Ewan, le rouge me monte au joue c’était agréable de se sentir apprécier comme professeur, faut bien avouer qu’un professeur redoute toujours de sa réputation auprès de sa classe, est ce que je fais du bon boulot ? Est-ce que je leurs apporte tout de même quelque chose ?  Oui cela dit était bien des choses que je me demandais souvent cela dit je pense que je n’ai pas à m’en faire : « Je te vois bien plus en Lara croft… Quoi Sydney Fox aurait pu être drôle aussi… Cela dit je te remercie pour autant de compliment, je dois dire que je ne m’y attendais pas… » Disais-je en riant légèrement, cela dit je n’étais pas là pour recevoir des fleurs. Je me redressai m’asseyant sur le dossier derrière moi en voyant alors Kaspar qui était à la porte, je me demandais bien ce qu’il voulait… Cela dit je le vis partir, ce garçon était bizarre. Malgré qu’il commence à devenir à sacré assistant de malade, il devait plus se concentrer sur ses cours. Cela dit je ne pouvais pas m’empêcher de lui dire : « Bon dit moi Rory, Que dirais tu si je t’offrais un chocolat chaud pour te remonter le moral… Enfin si ça te dérange pas de partager un moment avec ton professeur… Mais je sens que tu en as besoin. » Je suis trop charitable, mais cela dit je sentais bien qu’elle en avait besoin, bon après si elle refuse s’est son choix. J’ai une tonne de copies à noter les déboires d’un professeur mais bon je savais que j’avais une bouteille de scotch qui m’attendrait.

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Margot Bernstein-Woolf
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() message posté Lun 22 Sep 2014 - 19:05 par Margot Bernstein-Woolf
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Ce n'était clairement pas donné à tout le monde de pouvoir endurer une telle situation. Il était fort facile de craquer sous le poids du jugement des personnes qui nous entouraient. Ces personnes avaient en main une sorte d'armes métaphoriques : leur regard. Leur regard plein de jugement, mauvais jugement bien évidemment cela coulait de source. Qui étaient-ils tous pour juger de ce que j'avais fais ? Et puis merde. Il n'y avait pas une loi qui interdisait formellement de se filmer en plein ébat avec son partenaire. On avait peut-être produit ce qui pouvait ressembler à de la pornographie, mais ce n'était absolument pas prévu que ce film se retrouve sur internet. La faute au pirate, et au type avec qui j'avais couché qui avait un papa suffisamment influent pour que ça puisse créer le buzz. Et puis on me jugeait sur quoi ? Le fait d'avoir couché avec quelqu'un : c'était quelque chose de naturel après tout, que tout le monde -enfin presque- pratiquait. Alors ils étaient quoi ? Jaloux de ne pas être à la place de Caleb Hyland sur cette vidéo -en parlant de la gente masculine bien sûr- ? Les filles qui trouvaient ça affligeant devait sûrement être pire que moi de ce côté.
Et puis cette vidéo c'était quoi après tout ? Un fantasme réveillé et réalisé grâce à l'alcool, rien de plus rien de moins. Ca aurait du rester privé. Ce n'était pas le genre de chose qu'on exposait. Au final je devais l'assumer. Oui, j'avais une vie sexuelle. Oui, j'avais voulu filmer mes ébats. Merde. Je n'étais pas une actrice porno -et ça pouvait clairement se remarquer sur la vidéo- malgré le fait que j'étais mannequin pour sous-vêtement.
Même si j'étais déboussolée et fragilisée suite à la perte de mon petit-frère l'année dernière, je n'étais pas du genre à me laisser détruire par ce genre de chose. D'ici quelques semaines, tout le monde aurait oublier de cet incident jusqu'à mon nom.
Je me sentais parfaitement capable de passer par dessus cette histoire : parce que oui, c'était éphémère ou du moins ça avait intérêt à l'être. J'étais quelqu'un de forte d'une certaine façon, je pourrais -et je devais- passer par dessus toutes ces histoires. Ce n'était qu'un effet de mode. J'étais le bouc émissaire. On s'en fichait de Caleb : parce que c'était un mec, et que pour un mec c'était normal. Question de sexisme.
Sextape ou pas, j'espérais que mon prof d'archéologie que j'adulais n'en était pas au courant. Je passerai de la case d'élève attentive et sérieuse -chose que je n'étais pas au lycée- à petite pupute enfin révélée au grand jour. Damn. Pourquoi les gens se mêlaient-ils de ma sexualité ?
Le rouge lui monte aux joues à cause des compliments que je lui fais. C'est un bon prof, il devrait y être habitué après tout. Ou alors... Ou alors, ça le fait rougir parce qu'il se croit dragué par la fille de la sextape. Great.
