| | ( ✰) message posté Lun 4 Aoû 2014 - 16:58 par Invité Prudence Amelia Cooper London calling to the faraway towns NOM(S) : Cooper. PRÉNOM(S) : Prudence Amelia Susan. ÂGE : 30 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 22/12/1983 à Cardiff. NATIONALITÉ : Anglaise. STATUT CIVIL : Célibataire. MÉTIER :Secrétaire/ Assistante en intérim. TRAITS DE CARACTÈRE : Jeune fille positive et un peu naïve. Elle idéalise les choses, peut-être un peu trop ? . GROUPE : Double-Decker. 
 | My style, my life, my name ► Une jeune fille banale : Quand Prue se regarde dans la glace le matin, elle y voit rien d'extraordinaire, pas un corps hyper sexy, ni une allure générale digne d'une star d'Hollywood, mais elle se pait comme, préférant la simplicité. Elle se maquille très peu juste le nécessaire (sauf si bien sûr elle a un rendez-vous vos ou une sortie avec des amis). Elle a des cheveux blonds, mais blonds naturels, elle n'a jamais fait de tenture, ou même de mèche. Elle n'est pas non plus adepte des coiffures sophistiquées, généralement les cheveux détachés, ça lui arriva à la rigueur de faire une queue-de-cheval ou encore un petit chignon pas très travaillé. S'il y a un truc chez elle qu'elle apprécie, ce sont ses yeux bleus, mais ce n'est pas pour autour qu'elle cherchera à les mettre en valeur par un maquillage trop poussée. Ensuite si nous nous attardons sur la garde-robe, on trouvera un bon lot de jeans, et des petits hauts. Elle préfère les vêtements simples et confortables. Elle porte très peu de robes (sauf pour les grandes occasions).
► Une grande poisseuse : Si le mauvais sort existe, c'est Prue qui en est le meilleur exemple. Depuis toute petite, elle est habituée à tous les petits « problèmes » de la vie quotidienne. Si quand elle marche dans la rue à côté qu'une flaque d'eau une voiture passera forcement à côté d'elle, si elle marche dans la rue avec le café pour son patron, elle le reversera sur quelqu'un. Quand ce genre de choses arrive à quelqu'un, on se dit généralement que c'est la faute à pas de chance. C'est le cas, Prue, n'a tout simplement pas de chance, mais même malgré cela, elle s'est habituée à tout relativiser, car malgré tout ce qu'il lui arrive, elle part du principe qu'il y a toujours pire.
► Trop généreuse : Trop bon, trop con. Cette expression va à ravir à Prue. Elle a toujours envie d'aider autrui ce qui facilite la tâche des gens qui voudraient se servir d'elle. Elle est très empathique, et ressent la douleur des autres comme sa propre douleur. Par contre, elle ne prend en aucun cas pitié des autres, elle a juste une forte volonté quand il s'agit d'aider autrui.
► Une geek cachée : Prue a des goûts que certain ne pourrait pas trouver très féminin. Elle adore tout ce qui se rapproche de près ou de loin de l'univers geek. Plus précisément, elle peut rester des heures devant son ordinateur à jouer à des jeux, passer des heures entières devant sa série préférée (Doctor Who). Quand elle est chez elle, elle est en mode Off, c'est-à-dire que, la plupart du temps, elle se balade en jogging et t-shirt et quelle passe son temps devant la télé ou son ordinateur, donc quand quelqu'un vient lui rendre visite par surprise, c'est la panique entre son allure ou même l'état de son appartement. Elle ne s'intéresse pas aux occupations de femme de son âge, plutôt même ça l'ennuie : parler chiffons n'est vraiment pas son truc. Elle se force quand même quand elle est avec ses amis, très peu de personnes connaissent ce côté de sa personnalité.
► Un cœur d’artichaut : En ce qui concerne les relations amoureuses, Prue est très fleur bleue. Elle aime le romantisme, et a même tendance à se créer des petits films, parfois assez perchés, dès qu'il y a quelqu'un qui lui plait. Elle n'a pour le moment pas réussit à construire quelque chose de solide avec quelqu'un, mais elle ne perd pas espoir, elle espère juste que ça arrivera assez vite, car elle voudrait quand même construire une famille. Elle se fait souvent de fausses idées de l'attention des hommes à son égard.
► Grande travailleuse : Même si quand elle est chez elle, elle se laisse aller, quand elle est au travail, elle y est à 200%, elle tendance à faire du zèle, même quand il s'agit d'un travail temporaire. Quand on voit ça sur le papier, elle devrait être une employée en or pour un patron, à la différence qu'elle sème aussi le chaos autour d'elle. Elle a souvent des imprévus et est en retard au travail, ou alors elle perd une course qu'on lui confie. Sa malchance Met des bâtons dans les roues de sa volonté de bien faire.
