"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Friendship never ends ☼ Rikler - Page 2 2979874845 Friendship never ends ☼ Rikler - Page 2 1973890357
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Friendship never ends ☼ Rikler

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Edwin Turner
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() message posté Mer 3 Sep 2014 - 0:19 par Edwin Turner
Friendship never ends

ft. Tyler J. Lewis && Rika Alvares
Mercredi 06.08.2014 • St James Park
Oh la la la la... Qu'est-ce que je venais pas de faire là. Prendre la défense - plus ou moins, en fait je cherchais surtout à comprendre un peu plus comment les choses s'étaient passées - de la personne en face... Et une fille en plus. Outch... C'était pourtant pas du tout mon but de l'agacer, bien loin de là, mais quand il réplique, je vois bien que ça lui plaît pas. Rooooooh...

- Je rêve ou t’es en train de la défendre ?
- Buoh j'irais pas jusque-là, mais je veux juste comprendre, moi... Je sais bien que c'est pas drôle de se faire réveiller le matin... Mais j'aime pas ne pas avoir tous les détails de l'histoire.

Bon, ça, c'est peut-être un de mes défauts effectivement, mais c'est comme ça. Quand j'essaie d'appréhender quelque chose, c'est toujours de façon... complète. Faut dire que j'ai tendance à visualiser les choses dans ma tête, comme un film qui se déroulerait à mesure qu'on le raconte les choses... Et comme je sais pas si je dois m'imaginer la fille ravie d'avoir foutu la merde ou au contraire gênée d'avoir débarqué alors que son voisin était en bonne compagnie... Bah je sais pas quoi en penser. Et vu que ça partirait bien en cacahuète et qu'au demeurant, ça a quand même pas tant d'importance et que j'ai pas envie de me prendre la tête avec Ty d'autant que je déteste les conflits, j'ai rembrayé sur ledit voisin collant.

- Eh ben… On s’est revu par hasard lors de la Garden Party mi-juillet – et forcément, ça a fini dans mon lit, cette fois. Et ensuite… Parce que j’ai fait l’erreur de l’inviter chez moi, il a cru qu’il pouvait débarquer quand il le voulait et, la semaine dernière, il ne s’est pas gêné pour venir me réveiller à trois heures du matin un milieu de semaine juste pour baiser.
- Outch...
- Certes, c’est un bon coup, mais je trouve qu’il commence à prendre un peu trop ses aises avec moi… En plus, je dois normalement le revoir ce weekend pour lui rendre son fichu étui à cigarettes… Je suis sûr qu’il a fait exprès de le laisser tomber sous un meuble pour qu’on se revoit !

Là je dois avoir l'air complètement éberlué. Déjà parce que bon, débarquer chez un gars qu'on connaît à peine à 3h du mat', faut oser quand même... Et être accueilli positivement quand ledit gars se lève genre 4h après, c'est fort. Donc ça devait vraiment être bien, soit dit en passant, sinon il se serait fait jeter direct - et je crois que même moi je l'aurais laissé sur le palier. Mais surtout... Non... Y a vraiment des gens qui font ça ? Ok, Ty a du succès, c'est pas une nouveauté, et des mecs qui le collent et qui trouvent des trucs pour le revoir, y en a eu d'autres mais... Jusque-là ? J'ai pas souvenir qu'on lui ai fait ce coup-là, j'avoue. Et je suis... bah sur les fesses, ça tombe bien, on est assis là...

- Wow... Vraiment ? C'est pas un peu tordu là ?

Nouvelle gorgée  de bière comme je me demande ce qui lui est passé par la tête, au gars... Et pendant ce temps-là, mon meilleur ami en profite pour assouvir ma curiosité quant au physique, donc, de sa conquête pot-de-colle.

- Sinon, je sais pas ce que tu veux savoir… Il est grand – un peu plus grand que moi...

Ca c'est notable, quand même... Tous les deux, on n'est pas vraiment petits, donc bon...

- ...les cheveux châtains coupés courts, les yeux… Bleus ? Verts ? Je t’avouerai que je sais même pas. Tout dépend de la lumière, je dirais… Il est tout maigre, même s’il cache quand même des muscles sous ses vêtements et… C’est tout. Ca suffit pour Monsieur l’Artiste ?

Et un tirage de langue en règle à l'attention de M. Lewis. Oui bah ça va, hein ! Et puis non d'ailleurs, c'est pas assez précis, je peux pas faire son portrait comme ça. Là, dans ma tête, le mec, il pourrait avoir la tête de... Je sais pas, mon ancien prof de travaux dirigés en première année de droit, d'un des mecs de ma soeur qu'a essayé de me draguer, ou d'un des papas du jardin d'enfant où j'emmène souvent Lucia. Trop vague.

