"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici well... we're stuck ; pv.maxwell 2979874845 well... we're stuck ; pv.maxwell 1973890357
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Abigail E. Reynolds
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() message posté Sam 22 Sep 2018 - 14:56 par Abigail E. Reynolds



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L'été touche à sa fin. Les touristes se font plus rares dans le centre de Londres. Toute la ville reprend tranquillement sa routine automnale. Il en est de même pour Abigail, qui a jugé qu'il était l'heure de renouveler une partie de sa garde-robe en prévision des températures plus fraîches qui arriveront bien assez tôt. Plutôt que de se cantonner aux boutiques dans lesquelles elle est habituée, près de son domicile, elle a décidé de se rendre dans un centre commercial qu'elle connaît bien, sur Oxford Street. Elle s'attendait à ce que ce soit bondé, mais finalement, rien à signaler de particulier. Aucune des amies qu'elle a conviées n'avait de créneau pour l'accompagner, aussi là voilà seule, flânant dans le grand bâtiment entre des boutiques aux prix plus ou moins exorbitants, cachée derrière ses lunettes de soleil même si ce dernier n'a presque pas pointé le bout de son nez ces jours passés. Deux sacs de vêtements et chaussures plus tard, Abigail s'engouffre, seule, dans l'un des ascenseurs du centre commercial. Elle prend le temps du trajet pour poser ses deux sacs qui, mine de rien, pèsent un poil lourd. En même temps, si elle n'avait pas craqué sur ce manteau... L'ascenseur s'arrête trois étages plus tard, alors qu'Abigail n'est pas arrivée à sa destination, qui se trouve être le dernier étage. Un homme monte, Abigail attend qu'il passe derrière elle pour lever un peu ses lunettes de soleil de son nez. Elles ont certainement déjà dû lui marquer l'arête de celui-ci... Elle masse quelques secondes du bout de ses doigts son visage à peine maquillé, ses lunettes toujours dans les mains, mais manque soudain de les faire tomber car tout à coup, l'ascenseur s'arrête dans un fracas difficile à ignorer. Abigail ne peut réprimer une petite exclamation de surprise, avant de se rappeler qu'elle n'était plus seule dans la cabine.
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() message posté Mer 3 Oct 2018 - 21:09 par Invité
L'automne arrive à grand pas. J'ai toujours détesté cette période et pour le coup elle reflète bien mon état d'esprit, maussade. Je dois aller voir mon éditeur aujourd'hui, il voulait me montrer les nouvelles tendances des livres pour adultes et jeunes. Je les connais les tendances, mais comme je suis gentil j'ai décidé d'aller le voir et de le rejoindre au centre commercial. Il y a une grande librairie et je sais qu'il m'attends là-bas. Il y a du monde comme toujours. Pour gagner un peu de temps je décide de prendre l’ascenseur ce que je ne fais jamais en général par ce que j'ai tendance à être claustrophobe. Je déteste me sentir enfermé, mais les escalators sont trop loin alors je décide de le prendre.

Les portes s'ouvre, je ne suis pas seul. Il y a une jeune femme plutôt mignonne et jeune qui est déjà à l'intérieur. Je me met dans un coin espérant que la porte va vite se fermer pour vite s'ouvrir derrière. L’ascenseur monte un peu et rapidement s'arrête. Je change de couleur, je vois mon reflet dans la vitre et j'ai beau être adulte et avoir quarante ans passé, c'est une peur que je ne peux pas contrôler. Il y a un bouton d'appel d'urgence à côté des numéros pour les étages. J'essaie de rester calme et j'appuie dessus de toute mes forces. Vu le bruit que l’ascenseur à fait on ne risque pas de passer inaperçu. On me réponds et on me demande combien il y a de personnes dans l’ascenseur. Je leur réponds que l'on est que deux. Ils doivent en déduire que c'est une panne mécanique et nous disent qu'ils envoient le réparateurs et qu'ils cherchent un moyens pour nous sortir de là. Je retourne dans mon coin et croise les bras avant de dire à la jeune femme :

« Je m'appelle Max. »

Je joue avec mes doigts, je suis stressé à l'idée de rester coincé ici longtemps. J'ai préféré ne pas dire que j'étais claustrophobe pour le moment. Je savais bien que j'aurais du prendre les escaliers.
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() message posté Lun 22 Oct 2018 - 15:20 par Abigail E. Reynolds



