(✰) message posté Jeu 1 Mar 2018 - 16:37 par Invité
Zoella Safia Brixton
London calling to the faraway towns
NOM(S) : À l'origine, c'était Kahldi. Mais, lorsque mes parents sont décédés et qu'on m'a envoyée vivre ailleurs, j'ai adopté le nom Brixton par choix. PRÉNOM(S) : Zoella, le prénom anglais choisi par ma mère biologique et Safia, le prénom arabe choisi par mon père biologique. Le premier était celui de mon arrière-grand-mère maternelle et le second était celui de mon arrière-grand-mère paternelle. Un prénom arabe qui signifie sagesse. ÂGE : 23 ans. Je viens tout juste d'avoir mon diplôme et de me trouver un boulot dans mon domaine. J'ai eu de la chance.. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Un certain 24 juin, juste ici. Je suis née à Londres et j'espère ne jamais avoir à partir. NATIONALITÉ : Anglaise, avec des origines Algérienne qui remontent à deux générations . STATUT CIVIL : Célibataire aux attentes beaucoup trop élevées, dictées par des romans de fiction, pour se caser. MÉTIER : Institutrice en maternelle, auprès d'un groupe 4-5 ans. TRAITS DE CARACTÈRE : Généreuse, je n'hésite pas à offrir de mon temps pour aider quelqu'un qui en a besoin. Douce et maternelle, j'aime prendre soin des gens autour de moi. Bonne vivante, je suis toujours heureuse et optimiste. Je trouve un bon côté à tout. Studieuse, j'ai toujours le nez plongée dans un bouquin. Il m'arrive de lire des atlas pour le simple plaisir d'apprendre, mais le plus souvent, c'est vers les histoires romantiques que je me tourne. On peut donc aussi dire que je suis rêveuse, toujours la tête dans les nuages. Curieuse, aussi et même un brin naïve. Maladroite et orgueilleuse, ce qui ne se marie pas très bien. Ça me prend un moment avant de me remettre de mes gaffes et pourtant, elles sont très nombreuses. Et pour terminer en beauté, on me reproche souvent d'être coincée. Je ne tolère pas l'alcool et je suis toujours la rabat-joie qui demande aux autres de faire moins de bruit ou de faire attention au ménage.GROUPE : Walk on a line.
My style, my life, my name
Quand je suis née, je m'appelais Zoella Safia Kahldi. Mais, pour faire court, un incendie a tout fichu en l'air et maintenant, je m'appelle Zoella Safia Brixton, nom hérité de mes deux nouveaux papas. ►Je suis née fille unique, mais je fais maintenant partie d'une grande fratrie que j'aime plus que tout. Je fais aussi parti d'un second groupe, tout aussi important que le premier. Mes insupportables et adorables colocataires pour qui je serais prête à tout. ► Et ce n'est pas tout. J'ai aussi une chienne, Poppy, que j'ai adopté il y a près d'un an. Elle est aveugle, mais ça ne l'empêche pas de me suivre chaque matin pendant que je cours. ► Je cours, mais il s'agit du minimum de sport que je pratique. Je le fais uniquement pour être assez en forme pour survivre à mes journées auprès de jeunes enfants énervés. ► Je ne suis pas une athlète et, malgré un mince talent pour la peinture, je ne suis pas une artiste. Je suis plutôt une intello. Mon regard est toujours dirigé vers un bouquin, qu'il s'agisse de littérature classique, de magazine ou d'un atlas. Je lis de tout pour attiser ma curiosité insatiable. ► Comme projet de fin d'étude et en attendant de me trouver un boulot, j'ai fait un voyage humanitaire au Mali. Je donnais des cours à des jeunes de Nara le matin et l'après-midi, lorsque le soleil tapait trop fort, je jouais avec eux ou je leur lisais des histoires. ► Aider les gens a toujours fait parti de mon quotidien. Je suis bénévole à l'hôpital depuis le début de mon adolescence. Au début, j'y allais surtout par plaisir. Puis c'est devenu une vocation et sans que je m'en rende compte, je me suis mise à y passer toutes mes soirées. Maintenant, je ne m'y rends que le dimanche et je dois avouer que ça me manque un peu ► En ce moment, je suis suppléante pour une école de mon quartier. J'ai eu de la chance en décrochant ce poste. Toutefois, il est temporaire. L'enseignante est partie en congé de maternité et lorsqu'elle reviendra dans sept mois, elle reprendra sa place. ► À part le travail et le bénévolat, j'aime bien cuisiner. Je le fais dès que j'ai un moment libre. Je m'enferme dans l'immense cuisine de la villa et j'improvise un plat pour mes colocs, lorsqu'ils décident de rentrer. ► Je suis très gourmande, ce qui tombe bien vu la quantité de pâtisseries que je peux cuisiner en une semaine. Et ce que j'aime plus que tout, c'est de manger mes créations en écoutant des séries télé sur Netflix. ► Les murs de ma chambre sont tapissés de bibliothèques, toutes emplies de livres que j'ai lu. J'ai mis plus de dix ans à assembler ma collection et j'en suis très fière, raison pour laquelle la porte de ma chambre est presque toujours verrouillée.