- Mouais... Je sais pas. Je verrai si j'arrive à en tirer quelque chose...

Pour dessiner, s'entend, je te vois venir mec, et tu sais très bien qu'il va avoir certaines choses en trop et qu'il va lui en manquer deux autres pour que ça m'intéresse là... Sans parler du fait que... Bah je suis pas trop du genre à faire ça comme ça, en fait... J'aime autant qu'on parle de ses histoires à lui, pour le coup...

- Et alors, il s'appelle comment l'apollon-super-glue ?
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() message posté Jeu 4 Sep 2014 - 0:01 par Invité
J’étais passablement agacé par les nombreuses remarques que Rafael – supposé être toujours de mon côté en tant que meilleur ami officiel (du moins, tant que je ne me montrais pas trop injuste, ce qui n’était justement pas le cas ici) – se permettait de faire sur cette personne – une fille, par-dessus le marché – qu’il ne connaissait même pas, semblant alors prendre son partie plutôt que la mienne, et je le lui fis bien remarquer. Mais aussi étonnant que cela pouvait paraître, je n’étais pas vraiment du genre à taper à scandale juste parce que Rafael n’était pas de mon côté – même au détriment d’une fille inconnue… Cela m’énervait juste quelque peu et je le lui faisais savoir.

- Buoh, j'irais pas jusque-là, se défendit-il, se rendant enfin compte de sa bourde. Mais je veux juste comprendre, moi... Je sais bien que c'est pas drôle de se faire réveiller le matin... Mais j'aime pas ne pas avoir tous les détails de l'histoire.

- Tu veux tous les détails de l’histoire ? Alors, je vais te donner les détails, lui annonçai-je alors, ravi de pouvoir abreuver sa soif de curiosité. Je dors tranquillement dans le lit du mec quand on frappe à la porte. Je regarde l’heure : 7h49. Je râle, je me lève et je vais bien gentiment expliquer ma façon de penser à son invitée. C’est pas parce qu’elle travaille un samedi qu’elle doit réveiller tout le monde avec elle ! Mais je passe encore pour le méchant, n’est-ce pas ? Et je n’avais pas besoin qu’il me le confirme pour que je le sache. Nate et sa « charmante » voisine me l’avaient assez fait remarquer ce jour-là. Et puis, j’étais bien conscient d’être toujours le méchant de l’histoire et je devais bien avouer que je le cherchais bien souvent. Cela était non seulement un rôle qui m’allait à la perfection, mais que j’aimais également beaucoup jouer.

- Wow... Vraiment ? C'est pas un peu tordu là ? s’étonna Rafael après lui avoir détaillé toutes les circonstances dans lesquelles j’avais revu Nate, ne pouvant pas non plus m’empêcher de donner ma propre opinion sur la situation – laquelle n’était de toute façon pas utile de retenir car étant quelque peu exagérée… Mouais... Je sais pas. Je verrai si j'arrive à en tirer quelque chose... Je ne savais dans tous les cas pas quoi dire de plus. Ce n’était pas comme s’il avait un physique atypique. Il était sexy, point barre. Et alors, il s'appelle comment l'apollon-super-glue ?

- Nathanael Keynes, répondis-je alors sur un ton un peu pompeux. Je connaissais le véritable prénom de Nate lors justement de cette fameuse matinée où j’avais été « malencontreusement » réveillé – devais-je en être reconnaissant envers sa voisine ?... Et j’avais entendu son nom de famille lorsqu’il s’était présenté à mon voisin de palier après cette tout aussi fameuse matinée qui suivit la nuit où il m’avait réveillé.
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Edwin Turner
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() message posté Jeu 4 Sep 2014 - 19:18 par Edwin Turner
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Mercredi 06.08.2014 • St James Park
- Tu veux tous les détails de l’histoire ?

J'ai le droit de sentir les embrouilles arriver là ? J'ai rien dit, et attendu la suite, qui n'a d'ailleurs pas tardé vu que c'était clairement une question rhétorique. Et j'ai fermé ma gueule, parce que j'ai pas du tout envie de me prendre la tête, et certainement pas avec lui.

- Alors, je vais te donner les détails. Je dors tranquillement dans le lit du mec quand on frappe à la porte. Je regarde l’heure : 7h49.

