"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici dream with open eyes (lou-ann) 2979874845 dream with open eyes (lou-ann) 1973890357
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dream with open eyes (lou-ann)

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() message posté Dim 5 Fév 2017 - 20:12 par Invité
dream with open eyes.
— with lou-ann.

FLASHBACK, PRINTEMPS 2013 - Sawyer n'avait pas peur de l'inconnu. Ne pas savoir ce qui l'attendait lui faisait faire une montée d'adrénaline et en fait, il en était même friand. La preuve, il avait pris le job de consultant pour la Royal Air Force à Londres, rien de moins, alors qu'il habitait aux États-Unis dans le comté de Pennsylvanie. Il avait une copine qui ne pourrait pas venir le rejoindre ici. Mais pourtant, il était là, dans cet avion qui l'amenait de l'autre côté de l'océan. Il prenait des risques, mais c'était cela sa vie. Il ne serait pas dans l'armée sinon. Certes, cela n'allait pas être facile. Consultant n'était pas un poste à prendre à la légère. Bien que blagueur et immature sur les bords, quand il était question de son emploi, il pouvait tout à fait se montrer sérieux et à son affaire. Cette opportunité ne se présenterait pas deux fois et il avait sauté sur l'occasion sans vraiment penser aux conséquences. Aude, sa petite amie depuis toujours, n'avait pas été heureuse sur le moment, elle qui venait de le retrouver, mais ils étaient tellement habitués à la distance que ça ne ferait pas de différence au final. Ils s'aimaient éperdument, c'était cela l'important. Et ils se verraient souvent. C'était ce qu'ils s'étaient promis. Mais le pilote d'avion repensait déjà à son doux visage, celui qu'il avait quitté quelques heures auparavant. Il lui manquait déjà. À son arrivé à l'aéroport, quelqu'un l'attendrait. Sawyer n'avait ni appartement ni de réservation d'hôtel, rien. Tout s'était fait si vite. On l'avait sommé de venir le plus rapidement possible. Le jeune homme de 22 ans n'avait qu'un sac et une valise, que des vêtements et articles de toilette. On lui avait dit qu'on arrangerait quelque chose. Il ne se doutait pas qu'en fait, les paperasses s'étaient perdus en cours de route, qu'il n'y aurait personne à  la London City airport pour lui et qu'il faudrait qu'il se débrouille tout seul au final. Il allait le découvrir à ses dépends.

« Bonjour, quelqu'un peut m'aider, s'il vous plait? Je viens d'arriver et je ne connais pas la ville....  J'aurais besoin de renseignement... » demanda le jeune homme une fois sur place. Il avait appelé divers numéros et on s'était excusé, mais ça n'empêchait pas qu'il n'avait nul part où poser ses valises pour le moment. Ça ne lui faisait pas peur. Il se trouverait bien une chambre d'hôtel. Malheureusement, celles de l'aéroport étaient déjà toutes réservées. La malchance le poursuivait visiblement. Une carte en main et plusieurs papiers plus tard, il alla se poser dans l'air de restauration. Il trouverait bien quelque chose. Il était débrouillard après tout. Café en main, il se mit à feuilleter les divers endroits où résider. Au départ, ce ne serait pas permanent. Il avait beaucoup à découvrir sur la ville de Londres, puisqu'il n'y avait jamais mis les pieds. Très concentré, il ne remarqua pas qu'il avait fait tomber quelques feuillets sur le sol.

@Lou-Ann M. Busby

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() message posté Mar 7 Fév 2017 - 23:04 par Invité
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lou' & sawyer ♥



