Dean | Une nouvelle première fois.

Chapeau bas pour la compagnie aérienne qui est en retard de trente minutes pour le départ de mon vol. Certes ce n'est pas beaucoup et je me divertie bien en parlant à ce gentil vieux monsieur qui me raconte son vécu, mais je suis terriblement impatient de rentré a la maison, pour enfin revoir Dean et mes sublimes bébés qui me manque terriblement depuis trois longues semaines. C'est la dernier escale et j'aurais dut faire un petit tours dans Lisbonne si il avais pris le temps de prévenir un peu avant. Juste le temps de remercier le vieille homme de sa compagnie que me voilà dans le dernier avions pour les deux dernières heures de vol. Je m'occupe en terminant le montage de ma toute nouvelle vidéo que je vais posté sur Youtube en rentrant ce soir. L'avions atterrie à la perfection et me voilà à me bataillé pour trouver ma valise sur ce tapis roulant maudit. Vous savez, ce tapis ou tout les bagages sont sauf le votre ? Au bout de sept bonnes minutes à fixer l'entré du tapis tout en prient pour espérer revoir ma jolie valise, la voilà enfin qui montre le bout de son nez. J'en profite pour faire quelques plans pour mon dernier Vlog et je pars en direction du hall pour espérer trouver mon bien aimer dans cette foules de londonien presser comme jamais. J'arrive dans la grande accueil et balais du regard toutes la zone pour trouver mon hommes. Un endroit m’attire l’œil rapidement. Je sais pas si je dois commencer a pleurer ou trouver ça adorable mais je reconnais l'homme qui partage ma vie grâce a ces deux ballons gonflé d'hélium Mickey accompagné d'un autre ballon en forme de cœur.

Nom de Zeus, sont innocence m'avais tellement manqué. C'est fou a quel point je tiens a cette homme. Je court en sa direction. Le boucan que fais ma valise que je traîné derrière moi attire sont regard et commence lui aussi à courir dans ma direction. Le temps ralenti tout comme l’enchaînement de nos enjamber rapide. C'est fou à quel point c'est long de courir au ralenti tout de même. Une fois nos deux corps rapproché, je l’enlace et le sers contre mon torse le plus fort possible. Je me répète sans cesse mais c'est fou à quel point il m'avais manqué. Je retrouve dans ces bras ce sentiment de réconfort et de joie que je n'avais pas eux depuis ces trois longues semaines à organisés l’enterrement de tonton Adolf. Le frère adoptif d'origine Allemande du coté de ma mère. Je n'étais pas vraiment proche de cette homme mais nous sommes une famille assez proche, je devais donc aidé ma mère pour organisé ces funérailles. Bien que sa mort ne m'est pas affecté, voir ma mère pleuré tout les jours était un cadre de vie plutôt malsaine.

Je ne peux m’empêcher de brisé ce moment romantique en descendant ma main sur ces jolies fesse rebondi afin de le pincer pour vérifié sa fermeté, et continu ma caresse vers sont entre jambe pour vérifié également si cela n'avais pas changer. Comme on dis dans le milieu policier, RAS de ce côté là. Bon dieu, vraiment, il ma manqué.

C'est vrai que la scène devais être comique. Elle aurais probablement fait une bonne séquence dans mon Vlog « Je rentre enfin à Londres ». Moi, courant comme il pouvais avec ces vingt-cinq kilos de valise derrière lui, mimant une course d'un athlète de haut niveaux avec une vitesse atteignant le ''mamie en déambulateur'' et lui, courant ballons dans le vent, une course à l'aveugle ornés d'obstacles vivant qu'il devais évité comme il pouvais avant de m’atteindre à mon point presque initiale. Sans mentir, lorsque j'ai commencé ma course je voyais une femme à environs deux mètres de moi, et lorsque j'ai serrer mon être cher dans les bras je me trouvais juste à côté d'elle. Leçon de l'histoire ? Courir au ralentis dans un aéroport avec une grosse valise, sa sers à rien. Restez plutôt a votre place et attendez que votre bien aimé vous retrouve là.

