Michael n'était pas vraiment au top de sa forme ces-derniers temps. sa dernière rencontre avec charlotte n'avait pas été une franche réussite, sans parler de la rencontre avec l'ex-mari de cette dernière. Fallait-il aussi ajouter les derniers soucis qu'il avait eu dans la semaine? Des livraisons qui n'arrivaient pas à temps, des excuses à faire auprès des clients, et la filiale allemande qui semblait ne pas vouloir faire avancer les choses, tout cela contribuait à mettre le blondinet de mauvaise humeur. D'une telle mauvaise humeur qu'il n'allait pas travailler aujourd'hui, samedi matin, alors que d'habitude il était à son entreprise. Non, aujourd'hui, il fallait qu'il fasse autre chose. Il avait donc prévu une séance de tir. Il n'avait averti personne si ce n'était le responsable du stand et avait pris sa splendide automobile pour rouler au plus vite vers le stand. Ce-dernier avait ouvert dans les allées sportives d'un centre commerciale non loin du parc des jeux olumpiques, c'était d'ailleurs l'événement qui avait permis au stand de s'agrandir et de nombreux passionnés du tir se retrouvaient las-bas. Michael sortit de sa voiture et rentra dans le centre commercial ou il y avait pas mal de monde en cette saison, surtout avec l'approche des fêtes. Il ne fit pas cas des personnes qui entraient et sortaient et se dirigea vers l'entrée du stand. Il ouvrit la porte à double battant et salua le responsable dont la belle moustache, toujours soigné, fit ressortir ses dents lorsqu'il sourit en voyant Michael. - Alors? Prêt pour une bonne séance? - Ouais, on peut dire ça... J'espère que tes cibles vont supporter la cadence. - Elles supporteront, elles supporteront... Dis-moi, j'ai reçu un beretta 92, ça te tente d'essayer avec ce genre d'armes à poing? Je sais que t'aime bien les glock, mais bon, si tu veux un peu de nouveauté... - Ça me va, mets-moi ça, le temps de me changer, j'arrive.
Michael fila aux vestiaires rapidement. Par chance, à cette heure-ci, il n'y avait personne. Forcément, les gens, à huit heure du matin avaient autre chose à faire que de venir tirer pour la plupart. Michael enfila un sweet , un jogging et partit vers la salle de tir. Il poussa les portes de la salle pour se retrouver avec une jeune femme qu'il connaissait bien. Lou-Ann. Il lui avait appris à tirer alors qu'elle était à ses débuts, et elle semblait aimer le tir. Maintenant, elle se débrouillait très bien toute seule, à tel point qu'on aurait pu croire qu'elle avait suivi une formation parfois. Michael la dévisagea un instant avant de la saluer: - Ça alors, je m'attendais pas à te voir ici à cette heure! Comment vas-tu. Il lui fit la bise avant de se diriger en sa compagnie vers les stands de tirs tout en écoutant sa réponse. - Bon, alors tu tires avec quoi ce matin? Si il se souvenait bien, elle aimait tirer avec les armes de poing, mais pourquoi ne pas essayer de la nouveauté hein? Lui, il préférait le tir avec des fusils d'assaut, ou des sniper, mais il avait essayé les armes de poing et... Cela lui plaisait. Il commencerait par les armes de poing aujourd'hui, avant de peut-être se rabattre sur un fusil.
Elle semblait en forme et prête à tirer elle aussi. Et bien au moins, il observerait un peu ses progrès. Et puis ça lui ferait un peu de compétition, même si dans ce domaine, il n'était vraiment pas mauvais. Il fallait dire que la formation qu'il avait de l'armée n'avait jamais disparu et il mettait un point d'honneur à s'entraîner deux fois, voir trois fois par semaines. Il était un client régulier du stand, et l'expérience qu'il avait acquise au combat lui donner un léger avantage. Il connaissait tous les engrenages pour un tir parfait, mais il devait admettre qu'il lui arrivait de manquer sa cible, et la jeune femme qu'il avait un peu aidé se trouvait être une battante si il se souvenait bien, alors autant dire que la compétition pouvait être rude.
