"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Il était une fois ... Pia & Adrian 2979874845 Il était une fois ... Pia & Adrian 1973890357
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Il était une fois ... Pia & Adrian

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() message posté Dim 6 Juil 2014 - 9:58 par Invité
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Pia & Adrian


Enfin ma pause déjeuner ! J'en avais tellement besoin pas seulement parce que mon estomac criait famine mais ... aussi et surtout ... parce que cette journée était catastrophique, je ne sais pas si j'avais la poisse ou bien si on m'avait jeté un sors mais rien ne fonctionnait comme il le fallait depuis que j'avais posé le pied parterre ce matin. Et donc j'avais bien besoin d'une pause. Pour commencer, je m'étais gamelé en faisant mon jogging au parc, je n'avais pas vu cette énorme racine sortir du sol et bien évidemment je me l'étais prise en beauté. Je dois avouer que j'avais du faire la plus belle des galipettes de toute ma vie. Ensuite, le plombier qui était passé la semaine dernière et qui m'avait demandé 350 euros pour la réparation avait bien dû se payer ma tête, car à nouveau mon chauffe-eau déconnait à plein régime et ma douche fut glacée. Mais pourquoi me plaindre du froid, après tout, ensuite j'ai trouvé de quoi me réchauffer puisque mon chat à eu la bonne idée de me renverser mon bol de café brûlant sur les cuisses.

Non, décidément ce n'était pas mon jour aujourd'hui et tout cela n'était que le début de ma journée, à l'hôpital ce n'était guère mieux. Une patiente qui se faisait un trip énorme m'avait mordu, un enfant qui avait ingéré deux billes avait eu la bonne idée de m'asséner un bon coup de pied dans le genou etc ... je n'allais pas lister tout ce qui avait pu m'arriver car cela me démoralise un peu plus. Et puis à présent, j'étais assis à la terrasse de mon restaurant préféré, j'allais pouvoir me remplir le ventre mais surtout déguster l'un de mes plats préférés.

Enfin ... c'est ce que je pensais ... mais rappelez-vous aujourd'hui est surement l'une des pires journées de ma vie et ce depuis très longtemps. Alors ... pourquoi aurais-je le droit à un déjeuner paisible et délicieux. Non c'était un rêve. Car soudain, sur le trottoir d'en face je vis une jeune femme s'écrouler sur le trottoir, une autre passante ce mit à hurler comme si cela allait aider. Je ne pouvais bien sûr pas faire comme si de rien n'étais alors comme tout chevalier le ferait ou comme tout médecin devrait le faire, j'accourais vers la demoiselle. Me plaçant à genou à ses côté, je la retournai légèrement, celle-ci était inconsciente et avait gagné une jolie petite plaie sur le front. Je ne savais pas à quoi était du son malaise mais j'espérais que sa perte de conscience n'était pas du au choc. J'attrapais mon portable, appelais les urgences, les informant de l'incident et du lieu où je me trouvais pour qu'il m'envoie une ambulance. Pendant ce temps, je restais près de la demoiselle, très mignonne au passage, je faisais reculer les curieux pour qu'elle est de l'air et vérifiait ses constantes : son teint était pâle, son pouls faible ce qui me faisait penser que sa tension était basse et elle venait peut-être de faire un malaise vagal mais seul un check-up complet pourrait nous informer de son état de santé.  L'ambulance ne tardait pas à arriver, il faut dire que nous n'étions qu'à quelques kilomètres de l'hôpital. Je laissais les ambulanciers placer la demoiselle sur la civière et la monter à bord de l'ambulance, je montais avec eux. Tant pis pour mon succulent déjeuner, ce serait pour une prochaine fois.  Je voulais rester auprès d'elle, me sentant impliquer et préoccupé par son état.


Allons-y les gars ... ne traînons pas trop !

