"Fermeture" de London Calling
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drunk in love (thénaëlle)

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Gabrielle Rowena
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() message posté Mer 29 Oct 2014 - 0:58 par Gabrielle Rowena
Théodore & Linaëlle
Morning, his place, burn toast. Sunday, you keep his shirt, he keeps his word. And for once you let go of your fears and your ghosts. One step, not much, but it said enough. You kissed on sidewalks. You fight and you talk. One night he wakes, strange look on his face. Pauses, then says, you're my best friend and you knew what it was, he is in love. You can hear it in the silence. You can feel it on the way home. You can see it with the lights out. You are in love, true love.


Lentement j'ouvre les yeux. Il me faut quelque temps, pour me souvenir de quel jour nous sommes, samedi matin. Il fait jour, ce qui veut dire qu'il ne doit pas être trop tôt, mais pour le vérifier, il me faut passer par-dessus Théodore ce que je préfère éviter. Je n'ai pas envie de le réveiller, pour une fois qu'il peut dormir. Doucement, en essayant de faire le moins de bruit possible, ce qui relève du miracle avec moi, je me lève. Je manque de tomber, mais j'évite la catastrophe. Bon, c'est un point positif, pas de blessé pour le moment. Je quitte la chambre sur la pointe des pieds, pour me rendre dans la cuisine. Il est un peu plus de neuf heures, assez tôt, mais je n'ai pas besoin de beaucoup de sommeil, alors cela ne me dérange pas d'être debout de bonne heure. Comme je suis la seule levée, ce qui n'est pas difficile puisque nous ne sommes que deux ce matin, je décide de préparer le petit déjeuner. Une surprise pour lui. Je ne suis pas la plus douée en cuisine, mais j'essaie de m'améliorer. Et puis, après avoir passé une semaine à ne rien faire au niveau repas, je peux bien faire un effort. En général, c'est Théodore qui cuisine et moi qui me contente de manger, cela a toujours été comme ça. Il faut dire que chez moi, il était très rare que ce soit à moi de faire à manger, ce qui explique mes lacunes.
Enfin, ça ne doit pas être bien compliqué de préparer un petit déjeuner, pour deux. La tâche est un peu plus compliqué, parce que je ne connais pas encore comme il se doit chez lui, mais je vais finir par trouver ce que je veux. Oui, je suis chez lui et non chez nous, ceci est temporaire, du moins je l'espère. Ce n'est pas que vivre avec lui ne me plaît pas, mais je ne suis pas sûre que ce soit le bon moment, surtout lorsque sa fille est là. Une adorable fillette en apparence, mais j'ai bien l'impression que dans le fond elle ne m'aime pas beaucoup. J'ai bien essayé de changer les choses, mais rien à faire, elle reste pareil. Et je ne peux pas faire grand-chose de plus, alors je laisse les choses comme elles sont. C'est sa famille et moi je ne suis que sa copine. La copine plus jeune après son mariage. Une folie, comme beaucoup le dise et je n'ai pas envie de leur donner raison, en faisant des caprices à propos d'Ivy. Même si parfois, bon souvent, j'aimerais beaucoup les choses se passent mieux. Mais je sais que cela doit pas être évident pour elle, alors... En attendant, elle est chez sa mère pour le moment et nous ne sommes que tous les deux, ce qui est assez rare au final. Entre son boulot, mes cours et sa fille, nous n'avons jamais eu aussi peu de temps à nous que depuis que je suis venue vivre chez lui. Ironie.