A quels évènements sportifs, la deuxième de la fratrie B. s’est rendue au cours des trois mois du printemps deux mille treize ? Comment s’en souvenir alors qu’il s’en ait tenu tant au cours de cette période de l’année : Peut être en mars, avec les Championnats d’Europe d’Athlétisme en salle en Suède, les Championnats du monde de ski acrobatique en Norvège, les Championnats du monde de patinage artistique au Canada, les Championnats du monde de curling masculin au Canada ; Peut être en avril avec les Championnats du monde d’endurance moto en France ; en mai, la Coupe d’Europe des clubs de basket ball en fauteuil roulant en Espagne, le Championnat du monde de hockey sur glace en Finlande et en Suède, les Championnats d’Europe de karaté en Hongrie, la Ligue d’Europe de l’UEFA aux Pays Bas, la Coupe d’Europe de marche en Slovaquie, les Internationaux de tennis en France. Qui sait ! A l’époque, ayant rejoint les rangs des journalistes sportifs d’Angleterre après l’obtention de son diplôme à l’Institut Européen de Journalisme dans la capitale anglaise en deux mille dix, la trentenaire d’aujourd’hui exerçait ainsi au sein du quotidien britannique « The Times » depuis déjà trois ans environ lors de ce printemps deux mille treize. Ce fut la « belle époque ! » Il n’y avait que le « sport » en haut de la liste de ses priorités en dehors des membres de son entourage familiale : Elle possédait un nombre incalculable de magasines sportives ; Elle ne « loupait » pas un seul évènement sportif à la télévision ; Elle récupérait tous les articles sur le sport dans la presse écrite et les rangeaient dans une boîte « spéciale » qui se trouvait dans l’armoire de sa chambre. Bref ! C’est toujours le cas mais, à l’époque la deuxième de la fratrie B. n’avait pas encore entretenu une relation sentimentale avec Monsieur Jake Cavendish et elle n’avait pas encore subi une agression sexuelle qui l’un dans l’autre avait conduit à la naissance d’un enfant sur lequel une incertitude « plane » encore sur l’homme qui le même patrimoine génétique que le garçon de deux ans aujourd’hui et à son statut actuel de « mère célibataire. » Et oui ! Du coup, à l’époque n’ayant pas d’impératifs personnels liés à une vie familiale ou conjugale, le nombre d’heures par semaine de la journaliste sportive ne se comptait plus ! Ce qui n’est plus le cas. Si bien qu’entre son embauche au quotidien britannique « The Times » en deux mille dix et le printemps deux mille treize, la  journaliste sportive a connu un enchaînement de déplacements sportifs successifs à la fois au sein du Royaume Uni et en dehors du sol anglais. Alors, c’est pour cela qu’il n’est pas possible de se souvenir à quel(s) évènement(s) sportif(s) s’est rendu Lou’ au cours des trois mois de ce printemps deux mille treize. Par contre, est ce que la deuxième de la fratrie B. a fait une connaissance « significative » avec une personne au cours d’un des trois mois du printemps deux mille treize ?  Oh oui ! Comment ne pas se souvenir de cet homme d'une vingtaine d'années exerçant en tant que pilote de chasse à la Air Force 1 et consultant pour la Royal Air Force, lisant des papiers assit à l'une des tables de restauration au sein de l'aéroport se situant à l'est de la capitale londonienne avec une boisson chaude à la main : Sawyer Murphy. C'est en passant à quelques centimètres de l'endroit où il se trouvait qu'ils échangèrent pour la première fois : Il ne le voyait pas mais, il avait fait tomber quelques papiers sur le sol du bâtiment. Mais l'ayant vu, la journaliste sportive déposait son sac de voyage sur le sol avant de s'accroupir afin de ramasser les papiers de cet inconnu. Après, elle se relevait en remettant l'anse de son sac de voyage sur son épaule. Elle se positionne sur un autre angle de la table afin d'être face à cet homme. « Pardon. » Il relève la tête vers la presque trentenaire. « Je crois que c’est à vous ça. » Elle lui tend les papiers qu'il récupère. « Vous les aviez fait tomber .. » Elle lui adresse un sourire en coin tout en faisant un signe de la tête, prête à le laisser à ses occupations .. 
