"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici you love to hate me + lioba - Page 2 2979874845 you love to hate me + lioba - Page 2 1973890357
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() message posté Sam 29 Avr 2017 - 21:27 par Invité

In time we hate that which we often fear. ✻✻✻ La douce Lioba se transformait devant ses yeux en une fille violente dans ses propos, presque dangereuse, elle jouait avec la mort, elle la souhaitait pour son père, pour sa mère ; elle était admirable, il ne parvenait pas à détacher son regard de sa silhouette, pas seulement à cause de sa beauté mais grâce à ses mots, son impulsivité. Son discours lui arrachait des frissons, il était fascinés par ses mots, par ses phrases et par sa volonté de fer même si il savait qu'elle n'allait pas aller au bout de ses pensées, qu'elles n'étaient que dans sa tête et ne dépasseraient jamais ce stade, qu'elles ne deviendraient jamais physique mais lui il pouvait les matérialiser si elle le souhaitait. Il n'était pas violent, même plutôt pacifique, il préférait régler ses conflits par l'alcool, la drogue ou le sexe mais il savait taper du poing sur la table, il savait attraper un homme par le col et le rouer de coups dans certaines situations et peut-être que cette situation se présentait à lui tout de suite, mais Lioba elle ne connaissait pas sa vraie vie, sa vie de mafieux et de proxénète, sa vie pourtant si étroitement liée à la sienne. Il avait secoué la tête pour se sortir de ses pensées, s'obliger à détacher son regard du doux visage de son interlocutrice dont les lèvres laissaient passer des atrocités. « Na… J’ai juste pas envie de m’attacher à lui, justement parce que je vais devoir retourner en Italie et épouser un connard qui pue d’la gueule. Et j’ai pas envie de souffrir. Ou de le faire souffir. » Cole avait explosé de rire, putain de merde ça se faisait encore les mariages arrangés ? surtout avec un connard qui pue d'la gueule ? Parce que les italiens plutôt beaux gosses c'était pas rare, ils avaient le sens de la mode dans ce pays alors ses parents auraient pu faire un effort sur le choix du bonhomme. Mais le comportement de la jolie blonde était lâche, à l'image de Cole, c'était effrayant, lui aussi il fuyait l'amour alors qu'il le frôlait du bout des doigts, la douce Heather qui n'avait pourtant d'yeux que pour lui et il foutait tout en l'air à coucher à droite et à gauche, mais elle méritait mieux que lui, mieux qu'un mafia proxénète qui traînait dans des histoires douteuses, elle ne méritait pas de souffrir. « Ne retournes pas en Italie si t'as pas envie, Lioba, qu'est-ce que tu prend la tête ? » et il avait raison, il connaissait la mafia et savait que son père pouvait l'obliger à tout ça mais elle pouvait fuir avec son amour au lieu de fuir lâchement toute seule, à deux c'était mieux, c'était plus rassurant « et tu l'emmerdes ton père. » ça paraissait si simple venant de sa bouche, et peut-être que ça l'était si les gens apprenaient à combattre leur peur de l'inconnu, de tout quitter, mais elle avait déjà tout quitté en venant à Londres non, elle pouvait certainement recommencer si elle puisait la force dans son amour à ce Kylian. « En plus les pizzas c'est dégueulasse. » cliché ambulant, mais non il n'aimait pas les pizzas comme il n'aimait pas l'italie, le tout était effectivement lié. Il refusait de bouffer de la pizza, ça le dégoutait, il pourrait en vomir à l'idée même d'y penser. Par contre si quelque chose de l'Italie ne le dégoutait pas c'était bien la douce Lioba qu'il avait allongé sur son lit afin de la chatouiller, elle avait besoin de ce changer les idées, un besoin urgent. Elle avait déposé un rapide baiser sur ses lèvres, lui arrachant un sourire, c'était pas suffisant pour la distraire ça. « Sexy, c’est pas difficile de l’être plus que lui. Vraiment pas. » il n'en doutait pas une seule seconde, vraiment pas. Il glissait sa main le long de son bras avant de se pencher au dessus de son visage pour appuyer ses lèvres contre les siennes, son autre main se faufilait malicieusement sous son haut, il s'était arrêté quelques secondes « j'en doute pas une seule seconde. » avant de reprendre son baiser.