Car oui ! Je ne savais pas du tout à quel point sa chute avait pu être ou non brutale, on ne devait pas plaisanter avec un coup sur la tête, et même si cela était rassurant qu'elle ait une bosse il l'était moins qu'elle soit inconsciente, sauf si elle l'était à cause de son malaise mais cela voulait aussi dire qu'il y avait autre chose. Peut-être était-elle diabétique   ou enceinte ou .. il y avait tellement de possibilité. Les portes de l'ambulance se refermaient sur nous et celle-ci redémarrait.
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() message posté Dim 6 Juil 2014 - 16:17 par Invité
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J'étais là heureuse, marchant en direction de la galerie d'art qui voulait bien exposer quelques unes de mes photos. C'est le genre de choses dont j'étais très fière, mais pour le moment ce n'était qu'un simple rendez-vous formel pour que le gérant voie si mes photos peuvent aller avec le style de sa galerie. J'avançais à travers la ville depuis deux heures et j'étais assez anxieuse, j'avais sur moi mon ordinateur, mon Iphone et un appareil photo et une bouteille d'eau. J'avais également une tenue de rechange pour passer l'entretien. J'avais tout prévu depuis une semaine date à laquelle le gérant m'avait contacté. J'étais folle de joie à l'idée de pouvoir exposer mes oeuvres malheureusement de jour en jour le stress montant je n'arrivais pas à avaler le moindre aliment. Cela fait des années que j'ai des difficultés à manger et je ne pensais pas que ça allait me poser problème bien évidemment c'était sans compter sur ma chance. Je marchais tranquillement talon noir au pied et jean surmonter d'un manteau rose quand des bouffés de chaleur vinrent couper ma joie d'aller à ce rendez-vous après un instant d'hésitation j'avais décidé de continuer ma route cependant j'avais enlevé mon manteau et l'avais mis dans mon sac, je ne voulais pas être toutes transpirante en arrivant à la galerie. Quelques pas plus loin mes yeux s'embrument de tâches noires, j'avais à présent la tête qui tournait et je ne me sentais vraiment pas bien. Mes genoux n'arrivaient plus à porter mon poids et je sentais sous moi mon corps défaillir.

Une douleur à la tête venait me chatouiller l'esprit et petit à petit je me demandais ce qui avait pu m'arriver. J'essayais de faire l'effort d'ouvrir les yeux mais j'avais terriblement mal à la tête. Quand enfin je réussis à ouvrir mes yeux, une tête avec des cheveux poivre et sel se trouvait juste au -dessus de moi : La première chose que je remarquais c'est que cet homme au-dessus de moi était vraiment magnifique. Je repris conscience en secouant la tête machinalement de droite à gauche. J'entendais des sirènes au-dessus de ma tête, j'étais allongé dans un espèce de lit et quand je levai les yeux la première chose que je remarquai était que je me trouvais dans un endroit clos et que nous avancions dans les rues du centre de Londres. Après un grand effort de concentration je pouvais comprendre que j'étais dans une ambulance et j'avais quatre paires d'yeux fixés sur moi, l'homme sexy aux cheveux grisonnant et un autre qui était assis à côté de moi. Ma respiration s'accéléra d'un coup, j'étais dans une ambulance et de nouveau des bouffés de chaleur et la tête qui recommençait à tourner. Mon coeur semble vouloir foutre le camp de ma poitrine et j'ai peur de mourir. Je commence à vouloir m'enfuir d'ici, non je ne commence pas je le sais : Je veux fuir à toute jambe de cette putain d'ambulance, mais je suis comme paralysé et j'ai peur, peur de cet endroit. J'essaie d'entrouvrir la bouche, mais aucun sons ne sort alors je pleure comme une enfant à qui ont à dit que le père noël n'existe plus : parce que dans le fond ça fait mal. Je regarde l'homme qui se trouve au-dessus de moi et qui prend ma tension. A-t-il compris que je n'étais pas à ma place ici. Je pleure de plus belle quand l'ambulance prend un virage trop sec, je ne peux plus là. Je prends une grande respiration et serre la main de l'homme. Il me regarde et je murmure : « sortez-moi de là. » il ne regarde même pas dans ma direction. Je regarde mon bras gauche et remarque qu'une aiguille y est plantée, avec ma main droite j'enlève l'aiguille sèchement. Mes mains trembles tout mon corps tremble finalement je ne peux rester une seconde de plus ici. Toutes mes réflexions se passes en moins de deux minutes, je suis alerte depuis deux minutes et je ne me sens pas la force de me mettre debout et de fuir alors je pleure encore parce que j'ai peur et que je me sens à l'étroit ici et je panique. « SORTEZ-MOI DE LA ! » Je cris, je hurle, je me débats quand on essaie de me calmer. Je deviens hystérique et je pourrais tuer quelqu'un. Bizarrement je retrouve ma force et commence à me débattre, ma tête me fait encore mal et je ne comprends toujours pas comment j'ai pu atterrir ici. « Sortez-moi de là s'il vous plait. » Je ne parle à personne en particulier, mais je ne peux rester encore longtemps ici. Je commence à m'en prendre à moi-même je frappe tout ce que je trouve, mes jambes me font mal. Tout mon corps me fait mal et j'ai peur, je sais que je fais une crise d'angoisse, mais je ne peux rien y faire. D'un bon je me dirige vers la porte de l'ambulance que je souhaite ouvrir, une main me retiens et m'en empêche. « LAISSEZ MOI SORTIR OU JE VOUS TUE. »
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() message posté Jeu 10 Juil 2014 - 13:14 par Invité
Etre médecin n’avait rien de simple, de facile et cela peu importe la spécialité. Que l’on soit cancérologue, chirurgien, urgentiste voire même dentiste etc … A tous il nous arrivait d’avoir des journées de fous, à tous il nous arrivait d’avoir de patients très spéciaux que ce soit par leur maladie ou bien encore leur caractère, leur personnalité. Et autant je savais que cette journée était spéciale dans ma vie, car elle avait très mal commencée et ne s’était pas améliorée, autant j’ignorais complètement tout ce qui allait advenir et quel genre de fille je venais d’aider et tout ce que j’allais devoir faire et subir. Si j’avais su tout cela je pense que je serais gentiment resté allongé chez moi prétendant être malade.