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() message posté Sam 18 Fév 2017 - 3:55 par Invité
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FLASHBACK, PRINTEMPS 2013 - Comme Sawyer ne connaissait aucune âmes qui vivent dans la merveille ville de Londres, il n'avait donc personne à contacter pour de l'aide quelconque. Il devrait se débrouiller seul, mais cette perspective ne l'effrayait pas le moins du monde. Après tout, il faisait partie de l'armée. Se débrouiller avec peu, il connaissait. On lui avait enseigné comment survivre dans les pires situations, alors ce n'était pas ce léger problème qui allait suffire à lui prendre la tête quand même.  Il n'appellerait pas non plus sa copine ou même ses parents tant et aussi longtemps qu'il n'aurait pas trouvé un endroit où résider. Pourquoi les inquiéter pour rien? Le jeune homme était loin d'être en danger de mort. Il était en sécurité, dans un aéroport, sirotant son chocolat chaud distraitement tandis qu'il feuilletait toujours les divers papiers qu'on lui avait donné. Le jeune pilote aurait bien aimé avoir un ordinateur sous la main, ça aurait été pratique ou même un téléphone. Il s'était dit qu'il s'achèterait tout cela ici. Il avait eu tort. Mais comment aurait-il pu prévoir? C'était ça le problème. On ne pouvait pas anticiper les mésaventures, sinon nous n'en aurions pas, non? Toujours concentré, Sawyer ne remarqua même pas qu'une jeune femme avait déposé son sac de voyage sur le sol et qu'elle avait ramassé les documents qu'il avait fait tombé. Ce ne fut que lorsqu'elle lui adressa la parole que le jeune homme s'anima enfin. En fait, il sursauta plus qu'autre chose, se renversant un peu de chocolat chaud sur lui dans la foulée. Juste à peine pour dire qu'il avait taché son chandail par contre. « Pardon. » lui dit la jeune inconnue. Elle avait les cheveux bruns et était visiblement un peu plus âgé que lui, peut-être dans la fin vingtaine. C'était difficile à dire vu son sourire.  « Je crois que c’est à vous ça. » lui dit-elle en lui tendant des papiers. « Oh merci! Je n'avais pas réalisé que j'avais fait tombé des feuilles. Merci! » lui dit-il avec un immense sourire. Il réalisa qu'elle avait un accent anglais typique de Grande-Bretagne. « Vous habitez Londres? » demanda-t-il prestement, voyant qu'elle semblait être déjà sur le départ. « Je m'excuse de poser la question, mais voyez-vous, j'étais censé retrouvé quelqu'un ici suite à mon déménagement précipité pour le boulot et je me suis fais carrément planté.... Vous n'auriez pas un endroit potable à me conseiller? » osa-t-il lui demander. « je ne sais pas si vous auriez le temps? Sinon, ce n'est pas plus grave que ça... C'est juste que je ne connais rien à Londres et ses environs et ça me sauverait du tracas. Vous avez sûrement d'autre chose à faire. Bref, merci pour les feuilles. » conclut-il. Qui était-il pour demander de l'aide à une parfaite inconnue qui lui avait simplement ramassé ses feuilles. C'était sûrement beaucoup trop osé de sa part. Il le regrettait déjà. Probablement allait-elle le prendre pour quelqu'un de très étrange? Et il le comprendrait parfaitement.

