(✰) message posté Sam 25 Fév 2017 - 0:35 par Invité
Clayton Finn Hopkins
London calling to the faraway towns
NOM(S) : Hopkins. PRÉNOM(S) : Clayton, appelé plus couramment 'Clay'. Pas d'histoire d'un prénom qu'il renie, ses proches ont l'habitude de l'appeler de cette façon et au fil des années, c'est tout simplement resté. Il possède Finn comme second prénom. ÂGE : Trente-sept ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Officiellement, il est né le vingt décembre à Munich, en Allemagne. En réalité, il ne connait pas exactement sa date de naissance mais on a estimé que ce fut entre le dix-neuf et le vingt-et-un décembre. NATIONALITÉ : Germano-britannique. STATUT CIVIL : Marié. Il est incapable de dire si c'est un miracle ou bien un désastre que son statut civil soit toujours resté intact, mais l'évidence est là; son alliance orne toujours son doigt. MÉTIER : Il y a quelques mois, il se disait écrivain. Aujourd'hui, il dirait probablement sans emploi, ancien détenu. TRAITS DE CARACTÈRE : Cynique, passionné, audacieux, buté, impulsif, exigent, téméraire, franc, cultivé, débrouillard, réaliste, jaloux, compétitif, autodestructeur, bohème, provocateur, perspicace, manipulateur, confiant, éloquent, intuitif, ambitieux, charmeur, attentionné, rancunier, aventurier, curieux, séducteur, méticuleux, calculateur, protecteur, fier, nerveux, créatif. GROUPE : Fast in my car.
My style, my life, my name
Clay n'a jamais connu ses parents biologiques. Il sait qu'il a été déposé à l'hôpital un jour de décembre et que quelques semaines plus tard, il fut adopté par les Hopkins, un couple d'anglais qui n'arrivaient pas à avoir d'enfants. Il ne connait pas grand-chose de plus. Il a vécu dans une famille aimante, un environnement de vie stable. Tout ce qu’il fallait pour l’épanouissement d’un enfant. Tout, excepté le début de son histoire, ses origines. Il a souvent posé des questions, s’est interrogé sur ses parents biologiques. Il voulait savoir à qui il ressemblait le plus. Si c’était sa mère ou son père qui avait les yeux bleus-gris. S’ils pensaient à lui. S’ils regrettaient. Il a tenté de les retrouver. Son dossier d’adoption ne comporte que quelques informations qui pourraient se résumer à quelque chose du genre ‘père inconnu, mère inconnue, enfant abandonné’, mais ce ne fut jamais assez suffisant pour lui permettre d’accéder à la vérité. ❖ Ses parents étaient des expatriés travaillant au consulat britannique à Munich. Il y a vécu jusqu'à la fin de leur contrat professionnel qui les obligea à repartir à Londres alors qu'il n'avait encore que neuf ans. Malgré un accent germanique qui a complètement disparu, il demeure profondément attaché à son pays natal. En effet, il a gardé contact avec la plupart de ses amis d'enfance, jure en allemand, porte avec fierté les couleurs du Bayern Munich à chaque match. Il y retourne dès qu’il en a l’occasion et s’il n’y avait pas aujourd’hui autant d’attaches à Londres, il y reviendrait probablement vivre. ❖ Malgré son entourage qui le poussait, Clay ne s’est jamais épanoui à l’école. Curieux et talentueux, il l’était. Mais il n’aimait pas le système dans lequel on essayait de le mettre. Il n’était pas assez discipliné, pas assez patient. Peu de matières l’intéressaient réellement, son parcours scolaire pourrait se résumer à cette à cette phrase d'un conseil de classe au collège: "N'exploite pas ses capacités. Quel gâchis." Les seuls professeurs qui trouvaient grâce à ses yeux étaient ceux d’histoire-géographie et de littérature. On aurait pu croire que sur leurs conseils, il a entamé des études de sciences politiques ou de lettres qu’il a brillamment réussies, mais il n’en fut rien. Après le lycée, il a tenté un an de fac en lettres modernes avant d’abandonner au bout de trois mois. Par la suite, il a erré, est retourné en Allemagne puis est revenu au Royaume-Uni où il a trouvé un poste dans les archives nationales de Londres. Ce n’était pas le meilleur job du monde mais au moins, ça lui permettait d’avoir du temps pour lui. C’est à ce moment qu’il a commencé à écrire. ❖ L’écriture. Si Clay a toujours eu un penchant pour la littérature, il ne s’était encore jamais imaginé se mettre lui-même à la place de l’écrivain. Il se contentait de dévorer des tonnes de bouquin, sans penser en faire un métier