✻✻✻
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() message posté Lun 1 Mai 2017 - 11:06 par Invité
T’es peintre. Normalement, avoir l’image en entier, c’est ton boulot. Ne pas prendre des petites choses sans regarder ce qui se passe autour. Être objective sur les choses, voir le tableau complet d’une situation avant de le peindre, oui, c’est ça que tu devrais faire. Et tu devrais faire pareil avec ta vie. Ta relation avec Kylian, c’est tellement, tellement important quand t’es face à lui, que tu penses à rien d’autre. Alors qu’aujourd’hui, ce matin, c’est tellement secondaire. Pas secondaire, non, juste moins difficile. T’es celle qui dit aux autres qu’elle refuse de s’attacher, mais y’a tellement de monde, tellement de personnes à qui t’es déjà attachée, bien trop pour les laisser, et repartir vivre ta vie d’or et de champagne dans ta Sicile natale. Goliath, Shiraz, Solal, Juls, Kylian. Et puis Cole aussi, un peu. Parce que Cole, t’es pas attachée à lui, pas comme les gens pourraient penser que tu l’es. Mais depuis ce matin, t’as cette impression bizarre que tu peux tout lui dire, qu’il comprend, qu’il écoute, qu’il enregistre et qu’il réagit. En ta faveur. Quand tu critiquais tes parents, jeune, les gens réagissaient jamais en ta faveur, toujours en la leur. Tu finissais punie dans ta chambre à pas avoir droit au dessert. Alors que t’adorais le dessert. Tu lui parles, à Cole, de Kylian. Et tu comprends pas forcément qu’il explose de rire, mais tu t’en fous, pourquoi pas. C’est une réaction comme une autre. Après tout, tu peux comprendre. Ta famille a l’air de sortir tout droit d’un conte médiéval parfois. Tu comprends pourquoi elle s’est cassée, ta soeur. Tu comprends que t’es en train de faire la même chose. Tes frères aussi, ils devraient se casser. Parce que t’as pas envie qu’ils finissent comme ton père. Oh non. Tu veux pas. Et t’as peur. “Ne retournes pas en Italie si t'as pas envie, Lioba, qu'est-ce que tu prend la tête ?” C’est à ton tour de lâcher un petit rire, cynique, ironique. Pas bruyant, juste présent. Parfois putain, il a pas idée. Ton père a proposé de t’envoyer ici, ton père peut te faire revenir quand il veut. Il irait jusqu’à envoyer le plus petit frère, celui que t’aimes, que tu protégerais contre ta propre vie pour qu’il te demande de revenir. Parce que ton père, c’est un connard. Et que jouer sur les émotions, ça lui fait pas peur. Ça lui a jamais fait peur. “et tu l'emmerdes ton père.” T’hôches la tête. Ouais. Ce serait tellement beau que tu puisses lui faire un bras d’honneur et que tu te casses loin d’eux. Mais tu peux pas, Lioba, parce que t’as peur. T’as peur pour tes frères. Alors quelques secondes tu fermes les yeux, essayant de t’souvenir de leur visages. T’es pas parti y’a longtemps, mais ils te manquent eux. Eux deux. Juste eux deux.

