stuck in the london underground because of the snow storm. luckily you're here. ♥ samael

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lou-ann & samael

A en croire le nombre de cases ouvertes du calendrier de l'avent du bonhomme aux châtains clairs, les quinaze premiers jours du mois de décembre deux mille seize se sont écoulés les uns après les autres. Et oui. Nous sommes le vendredi seize de ce marquant le début de l'hiver dans les pays de l'hémisphère nord. En soit. Il ne reste plus que quinze jours avant que le douzième mois de l'année deux mille seize se termine au profit du commencement du premier mois de l'année deux mille dix sept. Mais aussi. Il ne reste plus que huit jours avant le « Réveillon de Noël. » Aie. Les nombreux préparatifs ne sont pas encore terminés pour la journaliste sportive. Même si : le sapin qui se tenait dans un coin de la « pièce de vie » depuis le début du mois a prit des couleurs grâce aux nombreuses guirlandes à « poils » et aux guirlandes lumineuses ainsi qu'aux boules de noël accrochées sur ses branches aux épines vertes ; quasiment toutes les pièces de l'appartement s'illuminent dès la tombée de la nuit grâce à la lumière provenant des guirlandes lumineuses suspendues à divers endroits aussi bien esthétiques que stratégiques ; sur la table basse du salon, un paquet de photographies datant du weekend dans la station de ski vosgienne sur le sol français attendent d'être mit dans un album : les trois anglais se tenant fièrement aux côtés du bonhomme de neige qu'ils ont fait dans les premières minutes après que leurs valises se soient posées dans l'hébergement en bois ; la trentenaire et son fils entrain de faire de la luge ; les premiers pas de l'enfant sur des skis ou encore la trace des trois anges dessinaient sur la neige fraîche de la station ; le réfrigérateur et les placards de la cuisine de Mlle Lou' se remplissent un peu plus au fil des jours avec de la nourriture en tout genre que Mme Busby la charge de garder jusqu'au « Réveillon de Noël. » Mais il manque un élément essentiel : les cadeaux. Et. A la vue de la vitesse à laquelle les jours passent, il est grand temps qu'en ce vendredi seize décembre, Mlle Lou' y (re)médier en réalisant quelques achats de noël dans les boutiques d'Oxford Street dans le centre de la capitale londonienne en compagnie de Samael. Et. Au bout de plusieurs heures à arpenter les rayons de quasiment tous les magasins de la rue à la recherche de cadeaux pour l'ensemble des membres de leur entourage respectif, les deux jeunes gens s'arrêtèrent déguster une boisson chaude : un cappuccino à la vanille pour la trentenaire. Et. Quelques minutes après qu'ils se soient assis autour d'une des tables rondes du lieu de restauration, ils interrompirent la conversation qu'ils entretenaient afin d'écouter l'une des personnes assises sur une des tables près d'eux qui lisait le contenu d'une alerte météorologique : une tempête de neige. Oh. « Je ferais peut être mieux de récupèrer Timéo à la crèche. », lance la journaliste sportive après un coup d'oeil sur les flocons de neige qui tombaient à une vitesse plus ou moins importante sur le bitume de la route. Après le mouvement de tête marquant l'aquiescement de son ami, ils empruntèrent les bras chargés de leurs paquets, le chemin d'un des plus vieux métro du monde avec ses onze lignes et ses deux cent soixante dix stations. Mais. Au bout de quelques mètres parcourus sans encombres, le moyen de transport vînt s'arrêter d'un seul coup avec en même temps une coupure de courant. Gloups. Tous les voyageurs se retrouvèrent dans la prénombre la plus totale. Dans un réflexe, une des mains de Mlle Lou' vînt attraper celle de Samael. « Oh non, pas ça. », lance d'un ton assez bas la jeune mère avec un brin de panique dans la voix. Ceci tandis que sa main libre sort son portable de la poche de son manteau afin de voir s'il n'y a pas un peu de réseau dans le but d'envoyer un message à quelqu'un de son entourage pour prévenir la crèche et récupère au passage son fils. Mais non. Rien.

