he was like lightning from a storm, i was struck the moment he touched me, and I longed for his light the moment he left. ✻✻✻ Lola avait conscience qu’une séance de dédicace ne durait pas toute la journée. Qu’à un moment, elle se terminerait. Mais le simple fait de devoir attendre quelque part pour qu’Elay vienne la rejoindre ne plaisait pas à Lola. Sauf qu’elle devrait bien s’habituer à cela. C’était une des conditions pour rester dans l’anonymat. Ne pas être en présence d’Elay lors d’événements importants. Avec le temps, elle espérait s’y habituer. Pour le moment, ce n’était pas le cas. « Pas de soucis, tu me présentes quand ton chien en plus. » Bientôt, c’était évident. Lola avait de la difficulté à laisser une journée Pablo. Elle le considérait littéralement comme son enfant. C’était le sien pas celui de Jemma, Levi ou Noah. C’était son chien à elle. Se grattant le nez, Lola réfléchissait à une réponse. « Bientôt. Avant que tu quittes pour les États-Unis, si ça te dit. » répondit-elle, léger sourire sur les lèvres. Lola désirait vraiment qu’Elay rencontre son petit chien. Ce serait bien le premier de sa famille. « Le premier membre de ma famille que tu comptes rencontrer et un des plus merveilleux. » Bon, c’était de l’exagération parce que sa mère était une femme merveilleuse. Son jumeau, aussi, mais il était plus idiot qu’autre chose. Bien sûr. Elle aurait dû s’en douter. Pourtant, elle ne l’avait pas fait. Le fait qu’il passe le temps des fêtes dans son pays natal. Avec sa famille. En guise de réponse, Lola s’était contenté d’hocher de la tête en espérant qu’il ne constate pas la légère déception sur mon visage. « Ah! J’ai oublié de te le dire, mais le code pénal et moi sommes exclusifs maintenant. Pour toujours et à jamais. » répondit-elle, rieuse. Bon, Lola exagérait. Ce n’était pas éternellement bien que dans le futur, les notions apprises lui serviraient grandement. Pour le moment, la jeune demoiselle avait l’impression que son seul compagnon était le code pénal. « Ça dépend… Qu’est-ce que tu comptes préparer ? Tu l’ignores encore, mais je peux être difficile quand ça ne concerne pas de la pizza. » Lola et son amour pour la pizza. Ce mets délicieux dont elle était incapable de se séparer. « Si tu restes ce soir… Je m’occupe de tout. » lui disait-il en glissant sa main dans sa queue-de-cheval. Lola savait qu’Elay préférait lorsque ses cheveux n’étaient pas attachés, parce qu’il lui avait dit à Paris, alors que pour elle, c’était tout le contraire. Lola se préférait les cheveux attachés, loin de son visage. Le contact de ses lèvres contre les siennes, Lola attendait ce moment un peu avec impatience. S’embrasser était tout ce qu’ils faisaient. Elay, ou même elle, n’avait jamais tenté d’aller plus loin. Ils prenaient leur temps. C’était ce qu’il y avait de bien entre eux. Mais Lola mentirait si elle disait qu’elle n’en désirait pas plus. Évidemment. Elle était humaine, après tout. Des frissons parcoururent son corps lorsqu’elle sentit celles-ci bifurquées vers son cou, la chatouillant légèrement. Attrapant le visage d’Elay, Lola déposa ses lèvres sur les siennes tout en collant son corps au sien. « Embrasse-moi encore. » murmura-t-elle après s’être séparé de lui pour reprendre son souffle. Quelque part, elle ne désirait pas qu’il aille s’occuper du repas. De toute manière, Lola n’était pas très affamée. En tout cas, moins qu’à l’habitude. Comme si elle avait perdu son appétit, ces dernières semaines. « Est-ce que c’est mal de vouloir aller plus loin ? » Lola posait, enfin, l’ultime question. La dernière chose dont Lola désirait était de le mettre mal à l’aise. Elle connaissait l’histoire avec son ex-copine et Lola se doutait, au fond, qu’il n’avait pas cherché à combler son vide avec des aventures d’un soir. Ce n’était pas le genre d’Elay de toute manière.