Avant de commencer quoi que ce soit, je fais du café. Pas pour moi, je déteste cela. Une fois la cafetière en route, je cherche de quoi faire un vrai petit-déjeuné, comme j'en ai le souvenir. C'est mon père qui s'occupait de cela et heureusement, je l'ai vu faire de nombreuses fois. Cela me fascinait de le voir cuisiner, lui, l'homme avec un métier si important, préparer le petit-déjeuné pour sa famille. Après plusieurs minutes de recherches, je trouve ce dont j'ai besoin où à peu près. Cela me fait bizarre de fouiller dans sa cuisine, alors que je sais que je ne devrais pas. Il faudrait peut-être qu'on discute de cela aussi. À vrai dire, il y aurait beaucoup à discuter, parce que la situation est loin d'être idéal pour tout le monde. Mais plus tard, pour le moment, j'ai seulement envie qu'il se lève et que tout soir prêt. Arrive la partie la plus compliquée pour moi, ne pas mettre la cuisine en feu. Je suis assez maladroite dans mon genre et cela serait totalement une chose qui pourrait malheureusement m'arriver. Doucement, avec intention, je commence à faire à manger. Rien de trop compliqué, des oeufs, des toasts, du café, du bacon et c'est déjà un sacré exploit pour moi. Quelques toasts ont brûlé, mais rien n'a pris feu, ce qui est une sacré victoire pour moi.
Maintenant que tout est prêt, il ne me reste plus qu'à aller réveiller la Belle au bois dormant. J'hésite un instant à le laisser dormir, mais il est presque dix heures, et tout est prêt alors autant en profiter. Et puis, il me suffit de le réveiller comme il se doit, pour qu'il ne soit pas en colère d'être tiré du sommeil. Je rentre en essayant de faire le moins de bruit possible pour me glisser dans le lit à côté de lui. C'est quand même curieux, que je ne l'ai pas réveillé en cuisinant. Mais il semble réellement en train de dormir. Je me penche vers lui, tout en parlant à voix basse. « J'ai préparé le petit-déjeuné... » D'accord, c'est loin d'être la phrase la plus romantique, mais quand on me connaît, cela en est une. Aussi long que je me souvienne, la dernière fois que j'ai cuisiné pour quelqu'un ce fut pour ma sœur. J'attends une réaction et en profite pour poser un bisou sur son épaule. C'est dans des moments de ce genre, que je me dis que je suis chanceuse d'avoir un tel homme dans ma vie. Je n'aurais jamais pensé pouvoir trouver quelqu'un comme lui et pourtant, tout est là pour le prouver. Je ne peux pas m'empêcher de sourire comme une idiote, pendant qu'il montre des signes, qu'il m'a entendu. « Bonjour. » Je vois qu'il se réveille doucement, mais je décide de rester tant que je ne serais pas sûre qu'il soit parfaitement réveillé. J'ai envie de commencer ma matinée avec lui.
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() message posté Mer 29 Oct 2014 - 22:47 par Invité
DRUNK IN LOVE
lyn & théo
Difficilement mais avec douceur, j’entrouvrais une paupière afin de laisser mes pupilles s’accommoder à la lumière du jour. Le soleil était déjà haut dans le ciel, cela signifiait qu’il était relativement tard, la vue encore trouble, je jetais mon regard par la baie vitrée qui se trouvait devant moi. Londres, toujours en vie, c’était la raison pour laquelle j’avais décidé de ne pas installer des volets : je voulais voir, qu’importe l’heure, la ville s’animer devant mes yeux. J’aimais m’endormir devant les mouvements perpétuels des gens et la lumière qui en émanait ne me dérangeait pas. Cela pouvait paraitre égoïste mais Linaëlle semblait s’être accommodée à cette habitude que j’avais, puisque jamais depuis son aménagement ici, elle ne m’avait fait de remarque, ou peut-être n’avait-elle pas osé, mais si c’était cela, je ne pouvais rien y faire. Ma dernière relation avait endommagé ma perception des femmes et notamment mon pouvoir pour deviner lorsque quelque chose n’allait pas. Les non-dits n'étaient donc pas ma spécialité. Une fois le soleil moins agressif pour mon oeil droit, j’ouvrais doucement le deuxième. Timidement et délicatement, je tâtais l’oreiller qui se trouvait dans mon dos afin de voir si Linaëlle se trouvait toujours à côté de moi, seulement la seule chose sur laquelle je