NOM(S) : Kebbner PRÉNOM(S) : Samuel, Paul. ÂGE : 25 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 2 juillet 1989, à Londres. NATIONALITÉ : Anglais. STATUT CIVIL : Fiancé. MÉTIER : Première année d'internat en chirurgie. TRAITS DE CARACTÈRE : brillant, impulsif, marrant, rancunier, têtue, hypersensible, honnête, généreux. GROUPE : The tube.
My style, my life, my name
En premier lieu, je suis vu comme le garçon qui rit beaucoup, qui passe beaucoup de temps à faire n'importe quoi et qui préfère s'amuser plutôt que travailler. Mais contrairement à ça, je suis un très gros bosseur et je peux passer des journées entières à travailler, notamment sur mes études. Étudier la médecine ce n'est pas rien, et bien que ce soit très ambitieux, j'ai largement les capacités pour cela. J'ai toujours été cet élève brillant, ambitieux et très intéressé par tout, réellement tout. Bien qu'au fil des années ce soit la médecine et plus particulièrement la chirurgie qui m'est tapé dans l’œil. Je me vois chirurgien plus tard, oui je m'y vois très bien. Pour autant, je reste un homme très simple, naturel et qui profite de la vie. Je suis très rarement de mauvaise humeur, ou si je le suis c'est qu'on m'a cherché avant. J'ai tendance à être impulsif et très coléreux, mais je le contrôle très souvent parce que je sais que c'est très peu agréable pour les gens qui m'entourent. Malheureusement si j'ai un vrai gros défauts, c'est que je dis ce que je pense tout le temps. Que ce soit gentil, méchant ou même déplacé, je ne mâche pas mes mots. C'est paradoxal parce qu'à côté de ça, lorsque les gens sont aussi franc avec moi, je me vexe assez facilement. Je suis un garçon hypersensible comme jamais, je suis capable de faire la tête durant des heures. Un enfant dans l'âme parfois, oui, beaucoup pourront vous le dire. A côté de ça j'ai le cœur sur la main, je suis toujours prêt à tout pour aider mes proches et toutes personnes qui en auraient besoin. Je donne sans jamais rien attendre en retour, ce qui parfois peut me faire défaut.
PSEUDO : aucun. PRÉNOM : Mélissa. ÂGE : 19 ans. PERSONNAGE : scénario, lien de la bl. AVATAR : Dylan O'Brien. CRÉDITS : écrire ici. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Après être passé sur 15 000 forums !
Mon histoire commence le 2 juillet 1989, à l'hôpital centre de Londres. J'ai vécu mes premiers jours là-bas, et d'après mes parents j'étais déjà le plus beau. On sait tous qu'un enfant à peine né est loin d'être ce qu'il y a de plus beau, en tout cas physiquement. Puisqu'on sait aussi très bien qu'il n'y a rien de plus beau qu'une naissance. Enfin, passons. Mes parents ont décidés de m'appeler Samuel, et vous savez quoi ? Je les remercie encore tous les jours d'avoir choisit celui-ci en premier, et pas Paul. Paul qui est mon deuxième prénom, et par conséquent celui de mon grand-père maternel. Je l'adore, il n'y a aucun doute là dessus, mais c'est très difficile à porter Paul pour notre époque. Samuel Paul Kebbner, cela ne fait donc aucun doute sur le fait que je sois Anglais. Mais ma mère elle est Australienne, elle est née à Brisbane. J'ai donc des origines Australienne également.