(✰) message posté Ven 16 Déc 2016 - 21:45 par Invité
Loving can hurt, loving can hurt sometimes. But it's the only thing that I know. When it gets hard, you know it can get hard sometimes. It's the only thing that makes us feel alive. ✻✻✻ Je partais bientôt, pour être bien précis dans deux jours et c'était loin d'être facile parce que je me voyais pas laisser Lola, je me voyais pas ne pas passer deux semaines sans la voir même pas une petite minute. Je sais que c'était excessif mais parfois on a des rencontres qui bouleversent une vie, Lola en était une. A sa manière elle s'était installée en moi, elle savait me rassurer, me faire sourire, elle me réapprenait à vivre tout simplement, pourtant je vous arrête tout de suite, ce n'était pas une thérapie, ma sœur m'avait dit que je pouvais avoir ce genre de face, celle ou je prenais une femme pour m'aider à sortir la tête de l'eau puis je voyais que finalement ce n'était pas la bonne, non c'était bien plus. Je ne dis pas être amoureux, je dis juste qu'elle me rendait heureux, elle savait comment me surprendre puis j'adorais son rire ou ses yeux désespéré quand je m'étais endormi devant l'un de ses films, elle avait aussi son coté fouineuse comme la fois ou je l'avais surprise entrain de lire par-dessus mon épaule le chapitre de mon roman que j'écrivais. Lola n'était pas une groupie, un passe temps, c'était beaucoup plus. Il suffisait de nous voir tous les deux en cet instant, mes lèvres contre sa peau, son cou, elle frissonnait, tout son corps réagissait au mien, se collait contre moi, c'était un pur bonheur que de voir que la personne que l'on voulait, voulait bien de nous car oui je l'avoue j'avais eu peur. J'avais eu peur qu'elle me voit comme étant une œuvre de charité, un pauvre mec qui était juste blessé par la vie, qu'elle veuille me sortir de là pour mieux me larguer avec un sentiment de travail accompli, je crois que c'était normal de ressentir ça quand on voyait le nombre d'heures passées ensembles ou il ne se passait rien que des bisous. Je n'étais pas un enfant de cœur, j'étais souvent entreprenant seulement le fait qu'elle veuille prendre son temps comme elle avait pu me le dire tout à l'heure m'avait un peu prit de freiné, si j'allais plus loin est-ce qu'elle me repousserait? La réponse je l'ai eu rapidement quand elle me disait de l'embrasser de nouveau chose que je fis avec un sourire pendant notre baiser, mon dieu, je ne pouvais pas dire ce que je ressentais en cet instant, c'était beaucoup trop bizarre et prématuré de mettre des mots comme passion et brulant à ce stade pourtant c'était bien le cas. Mon corps était en feu, mon cœur était entrain de battre tellement vite que j'ai l'impression qu'il était capable de sortir de ma cage thoracique quand nos lèvres se séparaient, je me reculais un tout petit peu, je gardais bien mes bras autour d'elle parce que j'avais l'impression que ma réponse à sa question risquerait de nous éloigner tous les deux. "Non." Dis-je avant de reprendre. "Mais tu as dis qu'on devait aller doucement…" Je la rejetais en quelque sorte, je le savais, mon cœur me disait de céder à ce que je voulais: elle seulement mon esprit me disait le contraire, il m'ordonnait de me tenir loin des femmes. Lola n'était pas Cassidy je le savais, elles n'avaient rien en commun, l'une était rousse, l'autre châtain, déjà rien que physiquement ce n'était pas les mêmes, ni même dans le caractère, Lola était Lola quoi. Simple, douce, drôle, avec son petit caractère quand elle m'envoyait balader, c'était le genre de femme qui me fallait, rien que de penser ça je me sentais mal, parce que j'avais passé 7 ans avec une autre qui finalement ne me convenait pas. Perdu, je finissais par me décrocher de Lola, je lui causais trop d'ennuie, vraiment, il suffisait de voir aujourd'hui avec l'interview puis je ne sais pas sur un cou de tête, j'embrassais de nouveau Lola plus langoureusement, plus chaudement, je décidais d'oublier ma tête, laissant mon cœur s'exprimer. "Tu le veux vraiment?' Oui je sais, la question pouvait rompre le moment mais j'avais besoin de savoir, je voulais la protéger, même de moi, j'étais comme ça avec elle, j'étais toujours là à veiller sur elle, c'était incontrôlable surtout que mes mots n'allaient pas avec mes gestes vu que je la portais dans mes bras jusqu'à dans ma chambre.