Fait notable s'il en est, donc, il était encore là-bas à 7h49. Lui s'éclipse en général assez vite après la chose. Voir à l'instant même où ils ont fait ce qu'ils avaient à faire. S'il lui arrive de s'endormir, il disparaît généralement avant que l'autre se réveille. Là, c'est... exceptionnel, ouais. Non seulement il est resté, mais en plus, il était suffisamment bien endormi pour pas être réveillé par sa conquête... C'était si bien que ça qu'il a fini aussi exténué ?

- Je râle, je me lève et je vais bien gentiment expliquer ma façon de penser à son invitée. C’est pas parce qu’elle travaille un samedi qu’elle doit réveiller tout le monde avec elle ! Mais je passe encore pour le méchant, n’est-ce pas ?
- Mais j'ai pas dit çaaaaaaa...

Déjà parce que non, clairement, à mes yeux, il ne passait pas toujours pour le méchant de l'histoire - à vrai dire, ça restait assez peu fréquent, contrairement à la plupart des gens, même s'il fallait admettre que c'était plus fréquent quand il était question de nanas... - et puis parce que là, mon idée, c'était pas vraiment de juger ce qu'il s'était passé. Même si moi j'aurais pas fait un scandale pour ça - mais encore eût-il fallu qu'elle arriver réellement à me tirer du lit, ah, ah, bon courage...

Bref. On est passé au reste de l'histoire, à ce qui m'intéresse davantage d'une part, et ne génère pas de conflit d'autre part. Les autres entrevues, le stalking en règle - en fait, j'aurais presque peur là... - et la description somme toute succincte de son physique à ce stalker. Et puis j'ai demandé le nom du gars, plus pour continuer sur ma lancée d'interrogatoire qu'autre chose et je reste perplexe un instant lorsqu'il me répond.

- Nathanael Keynes.

Un instant, je garde le silence, songeur. Et puis après une gorgée de bière qui approche dangereusement ma bouteille de l'état vide, je cherche le regard de mon ami, les sourcils légèrement froncés.

- C'est... Bizarre. Y a une des petites aventures de Math' qui correspondrait à tout ça. Le gars, il est barman, il correspondrait à ta description, et il est manifestement bi, vu qu'après ma soeur, il m'aurait bien mis moi aussi dans son lit. Nate, qu'elle l'appelait, mais je sais pas où il bosse par contre... Je crois que ça fait un moment qu'ils se sont pas vus cela dit...

C'est peut-être qu'une coïncidence après tout. Mais si c'est lui le stalker, ça m'inquiète un peu pour ma frangine. Il avait l'air cool, mais voilà quoi... Je voudrais pas que ça dégénère tout ça...
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() message posté Dim 7 Sep 2014 - 16:21 par Invité
Pour la très grande majorité des gens, j’étais toujours le salaud de l’histoire qui n’était de toute façon présent uniquement pour foutre la merde. Il était vrai que je n’étais pas la personne la plus sociable du monde – voire même de Londres seulement – et que mes opinions sur la plupart des sujets de conversation qui pouvaient exister étaient loin d’être partagées, mais était-ce tout de même une raison pour me rendre responsable de tous les problèmes qu’une personne rencontrait dans sa vie ? Par exemple, Nate m’avait rendu responsable du fait que sa greluche de voisine avait littéralement fui son appartement et sa greluche de voisine m’avait rendu responsable de sa mauvaise humeur, mais ils semblaient tous les deux oublier que, si cette petite sotte avait été un peu plus respectueuse des autres en pensant qu’il était impoli de frapper à la porte de son voisin un samedi matin – doncu n weekend, ce qui voulait généralement signifier « grasse matinée » –, tout cela ne serait jamais arrivé. Mais ils avaient préféré rejeter la faute sur le mec antipathique et grognon, car mal réveillé… Un autre exemple ? Celui de la Garden Party, une semaine exactement après ces faits. Nate m’avait limite fait la gueule parce que son meilleur ami n’avait pas apprécié que je lui raconte les circonstances de ma rencontre avec la greluche dont il semblait avoir le béguin. Mais encore une fois, était-ce ma faute si personne n’avait eu la décence de le mettre au courant ? On me jugeait donc souvent très mal et, parce que j’avais les couilles de dire ce que je pensais haut et fort – ce qui ne plaisait à personne –, on me rendait responsable de beaucoup de choses injustement… Sauf Rafael. Il avait toujours été la seule et unique personne sur cette fichue planète à croire en moi et à me défendre bec et ongles en cas de litiges – sauf lorsque j’étais en tort, mais là encore, il ne se montait pas contre moi, et essayait au contraire d’arrondir les angles. Voilà pourquoi Rafael était la seule personne à qui je pouvais honnêtement dire que je l’aimais – bien que cela restait tout de même trois petits mots que j’avais toujours autant de mal à sortir…