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Abigail tente de se remettre du sursaut que lui a causé l'arrêt inopiné de l'ascenseur dans lequel elle s'est engouffrée quelques étages plus tôt. Ce n'est pas grand chose, elle n'a pas non plus eu la peur de sa vie. Son premier geste n'est pas d'appeler à l'aide, bien au contraire. Elle est certaine que l'ascenseur est seulement en proie à un caprice de rouages, et est persuadée que le mécanisme ne va pas tarder à se remettre en route et à l'emmener à bon port. Elle attrape son sac à main et y récupère son étui à lunettes de soleil pour y ranger ces dernières. Elle a prévu de se rendre dans les boutiques un peu plus standing, au dernier étage, et n'en a par conséquent plus besoin pour se cacher. Abigail sent un mouvement derrière elle. L'homme qui venait de monter dans l'ascenseur juste avant qu'il ne s'arrête s'est légèrement déplacé pour atteindre le panneau de contrôle de la cabine. Le bouton du dernier étage brille encore. Abigail le laisse faire. Elle est rassurée, même dans un si petit lieu elle trouve encore quelqu'un pour faire les choses à sa place. Elle se meut un peu à son tour et s'adosse à la paroi à gauche de la porte de l'ascenseur, les yeux rivés sur le panneau de contrôle en face d'elle. On finit par répondre et demander un compte rendu. L'homme s'en charge. Abigail soupire discrètement, puis croise les bras. On annonce que quelqu'un va être envoyé. "Abigail," répond-elle sans grande conviction après que son acolyte de fortune s'est présenté. Elle se doute bien qu'il l'a déjà reconnue, et tout ce qu'elle espère, c'est que cette homme ne soit pas de la trempe des violeurs et autres harceleurs. "Heureusement, les lumières ne se sont pas éteintes," lance le mannequin en réprimant un sourire. Elle n'est pas claustrophobe pour le moins du monde, mais elle préfère quand même y voir quelque chose en situation de problème. Seulement, aussitôt a-t-elle parlé que toutes les sources lumineuses de la cabine s'éteignent d'un coup. "Merde, j'ai parlé trop vite," rit-elle nerveusement, alors qu'une veilleuse s'allume au niveau du bouton d'appel d'urgence sur lequel a précédemment appuyé l'homme.
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() message posté Mer 24 Oct 2018 - 17:15 par Invité
Je n'arrive pas à croire que je suis coincé dans ce fichue ascenseur. Je viens de reconnaître la demoiselle qui est avec moi et certains donneraient tout pour être coincé avec elle, mais je ne suis pas de ce genre là. Je suis plutôt du genre à aimer les mannequins masculins, mais évidement personne ne le sais. Elle me dit son nom et je fini par li dire :

« Oui je sais … »


Elle n'aime peut-être pas qu'on la reconnaisse ou qu'on sache qui elle est alors qu'elle même ne sait pas qui nous sommes. Je sais aussi ce que ça fait, en tant qu'écrivain, j'ai eu beaucoup de mal les premières fois où l'on me reconnaissait, pourtant j'essaie de faire en sorte de rester discret, mais ça ne marche pas très bien, le fait que le film avance bien fait beaucoup de pub à mon livre.

« Enfin pardon, vous devez en avoir marre qu'on vous reconnaisse tout le temps. »

Et puis la lumière s'éteint. Je ferme les yeux. Pourquoi faut-il toujours que ça s'éteigne. Je déteste les ascenseurs et mince, pourquoi je l'ai pris. Je savais bien que c'était une bêtise. Je voulais juste gagner du temps, ça n'a pas vraiment marché. Je commence à ne plus me sentir aussi serein et la panique commencer à arriver, mais j'essaie de me contrôler, pour ne pas qu'elle est trop peur de moi ou qu'elle me prenne pour un dingue. J'inspire et expire plusieurs fois essayant de me calmer.