Lola Barnett
she has the moon in her mind that’s why stars spill off her lips.
» Date d'inscription : 08/05/2016
» Messages : 6568
» Pseudo : sarah.
» Avatar : alycia debnam-carey.
» Âge : 23yo, (07.05).
» Schizophrénie : rioja, nova & teodora.
» Absence : 30 avril.
(✰) message posté Mer 28 Déc 2016 - 4:56 par Lola Barnett
he was like lightning from a storm, i was struck the moment he touched me, and I longed for his light the moment he left. ✻✻✻ « Non. » D'un côté, il l'a rassurait tandis que de l'autre côté, pas du tout. « Mais tu as dis qu'on devait y aller doucement... » Pas faux. Elle lui avait bien dit cela lorsqu'ils étaient tous à Paris. Probablement pourquoi rien ne s'était passé entre eux. Puis, le fait qu’il partait pour sa tournée semblait peser dans la balance. Même si elle ne l’admettrait pas, Lola n’avait pas envie de voir Elay partir. Elle voulait qu’il reste près d’elle. Qu’il soit là, chez lui lorsqu’elle s’invitait chez lui après une journée en cours. C’était égoïste puisque plusieurs personnes attendaient avec impatience d’avoir un autographe et photo de lui. Elay était populaire outre-mer. Lola savait. Elle avait fait des recherches. Plusieurs personnes aux États-Unis avaient adoré son roman. Pouvait-elle leur en vouloir ? Non. Pouvait-elle en vouloir à Elay ? Non. C’était elle, l’égoïste dans l’histoire à vouloir qu’il reste ici, avec elle. Ce qui était encore plus égoïste était le fait qu’il l’avait invité à l’accompagner et qu’elle avait déclinée. Elle pourrait partir avec lui, mais elle n’en avait pas envie. Elle n’avait pas envie de se sortir de son cocon. De leur cocon à eux. « Tu le veux vraiment ? » Pendant un long moment, Lola avait réfléchi à la question. Elle allait lui donner une réponse avant qu'il la prenne dans ses bras pour la transporter jusqu'à sa chambre. S'il lui disait qu'il ne le voulait pas, son comportement affirmait le contraire. Son corps aussi le trahissait d'une certaine manière. La manière dont il l'embrassait, l'attirait contre lui. C'était des signes contradictoires. « Oui. » répondit-elle doucement, en se mordillant la lèvre inférieure. C'était étrange. « Toi ? » continua-t-elle en relevant le regard pour mieux regarder Elay. La nervosité s'emparait un peu plus de Lola en attendant la réponse de ce dernier. Toute cette situation était étrange, c'était bizarre. Il y a quelques temps, elle lui disait qu'ils devaient y aller lentement pour mieux prendre leur temps. Déjà que cette histoire avec la journaliste venait compliquer les choses, avaient-ils réellement besoin d'aller plus loin ? Lola en avait envie. Mais est-ce que c'était une bonne chose ? Est-ce que c'était prudent de franchir la ligne ? Dans sa tête, tout était confus. C'était probablement la même chose pour Elay. C'était peut-être plus difficile pour lui que pour elle. Il y avait des éléments de son passé dont elle ignorait encore et qu'elle allait ignorer tout le long de leur présumé relation. « Je sais qu'au fond, ça fait peur mais... » Qu'est-ce qu'elle peut bien lui dire pour le réconforter ? Lui faire comprendre que tout allait bien aller. Qu'il n'avait plus besoin d'avoir peur. « Ne me repousse pas, Elay. » Même si elle comprendrait les raisons, Lola ignorait si elle survivrait à ce rejet. Elle aurait pu lui dire il y a un moment de son envie d’aller plus loin. À Disney, elle en avait eu la possibilité, mais elle-même trouvait que c’était trop tôt et que ce serait bizarre, au fond. Rien qu’une nuit. Avant qu’il quitte pour sa tournée. Qu’il ne pense à elle qu’à la fin d’une journée. Avant qu’elle ne puisse plus voir ses traits pour une ou deux semaines, elle ne se souvenait plus. Rien qu’une nuit. Tous les deux. À oublier les gens de l’extérieur. À oublier la journalise et cette rumeur comme quoi, ils étaient fiancés. Juste oublier.