@Lou-Ann M. Busby

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() message posté Mer 10 Mai 2017 - 22:51 par Invité
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lou' & sawyer ♥



Lou Ann ne vit pas que le sursaut de l'inconnu assit à la table dont les papiers que ses mains tiennent appartiennent dû à son « pardon » cause une légère tâche de sa boisson chaude sur son pantalon. A son, « Oh merci ! Je n'avais pas réalisé que j'avais fait tomber des feuilles. Merci ! » un sourire apparaît au coin des lèvres de la journaliste sportive. « De rien. » Alors que son corps s'éloigne à peine de la table, il s'arrête et se tourne à nouveau vers le jeune homme à son « Vous habitez Londres ? » Lou Ann acquiesce d'un mouvement de la tête de haut en bas. Même si la Capitale Anglaise aurait pu être une escale en lien avec ses nombreux déplacements professionnels dû à son travail, il n'y a pas d'autres mots .. Il a vu « juste » : c’est une anglaise « pure souche. » Une grimace apparaît sur les lèvres de la presque trentenaire  au « Je m'excuse de poser la question, mais voyez-vous, j'étais censé retrouvé quelqu'un ici suite à mon déménagement précipité pour le boulot et je me suis fais carrément planté [..] » de l'inconnu constituant les raisons de sa présence dans cet aéroport, seul. Ce n’est pas « cool » comme situation. Pourquoi est ce qu'il n'a pas en sa possession le numéro de téléphone de la personne qu'il devait à la base rejoindre à Londres ? Pourquoi est ce qu'il n'a pas en sa possession une adresse postale d'un lieu précis de la Capitale ? Personne ne devrait prendre le risque de déménager à des kilomètres de son pays natal sans aucunes informations précises. Puis, en lien avec son « Vous n'auriez pas un endroit potable à me conseiller ? » Lou Ann fait un haussement d'épaules de haut en bas. Grâce à son année sabbatique et à son travail qui l'amène à couvrir des événements sportifs sur le sol anglais et en dehors la jeune femme connait un grand nombre d'hôtels. Etant venue au monde à Londres, les occasions d'y fréquenter les hôtels qui s'y trouvent se sont faites « rares. » Mais, ensembles et en faisant appel au réseau familial, ils devraient réussir à trouver un lieu « potable. » A plusieurs reprises au cours de son « Je ne sais pas si vous auriez le temps ? Sinon, ce n'est pas plus grave que ça. C'est juste que je ne connais rien à Londres et ses environs et ça me sauverait du tracas [..] » Lou Ann a entrouvert légèrement la bouche sans être en mesure d’en « placer une. » Et en ce qui concerne le  « Vous avez sûrement d'autre chose à faire. Bref, merci pour les feuilles. » les sourcils de la jeune femme se froncent. Est ce que l'expression inscrite sur son visage ou son attitude non verbal envoient des « mauvaises » ondes à ce bel inconnu ? Après son, « Non, attendez ! J'ai un peu de temps .. Je peux essayer de vous aider ! » un sourire apparaît au coin des lèvres de Lou Ann. Mais avant qu'ils se lancent à la recherche d'un lieu en mesure de le loger le temps qu'il règle les détails de son déménagement à Londres un, « En fait .. Moi, c'est Lou Ann et vous ? » s'impose. Peut être même qu'ils peuvent faire l'usage du pronom personnel son « tu » au lieu de « vous. » A voir .. En même temps que son « Je pense qu'il faut appeler tous les hôtels de Londres .. Et si vous en trouvez un je vous y accompagnerez. » une de ses mains sort de la poche de sa veste son téléphone portable. Avant d'ouvrir une page internet afin de faire une recherche sur l'ensemble des hôtels de la Capitale Anglaise, ses doigts viennent « pianoter » un message à l'attention de tous les Busby : « Urgent : besoin de noms d'hôtels de Londres, s'il vous plaît. » En « deux temps trois mouvements », Lou Ann reçu des réponses de plusieurs de ses proches. Mais après tous les appels, un seul constat :pas de chambres de libres. Après un « Rien, désolée .. » à voix basse à l'attention de Sawyer qui est en pleine conversation avec un énième lieu d'hébergement, Lou Ann renvoie un message de remerciement à ses proches en attendant qu'il ait fini sa conversation .. Avec espérant une « bonne » nouvelle.  
 
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() message posté Dim 21 Mai 2017 - 15:39 par Invité
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SAWYER & LOU-ANN.