stuck in the london underground because of the snow storm. luckily you're here.Le mois de décembre, l'ambiance de noel qui commençait doucement à s'installer. Sam avait toujours aimait ça, comme la plupart des gosses. Et il avait malgré tout ce qui lui était arrivé, gardé son âme d'enfant. Cette période restait une de ses préférée de l'année. Il aimait les guirlande lumineuse à l'extérieur des maisons, les décorations des boutiques, le début des sapins dans les maisons, le chocolat chaud et les calendrier de l'avant. Tu n'es pas un peu trop grand pour ça ? L'interrogea sa conscience. On est jamais trop vieux pour du chocolat. Bien qu'il respecta une certaine hygiène alimentaire, il faisait une entorse pour les fêtes, ce uniquement en ce qui concernait le chocolat. Il avait toujours aimait cela et se voyait difficilement s'en passer. Il ne savait plus comment ils en étaient arrivés là, mais Lou-Ann et lui-même, avaient décidés de faire les boutiques ensemble. Il fallait bien commencer à s'occuper des cadeaux de noël. Heureusement, les idées ne manquaient pas, l'argent non plus. S'il ne roulait pas sur l'or, il pouvait toutefois se permettre de faire quelques cadeaux. Fasciné par l’effervescence général, la foule, le bruit, le fait de piétiner avec application dans les couloirs et d’enchaîner les boutiques, l'avait quelque peu fatigué. Les deux jeunes gens finirent donc par s'arrêter déguster une boisson chaude. Le soigneur eu la satisfaction de s'asseoir et de poser ses sacs, dont certains s'avéraient particulièrement chargés. "Ouf..." soupira-t-il. "J'ai l'impression d'avoir quatre-vingt ans." Sa compagne commanda un cappuccino à la vanille. Pour sa part, il hésita plusieurs minutes avant d'opter pour un thé. "Quoi ? C'est moins toxique que le café. Enfin...ça dépends ce qu'ils mettent dans leur thé. " Il haussa les épaules. Rapidement, ils furent tout deux de nouveau plongés dans une conversation animé. Celle-ci fut cependant interrompue par les propos d'autres personnes autour d'eux. Ceux-ci lisaient le contenu d'une alerte météorologique assez importante. « Je ferais peut être mieux de récupérer Timéo à la crèche. » Il se contenta d'un hochement de tête pour toute réponse. Ils repartirent donc, chargés de leur différents paquets et se dirigèrent jusqu'au métro. Moyen de transport oh combien pratique dans ce genre situation. Tiens donc, tu n'aime plus ton vélo ? Railla sa conscience. Si énormément, mais là...Je me serais mal vu avec. Les amis s'installèrent sans souci dans l'appareil, qui démarra tout à fait normalement. Cependant ce fut sans compter son arrêt brutal quelques mètres plus loin, suivit d'une coupure de courant, peu encourageante. « Oh non, pas ça. »dit-elle tout bas, saisissant au passage la main du jeune homme. De l'autre, elle sortit son portable et le consulta tant bien que mal. "Ca va aller" déclara-t-il rassurant. "On ne vas surement pas tarder à repartir." En réalité, il n'était si confiant que ça. La rumeur concernant la tempête, plus ceci...Ca faisait déjà beaucoup pour une simple coïncidence.