J'ai vraiment pas eu une enfance difficile, mes parents ont toujours étaient de ce qu'il y a de plus aimant au monde. D'ailleurs, à mes 3 ans ils m'ont fait un très beau cadeau. Oui, 3 ans après moi ma petite sœur naissait. J'ai endossé le rôle de grand-frère à l'âge de trois ans, et j'ai littéralement adoré ça. Je m'en suis d'ailleurs beaucoup occupé, toujours avec la surveillance de mes parents derrière évidemment, mais j'ai toujours voulu m'occuper de ma petite sœur. C'était en quelques sortes... ma poupée, oui. D'accord, j'étais un garçon mais tous les jours c'est moi qui l'a coiffait, elle avait les cheveux tellement long aussi. Elle était ma petite princesse, et j'étais grand-frère, j'adorais ça. J'adore toujours ça. On grandissait et on faisait tout ensemble, nous n'étions quasiment jamais séparés, comme des jumeaux mais avec trois ans d'écart. Mes parents ont toujours fait en sorte à ce qu'on ne soit jamais séparé longtemps, et bien qu'avec nos trois ans d'écart nous ne pouvions pas être dans les mêmes classes, à l'école croyez-moi, j'étais jamais loin d'elle. Mais elle n'était pas la seule avec qui j'adorai être. Je me souviens qu'à côté de ma maison d'enfance il y avait une famille qui avait une petite fille du même âge que moi. Nous étions voisins, mes parents et eux étaient de très très bon amis et ce fut naturellement que la petite fille et moi-même nous nous sommes connu. Elle s'appelait Maura, elle était rousse et même à cet âge là je savais qu'elle était belle. Quand je n'étais pas avec ma sœur, j'étais avec Maura. On passaient des heures dans mon jardin où ma cabane était installé, à la balançoire de son jardin, dans sa chambre, dans la mienne... Des vrais enfants inséparables. Les jours passèrent et rien ne nous séparaient, si bien que même lorsque les années ou ne nous tombions pas dans les mêmes classes à l'école, malgré notre âge similaire, on passaient nos récréations ensemble, tout le temps. On avait d'autres amis, bien sûr. Mais Maura était ma meilleure amie, ma deuxième sœur, quoi que peut-être même plus au fil des années.
A l'école moi, j'ai toujours était un bonne élève. J'avais de très bonne note et en plus de ça, j'adorais étudier. Chose assez bizarre quand je sais que j'adorai rester avec Maura alors qu'elle, elle était pas aussi douée que moi. Rien que d'y penser, ça me fait sourire. Je m'intéressai à tout, même dans le sport j'étais plutôt bon même si je préférai largement les cours. Et en grandissant, ça n'a jamais changé. A 10 ans, j'étais inscrit dans un club de basket. Mon père avait voulu m'y inscrire, et vous savez pourquoi j'ai pas refusé ? Parce que Maura était dans un club de danse juste à côté, du coup on y allait ensemble et on rentrait ensemble. Comme je l'ai dis, elle n'était jamais loin de moi et ça a été ainsi jusqu'à nos 13 ans. Malheureusement, mon père en tant que patron d'une entreprise assez renommée, il a du partir pour les États-Unis et il était nécessaire que nous suivions. Ma mère ne pourrait pas s'occuper de ma sœur et de moi toute seule, alors nous avons été obligés de quitter Londres pour Phoenix, dans l'Arizona. Je ne voulais pas quitter Maura, ni mes autres amis, ni ma maison. Je ne voulais pas mais mes parents m'ont bien fais comprendre qu'on avait pas le choix. Je me souviens avoir dit à Maura que ça ne durerais pas longtemps et qu'on s'écriraient tous les jours. A 13 ans, je quittai ma ville et mon pays natale pour de l'inconnu. Les Etats-Unis faisaient rêver n'importe qui à l'époque, et même moi j'avoue que même à 13 ans, j'en rêvais. Mais pas pour y vivre, non. Mais sous contrainte j'ai suivis mes parents, et nous avons recommencer une nouvelle vie là-bas.