« J'espère qu'ils arriveront vite, autant vous prévenir … je suis claustrophobe ... »

Je ne sais pas pourquoi je lui dis, mais au moins elle ne se demandera pas pourquoi je suis si bizarre tout à coup.
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() message posté Mer 7 Nov 2018 - 10:12 par Abigail E. Reynolds



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Abigail hausse un sourcil quand l'homme lui répond "Oui je sais", après qu'elle a mentionné son prénom. Elle n'est pas habituée à autant de désinvolture, mais il n'y a aucune marque de tentative de charme ou de désinvolture dans ses mots. Elle ne relève pas plus que cela, se contente de se dire qu'il doit juste souvent lire des magazines ou faire attention aux affiches promotionnelles de certains produits de beauté ou de vêtements. Au moins, le dénommé Max n'en fait pas tout un foin. Peut-être qu'il est agent, ou quelque chose comme ça ? Qu'il exerce une profession dans laquelle côtoyer des célébrités est une chose commune ? Elle n'a pas le temps de râler à propos de l'ascenseur que l'homme s'excuse d'avoir notifié qu'il l'a reconnue. Abigail hoche la tête. "C'est bon. Ca va. Faut s'y faire, c'est tout," explique-t-elle d'une voix douce et sans aucune agressivité. Malgré la situation, elle reste tout à fait détendue. Elle arrive même à plaisanter en lançant que les lumières ne se sont pas éteintes... Comme toujours, elle aurait mieux fait de se taire étant donné que quelques secondes après qu'elle a parlé, les lumières au plafond de la cabine s'éteignent effectivement. Abigail n'est pas le moins du monde claustrophobe. Elle se moque pas mal de se trouver dans un endroit clos, non, ce qui l'ennuie c'est surtout de perdre du temps sur sa journée de repos, ainsi que les conséquences qui peuvent découler du blocage d'une cabine. Elle n'imagine pas le pire pour l'instant, tant qu'ils restent tous deux calmes et patients. Le bruit de la respiration du dénommé Max à côté d'elle attire l'attention d'Abigail. Le silence est assez pesant, aussi le moindre froissement de tissu ou la moindre respiration plus forte qu'une autre se remarque aisément. "Ah," se contente-t-elle de réponse, hésitante. Elle ne sait pas comment gérer ce genre de personnes, elle n'a jamais eu l'occasion d'en côtoyer. Et elle ne connaît aucun des gestes d'urgence liés à ce genre de situation... "On peut s'asseoir, si vous voulez", propose le mannequin en joignant le geste à la parole. "Racontez moi ce que vous faites dans la vie, ça vous changera les idées, je crois," ajoute-t-elle ensuite, une fois qu'elle a appuyé son dos contre le mur de la cabine, ses deux jambes étendues entre ses sacs de shopping.
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() message posté Ven 16 Nov 2018 - 19:15 par Invité
Il faut s'y faire, c'est tout. Oui je suis tout à fait d'accord avec elle. C'est agaçant parfois d'être reconnu et j'ai la chance de ne pas l'être souvent. On connaît surtout mon nom, elle ça doit être tout le temps parc qu'il y a son visage partout en ville. Je ne sais pas comment elle fait et j'admire son calme. Je me connais, je ne le serais pas autant. Je me contente d'un petit sourire. Elle ne m'a pas reconnu, j'ai de la chance, si ça trouve elle ne sait même pas qui je suis et ça m'arrangerait. Je préfère qu'on ne sache pas que je suis l'écrivain de Hautes Sphères, surtout en ce moment. L’ascenseur se bloque alors et je commence à me sentir paniquer. J'essaie de savoir quand les secours vont venir, mais j'imagine que ça mettra du temps et la lumière s'éteint. Je préfère lui dire que je suis claustrophobe. Je sais bien que j'aurais du prendre les escaliers et comme si ça intéressait quelqu'un je lui dis :

« J'étais en retard, je me suis dis que ça me ferais gagner du temps, que je n'y resterais pas longtemps, je ne me suis jamais dis qu'il se bloquerait ... »

Je fais oui de la tête quand elle me dit qu'on peut s’assoie. Ça ne fera pas tout mais au moins ça me canalisera un peu. Je m'assois donc et essaie de me dire que ça ne durera pas longtemps. Elle me demande ensuite ce que je fais dans la vie. Je grimace avant de lui répondre :

« Je suis écrivain. »

J'espère qu'elle ne me demandera pas ce que j'ai écris dernièrement. Je me verrais mal lui dire que je n'ai rien fait depuis un moment déjà, heureusement que le film se profil et que les droits d'auteurs et les ventes de mon premier livre m'aident encore, sinon je serais vraiment dans la merde.