En plus les pizzas c'est dégueulasse.” Choquée. C’est trop bon, les pizzas. Mais tu réagis pas, tu rigoles juste. Parce que c’est Cole, et que sortant de ses lèvres, cette phrase t’étonne que légèrement. La situation a changé d’atmosphère, rapidement. Parce que Cole, il est venu t’allonger sur le matelas, et que t’as pu aller trouver ses lèvres, rapidement. Que le fait que vous compariez ton degré de sexyness et celui de ton père dérange pas tant que ça. Et que c’est un moment que t’as pas envie d’arrêter. Parce que ça te changer de toutes ses putains d’idées noires et déprimantes qui te traversent l’esprit depuis que t’as commencé à parler de Sicile, de Palerme, de tes parents. Ses mains commencent doucement à explorer ta peau, comme la veille. Parce que c’est ce que Cole est, pour toi. Un gars avec qui passer du bon temps, avec qui te changer les idées. Et puis, c’est régulier, pas comme avec les autres. Y’a ce truc qui fait que tu restes, que tu comprends pas. Comme si un truc t’attirait à lui, plus qu’aux autres. Tu sais pas, tu comprends pas. “j'en doute pas une seule seconde.” Tu souris. Un petit sourire en coin. Et il t’embrasse Cole. Tu passes rapidement tes mains sur son dos. Tu l’ensercles, comme ça, dans une étreinte qui se veut pas étroite mais qui l’est, plus que tu l’imaginais. Parce que t’as besoin de quelqu’un qui te comprenne, là, maintenant. “Merci Cole.” Que tu lances, simplement, entre deux baisers. Parce que Cole, il a été plus utile ce matin que toutes les personnes que t’as pu rencontrer dans ce putain d’hosto dans lequel ils t’avaient envoyés, les connards.
so do you
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() message posté Dim 21 Mai 2017 - 18:11 par Invité

In time we hate that which we often fear. ✻✻✻ Si il ne tirait pas profit de leurs discussions il l'aurait déjà congédié cette jolie blonde, il n'aimait pas écouter les problèmes des autres alors qu'il cachait bien enfoui les siens, c'était pas le bon petit gars prêt à donner des conseils Cole, c'était plutôt celui à te dire de coller une balle entre les deux yeux de la personne qui te fait chier même si il aime pas la violence. Cole c'était le sentimental, le plus à l'écoute du squad, le plus humain, mais ça restait un mafieux, le genre de type pas franchement fréquentable ; Lioba il l'aimait bien, cette italienne qu'il aurait du étrangler très fort en serrant ses mains autour de son cou avant de s'attacher, mais Lioba elle était intéressant, elle parlait sans se douter qu'il cherchait à glaner des informations sur cette famille qu'elle détestait tant, et qu'un jour peut-être, le père Leary logerait cette balle entre les yeux du père de la jolie blonde. Il la congédiait pas non, il l'écoutait attentivement, il parlait, parfois il savait même pas ce qu'il disait, les mots franchissaient ses lèvres mais ça avait l'air d'être suffisant, il faisait acte de présence pour la jolie blonde, cette gentille et délicate jeune femme qui se transformait sous ses yeux en véritable tigresse sanguinaire à l'évocation de sa famille. Mais parfois elle restait silencieuse, l'empêchant de glaner plus d'informations et ça lui plaisait tout de suite moins à Cole, parce qu'il avait critiqué leurs pratiques meurtrières, la mafia c'était sa famille et il fallait bien s'amuser à jouer à la taupe pour leur donner de quoi agir, et avec l'italienne c'était lui la taupe mais quand elle se taisait il ne pouvait rien ramener. Et puis ça le faisait chier qu'elle ne réagisse pas, il n'aimait pas cette lâcheté dont il avait l'impression qu'elle faisait preuve, elle avait peur de son père, son silence le confirmait, lui il avait envie de cracher sur le sol en criant que son père était une vermine, qu'il ne valait rien contre la mafia irlandaise, qu'il ne fallait pas avoir peur de lui, mais elle n'était au courant de rien Lioba, alors il devait se taire et attendre. « T'es complètement flippée, la blonde. » il s'était reculé, avait mit fin aux chatouilles comme cette soudaine peur qu'il ressentait lui déplaisait, elle était forte Lioba mais il avait cette désagréable impression qu'elle devenait vulnérable sous l'emprise de son père, ça lui plaisait pas du tout à Cole, parce que lui il s'en était sorti à un âge bien plus jeune qu'elle, il avait vu les corps ensanglantés tomber devant ses yeux d'enfant et pourtant il vivait sa vie, il avait suivi Theodore plutôt que sa famille de sang « pourquoi il te fait flipper ton père ? il t'enfermait dans la cave quand tu faisais des bêtises ? » petit con à jouer avec les sentiments de la jolie blonde, peut-être même avec ses nerfs. Mais Cole il avait plus envie de tourner autour du poids maintenant, comme si ce sentiment de peur le faisait reculer plus qu'il n'aurait du, il s'en moquait des mains qu'elle glissait dans son dos ou de ses baisers, ou plutôt non, il s'en moquait pas, il mourrait d'envie d'y répondre, mais il pensait à autre chose « Merci Cole. », il venait de la sentir juste là, dans son ventre, la boule de stress qui se formait et qu'il redoutait tant merci cole, qu'est-ce qu'elle allait être déçue en apprenant la vérité, sans doute ressentirait-elle l'envie de lui mettre son poing dans la figure quand elle allait finir par tout découvrir, il aimait pas cette sensation d'anxiété qui naissait en lui, c'était pas un type bien à qui elle pouvait confier ses problèmes, auprès de qui elle pouvait trouver de l'aide « merci pour quoi ? » et quand il était anxieux il pouvait pas s'empêcher de jouer au con, de vouloir faire de l'humour raté « de t'avoir emmené au septième ciel ? ce fut un plaisir. »