Mais Phoenix est une ville magnifique, rebondissante et vivante. En plus, il fait beau quasiment tous les jours comparé à Londres. J'ai repris le collège en cours de route là-bas, tandis que ma sœur a fait pareil avec son école primaire. En tant que garçon très sociable et amical, je me suis rapidement fais de nouveaux amis, de nouvelles connaissances. J'ai été très vite apprécié et ma sœur aussi. Nous vivions dans un petit quartier assez chic de Phoenix, dans une petite maison chaleureuse. Londres me manquait chaque jours, mais je me plaisais de jours en jours aussi là ou j'étais. Mais comme promis, Maura et moi-même nous nous sommes écrit durant des mois. J'avais pleins d'amie à l'école, mais aucune ne l'égalait. Nous étions tous les soirs au téléphone, puis plus les jours avançaient, moins on s'écrivaient, moins on s'appelaient. Nous avancions dans des chemins différents après avoir marchés ensemble durant 13 ans. Quand on s'en rend compte, c'est très difficile, mais avec le temps ça passe. Ça passe toujours. Mais ce que personne ne sait, c'est que j'ai toujours gardé une photo de Maura et moi dans ma chambre, dans un petit cadre. Elle est mon Londres à moi. J'ai construis mon adolescence ici même, j'ai eu mes premières histoires d'amour, des petites copines par-ci par-là, des petites fêtes mais je n'ai jamais perdu mon envie d'étudier. Mon envie d'apprendre toujours plus, d'être le meilleur. Ainsi, au lycée j'ai travailler comme un forcené pour avoir mon diplôme, que j'ai eu avec mention très bien. Que rêver de mieux ? Je me souviens même que ma petite sœur qui entrait tout juste au lycée m'avait demandé de l'aider pour ses devoirs le soir, et je n'avais évidemment pas refusé. J'aimais être là pour elle, à n'importe quel âge, je voulais être là tout le temps pour elle. Après l'obtention de mon diplôme, j'ai rejoins l'université de Phoenix pour des études de médecine. Oui, de médecine, ça me trottait depuis quelques années en tête sans que je n'en parle à personne. Et c'est ma mère qui fut la plus ravis, puisqu'elle aussi était médecin. J'avais le soutien donc j'avais besoin, que demandez de plus ? C'est d'ailleurs durant mes études de médecine, à ma deuxième année donc à l'âge de 19 ans que j'ai rencontré une fille. Vous savez, LA fille. Une rencontre banale dans les couloirs de l'université bondé d'étudiants, mais non, c'est elle que j'ai vu. Rapidement nous avons prit contact et nous avons parlé durant des soirs d'affilés sans jamais s'arrêter. Puis nous nous sommes vu, et les choses sont allés dans le sens qu'elles devaient aller. Nous nous sommes mis en couple, et depuis nous sommes toujours ensemble. Elle, elle vivait dans un petit appartement dans le centre de Phoenix, et c'est donc naturellement que je passais le plus clair de mon temps chez elle, plutôt que chez mes parents. Bien que je les voyais très souvent et qu'ils connaissaient tous ma nouvelle copine. Et malgré ça, rien ne m'a fais dérapé de mon cursus, je possédais toujours les meilleures notes de mon domaine.
C'est à ma dernière année d'études de médecine, à 24 ans, que j'ai eu l'envie de retourner à Londres. En faite, mon internat en chirurgie devait commencer d'ici l'année prochaine, et je me devais de trouver un hôpital ou faire mon internat, et j'ai pensé à Londres. Pourquoi ne pas retourner à Londres ? De ce fait, j'en ai discuté avec ma copine, devenu ma fiancée une année auparavant, si elle souhaitait me suivre pour que l'on emménage ensemble là-bas. Et vous savez quoi ? Elle à dit oui. Elle avait terminé ses études, et elle avait décidé qu'elle se trouverait un travail là-bas pendant que moi je ferais mon internat. Lorsque je l'ai annoncé à ma mère, elle a d'abord était énervée que je m'en aille aussi loin mais finalement, elle a finit par être contente. La seule qui a eu du mal avec cette annonce, c'est ma sœur. Elle voulait même venir avec moi et ma fiancée, or elle avait ses études à terminer. C'est donc à l'âge de 25 ans que je quitte les États-Unis, pour faire le chemin inverse et retourner à Londres. Retrouver mes racines, mon pays, ma ville... et autres.
Bienvenuuuuue sur le forum. Merci encore de prendre mon scénario et comme dit dans le scénario, tu n'hésites pas à me harceler par mp si tu as la moindre question concernant tout.