Je lui rend son doux baisé passionnel avant de le voir galéré à retiré les ballons qu'il avais accroché comme un enfant de cinq ans pour ne pas les perdre. Il prend ma valise et me donne ces objets flottant de malheurs et une boite de chocolat. Il connais ma kryptonite. Le chocolat c'est mon point faible, spécialement le chocolat chaud. C'est un peu ma vie, ma bataille, fallait pas que m'en aille oh oh oh... Oui oui, il m'arrive de cité les paroles de chansons de grand écrivain. Bref, je suis un addict au chocolat chaud, si je le pouvais je m'en ferais en intraveineuse la nuit lorsque je dors.

Je commence à le suivre avant de répondre à toutes ces interrogations.

- P*tain se que tu peux être con parfois Francis, respect un peu tonton Adolf. Il a fais des grandes choses durant ça vie. Malheureusement il n'a jamais réalisé sont rêve. Il voulais devenir président... Il avais de l’ambition. Toute cette espoir réduit en cendre...

Je le regarde d'un air fières, avec un grand sourire espérant qu'il rigole de ma blagues sur le pauvre tonton Adolf. Je me demande pourquoi je le suis dans sont non-respect parfois. C'est homme à réellement une mauvaise influence sur moi.

- Mais sinon écoute bah c’était pas la joie. Voir Salma pleuré tout les jours étais assez dur. J'essayais de faire le mec fort pour elle mais la voir comme sa me fessais pleurer... Oh mon dieu je te jure parfois on pleurais ensemble c’était pas jolie a voir. Mais bon maintenant c'est fait, je suis rentré et je compte sur toi pour bien me changer les idées. D'ailleurs j'ai tellement hâte de revoir Jacquie, Et, Michel. Ils vont bien mes petits loup ? Et toi alors tu as fait quoi de beau pendant trois semaines ? Aucun mort ? L'appart et toujours habitable ?


Je rentre dans la voiture pendant qu'il met ma valise dans le coffre. Bon dieu que ça fait du bien de ressentir ce cuir contre ma peau. Trois semaines c'est beaucoup trop long. Je suis accro à cette ville. C'est ma vie, mon sang, ma raison d'être. Qu'on me torture plutôt que de devoir un jours repartir. Je ne perd pas mon temps et branche directement mon téléphone sur le cable USB et met ma chanson du moment. Lone Digger de Caravan Palace.

- Sinon on mange quoi ce soir ? Tu veux pas me faire tes magnifiques Pizza maison là ? J'en ai marre chez ma mère j'ai manger que light j'ai besoins d'une bouffe d’obèse. D'ailleurs j'espères que tu es pas fatigué car vous avez cinq heures d'avance vous... Je suis pas près d'aller me couché. La soirée risque d'être longue. Lui dit-je en le regardant d'un œil coquin.

- T'as un stagiaire ? C'est pas mal ça. J'aimerais bien avoir un petit esclave aussi qui m'apporte des chocolats et des donuts quand j'en ai envie. J'ai hâte de le rencontré ! J’espère qu'il a les nerfs bien accroché sinon il va jamais s'en sortir dans ton milieu. J'suis bien contant d’être un branleur, beaucoup moins de stresse.

Oui je suis relativement honnête avec moi même. Le métier de Youtuber c'est pas vraiment compliqué. Aucun horaire fixe, tu boss quand tu le veux et a l'heure que tu veux, bref, le métier rêvé quoi.

- Oui oui j'ai pris pas mal de plan à l'aéroport pendant mes deux escales comme j'avais rien à faire donc je pense avoir assez pour boucler ma vidéo retour. Et j'ai fait une vidéo dans l'Ohio, tu l'as même pas vue ? J'ai fait un petit Vlog d'une journée à Colombus et j'ai prévenu que je serais un peu absent en ce moment... Elle était pas génial donc c'est pas grave si tu l'as pas vue. J'avais pas trop le moral mais il me fallait une petite vidéo pour mon annonce... Fallait bien faire marché l'industrie.

