» Âge : vingt-quatre ans, plus proche des vingt-cinq aprésent
(✰) message posté Ven 10 Mai 2019 - 18:57 par Clyde Marshall
One more time? Will we still have something to talk about this time?Etonnament, c'est clairement peu fréquent que j'ailles a d'autres soirées qu'a les miennes, souvent j'y vais que pour une raison, mais celle-ci j'ai décidé d'y aller sans but, juste dans l'idée de m'amuser surement. Peut-être de boire un peu trop? Ou d'autres trucs encore, aucune idée. Ce qui compte c'est de pas trop arriver en retard, et ça m'a l'air mal parti, il est 18h j'suis aucunement prêt et on doit y être pour 19h30. Bon, rapidement je sors mon téléphone et je mets une musique, quitte a être en retard, mieux faut être en retard mais bien préparé nan? Non aucune idée alors je me presse pas sous la douche, ni même devant le miroir ou je me brosse les dents, remets mes cheveux comme il faut et comme toujours ce parfum de Yves Saint Laurent, l'odeur est celle d'une plante un peu, avec des sortes de notes olfactives différentes. C'est celui que je mets toujours. Me voilà fin prêt, habillé avec une tshirt a manche longues gris et un jean lambada Levi's. Le chauffeur que j'ai appelé semble carrément long, il est déjà 19h25 et je ne suis pas encore parti, bon on est sur que je vais être en retard. Le voilà au pied de l'immeuble, rapidement je sors en prenant une veste, mes clés et une montre, parce-que c'est comme une sorte de gri-gri que je porte presque tout le temps. Je referme la porte a double tour, et je descends calmement.
Le trajet en voiture était assez long mais me voilà a 19h55 devant l'adresse. Je rentre sans toquer et au vu du nombre de personne déjà présentes dans les lieux je passe normalement inaperçu, ce qui n'est pas le cas puisque sur mon chemin je dois saluer le trois-quarts des personnes présentes, me dirigeant rapidement dans un endroit assez calme, alors je semble sortir de ma veste une flasque en métal, celle-ci remplie de whisky plutôt qualitatif, je semble en boire une bonne gorgée avant de ranger a nouveau la flasque a sa place, partant alors chercher une bière au comptoir, retournant a ma place initiale, je croise un regard familier, beaucoup trop, même si ce regard je devais faire semblant de l'avoir oublié, je peux pas, ce regard je pourrais le reconnaître parmi des milliers, ce visage aussi, ce sourire n'en parlons même pas. Mademoiselle Monroe, encore une fois ton charme a frappé, et encore une fois c'est sur moi. Encore une fois ou l'on continuera a se chamailler comme des enfants? Ou cette fois-ci on deviendra enfin matures et on pourra parler? J'aimerais le savoir, et je veux en avoir le cœur net. Alors rapidement je passe a travers les groupes déjà formés, rejoignant la demoiselle donc, avant de dire dans le bruit proche de son oreille "J'ai l'impression qu'on fait tout pour s'esquiver non?" Au moins je saurais ce qui se passe. :copyright:️️ 2981 12289 0
Maxime S. Monroe
J'aurai tout fait jusqu'à m'en étouffer.
» Date d'inscription : 10/01/2016
» Messages : 1083
» Pseudo : .KENZO (louise)
» Avatar : teresa oman
» Âge : vingt-cinq ans depuis le douze septembre.
» Schizophrénie : solal (m. mcmillan) & bodevan (g. hedlund)
(✰) message posté Sam 11 Mai 2019 - 17:40 par Maxime S. Monroe
BABY DON'T HURT ME, NO MORE
Je regardais attentivement mon reflet dans le miroir. Des mois s'étaient écoulés depuis l'agression, je n'en portais plus aucune trace. Seulement de fines cicatrices, par ci par là, invisibles de loin. Elles resteraient probablement, pour me rappeler mes erreurs et échecs. Je soupirais et enfilais ma robe. Zola ne s'était toujours pas réveillé. Et je commençais à penser que mon cousin ne se réveillerait peut-être jamais. Je n'avais pas revu Basile, mais étais allée rendre visite à mon père plusieurs fois. Matìa n'a plus donné signe de vie, Tancredi, je ne l'ai jamais revu. Et mon coeur, doucement, a fini par l'oublier. Pour de bon. Je me souriais à moi-même. Je m'étais reconstruite ces derniers mois. Je n'avais toujours pas repris les tournages, mais j'avais encore le temps. Lola, elle, était restée à mes côtés tout du long. Elle avait été mon roc. Son existence m'était devenu vitale. Lentement, j'entrepris de me maquiller. Une amie de la fac (rencontrée lors des peu de fois où je m'y rendais), m'avait invité en soirée chez elle, ce soir. J'avais longuement hésité avant de me décider, face à tant d'ennui, que j'avais besoin de voir de nouvelles têtes. J'avais donc pris l'après-midi pour me trouver une nouvelle robe. Une fois en ma possession, j'étais rentrée pour prendre ma douche, et me préparer. L'heure de rendez-vous était dans trente minutes. Il était dix-neuf heures trente. La soirée se déroulait à quelques rues seulement d'ici. Dix minutes environ. J'avais le temps. Fière face à tant d'organisation, je finissais d'appliquer mon rouge à lèvre rouge. Je m'observais quelques secondes, arrangeais mes cheveux et validais ma tenue d'un signe de tête à mon reflet. Je me dirigeais vers l'entrée, enfilais mes bottines à plateformes, ainsi que mon long manteau noir. J'attrapais mon petit sac rouge lacoste en bandoulière et quittais l'appartement en repoussant et caressant le gros bouledogue français qui me servait de colocataire, Stitch. Lorsque je parvins enfin à m'en défaire, je claquais la porte, fermais à double tour et quittais mon immeuble tranquillement. Je glissais mes écouteurs dans mes oreilles, et lançais une chanson de Parcels pour me mettre le baume au coeur et m'échauffer pour cette soirée. Sur le chemin, je m'arrêtais chez l'épicier et achetais une bouteille de champagne, deux bouteilles de vin rouge ainsi qu'un pack de bière. Dix minutes plus tard, j'entrais enfin dans l'appartement, déjà bondé. A mon passage, les gens se retournèrent vers moi pour me dévisager. Les répercussions de la célébrité. Baissant la tête pour paraître inaperçue, je me glissais jusqu'au bar et déposais les bouteilles. Je me retournais ensuite, cherchant mon amie du regard. Elle arrivait déjà vers moi, ravie. On échangea quelques mots, puis elle disparut parmi les invités en me disant à plus tard, et de me servir à boire. Ce que je fis. Des mojitos se trouvaient là, je ne me fis pas prier et en attrapais un. J'allais m'installer dans un coin calme de l'appartement, et commençais à siroter mon cocktail tout en observant les gens. Ce que je faisais toujours pour juger à qui m'adresser en premier lieu. Je ne voulais pas me faire harceler de questions intrusives, comme cela m'était souvent arrivé dans le passé. Finalement, ce fut un regard familier sur lequel je tombais et qui eu l'effet de retenir toute mon attention. Clyde. Je grinçais des dents et détournais le regard, agacée. Comme il fallait s'y attendre, il vint me rejoindre et me glissa quelques mots à l'oreille. Si j'avais su qu'il se trouverait là, je ne serai jamais venue. « Ah bon? Tu crois?» Répondais-je sanglante. Je le toisais du regard quelques instants, avant d'ajouter : « Faut croire que c'est raté pour ce soir.» Je baissais le regard vers mon verre. Clyde me faisait trop d'effet. Il me rappelait ma relation passée, ma dépendance affective. Je ne voulais pas revivre ça. Les sentiments, le partage, la confiance. Je tournais la tête dans la direction opposée et demandais, méprisante : « Comment tu vas, Clyde?» Malgré tout, je ne pouvais pas l'ignorer. J'avais encore en souvenir cette nuit passée à ses côtés. Elle n'avait jamais cessé de me hanter. Je me mordillais la lèvre, pensive. Et me rendant compte de mon geste, j'apportais rapidement mon verre à mes lèvres. L'alcool c'était la solution. Ca permettait toujours d'oublier. Et ce soir, je devais oublier.
Maxime S. Monroe &Clyde MarshallMai 2019
SIAL ; icon tumblr
Clyde Marshall
MEMBRE
» Date d'inscription : 09/05/2019
» Messages : 19
» Avatar : K.J Apa
» Âge : vingt-quatre ans, plus proche des vingt-cinq aprésent
(✰) message posté Sam 11 Mai 2019 - 19:35 par Clyde Marshall
One more time? Will we still have something to talk about this time?Elle semble enervée, sèche, froide ou j'ne sais quel autre truc pas cool et elle le fait comprendre alors je réponds juste "Étonnant, j'aurais pu mettre ma main a couper que si tu aurais su que j'étais là tu ne serais pas venue, je me trompe?" Je souris ensuite, avant de l'écouter parler, ajoutant a nouveau "Désolé, j'étais seul, je t'ai vu du coup j'suis venu. J'suis un mauvais garçon parfois" Je rigole alors que je la fixe a regarder son verre arquant un sourcil a la vue de son ton plutôt méprisant, répondant assez stoïquement donc "Mouais.. Ca passe et toi?" Ajoutant a mon tour une bonne touche de condescendance a la fin de ma phrase, juste dans le but de l'énerver. Alors que je la regarde boire son verre, diamétralement le mien me donne aucunement envie aprésent, j'ai pas envie de re-finir bourré a parler avec elle tant qu'elle n'est pas sobre et parti comme c'est parti, la soirée risque d'être pourrave. Alors dans un ton calme je semble dire "Je vais mal le prendre de te voir boire a chaque fois qu'on commence a parler." J'ai pas envie d'être son "gigolo" de service avec qui elle passe le temps en soirée quand elle est bourrée, en soirée j'ai d'autres choses a faire. Si j'en avais l'envie je pourrais parler a une autre fille et me la taper et au final je suis là avec Maxime, a essayer de résoudre un problème pour au final n'aboutir a rien puisque maintenant j'ai peur de l'amour, de ce sentiment, et je fais en sorte de l'éloigner le plus de moi mais j'y arrive pas quand je suis face a elle, comme un enfant qui retrouve quelqu'un de confiance après s'être perdu dans une foule, mais cette idée m’effraie, mais m'intrigue, je veux en savoir plus, mais pas trop non plus.
Alors que je détourne le regard vers l’extérieur le temps d'un instant, c'est un mec déjà bien amoché qui tombe a mes pieds en renversant toute sa bière sur mon t-shirt. Rapidement mon esprit bagarreur monte et je me sens déjà lui refaire le visage, le dilemme actuel est le suivant: Je le tape et je peux paraître pour un connard aux yeux de Maxime? Ou je m'en contre fous. Option numéro deux. Je m'abaisse avant de le chopper par le col, le relevant rapidement avant de lui dire tout simplement. "Je peux savoir ce que tu viens de faire?" Le mec a moitié mort déjà je soupire longuement en reprenant juste "Fais attention a qui tu fais ça, tu me refais chier une seule fois de la soirée je t'assure que ça ira mal pour toi." Et je semble a moitié le jeter au sol a sa destination originale avant de me remettre a ma position initiale en regardant la fille a côté de moi reprenant alors la conversation avec elle "Désolé pour ça.." Je fixe mon t-shirt longuement avant de dire "Eh bien voilà.." Je soupire a nouveau donc. :copyright:️️ 2981 12289 0
Maxime S. Monroe
J'aurai tout fait jusqu'à m'en étouffer.
» Date d'inscription : 10/01/2016
» Messages : 1083
» Pseudo : .KENZO (louise)
» Avatar : teresa oman
» Âge : vingt-cinq ans depuis le douze septembre.
» Schizophrénie : solal (m. mcmillan) & bodevan (g. hedlund)
(✰) message posté Sam 11 Mai 2019 - 22:06 par Maxime S. Monroe
BABY DON'T HURT ME, NO MORE
Etrangement, ma vie s'était toujours déroulée sans que je puisse en prendre le contrôle. En inversant mes prénoms, j'avais cru faire un choix. Au final, j'avais compris qu'il s'agissait d'une évidence. Si Shiraz Monroe était le nom qu'on me donnait dans les journaux et génériques, Max était celui que tous mes proches utilisaient. Malgré mes efforts, les choses finissaient toujours par s'imposer à moi. Tancredi avait été le seul à véritablement faire chavirer mon coeur. Il était aussi celui qui l'avait brisé. A deux reprises. Un an après, je n'étais toujours pas prête à retomber dans les bras d'un homme. A faire confiance, à partager. A côté de moi, Clyde parlait. Mais je ne l'écoutais qu'à moitié, bien trop occupée à chasser toute l'attirance que j'éprouvais pour lui. Il me demanda à mon tour comment j'allais, en reprenant le même ton que moi. J'eu un sourire en coin, amusée. « Ca va.» Mal à l'aise, je commençais à gigoter sur place, apportant peut-être trop régulièrement, mon cocktail à mes lèvres. Clyde parla de nouveau et je me tournais vers lui, en riant. « Je ne bois pas dès que je te parle. Je suis en soirée, et ce mojito est délicieux.» J'eu un petit reniflement de satisfaction et tête haute, je me détournais de lui. L'ignorant, je me mis à écouter la musique et à bouger sur le rythme. Et soudain, tout se passa vite. Un mec renverse son verre sur Clyde, Clyde le chope par le col, lui crache des menaces et le jette par terre. Bouche bée, je le regarde faire, en haussant les sourcils. Puis tranquille, monsieur reprend son verre, s'excuse en se prenant pour je ne sais quelle brute. Après le mafieux, le petit merdeux. Je serrais la mâchoire et m'avançais vers le gars qu'il venait de foutre par terre. Je lui tendis ma main, lui souriais d'un air désolé, et me tournais vers Clyde. « Gros naze.» Dans mes souvenirs, Clyde était plus doux, plus sensé, plus calme. Je n'aimais pas les mauvais garçons, c'est pourquoi je l'avais fuit tout de suite. « Ca va? Tu te sens bien? Tu sens ta paire?» D'un regard, je désignais son entre jambe, avant de continuer à le fixer. Je voulais lui écraser la tête, le claquer pour être si mignon mais si stupide. Je le haïssais. Pourtant, mes yeux vinrent glisser jusqu'à son torse dont on devinait les abdos à travers son tee-shirt mouillé. Je serrais la mâchoire. « Tu te sens beau? Oh mince c'est bête, t'es tout mouillé. C'est dingue, on voit tes muscles. Quelle pauvre idiote pourrait bien tomber dans tes gros bras de brute? Oh je sais ! Pourquoi pas Maxime?! » Je lui jetais un regard noir, et sans plus attendre, tournais les talons. J'étais furieuse. Ce foutu tee-shirt mouillé, ça avait son charme. Ca m'avait troublé. Comme à chaque fois que je croisais son regard depuis ce fameux soir. Je tentais de m'éloigner de lui, cherchant au passage mon matériel à bédot. Je m'installais à l'extérieur, sur le balcon. J'entrepris de rouler. Il faisait plutôt froid, ainsi, personne ne s'aventurait dehors. C'était calme. Et là, j'avais besoin de calme. J'apportais mon joint roulé à mes lèvres et l'allumais. A ce moment là, Clyde apparut. Je roulais des yeux, et soupirais. « Laisse moi tranquille Clyde, s'il te plaît...» Je tournais les yeux vers lui, désespérée. Quelque part, je le suppliais. De ne pas chercher à m'atteindre plus. Je n'étais pas prête pour ça.
Maxime S. Monroe &Clyde MarshallMai 2019
SIAL ; icon tumblr
Clyde Marshall
MEMBRE
» Date d'inscription : 09/05/2019
» Messages : 19
» Avatar : K.J Apa
» Âge : vingt-quatre ans, plus proche des vingt-cinq aprésent
(✰) message posté Sam 11 Mai 2019 - 22:44 par Clyde Marshall
One more time? Will we still have something to talk about this time?Je la regarde gigoter sur place au rythme de la musique, un sourire au coin, alors que tout passe si vite d'un instant. Je me retrouve a jeter le gars a terre, et je vois Maxime me tuer du regard, du genre c'est mal. Je vais pas laisser un gars comme ce glandu me manquer de respect et en plus il s'excuse même pas, j'ai bien raison. Alors a la remarque de Maxime je semble juste dire "Je sais merci." Avant de me prendre une rafale de trucs mauvais dans la face, j'arque un sourcil rapidement, me demandant ce que j'ai fait de mal parce-que dans le fond ce gars que j'ai jeté comme une merde l'a clairement mérité alors a sa première phrase plutôt agressive je semble simplement dire."Baisse d'un ton? T'aimes te faire remarquer c'est ça? Dans l'histoire on retiens toujours qu'une chose. Je te l'ai déjà dite je crois" Et cette chose c'est que En général le problème viens de la femme dans notre société. Je semble parler encore plus fort, juste pour que les regards se posent sur elles, car dans cette situation j'étais sur a deux-cents pour cent que je n'avait fait en aucun cas quelque chose de déplacé contrairement a l'homme qui m'a clairement plongé dessus avec son verre. Et donc a sa seconde phrase, mon air change, je semble me braquer et devenir même méchant, lâchant d'un ton sec, froid et violent a la fois "A ce que je sache t'es a moitié tombée dedans déjà. Et pourquoi parler des muscles? Parce-que t'as le regard qui dérive c'est de ma faute?" Juste.. Va te faire voir Maxime si tu te comportes comme ça, c'est étonnant, j'me rappelle du soir ou on a refait le monde, du lendemain matin ou t'as voulu tourner la page sans raisons. Comme toujours j'me dis que dans les comtes de fées, c'est bien de la merde car c'est plus les femmes les fautives dans ces histoires là. Alors je la regarde partir sans rien dire, soupirant longuement avant de partir parler avec d'autres personnes, laissant le temps passer comme je jugeais bon. Sans un mot je m'étais écarté du groupe, ayant décidé de m'aventurer vers Maxime a nouveau, alors a ses mots, ayant a peine passé le pas de la porte, je semble enclencher la poignée a nouveau avant de dire "Ouais j'ai compris. J'étais bien pour finir la soirée a parler avec quelqu'un. C'était logique au final. J'suis sacrément con."Je semble rien dire de plus, avant de repasser la porte, sans un mot, l'ayant clairement mal pris sur le coup. Partant vers l'entrée calmement, pour moi j'avais plus rien a foutre ici si j'avais même pas l'opportunité de lui parler. Je pousse la poignée de la porte d'entrée, lâchant un dernier regard derrière moi, comme un regard qui veux dire: Pourquoi tu viens pas? Pourquoi t'es comme ça? Pourquoi tu me jettes comme ça? Avant de venir passer la porte et sortir de l'immeuble, fourrant mes mains dans les poches de mon jean avant de simplement m'asseoir sur les marches devant l'immeuble, défilant mon fil d'actualité sur Instagram, et dans un élan d’intérêt, je semble enfiler mes écouteurs l'air de rien, défilant cette musique du groupe Oasis, Wonderwall. C'était tout ce que je ressentais que j'entendais dans les paroles, alors j'étais maintenant assis seul, en fin de soirée, a refaire le monde. Mais seul cette fois-ci. Vie de merde putain. :copyright:️️ 2981 12289 0