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() message posté Sam 3 Juin 2017 - 10:47 par Invité
T'es complètement flippée, la blonde.” Putain bah ouais. Ouais, t’as peur de ton père ouais. Ouais, ça te fait chier ouais. Mais ton père, il t’a toujours fait flipper. Quelque part, ton père, il a cette aura qui fait que quand tu le vois, et que tu vois qu’il s’énerve, bah non, t’as pas trop envie de l’emmerder. Ni ta mère, d’ailleurs. Mais tu lui réponds pas à Cole. Tu lui réponds pas. T’oses pas trop lui dire que ouais, ouais, face à ta père, tu deviens une froussarde. Parce que t’aimes pas l’idée même, d’être une froussarde. Putain, cette idée te gonfle. T’as envie d’être forte, de pouvoir lui dire merde et de te casser, de t’libérer de tes chaînes oui. Mais tu peux pas, t’as l’impression que tu peux pas. Mais tu pourrais. Parce que grâce à Cole, t’as l’impression d’enfin pouvoir avoir une possibilité de le faire. De te casser. De leur faire un doigt d’honneur, à ta famille. Et de te casser. Pour de bon. De couper les ponts entre eux, et toi. Et t’aimes bien cette idée. Cette possibilité que tu commences à entrevoir, grâce à lui. A laquelle t’avais jamais réellement osé même penser. “pourquoi il te fait flipper ton père ? il t'enfermait dans la cave quand tu faisais des bêtises ?” Tu rigoles, doucement. Ironiquement aussi. Parce que non, il a jamais fait ça ton père. Mais quand t’y penses, tu t’dis qu’il en serait capable. Que peut-être même l’un de vous quatre, ta soeur, tes deux frère ou toi, l’avez déjà vécu, mais n’en avez pas parlé. Ne vous en souvenez plus. Alors t’es là. Devant Cole. Et tu réponds pas. Mais tu laisses s’échapper deux trois rires quand même. Parce que merde quoi. Ton père, il en serait capable, très clairement.

Mais le fait que tu te rendes compte que tu peux te rebeller contre eux. Que tu laisses enfin transparaître cette haine pour ton père, pour ta mère, c’est grâce à Cole. Grâce à cette unique conversation avec lui. Et c’est génial. Il est génial. Et alors naturellement, tu lui souris. Tu lui souris et tu le remercies. Oui, tu le remercies. Et tu te sens même pas diminué d’avoir remercié quelqu’un. Parce que merde, Cole, là, il t’a aidé. Réellement aidé. Alors tu lui souris. Et tu sais, tu te doutes que Cole, il va pas l’accepter aussi facilement ce remerciement. Mais tu t’en fous. Au moins, il l’aura entendu. “merci pour quoi ?” Et toi, tu souris. Il sait pourquoi. Il veut probablement pas se l’avouer. Pas s’en rendre compte. Parce que, probablement que Cole, c’est pas ce mec qu’aide les filles avec qui il passe des nuits en discutant avec elle. “de t'avoir emmené au septième ciel ? ce fut un plaisir.

Qu’il est con.