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lou-ann & samael

En ce vendredi seize décembre deux mille seize, Mlle Lou' & Mr. Sam' ont parcouru les deux kilomètres cinq de la célèbre avenue du centre de la capitale londonienne : Oxfort Street. C'est la « plaque tournante » du « shopping » londonien avec ses trois cent magasins où s'entremêlent les marques internationales et les marques locales. C'est en conclusion, l'endroit « parfait » pour y faire ses emplêtes de Noël à la « dernière minute. » Ils ont ainsi parcouru les rayons de l'ensemble des magasins à la recherche des cadeaux pour chacun des membres de leur entourage respectif. Si bien qu'au bout d'un nombre d'heures conséquent, les amis se retrouvèrent les bras chargés de sachets. Ils décidèrent de se rendre dans un des nombreux « cafés » qui se mélangeaient aux magasins de l'avenue londonienne. Une fois assit à une table et les sachets dans lesquels se trouvent les cadeaux de Noël sur le sol, Sam' soupire un, « Ouf .. J'ai l'impression d'avoir quatre vingt ans. » C'est avec un fin sourire « taquin » sur les lèvres que la journaliste lance un, « Oh, petite nature ! » tandis qu'une serveuse vient prendre la commande des amis. Si Lou' ne met pas longtemps à faire son choix ce n'est pas le cas de Sam' qui montre des signes d'hésitations quelques instants. Quoi ? Sur le visage de la trentenaire, il est possible de voir sa bouche s'entrouvrir tandis que ses sourcils se fronçent face au choix de la boisson chaude de Samael. Il le justifie avec un, « Quoi ? C'est moins toxique que le café. Enfin, ça dépends ce qu'ils mettent dans leur thé. » en haussant les épaules. « Mais, tu n'as pas besoin de dire quoique ce soit. C'est ton choix ! », s'exclame la trentenaire en levant les mains et arborant une expression « innocente » sur le visage. Puis, un groupe de londonien assit à l'une des tables près de Mlle Lou' & Mr. Sam' se met à lire, une alerte métérologique concernant les prévisions et les conditions métérologiques de la capitale londonienne pour la semaine du seize au vingt cinq décembre deux mille seize  : « La météo annonce une énorme tempête de Neige pour la semaine de Noël. Du froid et beaucoup, beaucoup de neige qui pourrait avoir des conséquences sur la ville. Faites donc attention, prenez vos précautions, ne sortez que si vous le devez vraiment et surtout soyez prudent sur la route. » Comme vous le savez, une tempête de neige est un phénomène métérologique. Il est produit par une dépression hivernale importante. Les précipitations qui en résultent apparaissent sous la forme de flocons de neige. Ces derniers tombant de manière abondante sur le sol. De plus, en sachant qu'une tempête de neige peut entraîner un certain nombre de conséquences comme l'ensevelissement de la/les ville(s) touchée(s) sous des amas de neige dont l'ampleur dépend de l'action du vent ; la/les pluie(s) verglaçante(s) ; le grésil ou encore, la nuisance de la circulation automobile, la deuxième de la fratrie des Busby se vit dans l'obligation de prendre une décision : la fin de la dégustation de la boisson chaude sur Oxford Street. Ceci afin qu'ils rejoignent la structure d'accueil des jeunes enfants dans le quartier de Kensington grâce au métro londonien. Mais, c'est à peine après quelques mètres parcourus que le transport en commun fut la  « victime » de la tempête de neige en se paralysant. Mlle Lou' eu comme premières réactions un, « Oh non pas ça ! » qui se fit entendre à plusieurs reprises dans l'enceinte du wagon par plusieurs voyageurs. Ce fut à la fois parce qu'ils se (re)trouvaient coincés au milieu des tunnels souterrains et aussi parce que comme certains des voyageurs, une de ses réactions fut d'avoir un regard sur son téléphone portable. Mais, « Il n'y a pas de réseaux. », soupire la jeune femme tandis que Samael essaie de la rassurer avec un, « Ça va aller. » Lou' tourne la tête vers son ami à son, « On ne va surement pas tarder à (re)partir. »  Elle (re)met son téléphone portable dans la poche de sa veste en lançant sans conviction un, « J'espère que tu as raison. » avec une légère grimace. Elle pose au sol ses paquets et les coince entre ses jambes. « Mais, j'aurais dû envoyer un message à quelqu'un dès qu'on a su pour le tempête de neige. », râle la jeune femme contre sa propre personne en n'arrivant pas à rester statique : un balancement de son corps de droite à gauche ; un léger tour vers la droite et un autre vers la gauche ; des regards furtifs vers les autres voyageurs. « Olala, ça y est je suis une mauvaise mère ! », termine Mlle Busby en se tapant légèrement la paume de sa main libre sur son front en laissant tout de même apparaître une fine note d'amusement dans la voix même si sur visage, une légère grimace y est inscrite.