► Jamais à l’heure : Des fois, les gens se demandent si elle ne fait pas exprès. En effet, les fois où Prue arrive à être à l'heure quelque part, que ce soit lors d'un rendez-vous ou même au travail, se comptent sur les doigts d'une main. Elle a toujours des imprévus qui prennent du temps et qu'il l'empêche d'être à l'heure. Ses amis s'amusent de ça, ses patrons s'énervent, alors que d'autre sont simplement blasé. Ce n'est même pas de la mauvaise volonté de sa part, même en essayant de prendre de l'avance, elle ne sera jamais à l'heure.
► Une artiste : Quand elle s'ennuie, Prue adore dessiner, soit des personnages, des lieux, de la végétation. Un de ses rêves était de faire des livres illustrés, rêve qu'elle n'a jamais concrétisé, elle ne se croyait pas à la hauteur. Elle a chez elle plusieurs recueils avec ses dessins, généralement faits aux crayons bois. Elle ne les a jamais montrés, même pas à sa mère avec qui elle a un lien fort, c'est son petit plaisir personnel qu'elle garde pour elle-même.
► Une peur bizarre : Tout a peur de quelque chose, certain du vide, d'autres des chiens ou encore des abeilles. Pour Prue, ce n'est pas ça qui la tétanise, la créature qui l'effraie est minuscule, il s'agit des fourmis. Quand elle était petite elle avait une dans une série d'horreurs des fourmis géante qui tuaient les humains et en faisais leurs animaux de compagnie, une histoire un peu tirée par les cheveux certes, mais cela l'avait traumatisée, se sentant mal si elle se trouve à proximité de ces petits êtres, une seule passe encore si elle n'est pas sur elle, mais si elle se trouvera près d'un nid, elle partirait encourant. C'est une peur assez ridicule, et elle n'en a pas vraiment fière.
► Grandes rêveuses : Même si sa vie n'est pas un conte de fées, cela n'empêche pas Prue d'en rêver, que ce soit pour de petits événements quotidiens, ou d'un grand qui marquerait sa vie, elle n'est pas en reste pour ce qu'il est de les imaginer. Il pense beaucoup et ça lui arrive souvent de repenser ses journées avec une manière plus idéaliste, ça lui permet aussi de tenir face à ses petites mésaventures quotidiennes.
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PSEUDO : CaptainSow. PRÉNOM : Solène. ÂGE : 24 ans. PERSONNAGE : inventé. AVATAR : Clémence Poesy. CRÉDITS : By me. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Les tops site sont bien pratiques ^^. At the beginning
► Dimanche 22 décembre 2013 :
Mon Cher Journal, on dit qu'un à certains moments de notre vie, nous devons faire un bilan, les choses qu'on a bien faites, les choses que l'on regrette. Pour moi, l'âge idéal, c'est 30 ans, donc il est temps pour moi de faire un bilan de ma vie avant de pouvoir avancer. Commençons par le début, bien que je ne puisse en raconter que ce que ma mère m'a dit, n'ayant aucun souvenir de cette époque, je vais vous raconter mon enfance, enfin précisément quand je suis venue au monde. Je suis née dans la belle ville de Cardiff, au pays de Galle, mes parents étaient allés rendre visite à ma grand-mère maternelle pour les fêtes de Noël, j'étais même prévue à cette date-là, le 25 décembre, me séparent se réjouissait déjà de leur cadeau de Noël. Enfin cela aurait pu être un beau cadeau si j'étais vraiment née à cette date-là. Je suis née il y a précisément 30 ans le 22 décembre 1983, dans une petite maternité de la ville. Il n'eut rien de particulier dans ma naissance. Le plus intéressant vient après.
Mon enfance était calme... enfin presque. Mes parents s'étaient installés en campagne, dans une petite ville à deux heures de Londres. C'était donc un lieu idéal pour grandir, oui un vrai champ de bataille. Oui, dès petite mes mésaventures avaient commencé. Il n'y a pas à dire, je suis malchanceuse, dès petite, j'ai eu le droit à des chutes, saut de peinture sur la tête si je passais sous une échelle, où encore même se prendre l'herbes coupées quand je passe à côté d'une tondeuse. Mais contrairement à ce qu'on pourrait penser tous ses petits « problèmes » ne me gâchait pas la vie, c'est plutôt juste mon quotidien, bien entendue il y a des moments où je suis blasée. Par contre, il ne m'est jamais rien arrivé de grave, par exemple, je n'ai jamais eu d'accident ou vécu quelque chose de grave ce qui explique que malgré tous, je voyais toujours les choses du bon côté, et cela, dès petite. Cela devait surement venir du fait que ma mère avait une poisse pire que la mienne, elle avait des mauvais jours moins souvent que moi certes, mais c'était des événements beaucoup plus douloureux. Ce que je me souviens le mieux, enfin ce qui m'avait le plus marqué, c'est le jour où mon père est parti de la maison. Pour bien comprendre ce qui s'est passé, il faut parler de la situation de mes deux parents à cette époque.