«Vous me connaissez peut-être sans vraiment le savoir. »


Je lui fais un sourire timide et enchaîne histoire de ne pas trop parler de moi.

« On vous voit partout en ce moment. »


Les banalités conduisent souvent à d'autres conversation, mais pour l'heure c'est tout ce dont je suis capable.
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() message posté Mer 21 Nov 2018 - 15:38 par Abigail E. Reynolds



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La fainéantise légendaire d'Abigail lui coûte aujourd'hui les derniers instants de son après-midi shopping. Elle aussi, comme s'en plaint son acolyte de fortune, aurait pu préférer les escaliers. Elle mire ses bottines à talons à la veilleuse de secours. Pourquoi ne se déplace-t-elle jamais avec des chaussures plates ? Elle n'a pourtant aucun besoin de conserver une silhouette élancée lorsqu'elle part faire une activité simple comme du shopping... Même pour aller à l'épicerie à deux immeubles du sien elle se met en talons. C'est une vraie habitude chez Abigail, et même si elle s'en plaint énormément, elle ne fait strictement rien pour changer cela parce qu'elle est terrifiée qu'on la prenne en photo avec une allure boudinée et tassée. "Je ne me suis pas non plus dit qu'il se bloquerait..." surenchérit-elle. Quand il s'est assis près d'elle, Abigail apprend que le dénommé Max est écrivain. Il ajoute qu'elle doit certainement le connaître, mais elle a peur d'admettre qu'il lui est tout à fait inconnu. Il risque certainement de penser qu'elle fait partie de ces mannequins tout à fait décérébrées, qui savent juste sourire et rire bêtement sur commande, tout en mettant un pied devant l'autre sans chuter. Après tout, on n'est pas obligé de connaître tous les auteurs existants, même lorsqu'on a l'habitude de lire, non ? "Désolée, je ne pense pas," s'excuse-t-elle finalement, pas penaude pour un sou. Il lui lance qu'on la voit partout en ce moment. Abigail ne peut s'empêcher d'avoir un sourire. "C'est pour cela que j'avais des lunettes de soleil lorsque vous êtes entré dans l'ascenseur," explique-t-elle. "J'ai une peur bleue de me faire reconnaître, et qu'on m'importune," ajoute ensuite Abigail. Elle peut bien se permettre de parler de la sorte, puisque le dénommé Max est apparemment une espèce de célébrité, lui aussi. Ils font partie du même club, ou presque. Un sursaut secoue soudain le corps d'Abigail, qui ne s'attendait pas à ce que l'interphone émette un grésillement. Peu après, la même voix que tout à l'heure les informe que l'opération ne devrait prendre qu'une dizaine de minutes, tout au plus. Elle hoche la tête, plutôt soulagée d'entendre une telle nouvelle, même si elle se doute bien qu'elle ne sera pas aussi soulagée que son voisin de cabine.
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() message posté Ven 7 Déc 2018 - 19:38 par Invité
Je me retrouve coincé dans un ascenseur, c'est tout ce que déteste. Je ne supporte pas d'être enfermé depuis que je suis jeune. Je ne sais pas tellement d'où ça vient, juste que j'ai toujours eu une peur panique des espaces clos et je sens que cette peur prend le déçu sur moi. Je m'assois à terre contre la paroi et j'essaie de me dire que ça ira vite, mais je suis persuadé que ça n'est pas le cas. On ne se doutait pas tous les deux qu'on serait coincé ici. Je dois porter la poisse, peut-être bien.

«Oui je m'en doute. Quand on sortira d'ici je ne prendrais plus jamais l’ascenseur. »


Ça me servira de leçon. Je ne le prenais déjà pas souvent, mais c'est clair que maintenant je n'en prendrais plus. Je fini par lui expliquer qui je suis et je ne suis pas surpris qu'elle ne connaisse pas ce que je fais. On ne me demande pas souvent d'autographe comme elle, c'est l'avatange d'être écrivain on est moins embête. Je ne me vexe pas pour autant qu'elle n'ai pas lu mes livres. Ca m'est égale, peut-être qu'elle n'aime pas les romans fantastiques.