J'adore être avec Dean, je me s'en parfois comme un roi. Il porte ma valise et me laisse passer devant pour ouvrir toutes les portes. On rentre et j'installe mon ordinateur sur mon bureau dans l'espace qu'on pourrais considérer de salon. C'est un peu le problème avec les loft avec toute les pièces ouvertes... On ne peu pas vraiment parler de pièces... C'est juste des espaces dédié on va dire. Mais sa à réellement ces avantages. Je peux mater le petit cul de mon compagnons partout ou je me trouve. C'est d'ailleurs sans me faire réellement attendre que je le regarde se mettre nu avant de se vêtir du simple tablier que je lui ai offert. Vous voyez le stéréotypes du mec italien fière de ces origines ? Et bien c'est Dean. C'est sans surprise que je le vois mettre de la musique italienne qui résonne dans tout l'appartement. On s'y habitue a force. On apprécie même. Je commence à faire le montage des mes derniers plans tout en admirant mon bel étalon chercher quelques bûches de bois pour allumé le four à pizza.

Il me reste vraiment rien à faire. J'ai déjà préparer la séquence de fin de vidéo, c'est donc au bout de dix petites minutes que je lance l’hébergement de celle ci. J'ai presque fini d’écrire toute la description que je sent des bras chaud qui s'enroule autours de mon coup avant de recevoir un tendre baiser dans la partie du corps humain qui relie le buste et la tête. Bordel, sa fais trois longue semaines que je n'ai pas ressentie cette sensation tellement excitante. Ces paroles me donne envie de pleuré tellement l'excitation est présente. Mais je reste fort, je reste digne, je reste... Professionnel.

- Attend deux petites secondes je termine la description et je suis à toi.

Ce que je fais en soixante-dix-sept secondes pour être exact et envoie la vidéo. Je me lève et me met en face de lui avant de poser à mon tour mes mains derrière son coup.

- J'ai cru voir que tu as fait la Mozarrila. Ma préféré. Tu as mis une basse tomate ou tu as innovés en mettant la meilleurs crème que je n'ai jamais goutté ?

Malheureusement il à sincèrement mis une basse tomate. Je vais donc devoir manger la crème à pars... Pour mon plus grand plaisir. De toute façon elle est toujours meilleurs quand on va la chercher à la basse et bien que ce dicton sois totalement absurde, on est toujours mieux servie que par sois même. Je le pouce en arrières et au bout de quelques mètres il tombe à la renverse sur le canapé. Je prend ces jambes et les tournes pour qu'il se mette en position assis avant de lui écarter les jambes pour y mettre mon genoux appuyer contre son entre-jambe et colle mon torse vêtu contre son tablier, lui attrape les cheveux pour lui baisser la tête du coté droit et lui mord le lobe de son opposé avant de lui murmuré d'une façon des plus sexy à son oreille.

- Pardonnez moi de mon insolence, c'est vrai que vous avez du vous masturbé sur mes photos pendant trois longues semaines. Je suis persuadé que votre petite pute vous à manquer. Mais je suis tout à vous maintenant... Je ferais tout se que vous désirez... Dite moi simplement quoi faire... Maitre Buckley... !

Sans vraiment comprendre pourquoi je me retrouve projeter au sol par le joli Italien au corps de rêve. Je pense tout d’abord qu'il va me prendre violemment sur le tapis en abusant de son pouvoir de dominateur. Mais malheureusement je me rend vite compte que la pizza est beaucoup plus importante qu'une partie de jambe en l'air. C'est un peu l’inconvénient de sortir avec un rital... Il à plus facilement une érection devant du Pesto que mon corps de rêve que je façonne tout les jours. Qu'elle individu ingrats. Il veux se la jouer comme ça ? Il veux lancer la guerre à qui supplieras l'autre pour une petite relation sexuel consentie ? Et bien soit. Il sais bien qu'il est beaucoup plus faible que moi, surtout lorsque je joue les soumis, il adore me dominé, alors bien que ce sois un plaisir partager, je vais jouer de mon charme jusqu'à se qu'il craque.