- C'est... Bizarre. Y a une des petites aventures de Math' qui correspondrait à tout ça, répondit alors Raf’ après que je lui ai dévoilé le nom de ma conquête – et il avait de la chance que je sois aussi bien informé puisque d’habitude, c’était à peine si je connaissais le prénom du type… Le gars, il est barman, il correspondrait à ta description, et il est manifestement bi, vu qu'après ma soeur, il m'aurait bien mis moi aussi dans son lit. Nate, qu'elle l'appelait, mais je sais pas où il bosse par contre... Je crois que ça fait un moment qu'ils se sont pas vus cela dit...

- Alors, ça, je t’avouerai que c’est une drôle de coïncidence !... m’exclamai-je, sincèrement étonné que l’une de mes conquêtes ait pu coucher avec la sœur de mon meilleur ami. Et c’était aussi un pot-de-colle ou ta sœur ne l’intéressait pas assez pour qu’il se donne la peine de la harceler ? Quoique, s’il voulait te mettre dans son lit juste après, c’était qu’elle n’a pas assez assuré !
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() message posté Lun 8 Sep 2014 - 16:20 par Edwin Turner
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Mercredi 06.08.2014 • St James Park
Ca, c'est quelque chose que je ne comprendrais jamais. Tout le monde ne fonctionne pas de la même manière, c'est un fait et il est clair que Ty' n'est pas vraiment très sociable, dans l'absolu. Mais c'est quand même pas pour ça que c'est lui qui doit être le fautif dans l'histoire, quoi qu'il arrive. D'accord, parfois il exagère, et je me gêne pas pour le lui faire gentiment remarquer, mais est-ce que c'est normal de lui mettre sur le dos même les situations où il est pas responsable juste parce qu'il peut se montrer bougon ? Je suis pas d'accord. Peut-être qu'il éviterait d'envenimer les choses, parfois, s'il restait plus calme, mais ça signifie pas que les autres ont pas leurs torts. Et concernant cette matinée-là, je pense qu'il y a une bonne propension de torts partagés, après tout, personne aime se faire réveiller à pas d'heure un samedi matin, je pense que tout le monde en était conscient à ce moment-là. C'est quand même dommage, je trouve, que les gens soient pas capable de se mettre à la place des autres, d'essayer d'arrondir les angles plutôt que de partir tout le temps au clash... Mais sur ce point, Ty' est pas toujours plus fin que les autres non plus...

Je sirote ma bière comme il évoque sa conquête, donc, et reste perplexe quant à la ressemblance avec ce Nate que j'ai vu une fois ou deux. Ca m'intrigue ça, quand même...

- Alors, ça, je t’avouerai que c’est une drôle de coïncidence !... Et c’était aussi un pot-de-colle ou ta sœur ne l’intéressait pas assez pour qu’il se donne la peine de la harceler ? Quoique, s’il voulait te mettre dans son lit juste après, c’était qu’elle n’a pas assez assuré !
- Héééééééééé ! Sous-entends pas ça de ma soeur !

Et en fait, je crois que j'ai pas trop bien envie de savoir comment elle se débrouille au lit, tu vois. Je sais bien que c'est une grande fille, et qu'elle a une vie sexuelle. Les petites filles naissent pas dans les roses, il paraît, et de toute façon j'étais là pour l'accouchement - avant de tomber dans les pommes, bon, d'accord - mais... Non, je veux absolument pas visualiser ça. Par contre ce gars…

- ‘Tain je suis con… Attends…

J’ai reposé ma bière, ressorti mon carnet de croquis en tournant la page de la fille au tatouage, et commencé à gribouiller. A défaut de pouvoir en vivre, faut bien que ça me serve un peu de savoir dessiner… Je me suis affairé un moment, sans rien dire de plus, jusqu’à ce que le visage de mon dragueur prenne forme, et puis j’ai retourné le calepin vers mon pote.

- Il ressemblait à ça, le mec de Math’. Ca ressemble à ton pot de colle ?