Car aussitôt que nous avions, avec les ambulanciers, embarqué la jeune inconnue et son sac hyper lourd – à se demander si elle ne transportait pas toute sa vie avec elle – et que nous démarrions pour se frayer un chemin à travers la rue et les curieux, qui s’étaient amassés, pour atteindre le plus rapidement possible l’hôpital que la demoiselle reprit connaissance. Penché au-dessus d’elle je lui présentais un léger sourire, après tout elle ne me connaissait pas, je me voulais donc accueillant et rassurant. Bonjour Mademoiselle, je suis le Docteur Chase, vous avez eu un malaise …

Elle n’était pas très attentive à ce que je disais mais peut-être était-elle encore sous le coup de son malaise. Ou bien peut-être le choc sur la tête lui faisait mal ou bien encore peut-être se sentait-elle perdu il n’y avait rien d’anormal à cela. Mais alors que je lui expliquais la situation. et …. Nous vous emm….Mademoiselle ?! Eeh vous allez bien ? Qu’elle semblait de nouveau mal, son visage se transformait, elle semblait ne pas aller bien mais surtout elle semblait avoir peur, même carrément paniquée. Je peux comprendre que c’était étrange de se réveiller entourée d’un personnel médicale et à bord d’une ambulance mais c’était bien la première fois qu’il voyait cette sorte de frayeur dans les yeux de quelqu’un. Après tout ce n’était pas un enlèvement. Nous étions là pour elle et puis je venais de tout lui expliquer et cela avec ma voix la plus douce et mon plus doux et délicieux sourire. Elle se mit alors à pleurer, on aurait dit une enfant en panique, pourtant il n’y avait pas de quoi et l’ambulancier qui reprenait sa tension fit une drôle de tête. Son cœur battait bien vite, trop vite … que lui arrivait-elle ? Un autre malaise ? Eeh jeune fille … calmez-vous … chuuuut Doucement je passais ma main sur son front pour essayer de la rassurer, de l’apaiser, mais ça ne semblait pas avoir d’effet. Je lui demandais alors. Mademoiselle … êtes-vous atteinte d’une maladie ?

Je cherchais à savoir ce qui pouvait bien lui arriver. Mais elle ne me répondais pas, au lieu de cela, elle s’agitait encore et toujours plus puis elle se mit à crier. Elle demandait à sortir. J’avais remarqué que le virage que nous avions pris l’avait rendu encore plus apeurée voire hystérique au point d’hurler de la laisser sortir malgré son état. Elle venait même à nous menacer de nous tuer. Etait-elle sous le coup d’une drogue ou bien avait-elle tout simplement peur des transports. Je ne le savais pas mais nous ne pouvions continuer ainsi. Elle risquait d’être dangereuse pour elle mais aussi pour nous tous.

Arrêtez ! Je regardais les ambulanciers puis je plusieurs coups contre la cloison du véhicule. Et hurlais un peu plus fort pour le conducteur. ARRÊTEZ-VOUS TOUT DE SUITE !!!!

Il fallait que je la sorte de là. Sinon elle pourrait nous faire un malaise plus grave ou autre chose encore. Etait-elle capable de nous tuer ? Possible. Après tout elle avait pu ingurgiter une de ses merdes qu’on trouve dans la rue. L’ambulancier ouvrait la porte arrière et je me relevais je glissais mes deux bras sous la demoiselle et la soulevais pour la mener dehors.