« Je te vois bien plus en Lara croft… Quoi Sydney Fox aurait pu être drôle aussi… Cela dit je te remercie pour autant de compliment, je dois dire que je ne m’y attendais pas… » Je souris. Ouais, il est pas habitué aux compliments, pourtant il les mérite largement. C'est un bon prof. Et mignon en plus.
 « Lara Croft ? J'ai pas les attributs pour ! » Je regarde ma poitrine. Non, je ne suis pas aussi sexy que Lara Croft, enfin Angelina Jolie. Enfin, je peux l'être, mais d'une façon différente on va dire. Mais... Qu'est-ce qu'il me prend de faire des remarques comme ça à un prof ? Il va faire quoi ? Émettre un jugement sur mes seins à cause de ma remarque. Great Rory  « Vous méritez des compliments. Vous êtes un bon prof avec de bonnes façons d'enseigner. Même si certaines personnes viennent en amphi juste pour être au chaud... » Remarque qui sentait le vécu.
« Bon dit moi Rory, Que dirais tu si je t’offrais un chocolat chaud pour te remonter le moral… Enfin si ça te dérange pas de partager un moment avec ton professeur… Mais je sens que tu en as besoin. » Je souris, puis je me pose intérieurement une question : quelle est la limite à ne pas dépasser avec un prof ? Il y a bien des lois ou des règles à l'université qui interdisent de sortir avec un professeur. Mais, ce n'était pas un rendez-vous : c'était boire un verre -enfin non même pas, une boisson chaude- avec son professeur et discuter. La limite serait-elle dépasser ? Est-ce que je me faisais des films à me poser ce genre de questions déjà... J'avais tendance à prendre une chose pour une autre trop souvent.
 « Je suis plus thé que chocolat chaud » Le chocolat chaud c'est pour les enfants et en réalité je préfère la bière, mais passons.  « Mais ça serait avec plaisir » Parce que j'en ai plein la patate, mais je ne vais pas balancer à mon prof d'archéologie que je suis dans un sale état à cause d'une sextape ET de l'anniversaire de la mort de mon petit-frère. La dernière partie, je peux l'évoquer, la première : sûrement pas.  « Il y a un petit café à la sortie de l'université, ou alors il y a toujours la cafétéria de la fac » Lui proposais-je, histoire qu'on ne se méprenne pas sur la nature du rendez-vous.  « On y va? » Grand sourire, tout en continuant de ranger mes affaires.
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() message posté Lun 29 Sep 2014 - 23:58 par Invité
The Past is the Past
  feat. Rory & Ewan
Le véritable amour n'a pas de limite, d'âge, de mort. John Galsworthy
Pour un professeur, le simple faite d’imaginer une de ses élèves dans des tenues n’était pas le truc à faire. Non il y a ce qu’on appelle la déontologie… Cela dit quand vous apercevez votre élève préférée en plus placarder sur un panneau publicitaire en portant un petit ensemble affriolant… Bah ce n’était pas très orthodoxe et puis zut, j’ai peut-être une prothèse cardiaque je n’en suis point autre qu’un homme avec une libido… Roh mais qu’est-ce que je raconte en plus me voilà à lui parler de fantasme à la voir en Lara croft. Je suis bien bon à me jeter tout de suite à la déchetterie… Au secours monsieur l’horloger j’ai un problème de cœur, il serait bon de me remonter… je fais un bruit de locomotive à vapeur ce n’est généralement bon signe. Soudain j’ai pu respirer malgré mon délire mental. Mon dieu heureusement qu’elle ne voit pas ça… J’aurais cassé toute la magnifique image qu’elle se fait de moi : « Lara Croft ? Je n’ai pas les attributs pour ! » Je la vis alors qui regarda sa poitrine, j’en penchai la tête en ailleurs essayant de voir cela sous un autre angle, après tout autant voir cela sous d’autre angle ça permet d’affiner son jugement R.I.P ROBIN. Ô mon capitaine, vous voyez aussi bien que moi que même si cette jeune fille n’a pas les attributs elle reste tout de même une jeune fille qui a de très jolie forme… Sinon elle ne serait pas mannequin et surtout d’une catégorie aussi ciblé que la lingerie et puis flute ! Elle est canon cette petite ! Je la regardais un instant pour reprendre une position normal levant un sourcil terminant ce petit jeu par un : « Ce n’est pas les attributs qui fait ce que vous êtes… » EH BIM ! Voilà comment changer de sujet ! Au moins ça avait la forme d’une douche froide pour moi le genre de truc qui réveillera les morts et rabaisserait ceux qui sont un peu trop vivant. Après tout même si Lara Croft est un personnage de fiction. Elle incarne tout de même le courage et le désir d’aventure d’une jeune Archéologue qui était bien conne quand elle était jeune… Oui j’ai joué au Tomb Rider sur PS3… Je suis un peu Gamer quand même ce ne serait pas drôle de ne pas en profiter. Alors qu’elle me fit des compliments dont je faisais la remarque que je n’entendais pas souvent. Oui les élèves ont le bon chic pour aller et venir à ses cours. : « Vous méritez des compliments. Vous êtes un bon prof avec de bonnes façons d'enseigner. Même si certaines personnes viennent en amphi juste pour être au chaud... » Cela dit bien que j’ai remarqué qu’elle parlait en connaissance de cause, je ne pouvais pas m’empêcher de rougir, elle savait piquer là où ça fait énormément plaisir d’être professeur. Je me suis mis à sortir un petit sourire en coin en me mordant la lèvre d’un tic gêné que je pouvais bien trop souvent avoir. Je détesté ce tic… Il me trahissait et j’ai horreur de ça.