La réponse est oui l’artiste, mais tu l’ignores encore…
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() message posté Mer 10 Sep 2014 - 18:48 par Invité
Il fallait bien avouer que c’était une drôle de coïncidence que d’apprendre que Nate – l’une de mes nombreuses conquêtes qui se démarquaient pour le moment des autres grâce à sa ténacité et sa répartie – avait été l’une des aventures de Mathea, la sœur de Rafael. Cela ne faisait d’ailleurs que me confirmer l’expression qui disait que le monde était petit. Mais, si cette information m’étonnait quelque peu par la faible probabilité que cela se produise dans la vie de quelqu’un, cela ne me faisait quand même ni chaud ni froid, les deux personnes en question faisant ce qu’elles voulaient de leur cul… Si j’avais appris que Nate avait partagé le lit de ma propre sœur, alors peut-être que cela m’aurait posé quelque peu problème, mais pas pour les raisons que vous pourriez croire ! Simplement parce que j’avais déjà du mal à supporter la présence de ma propre sœur, ce n’était pas pour en plus l’imaginer avoir une vie sexuelle… Et au vu de la réaction de Rafael à mes propos, il semblait penser la même chose que moi.

- Héééééééééé ! Sous-entends pas ça de ma soeur ! s’insurgea-t-il, juste parce que je venais d’insinuer que celle-ci était un mauvais coup. Surtout que mes propos n’étaient pas vraiment dirigés contre Mathea en particulier, mais contre les femmes en général. Nate avait beau avoir tenté de me convaincre du contraire, il n’arriverait jamais à me faire croire qu’il prenait autant son pied avec un homme qu’avec une femme. Un bisexuel m’avait dit un jour qu’au niveau sexuel, il était beaucoup plus jouissif de coucher avec un homme qu’avec une femme, mais qu’au niveau relationnel, c’était le contraire. Et puisque Nate ne recherchait pas de relations – du moins, c’était ce qu’il n’arrêtait pas de clamer haut et fort, mais j’étais à chaque fois toujours un peu plus sceptique –, il devait indéniablement – comme tout bisexuel qui se respecte – retirer beaucoup plus de plaisir avec ses partenaires sexuels masculins plutôt que féminins…

- Je ne sous-entends rien, lui expliquai-je alors, c’est un fait avéré : les femmes sont moins jouissives que les hommes. Bon, clamer cela devant un hétéro, ce n’était peut-être pas non plus la meilleure façon d’être convaincant, mais je savais aussi qu’il était assez ouvert d’esprit pour écouter mes opinions sans tout de suite me contredire dans mes propos.

- ‘Tain je suis con… Attends… s’exclama tout à coup Rafael, posant sa bière sur l’herbe et prenant son carnet à dessin dans ses mains, avant de commencer à dessiner quelque chose – ou plutôt quelqu’un. Il était on-ne-peut-plus concentrer à la tâche et je sirotai ma bière de mon côté en attendant qu’il ait fini son croquis. Il ressemblait à ça, le mec de Math’. Ca ressemble à ton pot de colle ? me demanda-t-il alors en me montrant la tête du type qu’il avait dessiné avec une précision presque parfaite.

- Oui, c’est lui ! affirmai-je donc, ne pouvant cacher mon admiration quant à la précision du portait. T’as jamais pensé à postuler pour un poste de dessinateur dans la police ? Tu sais, les gars qui font les portraits robots !
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Edwin Turner
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() message posté Jeu 11 Sep 2014 - 18:20 par Edwin Turner
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Mercredi 06.08.2014 • St James Park
J'adore ma soeur mais... Non y a des choses effectivement que je veux pas savoir. Et pas imaginer non plus, parce que c'est pas comme si j'avais pas une imagination débordante...

- Je ne sous-entends rien, c’est un fait avéré : les femmes sont moins jouissives que les hommes.
- Tu te souviens que tu parles à un hétéro ? Je t'assure, ça marchera pas avec moi ça... Après pour quelqu'un qui aime autant les hommes que les femmes, je peux effectivement pas juger...

Ca, c'était tout moi. Mais en même temps, est-ce que c'est pas juste... Logique ? Je veux dire je juge pas, mais c'est pas seulement parce que j'aime pas les conflits, et que je veux pas me prendre la tête avec les gens - même si y en a sans doute un peu - mais c'est aussi, et en l'occurrence surtout, parce que je respecte profondément les opinions et les goûts et les couleurs de chacun. Je demande à personne de comprendre ma façon de réagir, parce que je crois que personne ne comprend jamais parfaitement les autres, mais on peut au moins essayer d'appréhender un minimum et surtout de faire preuve de respect envers les autres. Personnellement, je sais pas faire autrement, et je veux bien le croire s'il dit que pour quelqu'un de bisexuel, c'est plus jouissif avec un homme, juste, ça sera pas vrai pour moi, et sans doute pas pour la plupart des hétéros, donc...