Sawyer était capable de lire les gens un peu comme s'ils étaient un livre ouvert, pas tous, mais la majorité. Dans le sens où il pouvait devenir si les intentions de l'individu étaient bonnes ou non ou s'il était prêt à l'aider ou plutôt à lui nuire. Il devinait que l'inconnue qui lui faisait face était une bonne personne et qu'elle était dotée d'une bonne âme. Après avoir fait l'armée, on apprenait à se méfier de pas mal tout le monde. Mais Sawyer n'avait pas perdu cette espoir qu'il avait en l'humanité. Il était probablement naïf de croire en de petites bonnes actions ça et là de la part d'autrui. Mais il se disait que c'était impossible que tout le monde soit si mauvais. Il y avait une part de lumière en chacun de nous. Par contre, pour obtenir une réponse de la part de la demoiselle concernant ses questionnements, il aurait fallu que le pilote lui laisse en placer une. Il avait de l'énergie à revendre le gamin! Il parlait, parlait et gesticulait sans s'arrêter ni s'épuiser. Mais finalement, il se tut et elle put enfin s'adresser à lui, un brin confuse.  « Non, attendez ! J'ai un peu de temps .. Je peux essayer de vous aider ! » lui dit-elle finalement. Il répondit à son sourire par un petit rire. « Je suis désolé! Je parle beaucoup.... C'est un de mes vilains défauts! Je vous laisse parler désormais, ne vous inquiétez pas! » dit finalement Sawyer avec un sourire amusé. Il avait bien vu son air perplexe. À force, il allait l'embêter plus qu'autre chose.  « En fait .. Moi, c'est Lou Ann et vous ? » demanda-t-elle. Il lui fit un sourire. Les présentations s'imposaient. « je m'appelle Sawyer. Enchanté! » lui répondit le jeune homme en lui tendant la main. « Je pense qu'il faut appeler tous les hôtels de Londres .. Et si vous en trouvez un je vous y accompagnerez. » lui proposa-t-elle. La dénommée Lou-Ann prit le tout en charge en cherchant sur son téléphone. En deux temps trois mouvements, elle avait déjà des noms d'hôtels qui valaient la peine. « J'y avais pensé, mais je voudrais pas me retrouver dans un taudis moche. Avec ton aide, ça aiderait c'est sur à ne pas partager ma nuit avec des rats.... » ajouta Sawyer, amusé. Cette perspective ne l'enchantait guère. Même dans les plus belles villes, on pouvait se retrouver avec les pires endroits.

Mais au final, le tout ne fut pas fructueux. Dommage.  « Rien, désolée .. » lui dit-elle finalement à voix basse à Sawyer. Lui-même cherchait de son côté et il parlait à quelqu'un au téléphone. Finalement, il finit par trouver un endroit. Et il priait pour que ça ait du potentiel. « J'ai trouvé quelque chose, mais ce n'est qu'une auberge. Je sais pas si ça a du potentiel... » dit-il en soupirant.

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@LOU-ANN M. BUSBY
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() message posté Lun 22 Mai 2017 - 23:06 par Invité
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lou' & sawyer ♥



A la suite de son, « Je suis désolé ! Je parle beaucoup .. C'est un de mes vilains défauts ! Je vous laisse parler désormais, ne vous inquiétez pas ! » l’inconnu assit à l’une des tables mis à disposition des voyageurs de l’aéroport londonien rit. Après un, « C’est gentil, merci. » la journaliste sportive fit de même. Alors qu'une de ses mains tirent l'une des chaises vides se trouvant près de la table où est assit l'américain, l'autre pose son sac de voyage sur le sol de l'aéroport en même temps que ses fesses touchent la planche de la chaise. A la suite de son, « Je m'appelle Sawyer. Enchanté ! » il lui tend la main. Du coup, en même temps qu'un « Je le suis aussi ! » la journaliste sportive la serre un court instant alors qu'un sourire en coin fit son apparition sur ses lèvres. Puis, l'espace d'un instant le regard de Lou Ann se lève de la liste des lieux d'hébergements touristiques établies après plusieurs messages  reçus de la part de ses proches. Alors, en ce qui concerne le « J'y avais pensé, mais je voudrais pas me retrouver dans un taudis moche. » [..] la jeune femme acquiesce d'un mouvement de la tête de haut en bas tandis que sa bouche s'entrouvrit et ses yeux s'agrandirent en ce qui concerne le [..] « Avec ton aide, ça aiderait c'est sur à ne pas partager ma nuit avec des rats. » Un rapide mouvement de bouche en « cul de poule »  précède le « J’ai la pression, maintenant ! » de la journaliste sportive qui rit légèrement. Mais, après de longues recherches les résultats sont peu concluants : aucunes chambres de libres dans tous les établissements d'hébergement. Heureusement, à en croire le « J'ai trouvé quelque chose, mais ce n'est qu'une auberge. Je sais pas si ça a du potentiel. » de Sawyer, il existe encore un peu « d’espoir » qu’il ne soit pas dans l’obligation de passer sa 1ère nuit dans l’aéroport londonien. « Tu n’as pas vraiment le choix. » Après un mouvement d'épaules de haut en bas, la journaliste sportive se lève de la chaise. « Allez viens, je t'y accompagne ! » Prenant son sac de voyage et déposant l'anse à nouveau sur son épaule gauche, Lou Ann part en direction de la sortie de l'aéroport en compagnie de cet inconnu. Une fois sur le bord de la route, ils montent sur les places arrières d'un taxi. Sawyer transmet l'adresse à l'homme se trouvant derrière le volant. « Vous êtes surs de vouloir vous rendre là bas ? » Après un regard entre les deux jeunes gens, l'anglaise acquiesce d'un mouvement de la tête de haut en bas alors le véhicule part en direction du seul lieu d'hébergement ayant une place de libre à l'heure là. Après un court trajet, l'homme se gare sur le bord de l'accotement à quelques mètres de l'auberge. Lou Ann se détache et s'approche de Sawyer afin de regarder par sa fenêtre. Elle fait des signes successifs de la tête de droite à gauche.« Il n’y a pas moyen que tu restes là. » Elle se recule légèrement.« J’ai une autre solution ! » Lou Ann se tourne vers l'homme assit à l'avant aussitôt. « Allez vers Kensington, s’il vous plaît. Je vous guiderai après. » Elle met à nouveau sa ceinture n'informant pas Sawyer que c'est à son appartement qu'ils se rendent.