« Je suis plus thé que chocolat chaud » Hum intéressant… Une véritable Anglaise, je n’étais pas tellement porté sur le thé, ni sur le café c’était un peu prohibé pour mon cœur. Cela dit je ne disais pas non à un chocolat tant qu’il n’était pas noir c’était le principale. Cela dit  une bière pourrait me détendre, mais cela dit cette histoire d’aller boire avec ses élèves, je ne savais pas si cela était surtout très faisable de tenter une élève cela dit on verra cela au moment dit : « Mais ça serait avec plaisir » Je ne pouvais pas m’empêcher de sourire, après tout c’est bien une première fois que je pars boire un verre avec une étudiante !  « Il y a un petit café à la sortie de l'université, ou alors il y a toujours la cafétéria de la fac » même pas besoin de réfléchir je n’étais pas très pour de vouloir boire un verre sur mon lieu de travail autant profiter de sortir un peu de cette univers qui sent les livres poussiéreux. « Vas pour le petit café… Je n’aime pas trop rester ici… Ca déprime à force. » Lui répondait-je avec un sourire, cela dit j’allais verre mon bureau pour prendre mon attaché-case.  « On y va? » Je me rapprochai d’elle en ajoutant : « Volontiers, les dames d’abord. » rajoutai-je alors que je m’approchais de la porte. En l’ouvrant. Je suis partit de la salle avec la jeune femme, nous marchions dans les couloirs alors que je remarque les regards porter sur elle… Je regardais alors la jeune femme. Arquant un sourcil ajoutant : « De vraies commères ses élèves… » Disais-je entendant des murmures concernant la sextape de Rory… Les jeunes étaient vraiment impitoyables entre eux. Nous sortions de l’université, traversant alors une rue pour atterrir à un petit bistrot… Il semblait que ce fut l’heure de l’ happy hour… Pourquoi ne pas en profiter. « Dit moi… Que dirais tu si on changeait le café pour une bière ? Ca nous fera le plus grand bien. »


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() message posté Mer 8 Oct 2014 - 16:33 par Margot Bernstein-Woolf
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Pouvait-on réellement parler de limite à ne pas franchir avec un professeur ? La limite n'était-elle déjà tout simplement pas fixée justement parce que c'était un professeur ? Il y avait trop d'histoire étudiantes/professeurs -ou même étudiants/professeurs- et trop d'embrouilles à ce propos pour que je puisse envisager de dépasser cette possible limite. D'ailleurs pourquoi j'y pensais ?
MacKinnon était un bon professeur, en plus d'être incroyablement mignon et sexy. On devait avoir cinq ou six ans d'écart tout au plus. J'étais incroyablement seule, incroyablement sensibilisée par toutes ces histoires de sextape, incroyablement célibataire depuis trop longtemps aussi. Et il était là, à mon écoute, prêt à savoir ce qu'il n'allait pas. Il s'inquiétait pour moi. Et rares étaient les personnes qui s'inquiétaient de mon état, de comment j'allais et de comment je passais à travers ces dures périodes. Oui, tout le monde s'en fichait royalement, ou du moins c'était l'impression que j'avais, que j'en tirais. Peut-être qu'au final, je m'enfermais toute seule dans une bulle où me morfondre. J'avais cette impression qu'il voulait y rentrer, dans cette bulle, pas la percer comme la plupart des gens. J'avais besoin de rester un peu dans ma bulle, loin de tout. Ce n'était pas pour autant que je ne voulais pas que les gens y rentrent.