(✰) message posté Dim 1 Jan 2017 - 20:51 par Invité
Loving can hurt, loving can hurt sometimes. But it's the only thing that I know. When it gets hard, you know it can get hard sometimes. It's the only thing that makes us feel alive. ✻✻✻Il eu ce long silence qui me perturbait, celui que je ne voulais pas entendre. J'avais besoin de savoir si elle me voulait, je ne sais pas son cœur pouvait dire oui alors que son esprit pouvait dire le contraire en tout cas moi je ne lui laissais pas vraiment le temps de lui répondre, dans un excès de joie et de passion qui animait notre relation je la posais sur le lit après l'avoir prit dans mes bras. C'est là que la réponse tombait, oui. Est-ce qu'elle se sentait piégé par la position? Je me posais un peu sur le coté tout de même espérant que je ne la forçais à rien, ce qui semblait stupide c'était moi et mes questions, je ne remarquais pas ses yeux qui brillaient, autant que les miens d'ailleurs. Cela serait incroyable que de dire que je n'attendais pas ce moment, je l'avais envisagé c'est vrai mais seulement en rêve et encore ça passait un peu mal, je me sentais à l'aise avec Lola vraiment, je crois que c'était bien la première fois depuis des mois que je n'avais pas besoin d'être saoul pour éventuellement coucher avec une femme, pourtant je n'avais pas pris la peine de répondre à sa question. Oui j'étais prêt, je crois, je sais pas, je me contentais de la regarder à cet instant, repoussant une mèche derrière son oreille, déposer un baiser sur son nez, sur ses lèvres très rapidement avant d'entendre des paroles qui m'arrachaient un sourire, un rire. "Peur? Je n'ai pas peur d'une femme voyons." Je comprenais ce qu'elle voulait dire par là, je voulais juste me voiler la face, c'était plus facile même si la suite me faisait un peu serrer les dents. "Pourquoi tu penses que je vais te repousser? Je reconnais que peut-être ce n'est pas le bon soir, je veux juste être un mec bien." Pour une fois j'ai envie de dire, je n'étais pas le gendre idéal je l'avais souvent entendu par mes anciens beaux-parents, pour eux j'étais instable, rêveur et pas trop bavard, je n'étais pas très apprécier et disons que quand on vous le dit un milliard de fois en 7 ans bien vous finissez par y croire. Seulement à ce moment, je me laissais guider par mes envies, par elle, Lola était mon petit bonbon, c'était stupide, très naïf mais je me sentais bien avec elle sur tous les plans, on se disputait parfois mais c'était pour des broutilles, peut-être qu'on était juste un jeune couple, encore faut il que ce mot soit adéquate enfin ce que je voulais à cette seconde précise c'était elle. Son odeur qui envahissait mes narines, sa peau douce qui glissait sous mes doigts quand je lui retirais son haut, je la voulais mienne, juste cette nuit. Demain allait surement être très compliqué, la laisser ici pour deux semaines, elle était capable de m'oublier, elle était jeune après tout, j'étais peut-être juste sa manière de se rebeller, je ne sais pas encore une fois mais j'allais la faire mienne si j'arrivais à lui retirer son jean slim. "Je vais chercher des ciseaux si ça continue." Ça faisait au moins une bonne minute que je tirais dessus jusqu'à arriver au bout du truc mort de rire. "Pas de commentaires." Dis-je un peu honteux alors que je revenais en boxer après avoir retiré mon t-shirt, non je me sentais un peu gêné, on distinguait même le rouge de mes joues si la lumière de la rue se reflétait sur mon visage.