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(✰) message posté Ven 30 Déc 2016 - 16:43 par Invité
il faut être concentré pour un carton parfait.
lou-ann & michael
Ces cauchemars .. Ces rêves .. Une femme qui sort de la « bouche » du plus vieux métro du monde. Une femme qui marche dans les rues de la capitale londonienne en pleine nuit. Un homme qui l’attrape par le bras. Une femme « prise au piège » par cet homme muni d’une arme blanche. Une femme qui se défend contre cet homme. Une femme qui sort une arme et la pointe sur cet homme. Une femme qui appuie sur le « bouton » de l’arme. Mais, aucunes munitions ne sort de l’arme. Une femme qui fait à nouveau les manipulations nécessaires. Mais, encore une fois aucunes munitions ne sort de l’arme. Cet homme s’approche de la femme. Soudain, des pleurs d’un enfant .. « Timéo. » .. Un sursaut. Son corps se (re)dresse dans le lit. Un « grand bruit » de respiration l’accompagne. Son rythme cardiaque est rapide. Ses mains sont « victimes » de tremblements tandis que ses doigts sont agrippés au bord de la couverture. Sa respiration est « bruyante » et « saccadée. » Une des mains lâche la couverture afin que ses doigts traversent sa chevelure brune. Un mouvement de bras fait basculer la couverture. Son corps se (re)trouve debout sur le matelas. Ses pieds marchent sur le matelas. Son corps sort de la chambre. .. Mlle Busby ouvre la porte et entre dans la chambre de son bonhomme de deux ans. Elle se dirige vers le lit à barreaux. « Chut, maman est là. » Elle le prend dans ses bras. Elle dépose ses lèvres sur le front de son fils. Elle fait des gestes de haut en bas sur son dos. Elle prend un 1er plaid en polaire aux motifs de Noël : un Père Noël avec son traîneau rempli de cadeaux et les rênes. Elle prend ensuite un 2ème plaid en polaire lui aussi aux motifs de Noël : des bonhommes de neige avec des flocons de neige. Elle s’assoit dans la chaise à bascule. Une couverture sur les genoux et l’autre qu’enveloppe le garçon. Elle fredonne à voix basse : « Dans son manteau rouge et blanc sur un traîneau porté par le vent il descendra par la cheminée petit garçon, il est l'heure d'aller se coucher [..] » Une fois que le bonhomme s’est à nouveau endormi la trentenaire le dépose dans son lit à barreaux. Elle ferme la porte de la chambre et entre dans la sienne. Elle se dirige vers son armoire. Elle descend de la plus haute étagère la boîte où se trouve son arme à feu. « Je dois aller au stand de tirs. » Elle remet ensuite la boîte à sa place initiale. Elle sort de la chambre. Elle se fait un cappuccino à la vanille avant de se rendre dans le salon où la trentenaire mit les guirlandes lumineuses du sapin en marche et un film de Noël à la télévision. .. Il est un peu moins de huit heures du matin. Elle entre à Westfield Stratford City le centre commercial qui se situe à l’est de la capitale londonienne. Elle prend la direction du stand de tirs. Elle ouvre la porte à double battants. Elle se dirige vers les vestiaires. Elle y dépose son sac à main ainsi que son sac de sport. Elle retire son jeans et sa chemise à carreaux. Elle enfile à la place un pantalon de « jogging » et un tee shirt sur lequel la trentenaire ajoute un sweat. Elle met toutes ses affaires dans l’un des casiers à la disposition des « amateurs » de tirs. Prête, elle entre dans la salle de tirs. Elle y entre. Elle fait quelques pas vers les stands. « Ca alors, je ne m'attendais pas à te voir ici à cette heure ! Comment vas-tu. ? » Elle se tourne vers Michael. Elle réduit la légère distance entre eux. Ils se font la bise. « Oh. Je vais bien .. J’avais besoin de .. faire un peu de tirs. » Elle fait un geste de la main vers les stands de tirs en haussant les épaules. « Bon, alors tu tires avec quoi ce matin ? » Ils arrivent aux stands de tirs. « Cela fait quelques temps que je ne suis pas venue avec les fêtes de Noël et .. le reste. Alors comme d’habitude c’est déjà bien. » Elle hausse à nouveau les épaules. « En plus tu es là. Je vais avoir la pression. » Un rire nerveux sort de sa bouche : est ce qu’elle va réussir à tirer comme il lui a si bien apprit ou est ce qu’elle ne va pas réussir ? .. Comment dans son cauchemar ..