car de toute façon, il n’avait pas été assez sérieux pour continuer ses études. Et un jour, alors qu’il se penchait sur son dossier d’adoption, il a commencé à tout concentrer dans un carnet. Ses recherches jour après jour, toutes les rares informations qu’il réussissait à collecter, tout était écrit dans ce carnet, à la manière d’un récit. Le récit de sa vie, son histoire, celle que seuls ses amis les plus proches connaissaient. Persuadé que son bouquin pourrait intéresser des gens, gonflé par les compliments de son entourage, il a payé une maison d’édition pour qu’elle diffuse son ouvrage. Malheureusement, le livre est resté dans l’ombre et ne lui rapporta trois fois rien. Mais qu’importe, il savait maintenant que ce qu’il voulait, c’était juste écrire. ❖ C’est son second livre, publié il y a environ deux ans qui lui apporta enfin la reconnaissance qu’il recherchait. Un roman d’amour parmi tant d’autres, mais dont des millions d’exemplaires se sont écoulés, le plaçant en tête des ventes pendant de nombreuses semaines. Clay a écumé les plateaux télé, les interviews, a profité de sa célébrité durant des mois. Le petit garçon abandonné à un hôpital de Munich et qui n’avait aucun diplôme était soudainement devenu un écrivain prometteur que les critiques voyaient déjà comme l’étoile montante de la littérature britannique contemporaine. ❖ Tout s’est subitement arrêté en fin d’année, quand il fut condamné à six mois de prison ferme pour violences conjugales. Cela faisait plus d’un an que sa maison d’édition le relançait sans arrêt pour qu’il honore son contrat et leur livre un nouvel ouvrage, mais Clay n’arrivait plus à écrire. Après le succès de son second roman, il avait perdu l’inspiration et le délai qu’on lui imposait ne faisait que se rapprocher un peu plus. Sa relation avec sa femme en a pâti, ils s’éloignaient, se disputaient de plus en plus. Et un soir, il est rentré à la maison. Il avait bu, beaucoup trop bu. Une énième dispute, un mot plus haut que l’autre, il l’a poussée, elle en est tombée. Elle a porté plainte et sur le chemin du retour, elle a eu un accident de voiture qui l’a plongée dans le coma. Quand il fut convoqué au tribunal, Clay n’a pas hésité une seule seconde, il a tout avoué. Il voulait être puni, purger la peine qu’il méritait. Et même après être sorti deux mois plus tôt pour bon comportement, il ne s’est jamais pardonné de lui avoir fait subir cela. ❖ Le livre, auparavant acclamé, fait dorénavant scandale et a même été retiré de la vente dans certaines librairies. Parce que ce bouquin fait référence à elle, à sa femme. A Victoria. Il raconte leur histoire, de façon un peu plus romancée certes, mais leur histoire quand même. Une histoire passionnelle, un amour pur, comme on n’en vivrait qu’un seul dans notre vie. Le genre de relation qui vous métamorphose, parait-il. Il suffit de lire son ouvrage pour comprendre à quel point il l’a aimée. A quel point il l’aime encore, probablement. Tout est dans le livre. Tout, sauf le véritable dénouement de leur amour. ❖ Les femmes ont toujours été sa plus grande faiblesse. Les, de manière générale, car avant de rencontrer Victoria il y a environ quatre ans, Clay ne s’était encore jamais posé avec quelqu’un plus de deux mois. Il n’est même pas sûr d’être auparavant déjà tombé amoureux. C’est un romantique, pourtant. Un admiratif, un amoureux même de l’idée de tomber amoureux, mais qui aime encore plus sa liberté. Il séduisait avec son sourire charmeur, ses mots envoûtants, et aussitôt après avoir obtenu la chaleur d’une étreinte éphémère, il passait à autre chose. Avant Victoria, il ne s’était jamais attardé sur quelqu’un au point de s’y attacher sentimentalement. ❖ Aussi curieux que cela puisse paraître, Clay n’a jamais voulu d’enfants. Même lorsqu’il a cru rencontrer la femme de sa vie, à l’approche de la quarantaine, il ne lui a jamais parlé de cette étape qui, traditionnellement, suit le mariage. Il ne fait pas partie de ces personnes qui rêvent de fonder une famille et de mener une vie conventionnelle. Clay, ce qu’il voulait, c’était faire des choses folles, grandes. Il ne veut pas de limite, il ne veut pas qu’on le freine. Et même si il paraît que l’on ne se sent jamais complet jusqu’au jour où l’on a des enfants, cette idée ne l’a jamais attiré plus que cela.