stuck in the london underground because of the snow storm. luckily you're here.« Oh, petite nature ! » Il haussa les sourcils, faussement étonné par cette remarque. Puis, il fit mine de regarder derrière lui. "Tu parle de moi là ?" plaisanta-t-il. "Tu te moque, mais je crois que la chasse aux cadeaux est plus difficile, qu'une journée de boulot complète." Il marqua une pause avant d'ajouter : "C'est exténuant." Passant commande, le jeune homme vit les sourcils de sa compagne se froncer à l'annonce de ce qu'il souhaitait prendre.« Quoi ? C'est moins toxique que le café. Enfin, ça dépends ce qu'ils mettent dans leur thé. » « Mais, tu n'as pas besoin de dire quoique ce soit. C'est ton choix ! » "Ah oui ? Vraiment ? Tu peux jouer l'innocente, j'ai bien vu ton petit air là...Oui oui oui." Le moment s'avérait sympa, comme souvent en la présence de la brune. Ils s'amusaient bien tous les deux, ce jusqu'à ce qu'ils écoutèrent parler de l'annonce météo. Un groupe de londonien, installaient à l'une des tables à coté d'eux rendaient compte d'une alerte, qui leur donna rapidement de quoi s'inquiéter. Une énorme tempête de neige...Cela peut arriver. Cela valait-il réellement le coup de s'emballer plus que de mesure ? Sa camarade décida pour lui, songeant qu'il serait mieux d'aller récupérer son fils. Idée qu'il ne contredit pas. Ils partirent donc, un peu en hâte, chargés de leurs différents sacs et paquets. Ils prirent le métro, trouvèrent de la place pour s'installer. Tout ce passait bien, ce jusqu'à ce que, après avoir fait quelques mètres à peine, l’appareil s'immobilisa. « Oh non pas ça ! ». Des murmures se mirent à courir dans le wagon au sein des autres utilisateurs. Le trouble semblait s'installer progressivement. La jolie brune à ses cotés saisit, comme par réflexe sa main et tenta de l'autre de joindre quelqu'un avec son portable. Ce qui évidemment - pour ne pas en rajouter heinnn, songea-t-il – ne fonctionna pas. « Il n'y a pas de réseaux. »  Cela ne l'étonna guère et s'avérait sans doute un peu inquiétant. Toutefois, il prit soin de rassurer son amie du mieux qu'il pu. Ils n'allaient surement pas tarder à repartir...Enfin l’espérait-il sincèrement. Le soigneur n'était pas claustrophobe, mais la perspective d'être bloqué dans un cube de métal, sous le sol, dans le noir... en sachant qu'une tempête de neige se préparait dehors, ne l'enchantait pas. L'unique point positive de cette histoire fut d'être en compagnie de Lou-Ann.  « J'espère que tu as raison. »  Il sourit et ajouta : "J'ai toujours raison. Tu ne le sais pas, depuis le temps ?" Que pouvait-il faire de mieux que de plaisanter ? Dans de telles circonstances, l'essentiel était souvent de garder son calme. Alors...Autant détendre l'atmosphère un minimum.  « Mais, j'aurais dû envoyer un message à quelqu'un dès qu'on a su pour le tempête de neige. » Sam haussa les épaules. "Tu ne pouvais pas prévoir qu'on se retrouverait bloqués ici. En plus, généralement les alertes permettent d'anticiper les choses...là c'est carrément pas le cas." On peut sans doute parler d'effet boule de neige, s'amusa sa conscience. Ironie du sort, quand tu nous tiens. « Olala, ça y est je suis une mauvaise mère ! ». L'américain se retint difficilement de rire et trouva drôle d'en rajouter une couche. " Ah ba oui à ce niveau là....C'est bien que tu le reconnaisse, j'osais pas te le dire" se moqua-t-il gentiment. "Plus sérieusement, je pense que ça va aller, faut juste patienter. De toute façon, je ne vois vraiment pas ce qu'on peut faire de plus". Il sourit et mit un léger coup d'épaule amical à sa camarade.