Mon père était un homme d'affaires, je ne me souviens pas dans quel domaine il travaillait précisément, mais vue notre style de vie, cela ne devait pas être à un poste très élevé. Ma mère, quant à elle, faisait des ménages chez des personnes âgées, et comme elle travaillait à mi-temps son salaire n'était pas non plus énorme. Comme elle faisait un travail qui ne nécessitait pas de se mettre sur son 31 tous les jours, avec le temps ma mère arrêta de prendre soin d'elle, plus de maquillage, une garde-robe allant de vêtement plus confortable que féminin. Mon père était, de plus, en plus absent de la maison prétextant des voyages d'affaires, des déplacements dans ses filiales et j'en passe, c'était quand j'avais douze ans qu'il arriva à la maison annonçant à ma mère qu'il la quittait pour une autre femme. Il avait déjà une liaison depuis plusieurs mois et avait décidé de refaire sa vie avec son amante. Je n'ai jamais rencontré cette fameuse femme, le peu de fois où j'ai revu mon père depuis il n'était déjà plus avec elle. Ma mère fut anéantie par cette trahison, elle s'en rendit même malade enfant plusieurs semaines, je n'avais que douze ans, mais je pris mon courage à deux mains, je voulais soutenir ma mère dans cette épreuve, j'étais triste du départ de mon père, mais ma peine pouvait attendre, à ce moment-là, c'était ma mère qui m'importait. J'ai dû grandir un peu plus vite, ce qui n'était pas plus mal. Ma mère fini par s'en remettre, il lui fallait juste du temps. Cet événement fut le seul vraiment « dur » que j'ai dû vivre. Le reste de ma vie n'a pas été très existante.
Mon adolescence se fit d'une manière assez classique, je n'avais pas eue de problème à me faire des amis, bon d'accord je n'étais pas non plus une fille très populaire, mais je n'étais pas comme ses pauvres personnes qui se faisaient bousculer sur un casier ou mettre dans une poubelle, c'était plutôt une chance. J'étais classée dans les personnes plutôt normales, même s'il m'était arrivé quelque mésaventure comme par exemple un plateau en pleine figure à la cafétéria, où alors se prendre une porte en marchant dans un couloir. Si je cherche dans mes prouesses, je peux aussi raconter le jour de ma remise des diplômes où je me suis pris le pied dans ma robe à l'appel de mon nom et que je suis tombée par terre devant tout le monde, un moment mémorable, heureusement qu'il n'y avait pas de téléphone portable qui faisait vidéo à l'époque sinon ma performance sera gravée à jamais. Durant mes années collège et lycée je ne suis jamais sortie avec un garçon, ce n'est qu'à la faculté que j'ai rencontré mon premier amour. C'était un garçon qui faisait fondre la plupart de mes copines, et pour dire, il avait un physique affolant, et notre première conversation était issue à une de mes fameuses « gaffes » mon soda s'était retrouvé sur son t-shirt, et il a plutôt été amusé par ma maladresse et après quelque sortie, nous avons fini par sortir ensemble, je suis restée deux ans avec lui, j'étais heureuse, mais il y avait quelques choses qui ne collaient pas, mais je n'arrivais à mettre le doigt dessus. A l'anniversaire de nos deux ans, il m'emmena dans un restaurant, je m'étais imaginé qu'il me demandera en mariage ce soir-là, mais ma surprise fut vraiment autre chose. Au milieu du repas, il m'avoua un de ses secrets, un secret qui me brisa le cœur, il s'avérait qu'il était gay. Il avait décidé de sortir du placard, car il était tombé amoureux d'un collège de travail ouvertement homosexuel, mais qu'il ne voulait pas m'être infidèle. Je ne savais pas si je devais être triste ou reconnaissante de ce qu'il m'avait dit et que malgré son secret, il ne l'avait pas trompé, ou alors si je devais être furieuse qu'il m'ait fait un coup pareil. Je m'y un peu de temps à m'en remettre, savait que l'homme, avec qui tu étais, se forçait à t'« aimer » n'était pas facile à encaisser, mais comme toujours je pris les choses du bon côté, le prochain serait le bon.
Ma vie affective après ce malheureux épisode était assez calme, quelque relation par-ci par là, mais rien de vraiment sérieux. En contrepartie, je me consacrais à mon nouveau travail, j'avais trouvé un poste de secrétaire dans une petite entreprise de services, il s'agissait de location de voitures, j'y ai travaillé deux ans. Avant cela, je finis mes études de sociologie dans une des petites universités de Londres. Ma vie après tout s'est résumé à quelques rendez-vous ratés, mon travail, et mes petites mésaventures qui s'enchainaient jour après jour, mon quotidien en somme. Mais je reste explosive, je m'imagine encore marier à un homme formidable et ayant des enfants magnifiques et une carrière en or, mais... J'ai déjà 30 ans et l'horloge continue à tourner et je vis toujours ma vie au jour le jour.
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:hihi:
