"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici I Bet You Look Good on the Dancefloor → Nino ♥  2979874845 I Bet You Look Good on the Dancefloor → Nino ♥  1973890357
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I Bet You Look Good on the Dancefloor → Nino ♥

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() message posté Lun 11 Aoû 2014 - 17:17 par Invité
do i wanna know,
sad to see you go
Quand je panique la mécanique de mon cœur déraille au point que je me prends pour une locomotive à vapeur dont les roues décollent dans les virages. Je voyage sur les rails de ma propre peur. De quoi ai-je peur ? De toi, enfin de moi sans toi.



Elle était partie pour dancer, enfin pour oublier. Elle commençait à ressortir la tête de l'eau, et elle était sur la bonne voie, pensait elle. Jane avait un rendez vous pour un poste dans une université, donc elle pensait que le karma n'était plus contre elle. Elle avait mit un rouge à lèvre coquelicot, un haut court qui faisait entrevoir sa peau pâle de britannique, elle avait une jupe noir avec des petits points blanc et des sandales à talons. Elle avait recoupé ses cheveux, signe qu'elle recommençait à se soigner, à redevenir coquette, à draguer ? Elle pouffe, bien sur, comme si elle avait la tête à ça. Elle se trémousse seule, ferme les yeux, et ne pense à personne, même pas à Nino. Enfin le fait d'y penser qu'elle n'y pense, prouve qu'elle y pense. Vous suivez ? Elle, elle suit la musique jusqu'à ce qu'elle entend des voix qui l'interpelle. Deux voix féminines, qui parle du magasin que Jane et Nino n'ont plus. L'une d'elle dit que Nino est célibataire, mais qu'il à l'air de s'amuser. Elles pouffent. L'autre dit qu'il est pas mal, et que son ex est vraiment folle de l'avoir quitté. PUTAIN MAIS ELLES NE CONNAISSENT RIEN MERDE. Jane passe devant ces harpies, en les bousculant bien violemment. Elles sont surprises plus que gênées. Sa soirée est devenue un cauchemar, un vrai. De tout façon son cours de Salsa commence dans 5 minutes et elle est déjà en retard, des larmes perlent son visage, rien de bine grave, un coup de fatigue pense elle. Elle arrive en courant, esquisse un sourire en disant gaiement "Désolée, je suis nouvelle et en retard en plus." Le prof l'invite à rentrer dans la salle. Jane observe tout le monde, quand elle voit Nino, son cœur se brise. Elle reste la bouche entre ouverte, elle à l'air complètement bête comme ça. Le prof lui dit de se mettre avec Nino. Et putain de merde. " Salut ..." Elle baisse les yeux en rajoutant " Si tu veux changer de partenaire, je comprendrais" Elle fait la grimace, " Et j'essaie d'apprendre, donc si je t'écrase les pieds, ne m'en veux pas " Oh c'est pas comme si il ne t'en voulait pas déjà. Elle le fixe, ça fait combien de temps qu'ils ne se sont pas vu ? A part pour les paperasse du magasin. " J'ai signé, les derniers papiers, le gars voulait que tu viennes ... je lui ai dit non, que ça t'embêterai, mais il risque de t'appeler, s'était tendu, j'crois qu'il a cru que j'étais une pauvre conne, en fait je sais pas. " Elle essaie de retenir ses larmes mais en vain. Désolée, j'dois partir Elle part en courant, arrive sur le bitume , s’effondre, elle veut rentrer chez elle, alors elle ne regarde nulle part. Une voiture klaxonne, elle a failli se faire faucher. Elle s'assoit sur un banc, le regard vide.


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() message posté Lun 11 Aoû 2014 - 21:22 par Invité


and her lips are like the galaxy's edge

my days end best when this sunset gets itself, behind that little lady sitting on the passenger side. it's much less picturesque without her catching the light. the horizon tries but it's just not as kind on the eyes.

Et puis, il y a des idées comme ça qui sont complètement débiles, complètement prises sous le coup de l'impulsion que vous regrettez immédiatement après y avoir été confrontées. Ce cours de salsa en faisait partie. Il s'était inscrit parce qu'un couple, ex-clients, lui en avait parlé, qu'ils pourraient faire des rencontres. Pf, comme s'il avait besoin de faire des rencontres. Comme si l'absence de Jane, comme si la solitude n'était pas devenue sa meilleure amie. La solitude, pas vraiment, il avait toujours aimé être seul, au calme. C'était plutôt le manque. Chaque pore de sa peau réclamait Jane, ses yeux qu'ils croisaient inopinément dans le miroir réclamaient Jane, il voulait Jane. Il se recoiffa longuement, de passage aux toilettes. Il était aussi élégant qu'avant, même un peu plus,  peut-être, il espérait tromper qui comme ça ? Sa chemise blanche légère, son pantalon à pince d'un bleu sombre... Même avec ça il se trouvait ridicule et navrant. Il salua un homme qu'il avait déjà vu à la boutique d'un signe de tête et se dirigea vers lui. Après quelques politesses concernant la vente de l'affaire et la vie de sa fiancée, ils se séparèrent, soulageant Nino. Il ne rechignait pas à faire la conversation à quiconque d'habitude mais aujourd'hui, il avait comme un étrange pressentiment. Il eût à peine le temps d'essayer d'y réfléchir, le professeur arriva et les interpella. Seulement, ce ne fut pas ce qui surprit le plus, le brun. Jolie comme un cœur, les joues rosies par un effort court qu'on devinait également à ses petites mèches en pagaille sur son carré de cheveux. Elle était là. Jane. Il sé dépêcha de poser son regard ailleurs quand il vit qu'elle se dirigeait vers lui obéissant à la suggestion du professeur. Ah oui, c'est vrai, il avait été tellement perdu dans ses pensées qu'il avait oublié de demander à l'une des demoiselles si elle voulait bien être sa cavalière. Son visage se referma, effaçant toute trace d'émotion. Il sentait bien les regards sur eux tantôt interrogateurs, tantôt surpris et d'autres amusés. Ce n'était plus un secret pour personne que Nino et Jane, c'était fini. Tout le monde semblait sentir l'ironie de la situation. Son cœur se resserre quand elle le salue, les yeux rivés sur ses chaussures. Et puis, c'est un peu l'implosion quand elle plonge ses yeux dans les siens. Putain. De. Merde. « Non, c'est bon. Pas la peine. » Il est froid, sans le vouloir, c'est ainsi. Il lui en veut terriblement mais par dessus tout, il s'en veut, lui. « Au pire, tu me rachèteras des chaussures. » Un rictus moqueur étire ses lèvres. C'est comme s'il n'était plus lui même. Il ne sait pas s'il relève ses piques mais oui, il cherche à la blesser. Il voudrait lui faire du mal comme ils s'en ont fait pendant leurs trois dernières semaines. Elle parle de la paperasse, plus pour meubler qu'autre chose alors que la musique commence, qu'il la prend dans ses bras et rien que leur proximité le grise. Et puis, elle le plante là.
Alors, il court la rattraper, après un petit moment de flottement.
Il y a son petit corps là, assis sur le banc.
Peut-être qu'il a envie de lui faire l'amour, sur ce banc.
Putain, c'est pas le moment de penser à ça.
Il va se planter devant elle. Son regard est vague. « Jane, putain, c'est quoi ton problème. » Aucun signe. Il approche son visage du sien, lui prend le menton et la force à le regarder. Toujours son cœur qui se serre mais il ne flanche pas. « Jane. » Cette proximité l'étouffe, il se sent mal, il ne devrait pas être là, ce n'est pas sa place. Alors il soupire, se laisse tomber sur le banc, à côté d'elle et passe une main nerveuse dans ses cheveux. « J'suis désolé, j'voulais pas dire ça tout à l'heure. » Il a envie de rajouter qu'il est qu'un pauvre con... Mais les mots se perdent dans sa gorge.
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() message posté Lun 11 Aoû 2014 - 22:48 par Invité
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Quand je panique la mécanique de mon cœur déraille au point que je me prends pour une locomotive à vapeur dont les roues décollent dans les virages. Je voyage sur les rails de ma propre peur. De quoi ai-je peur ? De toi, enfin de moi sans toi.




Il lui avait répondu froidement, et comment dire ? Elle ne s'attendait pas à plus. Elle était comme figée, bloquée, embarrassé, mal dans ses chaussures, limite elle se sentait à poil. Elle ne rigole pas à sa sorte de blague, là ce qu'elle aimerait lui dire, c'est qu'elle est déjà mal à l'aise, ok ? Qu'il n'a pas besoin d'être comme ça, elle ne l'aime pas comme ça. Elle aime le Nino intelligent, le Nino qui repasse sa chemise, le Nino avec des phrases de séducteur comme si c'était la première fois qu'ils se rencontraient, le Nino taquineur , Nino tout entier. Elle essaye de meubler la conversation en parlant de paperasse, elle est tombée bien bas. TU REVOIS L'AMOUR DE TA VIE ET TU LUI CAUSES PAPERASSE, quel idée de génie,bravo, franchement bravo Jane. Elle s'enfuit au contact de sa peau sur la sienne. Elle se pétrifie, pendant un quart de seconde, elle se rappelle ces moments heureux qu'ils ont partagés, ensemble, ses sourires à la con qu'elle lui envoyait dès qu'elle le voulait.