PSEUDO : Outlines. PRÉNOM : Chloé. ÂGE : Génération Z. PERSONNAGE : scéninventé AVATAR : Fassy CRÉDITS : avatar @Hepburns & gifs @hughxjackman. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Franchement j'en ai marre de ce formulaire, j'ai plus d'idées pour y répondre avec originalité CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE ?: Hell yes (Rhys & Miles).
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(✰) message posté Sam 25 Fév 2017 - 0:36 par Invité
At the beginning
WE THOUGHT WE COULD JUST ROLL AND TUMBLE LIVE FROM SONG TO SONG, KISS TO KISS.
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« Maman, tu penses que mon autre maman elle est rousse comme moi ? »1984.
2013. Victoria. Un prénom doux, résonnant, connu ici pour la référence à la famille royale. Pourtant, aux yeux de Clay, ce prénom n’était assimilé qu’à une seule personne, loin d’être l’ancienne reine durant la révolution industrielle. Victoria, c’était elle. Cette petite serveuse dans le café qu’il fréquentait depuis quelques temps. Il ne l’avait pas remarquée, au début. Il était bien trop occupé à rassembler sur papier des idées pour son prochain livre. Des mots comme aventure, amour, historique, policier étaient écrits sur les feuilles cornées de son carnet, noyées entre d’autres inscriptions qui paraissaient difficilement lisibles. On pouvait même apercevoir des dessins au coin des pages. L’inspiration avait du mal à venir. Ou plutôt, elle venait rapidement, tellement rapidement qu’il avait du mal à y voir clair. Clay avait des tas d’idées. Il avait des dizaines d’idées de personnages dans la tête, une quinzaine de contextes différents et pourtant, il n’y en avait pas un seul qui apparaissait comme une évidence. Il avait une envie viscérale d’écrire quelque chose de clair, net et fluide et pourtant, il était incapable de se décider. De trouver une véritable trame à son intrigue. Il était conscient de bouleverser les codes de l’art, que les plus grands du domaine le réprimanderaient en disant qu’être écrivain, ça ne fonctionnait pas comme ça. Mais il s’en fichait. Clay, il ne voulait pas devenir le prochain Oscar Wilde. Il voulait juste écrire, faire ce qui lui plaisait, quand bien même on dirait qu’il n’avait aucun talent et que ses idées relevaient du ridicule. Il avait été tellement concentré qu’il n’avait pas remarqué qu’elle s’était avancée vers sa table pour lui annoncer qu’elle devait fermer. La pluie dehors tapait violemment, résonnant dans l’établissement. Il avait entendu sa voix de loin, comme un écho brouillé, caché par le flot de réflexions qui inondait son esprit. D’un air distrait, il avait relevé la tête et son regard avait croisé le sien. Des yeux aux iris verts et marron, perçants. Des joues roses, un sourire éclatant de charmes. Il était resté là, à la contempler d’un air béat, à la fois stupéfait et émerveillé. Il s’était senti stupide de ne pas l’avoir vue plus tôt, alors qu’il se rendait dans ce lieu depuis un moment. Elle avait ri et s’était présentée avant qu’ils ne se lancent dans une conversation pendant une demi-heure, retardant inévitablement la fermeture du café qu’elle était censée prendre en charge. Victoria. Elle s’appelait Victoria. Elle avait vingt-quatre ans, soit dix ans de moins que lui, mais la différence d’âge s’était à peine ressentie tant le feeling était bien passé. Elle était vive d’esprit, intéressante, pétillante. Elle avait ce truc qu’il n’avait encore jamais ressenti avec personne d’autre. Cette étincelle qu’il n’avait lu que dans les bouquins, ce truc indescriptible qui était supposé nous sentir immédiatement lié à la personne. Clay s’était toujours demandé s’il était possible d’écrire sur l’amour sans ne l’avoir jamais ressenti. Pourtant, quelques semaines plus tard, c’était bel et bien sur un roman d’amour qu’il s’était arrêté. Un roman d'amour qui débutait sur une rencontre, un jour de pluie.