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Ces cauchemars .. Ces rêves .. Une femme qui sort de la « bouche » du plus vieux métro du monde. Une femme qui marche dans les rues de la capitale londonienne en pleine nuit. Un homme qui l’attrape par le bras. Une femme « prise au piège » par cet homme muni d’une arme blanche. Une femme qui se défend contre cet homme. Une femme qui sort une arme et la pointe sur cet homme. Une femme qui appuie sur le « bouton » de l’arme. Mais, aucunes munitions ne sort de l’arme. Une femme qui fait à nouveau les manipulations nécessaires. Mais, encore une fois aucunes munitions ne sort de l’arme. Cet homme s’approche de la femme. Soudain, des pleurs d’un enfant .. « Timéo. » .. Un sursaut. Son corps se (re)dresse dans le lit. Un « grand bruit » de respiration l’accompagne. Son rythme cardiaque est rapide. Ses mains sont « victimes » de tremblements tandis que ses doigts sont agrippés au bord de la couverture. Sa respiration est « bruyante » et « saccadée. » Une des mains lâche la couverture afin que ses doigts traversent sa chevelure brune. Un mouvement de bras fait basculer la couverture. Son corps se (re)trouve debout sur le matelas. Ses pieds marchent sur le matelas. Son corps sort de la chambre. .. Mlle Busby ouvre la porte et entre dans la chambre de son bonhomme de deux ans. Elle se dirige vers le lit à barreaux. « Chut, maman est là. » Elle le prend dans ses bras. Elle dépose ses lèvres sur le front de son fils. Elle fait des gestes de haut en bas sur son dos. Elle prend un 1er plaid en polaire aux motifs de Noël : un Père Noël avec son traîneau rempli de cadeaux et les rênes. Elle prend ensuite un 2ème plaid en polaire lui aussi aux motifs de Noël : des bonhommes de neige avec des flocons de neige. Elle s’assoit dans la chaise à bascule. Une couverture sur les genoux et l’autre qu’enveloppe le garçon. Elle fredonne à voix basse : « Dans son manteau rouge et blanc sur un traîneau porté par le vent il descendra par la cheminée petit garçon, il est l'heure d'aller se coucher [..] » Une fois que le bonhomme s’est à nouveau endormi la trentenaire le dépose dans son lit à barreaux. Elle ferme la porte de la chambre et entre dans la sienne. Elle se dirige vers son armoire. Elle descend de la plus haute étagère la boîte où se trouve son arme à feu. « Je dois aller au stand de tirs. » Elle remet ensuite la boîte à sa place initiale. Elle sort de la chambre. Elle se fait un cappuccino à la vanille avant de se rendre dans le salon où la trentenaire mit les guirlandes lumineuses du sapin en marche et un film de Noël à la télévision. .. Il est un peu moins de huit heures du matin. Elle entre à Westfield Stratford City le centre commercial qui se situe à l’est de la capitale londonienne. Elle prend la direction du stand de tirs. Elle ouvre la porte à double battants. Elle se dirige vers les vestiaires. Elle y dépose son sac à main ainsi que son sac de sport. Elle retire son jeans et sa chemise à carreaux. Elle enfile à la place un pantalon de « jogging » et un tee shirt sur lequel la trentenaire ajoute un sweat. Elle met toutes ses affaires dans l’un des casiers à la disposition des « amateurs » de tirs. Prête, elle entre dans la salle de tirs. Elle y entre. Elle fait quelques pas vers les stands. « Ca alors, je ne m'attendais pas à te voir ici à cette heure ! Comment vas-tu. ? » Elle se tourne vers Michael. Elle réduit la légère distance entre eux. Ils se font la bise. « Oh. Je vais bien .. J’avais besoin de .. faire un peu de tirs. » Elle fait un geste de la main vers les stands de tirs en haussant les épaules. « Bon, alors tu tires avec quoi ce matin ? » Ils arrivent aux stands de tirs. « Cela fait quelques temps que je ne suis pas venue avec les fêtes de Noël et .. le reste. Alors comme d’habitude c’est déjà bien. » Elle hausse à nouveau les épaules. « En plus tu es là. Je vais avoir la pression. » Un rire nerveux sort de sa bouche : est ce qu’elle va réussir à tirer comme il lui a si bien apprit ou est ce qu’elle ne va pas réussir ? .. Comment dans son cauchemar ..