FLASHBACK :

Elle est devant le lit, souriant à Nino. Il sourit aussi, plus timidement, les yeux rieurs à vrai dire, mais c'est encore plus craquant. Il est fatigué, par cette journée. En même temps la boutique marche bien, alors il est occupé et elle aussi. Ils ne sont parlé qu'a leur pause dej' et franchement ce n'est pas assez. Elle porte un short de pyjamas rose poudré avec de la dentelle noir, et un soutif assortie. Elle sourit encore à Nino qui plongé dans un livre, détecte son rictus. Il s'assoit en tailleur, écartant sa lecture et s'approche de Jane. "Bonjour Mademoiselle" Elle s'approche en effleurant sa bouche " Ou plutôt, bonsoir monsieur " Il attrape son bras, l’entraînant dans le lit, " Je vois que les fiançailles vous vont à ravir" Elle lâche un rire enfantin. " Oui effectivement, mon nouveau statut de fiancé me donne envie de m'habiller "boudoir" voyez vous"

FIN DU FLASHBACK.

Elle reprend ses esprits, un conducteur la klaxonne, l'insultant de cinglé. Ouais bon ça, c'est pas nouveau hein. Nino est devant elle, sur un banc. Il la fixe, mais elle de son regard embuée, elle ne peut le regarder. Il prend son menton afin qu'il l'a regarde, et putain le supplice est juste insoutenable. Vraiment. "Oh c'est pas grave je t'en veux pas ... j'sais très bien que t'allais réagir comme ça, je te connais ..." Elle recommence à pleurer, on ne sait pas pourquoi, elle allait tellement bien, il y'a juste quoi, une heure? Elle se lève, le regarde dans les yeux tout en lui disant, sans même prendre le temps de respirer, tremblante.   " Je sais pas, tu as l'air d'aller bien, même super bien. C'est peut-être qu'une impression et au fond de moi, j'veux que tu ailles bien. Mais moi tu vois Nino, je vais mal, enfin j'pensais aller bien, j'ai perdu du poids, je ne sortais plus à part pour ces conneries de paperasse. J'ai vu un psy, enfin mes parents ont fait appel à un psy, ils s'inquiétaient. Le psy m'a demandé comment ça se passait nous deux au lit. Ben j'ai répondu, bien, merveilleusement bien, fin' je sais pas à quoi il s'attendait. Tu ne t'engages pas avec quelqu'un quand ça va mal de ce côté. Regardes j'ai recoupé mes cheveux, j'me suis maquillé, j'étais prête à apprendre la salsa, il a fallu juste que tu me touches, pour que tout partes en un éclat. Tout ces efforts de merde. Toutes ces larmes que je ne voulais plus faire tomber. Donc voilà la réponse à ta question de tout à l'heure c'est ça mon problème.


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() message posté Lun 11 Aoû 2014 - 23:33 par Invité


and her lips are like the galaxy's edge

my days end best when this sunset gets itself, behind that little lady sitting on the passenger side. it's much less picturesque without her catching the light. the horizon tries but it's just not as kind on the eyes.

Il avait jamais connu de rupture avant elle. Elle était sa première. Sa première tout et n'importe quoi. Leur histoire avait été un tout. Ça avait fini en n'importe quoi. Jane, c'était sa première cuite, sa première gueule de bois amoureuse, son premier petit déjeuner au lit, son premier regard coquin au réveil, sa première fois aussi, son premier meuble ikea, son premier spectacle où il avait fallu réserver deux places, sa première dispute où les voisins tapent au plafond, sa première cigarette partagée, sa première balade dans les rues de Londres en amoureux, son premier test de dépistage contre les mst, son premier rencard, sa première soirée bouderie, sa première porte qui claque, son premier dîner entre couples, sa première nuit à grelotter quand elle prenait toute la couette, sa première chemise volée, son premier gratin de pâtes cramé parce qu'ils étaient 'occupés', sa première déchirure, son premier coup de gueule, sa première crise de jalousie etc.
Deux ans de vie comme une, envolées.
Ses pas qui s'en vont, sa silhouette qui s'efface, c'est trop douloureux pour ne pas vous rendre fou un homme. Pourtant, il fallait se décider à la rayer de sa vie, comme elle avait sûrement déjà du le faire pour lui. Dans son appartement, plus aucune chose ne restait d'elle... en apparence. Malgré le grand rangement fait sous le coup de la colère, il s'était contenté de mettre ses quelques bibelots, un ou deux tee-shirts à elle dans un carton pour le laisser en haut d'une armoire. Il avait réussi à ne plus y toucher, pour le moment, sauf une fois, en prétextant simplement qu'il voulait voir si rien n'avait bougé.  