PSEUDO : Firefly. PRÉNOM : Carly. ÂGE : 19 ans, très bientôt 20 PERSONNAGE : inventé. AVATAR : Gigi Hadid. CRÉDITS : écrire ici. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Je m'en souviens même plus . CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE ?: Non.
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(✰) message posté Jeu 1 Mar 2018 - 16:37 par Invité
At the beginning
CHAPTER ONE ► The calm before the storm. Je ne suis pas née dans un château, loin de là. Moi et mes parents habitions un petit appartement, à peine assez grand pour nous trois et mon chien. Pourtant, j’avais l’impression d’être une princesse. Étant fille unique, tout le monde autour de moi était aux petits soins. J’étais gâtée par mon père et ma mère, même si elle faisait comme si ça l’ennuyait, s’amusait de la situation. Elle ne pouvait pas lui en vouloir réellement, car elle n’était pas mieux que lui. Chaque soir où il travaillait tard, ce qui arrivait souvent, elle me préparait des pancakes pour le souper. Nous les mangions toutes les deux dans le salon, devant un film que je choisissais. Lorsque mon père rentrait quelques heures plus tard, il me trouvait endormie sur le divan. Ma mère lisait un roman sur le fauteuil tout près de moi. À chaque fois j’étais réveillée par le craquement de la porte d’entrée. Pourtant, je restais immobile. Je faisais semblant de dormir, laissant mon père me prendre dans ses bras pour me porter à ma chambre. Il me donnait toujours un baiser sur le front, puis il me souhaitait de faire de beaux rêves. Je m’endormais au moment même où il fermait la pièce tellement j’étais paisible. Ces soirées-là étaient mes préférées. Je n’en voulais pas à mon père de travailler plus tard, car ça me permettait de passer un peu de temps avec maman qui, elle, était de service les fins de semaine. C’était un partage équitable. Un équilibre parfait. Une routine que je n’aurais changé pour rien au monde. Mais ce n’était pas à moi d’en décider.
CHAPTER TWO ► Falling appart. En une nuit, tout a basculé. Ma vie si paisible est devenue chaotique. L’appartement, dans lequel j’aurais pu me balader les yeux voilés, était méconnaissable. La fumée était si opaque que je peinais à voir à plus d’un mètre devant moi. Mais ce n’était pas mon plus gros souci. De toute façon, le gaz me brûlait les paupières lorsque je les laissais ouvertes trop longtemps. Mais les flammes, elles, me préoccupaient. Comme je gardais les yeux obstinément fermés, je ne les voyais pas. Par contre, je les entendais. Leur crépitement semblable à un coup de feu me faisait l’effet de détonations et la chaleur qui s’en émanait me donnait l’impression d’être à deux pas du soleil. Et pourtant, il faisait nuit. Quelques minutes à peine plus tôt, j’étais entrain de dormir paisiblement, sans me douter du changement qui approchait. Maintenant, je me tenais face à un couloir enflammé, impossible à traverser. De l’autre côté, je pouvais entendre ma mère hurler. Un son aussi effroyable qu’inhumain et dont les décibels me martelèrent les oreilles, bien plus que le crépitement. Mon père, lui, me hurlait de partir. Il ne me dit pas où aller. C’était inutile, je le savais déjà. On avait parlé quelques fois du plan de secours en cas de catastrophe. Étape un, condamner toutes les portes et fenêtres. Étape deux, sortir par l’escalier de secours qui se trouvait au bout du corridor, à quelques mètres à peine de ma porte. Un plan tout simple, mais que j’eus du mal à suivre. Mes oreilles, à force d’endurer toute cette cacophonie, sillaient et la fumée qui commençait à envahir mes poumons me forçait à tousser si fort que je n’entendais plus l’agonie de ma mère. Bientôt, je fus plongée dans un monde de silence. J’entendis le son étouffé d’une chute. Je ne savais pas s’il s’agissait de mon père ou d’une poutre. Je n’avais pas envie de le savoir. Par contre, je savais qu’il était bien trop tard. Je tournai donc les talons de manière robotique. En m’éloignant, je pus jeter un dernier coup d’œil sur une photo accrochée au mur. Celle du mariage de mes parents. J’étais au centre, vêtue d’une jolie robe de princesse. Ma mère, elle, ressemblait à une reine et mon père me semblait être l’homme le plus heureux au monde. Refusant de laisser ce vestige du passé mourir aussi, je m’en approchai malgré le feu qui progressait trop rapidement. Je tendis la main vers le cadre, mais un hurlement arrêta mon geste. Cette fois, il était rauque. Un cri étouffé et grave qui semblait sorti tout droit d’outre-tombe. Le son suffit à me sortir de mon état de choc. Je hurlai à mon tour, puis je pris mes jambes à mon cou. Mais, alors que j’étais à un mètre de la fenêtre qui débouchait sur l’escalier, je trébuchai. Je m’affalai de tout mon long et les ténèbres s’insinuèrent en moi. Mes yeux se fermèrent et le monde redevint silencieux.