 
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() message posté Dim 28 Mai 2017 - 19:36 par Invité
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SAWYER & LOU-ANN.

Sawyer avait été habitué aux situations inconfortables, ça faisait parti de son entraînement. On lui avait appris à dormir sur le sol avec en guise d'oreiller, une roche. Théoriquement, il pouvait donc faire face à tout. Mais il n'était pas dans un pays en voie de développement. Il se trouvait dans un endroit plus que civilisé. Il ne pouvait pas croire que Londres ne souhaitait pas l'accueillir convenablement. Y avait-il un événement spécial qui se déroulait ici durant son arrivé au pays? Il se sentait comme le personnage de Tom Hanks dans le film « Le terminal ». Il commençait à croire qu'il allait dormir ici. Sawyer ne se laissait pas décourager. Il y avait pire quand même. Il pourrait dormir en compagnie de rats ou de punaises de lit. Pas franchement génial. Finalement, Lou-Ann se décida à l'aider et envoya des textos à ses relations pour voir s'il y avait une opportunité dans la ville. De son côté, Sawyer se mit à appeler des endroits. Finalement, sa potentielle sauveuse lui dit signe qu'elle n'avait encore rien trouvé. La brunette était probablement à court d'option. Il n'y avait rien de son côté. Quant au pilote de la Royale Air Force one, il avait finalement trouvé quelque chose. Mais il ne savait pas si ça valait la peine. S'il n'y allait pas, il ne saurait pas bien évidemment. Il allait prendre la chance. « J'ai trouvé quelque chose, mais ce n'est qu'une auberge. Je sais pas si ça a du potentiel. » lui avait-il dit. « Tu n’as pas vraiment le choix. » lui dit-elle, quelque peu fatidique. Mais elle avait raison. Il capitula donc en poussant un soupire. « Allez viens, je t'y accompagne ! » l'encouragea-t-elle. « Oh je n'en demandais pas tant! L'offre est acceptée, bien entendu! Ça fait du bien de voir que les gens sont accueillants ici et prêt à aider! C'est vraiment apprécié! » dit finalement le pilote avec un sourire. Sawyer était à quelque part soulagé que Lou-Ann vienne avec lui. Il se sentirait moins seul dans cette grande étendue dont il ne connaissait pas encore grand chose. En fait, l'américain avait eu de la chance de tomber sur la jeune femme. Il n'aurait pas pu demander mieux.

Arrivé dans le taxi londonien, ils donnèrent l'adresse au chauffeur qui posa une drôle de question; « Vous êtes surs de vouloir vous rendre là bas ? ». C'était mauvais signe et Sawyer consulta Lou-Ann du regard. Après quelques secondes, l'anglaise acquiesça tout de même et le jeune homme en fut un peu rassuré lui qui commençait déjà à regretter. Arrivé à destination, il fut clair comme de l'eau de roche que Sawyer n'allait pas dormir là cette nuit et sa sauveuse était d'accord là-dessus. « J’ai une autre solution ! » dut-il et elle donna une autre adresse au chauffeur. « Allez vers Kensington, s’il vous plaît. Je vous guiderai après. » l'informa-t-elle. « Et où va-t-on comme ça? » demanda Sawyer qui ne connaissait aucunement les quartiers de la ville.

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@LOU-ANN M. BUSBY
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() message posté Sam 3 Juin 2017 - 22:56 par Invité
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Au final, après de multiples appels dans tous les lieux d’hébergement de la Capitale londonienne, le consultant de la Royale Aire Force Once a réussi à obtenir une réponse positive d’une Auberge. Contrairement à la journaliste sportive qui n'a reçu que des réponses négatives des membres du personnel exerçant des les lieux inscrits sur son bout de papier blanc. Alors, même si ça fait « mince » comme choix et qu'il n'est pas possible de connaître le « potentiel » du lieu d'hébergement  parce qu'ils ne savent pas l'endroit exact où il se situe dans Londres, il n'a pas vraiment d'autres choix que de se rendre là bas parce que sinon il n'a pas d'autres endroits qui acceptent de l'héberger pour la nuit. A vrai dire, s'il a eu la « chance » qu'une place soit encore libre dans l'Auberge ça signifie que ce lieu ne doit pas être « trop mal » ou alors, il reste encore beaucoup de places de libres parce que c'est « infâme. » Du coup, afin que le jeune homme ne se retrouve pas seul dans les rues londoniennes qui lui sont complètement inconnues, Lou Ann décide de lui tenir compagnie jusqu'à cet endroit. En même temps, la jeune femme se voit « mal » prendre le chemin de Kensington jusqu'à son appartement sans regarder derrière son épaule en le laissant là ou dans un taxi qui l’amène « dieu seul sait où » seul alors que que la journaliste sportive vient de passer de longues minutes à faire des recherches pour lui. Hors de question. Ainsi après son, « Oh je n'en demandais pas tant ! L'offre est acceptée, bien entendu ! Ça fait du bien de voir que les gens sont accueillants ici et prêt à aider! C'est vraiment apprécié ! » les adultes sortirent de l'enceinte de l'aéroport afin d'emprunter un transport en commun à 4 roues dans lequel l'homme derrière le volant fait naître une certain doute sur le potentiel réel du lieu d'hébergement à l'annonce de l'adresse. Ils prirent le risque. Si bien qu'une fois le véhicule à l'arrêt à quelques mètres du lieu d'hébergement, Lou Ann croise un regard de « Je vous l’avez dis. » dans le rétroviseur de l'homme assit derrière le volant. Alors, « ni une ni deux », la jeune femme passe au Plan B. en donnant un semblant d'adresse au conducteur du véhicule : Kensington. Il acquiesce d'un mouvement de la tête de haut en bas avant de s'éloigner de l'Auberge en direction du quartier résidentiel de l'ouest de Londres. Au « Et où va t on comme ça ? » de l'américain, ce n'est qu'un simple « A l’ouest de la Capitale. » qui sort de la bouche de l'anglaise avec un sourire inscrit sur les lèvres. C'est volontaire le peu d'informations de sa part parce que la jeune femme ne souhaite pas que Sawyer refuse catégoriquement que son appartement devienne son abri pour la nuit. Après plusieurs minutes, les fesses de Lou Ann s'avance sur le siège afin de donner des indications plus précises à l'homme jusqu'à ce qu'il arrête le véhicule le long de l'accotement devant l'immeuble. Après son « C’est là. On descend ! » elle enlève sa ceinture. Presque aussitôt ses mains sortent de son sac à main l'argent nécessaire au paiement des 2 trajets et le donne au conducteur du transport. Ils récupèrent les sacs de voyage et la voiture s'éloigne l'instant d'après. Enfin, un « J'habite là ! » indique à l'étranger où il se trouve exactement. Elle sort les clefs de l'appartement de son sac à main. « Je ne te l’ai pas dit là bas .. Je ne voulais pas que tu refuses. » Une « moue » innocente apparaît sur les lèvres de la jeune femme qui commence à réduire la distance jusqu'à la porte du bâtiment.  
 