On en était arrivée de je-ne-sais-quelle façon à parler de mes attributs. Ca en faisait peut-être un peu trop pour une fille qui se poser la question de limite à franchir ou pas avec un prof. « Ce n’est pas les attributs qui fait ce que vous êtes… » me répondit-il. Phrase de loveur. En plus d'être mignon et intelligent, il n'était pas le dernier des beaufs qui aurait pu me comparer à une planche à pain ou autre. Merde. Il y avait vraiment des questions à se poser sur cette fichue limite imaginaire. Je rougis un peu à sa remarque, en même temps, qui n'aurait pas rougi ? Ca impliquait que j'avais une personnalité, que ce n'était pas mon physique qui définissait ce que je faisais ou non. Même si je vivais de mon physique et que celui ci avait fait le buzz. Je lui souris pour seule et uniquement réponse. De toute façon, je vais lui répondre quoi  « merci, ça me touche, en sachant que pour l'instant mon physique définit sur la toile que je suis une salope sans morale qui fait des sextapes pour les afficher et faire le buzz! » NON.
« Vas pour le petit café… Je n’aime pas trop rester ici… Ca déprime à force. » Ok. Je ne sais pas si je dois considérer ça comme de la drague ou autre chose. La plupart des professeurs qui s'autorisent un café avec leurs élèves restent sur le campus, dans un endroit visible tel que la cafétéria : histoire que personne ne s'imagine quelque chose d'ambigu. Les adolescents, ou plutôt les jeunes adultes étaient plutôt doués pour ce genre de chose, faire circuler des rumeurs etc. Mettant le professeur et l'élève concerné dans l'embarras le plus profond. Et là, là... Là il dépassait la limite du campus. Par conséquant, voulait-il dépasser la limite fictive de la relation élève/professeur ? Merde Rory, arrête de te poser des questions comme ça.
Gentil, pas beauf, et galant en plus : celui ci me laissa passer devant lui. Oui, je pouvais trouver ça horriblement galant, mais derrière ce geste plus que galant, ne se trouvait pas une technique pour regarder le derrière des filles ? Et puis oui, il était sérieux, mais il était évidemment plus mature que tous les garçons avec qui j'avais pu sortir avant : ils avaient mon âge. Et même si quand on a seize ans, on trouve ça normal que les garçons soient tout a fait immature, à vingt deux ans, ça devient quand même chiant. Mais ils ont tous la même excuse : ils veulent s'amuser.
On quitte alors l'amphithéâtre. Devant celui ci se trouve une armée d'étudiants, bien évidemment tous au courant de l'histoire de la sextape, sinon ils ne me dévisageraient pas comme ça. J'entendais leurs murmures, j'entendais le mot « sextape ». Humiliant, voilà tout ce que c'était, humiliant. Et pourtant je me forçais à garder la tête haute. « De vraies commères ses élèves… » me dit-il en arquant un sourcil. Alors ça voulait dire qu'il ne croyait pas à ces rumeurs -bien que fondées- ? Merde, c'était tellement bon s'il ne l'avait pas vu alors que tout Londres s'était sûrement retrouver par un moyen ou un autre avec cette page sur son ordinateur. Je soupirais de soulagement. Mon prof parfait ne me croyait pas capable de faire ça.
Enfin, c'était peut-être un mauvais point, puisque c'était réellement arrivé.
On sortait de l'université pour se retrouver dans un petit bistrot. Même si on avait quitté le campus de l'université, la majorité de la clientelle était des étudiants. Great. La fille de la sextape était avec son prof, ça tapait un peu l'affiche. « Dit moi… Que dirais tu si on changeait le café pour une bière ? Ca nous fera le plus grand bien. » BIERE. BIERE. BIERE. La fêtarde en moi réclamait une bière. Même si je n'irais pas jusqu'à l'état d'ivresse le plus totale, ça me permettrait de me détendre. Apparemment, la bière c'était bon pour se détendre alors, je ne pouvais qu'accepter sa proposition.
 « Va pour la bière »
En nous asseyant sur dans un coin du pub (qui faisait l'happy hour, en passant) j'ai réalisé que je n'avais pas grand chose à lui dire : parce que les deux seuls choses qui m'obsédait pour l'instant était Soren & la sextape. Le premier sujet avait déjà été abordée, le second devait être éviter par tous les moyens possibles. Je n'assumais pas cette sextape, c'était tout. Encore moins devant un adulte que je respectais.
 « La bière est bonne ? »
RIDICULE. Mais je ne trouve absolument rien d'autre à dire. J'ai juste envie de me pelotonner dans ses bras et contre son torse pour pleurer. Parce que oui, je me sens minable, alors que j'essaye de paraître forte.
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