CHAPTER THREE ► shattered heart. Lorsqu’ils s’ouvrirent à nouveau, j’étais dans un endroit qui m’était inconnu. Mais, à en juger par le manque de confort du lit et la raideur des draps délavés, je devinai qu’il ne s’agissait pas de mon lit. Ni de celui d’une de mes amies chez qui j’aurais pu aller dormir. Mes sourcils se froncèrent, signe à la fois d’incompréhension et d’inquiétude. J’ouvris les yeux un peu plus grands, puis je jetai un regard sur les quatre murs qui m’encerclaient. Ils étaient tous fades, sans grande personnalité malgré les quelques décorations qui y avaient été accrochées, dans un effort pathétique d’apporter un peu de fraicheur au lieu. À ma droite, il y avait une fenêtre de laquelle je pouvais apercevoir quelques buildings. Je devinai ainsi que je devais être au cinquième ou au sixième étage d’un immeuble, alors que notre appartement n’était qu’au deuxième. À ma gauche, il y avait plusieurs machines étranges, elles aussi en hauteur. Certaines allumaient, d’autres émettaient de petits sons réguliers. Je réalisai rapidement qu’il ne s’agissait pas seulement d’une décoration. J’étais dans un hôpital et visiblement, j’étais ici à titre de patiente. Je jetai un regard affolé aux tuyaux reliés à mon bras, puis je me redressai d’un bond. « Papa? » Appelai-je, avant de retomber brutalement dans mon lit. Mon mouvement brusque avait suscité une douleur immense dans ma jambe. Je poussai un cri de surprise malgré moi et, réalisant que je ne pouvais bouger sans me tordre de douleur, les larmes commencèrent à couler sur mon visage. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait malgré mes dix ans. Je n’étais plus une gamine, maman me le disait toujours. Pourtant, je me sentais démunie et impuissante. J’avais besoin de mes parents, mais ils n’étaient pas à mes côtés. Et ils ne le seraient plus jamais.
CHAPTER FOUR ► The best is yet to come. Ce ne fut qu’après mon 59e livre qu’on m’annonça enfin une bonne nouvelle. « Chérie, nous aimerions que tu restes ici plus longtemps. » La phrase fut lancée après une minute de silence qui m’avait parue éternelle. Sa nervosité était si grande que je pouvais voir le bout de ses doigts s’agiter. L’homme assis à ses côtés posa une main rassurante sur son épaule avant d’ajouter : « Enfin, si tu le veux. » Confuse, je les observai un à un. « Combien de temps? Un mois? Deux mois? Est-ce que je ferai ma rentrée ici? » Ma réponse arracha un rire à papa Brixton, comme je l’appellerais bientôt. Un rire empli de tremblements, mais heureux. Je ne voyais pas en quoi ma question faisait rire. « Pour toujours. » Et cette fois, c’est moi qui se mit à rire. Un rire énergique, qui ressemblait davantage à une série de cris de joie qui vinrent bientôt se mêler à quelques larmes. J’étais heureuse, mais en même temps, je me sentais coupable. Je pensais à mes parents. Je me demandais ce qu’ils auraient pensés en apprenant que j’étais sur le point de les remplacer, alors que mon deuil n’était pas complètement terminé. Mais mes inquiétudes furent chassées par l’étreinte chaleureuse dans laquelle je me retrouvais piégée. Mes papas s’étaient levés sans que je m’en rende compte, puis ils étaient venus me serrer dans leurs bras. À ce moment, j’étais aux anges, au point où la chaleur de leurs bras me fit presque oublier les deux dernières années.
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(✰) message posté Jeu 1 Mar 2018 - 16:52 par Invité
(re) bienvenue & bon courage pour ta fiche
Ethan I. Hemsworth
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(✰) message posté Jeu 1 Mar 2018 - 16:59 par Ethan I. Hemsworth
Re-bienvenue
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(✰) message posté Jeu 1 Mar 2018 - 17:13 par Invité
Merci vous deux
Alycia Hemsworth
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(✰) message posté Jeu 1 Mar 2018 - 17:58 par Alycia Hemsworth
N'oublie pas de mettre ton choix d'avatar sous ton titre s'il te plaît. Re-bienvenue En cas de besoin n'hésite pas
Jake O. Cavendish
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(✰) message posté Jeu 1 Mar 2018 - 19:53 par Jake O. Cavendish
(re)bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche n'hésite pas si tu as des questions
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(✰) message posté Jeu 1 Mar 2018 - 19:55 par Invité
re-bienvenue et bon courage pour ta fiche!
Abigail E. Reynolds
no one knows what tomorrowholds, all we got is here and now.
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(✰) message posté Ven 2 Mar 2018 - 2:50 par Abigail E. Reynolds
re-bienvenue apparemment :)
Rioja Ibanez
maybe i belong among the stars.
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(✰) message posté Ven 2 Mar 2018 - 2:58 par Rioja Ibanez