Lola Barnett
she has the moon in her mind that’s why stars spill off her lips.
» Date d'inscription : 08/05/2016
» Messages : 6568
» Pseudo : sarah.
» Avatar : alycia debnam-carey.
» Âge : 23yo, (07.05).
» Schizophrénie : rioja, nova & teodora.
» Absence : 30 avril.
(✰) message posté Mer 18 Jan 2017 - 4:41 par Lola Barnett
he was like lightning from a storm, i was struck the moment he touched me, and I longed for his light the moment he left. ✻✻✻ « Peur? Je n’ai pas peur d’une femme voyons. » En guise de réponse, Lola roula des yeux. Ce fut plus fort qu’elle. « Pourquoi tu penses que je vais te repousser ? Je reconnais que peut-être ce n’est pas le bon soir, je veux juste être un mec bien. » Lola comprenait entièrement. « Tu l’es, je t’assure que tu l’es. Un des meilleurs mecs que j’ai rencontré. » Elle disait la vérité. Il n’avait pas besoin d’avoir peur de passer pour un mauvais mec. Ce n’était pas le cas et ce ne serait probablement jamais le cas. Elay était une bonne personne. Du genre à prendre soin d’une jeune demoiselle sans réellement connaître celle-ci. La preuve ? Leur seconde rencontre. Dès l’instant où il avait vu les gens prendre des photos, son instinct s’était déclenché. Lola appréciait ce détail chez Elay. Elle se savait en sécurité près de lui et c’était toujours un sentiment agréable : celui de se sentir en sécurité auprès d’une personne. En tout cas, ce l’était pour Lola. Elle qui, parfois, ne se sentait pas en sécurité. Certaine qu’il allait lui dire non, qu’il allait la repousser en lui disant que c’était trop tôt, Elay surprit Lola en s’approchant d’elle pour lui retirer son haut, glisser ses doigts sur sa peau. Geste qui avait pour effet de faire frissonner Lola. « Je vais chercher des ciseaux si ça continue. » Elle rigola. En même temps, Elay semblait tellement avoir de la difficulté. Ce qui était une situation assez drôle, il fallait l’admettre. « Ne fais pas ça, j’adore ce jean. » Il lui allait bien et moulait son postérieur selon une personne de son entourage. Puis, il allait avec tous les chandails qu’elle possédait. « Pas de commentaires. » Levant les mains dans les airs, elle fit une moue avant de prétendre de verrouiller ses lèvres et lancer la clé dans l’eau imaginaire. Elay n’avait pas une seule raison d’avoir honte. C’était des choses qui arrivaient. Puis, elle aussi était un peu honteuse. Les premières fois étaient toujours ainsi. Se relevant afin de s’agenouiller sur son lit, elle attrapa sa main pour le tirer jusqu’à elle. Lentement et délicatement, elle déposa ses lèvres sur les siennes avant de dévier vers sa mâchoire et son cou puis finalement son torse. « Tout va bien aller. » murmura-t-elle contre ses lèvres. Seule sur le lit, Lola décida de le tirer jusqu’à celui-ci pour que lui aussi y soit. Sachant à quel point les soutiens-gorge pouvaient se montrer compliqué, elle retira celui-ci. De toute manière, elle ne possédait pas une poitrine généreuse. Mais une qui suffisait amplement à Lola. « Le rouge te va bien. » dit-elle en caressant ses joues et d’un murmure. Comme si elle allait briser leur moment en parlant trop fort. Juste le bruit extérieur dérangeait Lola, mais ça ce n’était qu’un détail. À nouveau, elle chercha les lèvres d’Elay pour l’embrasser et lorsqu’elle trouva ses lèvres, son corps fit ce dont il avait l’habitude de faire : se coller au corps d’Elay tout en laissant ses mains parcourir son corps. Sans vraiment se gêner, Lola prit une main libre de l’écrivain pour le déposer sur sa poitrine. Pour ce soir, tout ce corps lui appartenait d’une certaine manière.