Et donc, le bisexuel dont on parle depuis tout à l'heure, j'ai un bon moyen de faire en sorte de savoir si c'est le même. C'est pas comme si dessiner, c'était pas "mon truc", la chose pour laquelle j'étais né, quoi qu'on en dise autour de moi. Ca aussi, je sais bien que c'est pas forcément très compréhensible pour tout le monde, mais je demande pas à un médecin ou à un avocat ou un gogo-dancer de se justifier sur son choix de carrière, pourquoi on me saoule, moi, avec mes décisions ? Ouais, artiste-peintre, c'est effectivement tendu à gérer, c'est la vie de bohème et c'est pas sécuritaire, c'est donc pas facile tous les jours mais... C'est ce que j'ai choisi, après tout. Malheureusement, y a peu de gens qui le comprennent, et je vois bien certains regards genre je suis trop crétin pour voir que c'est pas un vrai boulot, ça... Et puis y a ma soeur et Tyler, donc. Au moins avec lui, j'ai jamais eu droit à ces leçons de morale à la con que je peux pas voir en peinture - ah ah - et que je laisse passer en pensant à autre chose jusqu'à ce que le donneur de leçons se lasse et passe à autre chose. Avec Math... disons qu'il y a eu des hauts et des bas, mais c'est ma soeur, et je sais qu'elle me soutient, même si elle s'inquiète aussi, parfois - souvent même - que j'arrive pas vraiment encore à m'en sortir...

- Oui, c’est lui !

Cri du coeur, donc, une fois que j'ai terminé l'esquisse et l'ai présentée à mon pote. Bon bah... voilà, t'as partagé les fesses d'un gars avec ma soeur, là, ça me fait vraiment super bizarre. D'autant qu'il était pas si collant avec elle - ni insistant avec moi d'ailleurs, mais faut dire que Math a dû mettre le hola la connaissant - qu'il a l'air de l'être avec toi... Ca me laisse perplexe tout ça, mais je tombe encore plus des nues quand Ty' reprend la parole.

- T’as jamais pensé à postuler pour un poste de dessinateur dans la police ? Tu sais, les gars qui font les portraits robots !
- Moi ? Dans la police ? Tu m'as bien regardé ?

No way. Je tiens pas deux semaines dans un truc aussi normé, cadré... fliqué - ah ah-bis - que les forces de l'ordre. Je suis un mec tranquille, mais je suis beaucoup trop libre dans ma tête pour ça.

- Je suivrais jamais assez bien les règles pour ça... Puis le portrait-robot pour eux là, ça va un chouilla manquer d'émotion...

Parce que c'est con à dire, mais même l'esquisse, là, j'y ai mis du coeur. Et le visage est tel que je m'en souviens, assez souriant, charmeur, et confiant. Je sais pas si ça se voit pour tout le monde, mais pour moi, c'est ce qui est censé s'en dégager en tout cas...
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() message posté Dim 14 Sep 2014 - 14:39 par Invité
J’avais beaucoup de mal à comprendre cette orientation sexuelle qu’était la bisexualité, et si j’en croyais certains films américains – des navets, pour la plupart d’entre eux –, j’étais loin d’être le seul à le penser. Après tout, les personnages d’un de ces films (voire même des deux premiers volets, puisqu’ils jouaient techniquement tous dedans) – que j’ai presque honte de nommer tellement cela était ridicule – clamaient tous en chœur un truc du genre « there is no such a thing as bisexuality » à l’un des nouveaux personnages qui annonçait être bi, et je ne pouvais pas vraiment leur donner tort sur ce point. Parque si l’on en croyait ce bisexuel avec qui j’avais discuté il y a quelques années à présent et qui m’avait donné son avis sur les différences majeures entre hommes et femmes pour un homme bisexuel, ces derniers semblaient retirer beaucoup plus de plaisir au lit avec un homme qu’avec une femme. Alors, la question à un million de livres était : pourquoi continuer à coucher avec des femmes si c’était pour ne pas s’ennuyer ? Et je me doutais bien que les femmes bisexuelles devaient sûrement avoir ce même genre de préférences – et les hommes devaient encore très certainement gagner le prix du meilleur coup.

- Tu te souviens que tu parles à un hétéro ? s’amusa-t-il à me rappeler – une information que je connaissais depuis bien longtemps ! Je t'assure, ça marchera pas avec moi ça... Après pour quelqu'un qui aime autant les hommes que les femmes, je peux effectivement pas juger...