Bizarrement j'aime bien l’appellation Sucre d'orge car pour être honnête qui n'aime pas sucer ces délicieuses sucrerie ? Et croyez moi ou non, mais j'adore particulièrement me faire sucer, surtout pas ce beau chevelu. D'ailleurs il faut qu'il pense à bientôt retourner chez le coiffeur car sa commence à devenir presque indomptable. Il me tend un joint parfaitement rouler par ces mains expertes. Ce mec est parfait, c'est exactement se qu'il me fallait. Trois longues semaines que j'attendais ce moment, se délicieux moment, celui ou on est en relation direct avec la nature. Il se repose sur le canapé. J’enlève mon T-shirt et j'attrape le briquet sur la table basse, prend une bonne bouffé avant de recraché la fumé en cercle, prend le cendrier et me remet dans ma position initial.

- Non ne vous en faite pas, vous me connaissez je suis robuste. De toute manière vous m'avez déjà fait bien pire et merci beaucoup pour votre cigarettes aromatisé au douce épices.

Je l'embrasse langoureusement avec passion à la fin de ma phrase. Je continu sur ma lancer pour le lécher le creux de son coup. J'adore particulièrement cette endroit, je pourrais y rester des heures. Je ne sais pas vraiment pourquoi mais c'est comme ça et sa n'as pas vraiment l'air de lui déplaire. Je descend ma main contre sont entre-jambe pour lui caresser d'une main ferme sont doux et tendre petit engin qui deviens de moins en moins flasque on dirais. J'alterne de long baiser, sont coup et m'offre même le plaisir de passer quelques coup de langue sur ces divins tétons, tout en prenant assez régulièrement quelques bouffés dans le joint.

- Oh en parlant de joint, comment va Cannabiscotte ?

Je ne lui laisse pas vraiment le temps de répondre avant de monté sur le toit, enfin, le balcon pour voir comment va ma petite fleur de cannabis. On pourrais croire que je suis un gros Junky a m'entendre parler parfois mais je préfère me décrire comme un fumeur régulier mais pas trop. Profitant simplement que se que la nature nous donne. Pour la fleur, c'est simplement par plaisir. Je dirais même que c'est une sorte de défis. Je n'ai pas vraiment la main verte mais je met tout mon amour dans cette plante, c'est un peu mon quatrième bébés. Elle est encore en vie. Je ne sais pas si il s'en ai occupé ou si c'est une battante. Il m'est impossible de m'imaginer la fumer cette pauvre petite plante. Vous savez c'est un peu comme la viande. On en mange tous, mais lorsque on élève nos propres bêtes on as plus du mal à les manger, excepté pour les personnes sans cœur... Et bien c'est la même choses pour la weed. Sa ne me dérange en aucun cas de fumé les cadavres dessécher des autres, mais jamais je pourrais faire subir cette torture à cette divinité.

J’enlève les deux feuilles sèche et lui remet un peu d'eau, avant de lui faire un petit bisous sur une de ces magnifiques feuilles et redescend dans l'appartement pour me mettre en face de mon bien aimé. J'aurais probablement du remettre mon T-shirt avant de sortir, le froid me fait pointé comme jamais. J’attends qu'il me fixe pour plonger mon regard au plus profond du sien. Tabarnak, ces levres parfaitement dessiné me donne tellement envie. Si je m'écoutait je serais après ces tétons toutes la journée. Je déboutonne mon jean et fait doucement glissé la braguette vers le bas laissant ainsi plus qu’apparaître mon boxer Batman tout neuf, made in Ohio comme ils disent... Je touche mon sexe habillé et caresse mon torse nu pendant que je lui adresse la parole.

- J’attends toujours vos ordres Monsieur. Je suis tout a vous. Je ferais tout se que vous désirez. Si vous voulez on peu aller manger ou alors... Je pourrais vous servir d'entré pour ce magnifique plat. C'est vous qui décidé Monsieur Dean.