Tu rigoles. Tu le repousses d’au dessus de toi, et tu te lèves du lit, en rigolant. “Ouais, de ça. C’était génial d’ailleurs, comme d’habitude. Ceci étant dit et sur ces belles paroles, tu m’en veux pas, mais j’y vais. J’ai une cousine à retrouver, une grand-mère à laver, et très probablement deux ou trois bouteilles de vodka à m'enfiler.” Et tu te rhabilles rapidement. Ton pantalon, ton t-shirt, tout le reste. Et tu le regardes Cole, une fois habillée. “J’me laisserais plus faire Cole. Plus jamais.” Et t’as beau sourire, ton ton, il est sûr, sérieux. Jamais plus, tes parents, tu les laisseras te contrôler.
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() message posté Sam 3 Juin 2017 - 13:43 par Invité

In time we hate that which we often fear. ✻✻✻ Il s'en doutait qu'elle allait pas lui répondre, c'était pas simple d'admettre la vérité et cette vérité il la disait, aussi flippante et désagréable qu'elle était, parce qu'il connaissait les paroles de Lioba, parce qu'il avait été, et peut-être même qu'il l'était toujours, à sa place. Le père Leary le faisait flipper, ouais, ses frères aussi, parce qu'il était pas à leur hauteur, qu'il se servait pas de ses poings pour ôter des vies, c'était le mafieux le moins mafieux des mafieux, le Cole, ça lui collait à la peau cette réputation, mais il s'en contentait parce qu'il avait pas cette impression désagréable d'avoir du sang sur les mains. Parce que le sang ça tâche, et tu peux laisser tes mains dix minutes sous l'eau, une heure sous l'eau, tu peux frotter, t'auras toujours l'impression que t'as du sang sur les mains. Et cette sensation il voulait plus la retrouver Cole, alors il s'en foutait des regards désapprobateurs des mafieux sur ses agissements. Parce qu'il se faisait autant de frics, voire même plus, qu'eux avec son business, le proxénétisme ça marchait très bien, il s'en contentait, il avait pas besoin d'autre chose que du plaisir charnel. et de l'alcool. et de la drogue, mais en consommation personnelle. Alors il la regardait la jolie blonde, elle riait pour ne pas avouer, et lui il souriait comme un con parce qu'il avait glané des informations utiles, qu'elle le savait même pas, c'était dégoûtant de se servir d'elle, mais il devait bien garder un minimum de ce côté mafieux qui coulait dans ses veines, la mafia c'était son sang, il devait y faire honneur, au moins quelques fois. Par contre il aimait pas les remerciements, pas que ça lui filait de l'urticaire mais presque, elle avait pas à le remercier parce que ça restait un connard capable de la liguer encore plus contre son père, si ça pouvait le débarrasser, lui, de ces italiens. Son père serait fier. Lui, beaucoup moins. Il était pas fier, il était triomphant mais sa victoire avait un arrière goût amer parce que Lioba il l'appréciait un minimum et il avait l'impression de la trahir, c'était pas qu'une impression d'ailleurs. « Ouais, de ça. C’était génial d’ailleurs, comme d’habitude. Ceci étant dit et sur ces belles paroles, tu m’en veux pas, mais j’y vais. J’ai une cousine à retrouver, une grand-mère à laver, et très probablement deux ou trois bouteilles de vodka à m'enfiler. » et elle l'invitait même pas pour partager lesdites bouteilles, aucun sens de la convivialité ces italiens « t'es fichue au bout d'un verre, lioba banana. » parce qu'elle était pas russe après tout, elle avait certainement pas leur résistance à l'alcool et ouais, le Cole il faisait dans les clichés mais il s'en foutait parce que les russes, de toute façon, ils étaient un peu trop violents pour lui alors ça lui posait pas de problème de critiquer, un peu.  « J’me laisserais plus faire Cole. Plus jamais. » il en était pas si sûr de ça, parce qu'elle pouvait pas changer du tout au tout si elle avait peur de son père, alors il s'était contenté de hausser les épaules avant de lui adresser un clin d’œil « allez dégage, en principe mes conquêtes je les vire en pleine nuit. »

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