Et je vous présentais Rafael dans toute sa splendeur : un mec qui n’avait jamais eu d’à priori sur qui que ce soit. Et cela avait été une chance pour moi puisque, si cela avait été le cas, nous ne serions très certainement pas amis aujourd’hui et je n’aurais alors jamais connu cette chose précieuse que je chérissais avec tout le soin dont j’étais capable : une véritable amitié.

- Moi ? Dans la police ? Tu m'as bien regardé ? s’étonna-t-il quelque peu amusé, et je ne voyais pas vraiment où était le problème. Il était vrai que Rafael n’était pas le genre de personne à suivre les normes (ses dreadlocks en étaient la preuve concrète), mais j’étais persuadé qu’il ferait du bon boulot. Et puis, il n’était pas obligé d’en faire sa carrière, mais cela lui permettrait d’avoir au moins un revenu. Je suivrais jamais assez bien les règles pour ça... Puis le portrait-robot pour eux là, ça va un chouilla manquer d'émotion...

- Ce n’était qu’une proposition, le rassurai-je. En tout cas, je crois que ça me plairait bien de travailler dans la police. Tu vois des beaux mecs en uniforme toute la journée. Tu peux utiliser tes menottes pour des jeux sexuels. Et tu peux même tuer les gens que tu détestes et mettant ça sur le compte de l’accident ! finis-je par une plaisanterie. J’avais beau être antipathique, je n’en étais pas moins un psychopathe – même s’il m’arrivait comme tout le monde de vouloir commettre un meurtre sur certaines personnes. Mais bon, au vu de mes qualifications, je serais considéré comme le geek du commissariat, passant toutes mes journées sur l’ordinateur, et je n’aurais même pas le droit à une arme ou des menottes…
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() message posté Dim 14 Sep 2014 - 20:49 par Edwin Turner
Friendship never ends

ft. Tyler J. Lewis && Rika Alvares
Mercredi 06.08.2014 • St James Park
J'aime pas les préjugés, les jugements à l'emporte-pièce et les généralités. Comment on peut stigmatiser des gens juste sur un détail ? Une origine, le sexe, l'orientation sexuelle, l'apparence... Ca fait partie d'une personne, mais ça ne la détermine pas entièrement, et encore heureux ! On est tous différents, on fonctionne donc tous différemment, et je vois mal comment on peut vivre en société sans accepter ça chez l'autre. Mais ça se saurait si tout le monde pensait comme moi, la preuve, mon look avait sérieusement tendance à me fermer des portes, genre en me les claquant au nez ouais. J'ai toujours trouvé ça dommage, mais je suppose que c'est la vie, comme on dit.

- Ce n’était qu’une proposition.

Je m'en doutais bien, Ty' m'a jamais rien imposé, et encore heureux, d'ailleurs. C'est un truc qui a toujours fonctionné entre nous, ça, et c'est sans doute pour ça que ça marche. On sait qu'on ne fonctionne pas de la même manière l'un et l'autre, et à aucun moment on ne s'est mis en tête de changer l'autre. Parfois, on ne se comprend pas, mais ça n'empêche qu'on respecte l'avis de l'autre. Et on sait aussi l'un comme l'autre qu'on aura toujours le soutien de l'autre, ça, c'est une certitude. Je sais bien que beaucoup en douterait, mais moi j'en suis persuadé, je sais que je peux compter sur lui comme il peut compter sur moi. En toute circonstance. Même si je lui ai fait involontairement faux bond ce soir-là.

- En tout cas, je crois que ça me plairait bien de travailler dans la police. Tu vois des beaux mecs en uniforme toute la journée. Tu peux utiliser tes menottes pour des jeux sexuels. Et tu peux même tuer les gens que tu détestes et mettant ça sur le compte de l’accident !

J'ai failli m'étouffer avec ma bière. Je suis pas étonné du coup des beaux mecs en uniforme, évidemment, mais je crois que j'avais pas trop envie de visualiser le truc des menottes. C'est chiant d'avoir beaucoup d'imagination, des fois.

- T'es con... soufflé-je en riant à moitié, tout en essayant de pas trop m'étouffer, donc, et en m'essuyant les lèvres du revers du bras, avant qu'il ne termine son hypothèse.
- Mais bon, au vu de mes qualifications, je serais considéré comme le geek du commissariat, passant toutes mes journées sur l’ordinateur, et je n’aurais même pas le droit à une arme ou des menottes…
- Ca casserait tes plans de jeux, ouais... Tu me diras, je crois pas qu'il les laisserait au mec qui fait les portraits-robots non plus, je pourrais même pas te prêter les miennes pour la peine...