Il me fais rire quand il essaye de faire le dominateur. Enfin il est très crédible, mais étant d'un naturel très romantique je n'arrive pas à le prendre au sérieux, surtout avec sa petite tête de brocoli. J'adore quand il me donne des ordres de la sorte, c'est donc sans perdre un instant que je commence à danser du disco en suivant le tuto de Magdalena Petrova, une youtubeuse spécialisé dans les vidéos danse disco. Probablement une très bonne chorégraphe puisqu'il me fais venir près de lui assez rapidement avant de me sucer tel un panda léchant son bambou. On dirais bien qu'il à perdu. Qu'elle gros fragile. Je dois avoué que je suis relativement heureux qu'il ai céder si rapidement, trois semaines sans sexe c'est juste énorme, j'ai l'impression d'avoir les testicules de la taille d'un potiron. Je ne me fais pas attendre pour être au garde à vous et c'est avec plaisir que je le vois me supplier de lui mettre là maintenant, sans préliminaire, juste pars qu’il me veux en lui. Comment je pourrais refusé de mettre mon poireau à cette pauvre petite chose. Je m'approche donc vers son ci beau visage et lui caresser la joue.

- Oh mon pauvre petit PD, je t'ai autant manquer que ça ? Vraiment ? Je ne vais pas te faire attendre une minute de plus. Crois moi j’espère que tu es près car moi aussi sa fait trois longues semaines que je rêves de te baiser.

Je le prend et le lance contre la table basse en forme de parallélépipède pour qu'il s'appuie contre elle pour être confortablement en position quatre pattes. J'ai envie de lui. Tellement. Je lui met quelques fessé jusqu'à se que ces fesses deviennes à peine rouge en m’octroyant le droit d'aller délicatement pincer ces tétons. On est de réel partisan du sexe sauvage.  Un sourire digne du Joker ce dessine sur mon visage. Je dois le dire je suis un peu sadique parfois, c'est donc sans hésité que je commence à lui mettre des fessés de plus en plus forte. Puis, lorsqu'il s'y attend le moins, je lui enfile mon potager dans son petit pédoncule. Je ne cherche pas à savoir si il prend du plaisir ou pas et y va directement à fond. On à la pizza à manger, il ne faut pas qu'elle refroidisse, je le martèle de coup de reins jusqu'à l'explosion final. Je le fini ensuite rapidement en lui fessant un petit plaisir buccal tout en le masturbant.

Je vais ensuite dans la cuisine pour commencer à sortir nos grande assiette à pizza et met les couvert pendant que mon bien aimé se remet de ces émotions. Il a perdu de l'endurance on dirais, il faut y remédier plus tard. Je nettoie rapidement la table car ce mec est un vrai porc[/]. Il à réussis à mettre de la mozzarella partout... Allez comprendre comment il a réussis. Cette homme me fascine parfois. Mon dieu, je crois que je l'ai perdu, on dirais une salamandre déséché sur sont rocher.

- Bon mon trésor, tu viens manger ta sublime création car elle est plus que tiède là. Il faut te remettre en forme car comme tu l'as dit, tu ne dois pas négliger ton dessert. Ah oui d'ailleurs mes parents te passe le bonjour, j'ai oublier de te le dire tal et il passerons sûrement nous vous dans un mois genre un week-end. Ma mère à besoins de se changer un peu les idées donc j'ai déjà dit oui, je sais sa se fais pas mais j’espère que sa te dérange pas sinon je peu toujours dire qu'on avais autre choses de prévu et que j'ai oublier.

Je m'installe et commence à manger une part de la magnifique Mozzarila. Putain que sa m'avais manqué, c'est tellement gastronomique.

- Et sinon tu as vues des gens pendant ces trois semaines ? Il sais vraiment rien passer d’intéressant dans ton taff ? Pas de gros contrat et tout ? Tu l'avais raide dés que tu croisais un beau mec ? Va y dit moi tout. Tu te masturbais sur mes photos ou sur du porno ? Va y dit moi tout se que j'ai manquer, j'veux tout savoir sur ta vie des trois dernières semaines.

Il me raconte sont histoires pendant qu'on mange la pizza. Une vie trépidante même si il m'avais déjà presque tout raconté par téléphone. Après celle ci, je me sent relativement fatigués. Une melange entre le train, la bouffe et le cookies. On s'en refume donc un dernier devant une émission de téléréalité ridicule et on pars au lit. Je prend le temps de le caliner longuement et je m'endors contre son téton droit. Demain seras probablement plus fatiguante pour lui.