Il lui suffit juste d'apparaître, comme un charme, une petite fée pour que tous ses souvenirs le submerge. C'est aussi leurs souvenirs. C'est précieux... et ça fait mal. Chaque image vous frappe le cœur, comme un peu plus de sel sur la plaie. Elle est silencieuse. Il s'en veut. Il s'en veut terriblement, pour tout. Il aimerait lui dire plein de chose, à commencer par T'ES LA PLUS BELLE, JANE, JE T'AIME, reviens. Mais les mots, c'est pas comme le loto. C'est capricieux, surtout quand votre égo s'en mêle. Et comme s'il avait rêvé de son retour, elle s'enfuit comme une précieuse. Il peut pas la laisser partir. Il espère qu'elle comprend quand ses yeux s'attardent sur ses lèvres, quand ses mains sont trop pressantes sur ses hanches, quand il n'a fait que de faire diminuer les centimètres qui les séparaient, innocemment. Est-ce qu'elle le voyait ? Lui qui avait tant de mal à parler, il pouvait lui prouver par bien des gestes qu'il ne voulait qu'elle.

Les perles humides sur ses yeux, c'est beaucoup trop pour lui. Il ne peut pas rester indifférent. S'il avait pu, il les auraient toutes ramassées et embrassées parce que c'était des parties de Jane et pire de tout, il était certain que c'était lui qui les avaient provoquées. Elle lui dit qu'elle ne lui en veut pas mais paradoxalement, elle se remet à pleurer de plus belle. Nino se crispe, il voudrait bien disparaître parce que la voir comme ça, c'est cauchemardesque. Lui qui méprisait les bellâtres qui faisaient pleurer les filles du village, est-ce qu'il en était devenu un ? Il n'y avait pas de comparaison possible. Parce que lui, il l'aime Jane.

Elle se lève, il la suit du regard. Elle vient se poster devant lui. Ses yeux brillent, elle sanglote mais elle arrive quand même à articuler un long monologue. Il ne savait pas. Il pensait qu'elle allait bien. Il pensait vraiment qu'elle avait tout fait pour perdre leur boutique, il s'était même imaginé une sorte de complot. Elle joue peut-être la comédie, dans ce cas, il ferait mieux de partir et de la laisser sécher ses larmes. Mais, c'est faux, il peut pas croire à cette version-là. C'est lui qui souffre, il a tout expulsé dans son travail mais ça a laissé des séquelles. Il s'est consolé avec les mélodies d'alcool et l'ivresse de la musique. Et il a envie de s'autoflageller quand il s'entend dire : « Tu veux que j'appelle tes parents ? » Ton humour ne fait rire personne, pauvre nul. C'est sûrement pour ça qu'elle est partie, qu'elle est sur le point de partir là. Non, il faut pas. « Jane, écoute, je.. je. » Il ouvre la bouche, ses yeux alternent entre la route et les lampadaires ; il cherche ses mots. « Je suis vraiment désolé que t'aies dû vivre tout ça, que tu dois subir tout ça. Mais tu veux que je fasse quoi ? Dès que je t'ai appelé, tu ne m'a pas répondu. Je suis allée te voir chez tes parents, je savais que tu étais là, il y avait ta bicyclette à côté du garage, ils m'ont dit que t'étais là mais que je ferais mieux de rentrer chez moi, je ne voulais pas voir tous nos amis puisque ce sont les tiens aussi, je me suis retrouvé seul aussi. T'es pas toute seule dans ce cas. Mais tu veux qu'on fasse quoi, bordel ? T'as construit le mur dans lequel on allait foncer. Et maintenant, tu veux que je ramasse les briques, c'est ça ? Tu veux que je m’apitoie sur ton sort ? Désolé, mais ce sera sans moi. » Il lâche son poignet trop fin qu'il a serré trop fort, sous le coup de la colère qui montait. Il baisse la tête, se gratte la nuque nerveusement avant de la regarder, une dernière fois, peut-être.
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