A vrai dire, je sais pas si moi, je 'jouerais' avec ce genre de choses, faut avouer... J'ai pas vraiment une libido aussi développée, et clairement pas de fantasme si précis. Avant d'en arriver à ça, faudrait déjà que je trouve une fille avec qui j'aie envie de le faire et pour l'heure, y en a pas vraiment. Et y en a pas eu douze mille, de toute façon. Y a bien eu la déléguée de classe quand j'étais au lycée, mais ça a pas vraiment duré entre nous, et je crois qu'elle a été avec un mec de l'équipe de basket après. Et puis ma copine à la fac, mais quand j'ai quitté Oxford, on était tous les deux conscients que les relations à distance, ça serait compliqué, et ça s'est terminé comme ça. Et aujourd'hui, bah... Je suis pas du genre à faire ça sans sentiment, donc tant qu'il y aura pas de demoiselle qui fasse particulièrement battre mon coeur, ça risque pas d'arriver. J'ai fini ma bière, ai reposé la bouteille vide avant de me laisser tomber en arrière, regardant le ciel.

- Bon. Quand j'aurais décroché un truc, un boulot ou une expo, je t'offrirai vraiment unn verre quelque part. Enfin d'un peu plus class que la pelouse du parc quoi...

Histoire qu'on se fasse vraiment la soirée qu'on n'a pas pu faire ce soir-là, sans que ça soit encore toi qui m'invites, n'est-ce pas ?
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Invité
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() message posté Jeu 18 Sep 2014 - 2:45 par Invité
- T'es con... lâcha Rafael, partagé entre le rire et l’étouffement – puisqu’il était malencontreusement en train de boire sa bière au moment où j’avais sorti ma connerie. Enfin, « connerie » n’était pas vraiment le mot adéquate pour résumer les propos que je venais de tenir puisque je les pensais réellement – excepté peut-être sur la mort des personnes que je détestais (bien que cela était un concept imaginairement excitant, j’étais loin d’être un meurtrier auquel cas beaucoup d’individus faisant partie de mon entourage aurait disparu depuis longtemps dans des circonstances étranges…). Après tout, que ceux qui n’avaient jamais été émoustillé par des petits jeux sexuels tels que l’utilisation de déguisements (et plus précisément, d’uniformes) et/ou d’accessoires comme les menottes, par exemple, me jettent la première pierre. Raf’… pose cette pierre !… Malheureusement – ou heureusement, tout dépendait du point du vue –, il était sûr et certain que je ne ferai jamais carrière dans la police, mais cela ne me décevait nullement puisqu’il était tout de même possible de s’amuser avec ce genre d’accessoires en vente dans des boutiques spécialisées dans les plaisirs sexuels – bien que je ne pourrais peut-être jamais réaliser ce fantasme de me faire prendre par un flic en chaleur dans une des cellules de prison… Ca casserait tes plans de jeux, ouais... Tu me diras, je crois pas qu'il les laisserait au mec qui fait les portraits-robots non plus, je pourrais même pas te prêter les miennes pour la peine...

- T’es un pote ! trinquai-je en levant ma bouteille de bière à présent à moitié vide, avant d’en boire une nouvelle gorgée. Après tout, tout le monde ne pouvait pas se vanter d’avoir un pote qui serait prêt à prêter ses menottes à l’un de ses meilleurs amis en sachant pertinemment qu’elles seraient utilisées dans un jeu sexuel.

- Bon. Quand j'aurais décroché un truc, un boulot ou une expo, je t'offrirai vraiment un verre quelque part. Enfin d'un peu plus classe que la pelouse du parc quoi... m’annonça alors Rafael, presque gêné de ce rendez-vous improvisé sur la pelouse de ce parc.

- Tu sais très bien que je me fous de l’endroit où on se rencontre, du moment qu’on se voit, le rassurai-je de manière tout ce qu’il y avait de plus sincère. Parce que je pensais totalement à ce que je disais. Rafael était mon meilleur ami, on se connaissait depuis presque dix ans maintenant, alors il aurait beau me donner rendez-vous dans une allée sombre et mal famée qui puait la pisse et le vomi que je viendrais quand même. Il était bien évident que je préférais que cela ne se produise pas, mais s’il le fallait réellement, alors je le ferais. Et puis, c’est sympa ! La bière est bonne et encore fraîche. Le ciel est… Je levai la tête vers le ciel quelque peu maussade, avant de continuer : Il ne pleut pas. On dirait presque qu’on fait un pique-nique ! Sauf qu’on pique pas et on nique pas, finis-je avec un large sourire.
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