A Rainy Day (2015), un livre de Clayton Hopkins. Page 504, juste après la dernière page du dernier chapitre : « A Victoria pour son soutien, pour son amour. A ma famille, mes amis. A ma mère également, ma mère biologique, sans qui je n’aurais pas été présent pour écrire ce livre. »
2017. Et il pleuvait encore. A Londres, rien d’étonnant à ce qu’il flotte mais depuis quelques temps, à chaque fois que la pluie tambourinait bruyamment contre l’unique vitre de sa cellule, Clay serrait les dents. A Rainy Day. Quelle idée d’avoir donné un titre pareil à un bouquin. Quelle idée, d’avoir écrit un bouquin. Quelle idée, d’avoir cru la mériter. Il pleuvait, le jour où il avait rencontré Victoria. Et il pleuvait aussi, le jour où elle avait été admise à l’hôpital. Il avait toujours aimé la pluie. C’était un élément artistique inévitable, le détail qui ajoutait toujours une dimension à une scène, que ce soit dans un film, un livre ou même dans la vraie vie. Comme si le ciel voulait participer à sa façon. Tantôt dramatique, tantôt romantique suivant le contexte, les pluies battantes étaient devenus des clichés, prenant toutefois activement part à la stimulation de l’imagination. Mais Clay avait fini par détester les averses. Elles lui rappelaient à quel point il avait merdé. Et encore, merder n’était qu’un doux euphémisme pour tenter de dissiper la culpabilité qui ne s’était finalement jamais envolée, pas même d’un degré. Enfermé entre quatre murs, nuits et jours depuis quatre mois, il avait eu le temps de réfléchir. Il avait même prié, alors qu’il ne s’était encore jamais réellement senti concerné par la foi religieuse. Peut-être que c’était le désir de plus que jamais se repentir, bien qu’au fond, il était persuadé que personne ne le pardonnerait, encore moins lui-même. Ou peut-être que c’était le désespoir. La taule, ça le changeait jour après jour. Pas seulement physiquement même s’il était facile de voir qu’il avait perdu quelques kilos, mais aussi moralement. Y’avait cette sensation d’être figé dans le temps et l’espace, de perdre son identité au fil des nuits passées à croupir dans cette pièce froide. Il haïssait ce lieu, les gardiens, les gens auxquels on l’assimilait. Mais il tenait. Il tenait, grâce à tous ces petits bouts de papiers éparpillés dans le premier tiroir du bureau. Cinq cent six pages d’un roman, déchirées, à l’image de son mariage avec Victoria. Cinq cent six pages déchirées, un jour de pluie.
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(✰) message posté Sam 25 Fév 2017 - 0:36 par Invité
edit/ il est lààààà, mon cher et tendre, enfin on y croyait plus, tmtc je vais pas m'étaler pcq j'aime pas faire des trucs trop long, mais TOI + NOTRE LIEN + NOTRE HISTOIRE + PLUS LES FEELS QUE J'AI DEJA on va trop trop gérer j'ai hâte de jouer tout ça
PS/ THE WORST HUSBAND EVER TU TE VENDS DES LE DEBUT MAIS C'EST TELLEMENT VRAI
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(✰) message posté Sam 25 Fév 2017 - 0:36 par Invité
mouk déjà le pseudo chloesh j'aime tellement clay c'est un prénom que je pourrais t'emprunter pour renommer mon chat sauf que j'ai pas de chat j'ai tellement hate de voir ce ptit puis notre lien omagad notre lien omagad j'ai pas les mots pour le décrire puis massive attack c'est tellement notre chanson
look:
trop de perfection en nous claylya ship or die
ps : il a vachement une tête d'abraham
( )
Robin T. Lawford
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(✰) message posté Sam 25 Fév 2017 - 0:43 par Robin T. Lawford
LE VOILA avec Fassy en plus t'es belle chloé on va pas s'aimer, mais t'es belle quand même
Rhiannon O'Connor
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(✰) message posté Sam 25 Fév 2017 - 0:45 par Rhiannon O'Connor
Re-Bienvenue Bon courage pour ta fiche
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(✰) message posté Sam 25 Fév 2017 - 1:17 par Invité
(Re) Bienvenue sur LC Bon courage pour ta fiche
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(✰) message posté Sam 25 Fév 2017 - 1:29 par Invité
Même pas ça prévient, y'a plus de respect. Plus de respect pour sa femme. Pour la peine, t'es moche. I cancel the otp.
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(✰) message posté Sam 25 Fév 2017 - 1:32 par Invité
Rebienvenue parmi nous
Lola Barnett
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(✰) message posté Sam 25 Fév 2017 - 1:39 par Lola Barnett