Oki … Ecoutez ! Nous sommes dehors … ça va mieux ? Je vais vous poser sur le sol mais … vous me promettez de vous calmer et de ne pas vous sauver ?

Ma voix était toujours posée et plutôt douce mais elle se voulait aussi un peu plus sèche, car je voulais qu'elle m'écoute avec attention et qu'elle se calme. Car je voulais bien la sortir de l’ambulance mais je ne voulais pas la laisser partir, elle avait-eu un important malaise dont je ne connaissais pas la raison. Puis elle avait une belle égratignure sur le front qu’on devait soigner, de plus elle s’était cogner très fort la tête, il fallait qu’elle passe un scanner et d’autres tests. De plus au vue de sa crise je ne pouvais décemment pas la laisser partir comme ça. Il fallait qu’elle aille à l’hôpital d’une manière ou d’une autre. La tenant toujours dans mes bras j’attendais une réponse de sa part. Ne quittant pas ses yeux du regard.
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() message posté Lun 14 Juil 2014 - 19:48 par Invité
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Une fois que je l'ai menacé tout s'est passé très vite, l'homme qui essayait de me calmer depuis le début frappa à plusieurs reprises la cloison qui nous séparer du conducteur de l'ambulance pour lui ordonner de s'arrêter. A partir de cet instant je ne voyais plus rien, je savais juste que j'allais être dehors et donc je voulais seulement y être. J'étais toujours en panique et tant que je n'aurais pas un pied sur le sol, je ne pourrais pas être dans mon état normal. L'homme glissa ses mains sous moi et me leva comme une plume, il franchit la porte de l'ambulance rapidement et j'étais toujours apeuré, les larmes aux bords des yeux et paniqué. J'avais du mal à retrouver ma respiration et quand il m'adressa la parole une fois à l'extérieur ça devait être la première fois que j'entendais clairement sa voie. « Oki ... Ecoutez ! Nous sommes dehors ... ça va mieux ? Je vais vous poser sur le sol mais ... vous me promettez de vous calmer et de ne pas vous sauver ? » Je levai les yeux pour la première fois sur lui et son regard bien que doux semblait inquiété. Il devait me prendre pour une folle, il devait se dire que j'étais une gamine qui venait de prendre tout ce que Londres pouvait m'offrir et que de ce fait j'étais shooté à une saloperie d'où ma crise de folie. Je me souvenais très bien l'avoir menacé de mort et ce n'était pas la première fois que je me retrouvais dans des transports en commun alors que je ne le supportais pas. Ce n'était pas ma première crise et elle ne sera sans doute pas la dernière (malheureusement).

Je le regardais et j'étais plutôt étonnée de voir un homme aussi sexy que lui. Il avait quelques années de plus que moi, mais je lui aurais bien mis le grappin dessus si seulement il n'était pas en train de me prendre pour une folle. Je lui chuchotai un « promis » et il me posa gentiment sur le sol, j'avais la tête qui me faisait affreusement mal et j'avais un équilibre incertain sur mes deux pieds. Machinalement je me laissai tomber sur le sol et je commençais à reprendre mon souffle. L'homme était toujours là veillant comme un père sur sa fille et je me demandais ce qu'il voulait. Je ne me souvenais de rien et je ne comprenais pas pourquoi un homme aussi séduisant que lui restait avec une parfaite inconnue alors qu'il y avait pour elle une équipe d'ambulancier. « Désolé pour la menace de mort. Vous devez me prendre pour une folle... » J'avais déjà la tête basse complètement honteuse de ce comportement bien que la raison de ma folie soit explicable. « J'ai la phobie des transports en commun, parfois je me dis que je devrais me le faire tatouer pour prévenir. » Il était là débout et il me regardait en écoutant. « Merci pour votre temps, mais je me sens mieux. Je vais pouvoir rentrer chez moi. » Bon j'allais sans doute devoir aller à pied jusqu'à l'hôpital ou aller dans une pharmacie pour me faire soigner la plaie que se trouve sur mon front (mon top était tâché de sang) mais, il était hors question que je remonte dans cet engin de la mort. Je jetais rapidement un coup d'oeil à mon sauveur avec un léger sourire « Encore merci à vous. » Je le regardais un moment avant de me rendre compte qu'il n'avait pas l'intention de me laisser là seule. Que me voulait-il ? « Je vais bien, vous n'avez pas besoin de rester. »


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