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() message posté Dim 4 Juin 2017 - 11:00 par Invité
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open eyes  

SAWYER & LOU-ANN.

Sawyer était loin de se laisser décourager par la tournure des événements. Évidemment, il n'aurait jamais pu s'imaginer qu'à son arrivée à Londres, tout irait de travers. Parfois, les situations les plus précaires menaient aux rencontres les plus agréables. Bien sur, on aurait pu l'attendre comme ce l'était prévu à son arrivé à l'aéroport. On aurait pu le mener à son hôtel et il serait déjà couché dans un lit bien chaud à se demander ce que le lendemain lui offrirait. Il aurait même pu voir Aude sur skype et lui raconter à quel point son arrivée au pays avait été parfaite et qu'il n'avait rien à redire sur l'Angleterre. Mais il préférait ce concours de circonstances aux situations parfaites. Ces dernières n'existaient pas et après tout, Sawyer n'aurait jamais pu rencontrer Lou-Ann. Et cette personne aurait certainement manqué à sa vie, même si évidemment, il n'en aurait jamais eu réellement eu conscience. Il ne se serait pas fait une nouvelle amie et il n'aurait certainement pas été témoin de la bonté et de la générosité dont pouvait faire preuve l'être humain. Dans le taxi, Sawyer demanda à la jeune femme où ils allaient à présent qu'ils avaient découvert que l'endroit où il avait planifié de dormir cette nuit ne valait même pas la peine de s'attarder quelques secondes. Pourquoi ce revirement de situation? Avait-elle reçu un texto? Il ne l'avait pas vu regarder son téléphone. Où avait-elle eu une révélation? « A l’ouest de la Capitale. » lui avait-elle révélé. L'américain avait froncé les sourcils un peu. Il n'y connaissait rien à Londres pour le moment, alors il décida de laisser faire les choses. Un sourire était sur les lèvres de la jeune femme et Sawyer lui faisait déjà confiance. Les immeubles commencèrent à défiler par la fenêtre et le pilote était émerveillé par tout ce qu'il voyait. La ville était tout bonnement splendide. Rien à voir avec l'auberge qu'il avait vu à peine quelques minutes plus tôt. Après plusieurs minutes, Lou-Ann donna de nouvelles instructions au chauffeur et finalement le taxi s'arrêta devant un immeuble. « C’est là. On descend ! » lui dit-elle. Prudent, le pilote sortit de la voiture, se demanda bien ce qu'elle avait derrière la tête. Mais la réponse était là, bien placée en évidence. Elle l'avait emmené chez elle. Aussitôt qu'il eut récupéré ses bagages, Lou-Ann le lui confirma. « J'habite là ! Je ne te l’ai pas dit là bas .. Je ne voulais pas que tu refuses. »  lui révéla-t-elle en faisant la moue. Sawyer la fixa quelques secondes, pas trop certain de comment réagir. « Je ne sais pas quoi dire honnêtement! » lui avoua-t-il. En vrai, il n'aurait jamais pu imaginer dormir chez une inconnue à son arrivée dans un autre pays de l'autre côté de l'océan. « Je... merci... » lui dit-il. Sawyer reprit contenance. « Juste pour être sur et certain... T'es pas une tueuse en série? Qui a créé tout ce plan élaboré, hein? Parce que si oui.... bah tu étais franchement motivée! » lui dit-il, en commençant à rigoler. Et il la suivit à l'intérieur de l'immeuble. Franchement, il se trouvait réellement chanceux. Ce n'était pas donné à tout le monde de se voir offrir autant de générosité de la part d'une inconnue.

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@LOU-ANN M. BUSBY
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