tombais était une place vide. Je pouvais entendre des bruits qui provenaient de la cuisine, seulement, je n’avais ni le courage ni l’envie de me lever, je décidais donc de fermer les yeux encore afin de prolonger cette nuit qui était déjà bien longue. Je m’assoupissais à nouveau, restant immobile lorsque je sentais la présence de la jeune femme dans la chambre. Elle n'était pas très discrète, même si elle faisait de son mieux, néanmoins je gardais les yeux fermés, souriant à moitié afin de masquer mon amusement. Elle venait se rallonger à côté de moi, chuchotant à mon oreille qu’elle venait de préparer le petit-déjeuner, malgré ma surprise, je restais impassible. L’instant d’après, je pouvais sentir ses lèvres rosées effleurer timidement la peau de mon épaule, je frissonnais presque avant d’ouvrir délicatement les yeux. Déjà habitués à la lumière du jour, il suffisait de quelques secondes avant que ma vue me revienne, je me retournais donc afin de faire face à la jeune femme, je répondais à son sourire avant de prononcer d’une voix rauque, significative du réveil. Bonjour dis-je simplement avant de déposer ma main sur la nuque de la jeune femme, jouant avec ses cheveux. Elle était magnifique, même au réveil, les yeux encore gonflés. Alors comme ça tu me prépares le petit-déjeuner maintenant ? demandai-je avec amusement. Elle était pleine de surprises, même si je craignais de finir avec une intoxication alimentaire, bon, l'avantage c'est que je travaillais dans un hôpital et que je savais détecter les signes d'une quelconque anomalie dans mon propre corps. Linaëlle, disons-le, n’était pas la meilleure cuisinière que je connaissais et elle le savait très bien : elle n’essayait jamais de faire à manger, je m’occupais de cette tâche. J’étais pour l’évolution des moeurs. Néanmoins, pour l’instant à défaut de mourir de faim, je mourrais d’envie de l’embrasser. Gardant mon sourire aux lèvres, je décidais de mettre en application mes envies matinales.
Avec plus de fermeté, j’attrapais sa nuque avant de glisser mes doigts dans ses cheveux et je déposais un baiser long et tendre sur les lèvres de Linaëlle.  Ma main glissait le long des courbes de la jeune femme avant d’arriver à ses fesses sur lesquelles elle s’attardait avant de relever délicatement la nuisette sûrement trop courte que ma petite femme portait afin de venir caresser son dos nu. Avec assurance, je prolongeais notre baiser, mêlant ma langue à la sienne, je pouvais entendre sa respiration qui se faisait plus audible. Je continuais mes caresses avant de basculer délicatement sur la jeune femme, lâchant son dos afin de plonger ma main dans la sienne, je ne rompais pas notre baiser. Linaëlle était bien plus qu’une jeune femme de vingt-trois ans, elle était ma bouffée d’air frais, elle était un renouveau et lorsque je me trouvais à côté d’elle, je me sentais vivant, tout simplement. Avant, lorsque je regardais par la fenêtre avant de m’endormir, je voyais une ville qui continuait à vivre sans moi, comme si j’étais un simple spectateur qui chaque jour achetait un nouveau billet pour le même film. Or aujourd’hui, j’avais un rôle dans l’histoire qu’autrefois je voyais, je vivais également. Elle était, certes, maladroite, sûrement trop franche et parfois immature, mais elle était également vivante, et je peux vous dire que tous les êtres-humains ne le sont, malheureusement, pas. Je déposais un dernier vif baiser sur ses lèvres avant de lui sourire discrètement. Sans perdre l’emprise que j’avais sur elle à cet instant, je restais immobile, mon corps sur le sien, elle reprenait sa respiration et je faisais de même. Malgré mon envie de prolonger ce baiser et de finir cette matinée au lit, j’avais des obligations parentales qui m’obligeaient, malgré moi, à devoir interrompre ce réveil qui commençait si bien. Dis-moi tout, avec quoi tu as décidé de m’empoisonner ? demandai-je à la jeune femme, un brin taquineur et espiègle. Je roulais à nouveau sur la droite afin de la libérer, relevant le buste pour me préparer à poser les pieds sur le sol de la vaste chambre.  
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