« Oh ce n'est rien, j'ai plus l'habitude qu'on ne me reconnaisse pas. Je n'ai écris que deux livres après tout et puis il faut aimé l'univers fantastique, tout le monde n'aime pas, mais je préfère autant que ça reste comme ça, je ne suis pas fan de la médiatisation. Je crains qu'avec le film ma vie change un peu. »

Ils étaient déjà au courant pour ma tentative de suicide, je ne sais pas comment ils ont fait pour savoir si rapidement, les paparazi et les journalistes sont de vraies plaies et ce qu'elle me confie ne me surprend guère.

« Je ne sais pas comment vous faites pour supporter les journalistes, je les trouve assez indiscret et je bien content de ne pas être autant connu. »

Je ne me sens pas forcément plus à l'aise que tout à l'heure et si je ne sors pas vite d'ici je vais vraiment paniquer. Le fait de parler me canalise un peu mais plus le temps passe, plus je me sens enfermé et moins j'arrive à respirer calmement. Je me souviendrai de cette rencontre avec Abigail, c'est une évidence et pour ne rien gâcher elle est très jolie, même si ce n'est pas les femmes qui m'intéressent.
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() message posté Sam 15 Déc 2018 - 19:53 par Abigail E. Reynolds



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"Vous dites ça, mais vous le prendrez encore," lance Abigail sur un ton involontairement cinglant. Puis elle croise le regard de son acolyte, et s'excuse instantanément : "Pardon, c'est une habitude chez moi." Et c'est vrai. Abigail peut se le permettre, elle s'en moque d'être désagréable. On lui donnerait quand même le bon Dieu sans confession. Surtout pour obtenir ses faveurs, ou ne serait-ce qu'un sourire de sa part. Le dénommé Max n'a pas l'air d'être l'un de ces hommes. Abigail peut se détendre. D'autant plus qu'il est en train de lui raconter le pourquoi du comment, concernant le club dont ils font partie. Le mannequin hoche la tête. Elle lit encore moins de romans fantastiques que de romans plus banals. "Le film ?" se permet-elle, se demandant si le dénommé Max va être gratifié d'une adaptation cinématographique de l'une de ses oeuvres. Ils reviennent sur le sujet de la médiatisation, et Abigail dodeline de temps à autre de la tête. "Je ne sais pas non plus, pour être honnête. Encore plus que pour un acteur ou un chanteur, l'image est primordiale pour un mannequin. Je pense que j'ai dû apprendre à me canaliser pour ne rien laisser paraître... Mais oui, parfois, ils sont vraiment intrusifs," expose-t-elle d'une voix calme. "Ca va, vous tenez le choc ?" demande ensuite Abigail, après quelques secondes d'un silence métallique. "Je ne sais pas vraiment comment agir envers vous pour que vous vous sentiez mieux. Si vous pouvez éclairer ma lanterne, n'hésitez pas," propose-t-elle en ramenant l'une de ses jambes à elle, genou plié, le visage toujours tourné en direction de la veilleuse. Abigail imagine un reflet doré dans ses yeux, qui doit être légèrement atténué par la pénombre ambiante. Elle se dit que cela ferait une jolie idée de séance photo, et se promet de la proposer à l'un des photographes d'art qu'elle côtoie.

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() message posté Lun 24 Déc 2018 - 13:08 par Invité
Je hausse un sourcil à sa remarque, oui sans doute que je le prendrais encore, elle n'a pas tout à fait tort, tout ce qui peut me faire gagner du temps est bon à prendre. On est toujours tendance à être trop pressé. J'imagine qu'elle doit savoir ce que c'est.

«Vous avez raison, je le reprendrais sans doute surtout s'il y a beaucoup d'étages. Je suis un fainéant. »

Je n'ai pas peur de le dire, je suis un flemmard et je crois que ça se voit. Je lui parle pour passe le temps et j'évoque le film, évidement si elle ne lit pas mes livres il y a peu de risque qu'elle sache qu'on va en faire un film. J’acquiesce avant de lui répondre :

« Oui le film … Mon livre est adapté au cinéma. Le tournage va démarrer. On va sans doute avoir du retard, mais je suis plutôt content d'être derrière la caméra, de devoir seulement approuver les choix. J'ai des idées évidement et je tiens à ce qu'elles soient respecté, mais les acteurs ont beaucoup de talents et je les admire beaucoup. Je suis content d'être seulement écrivain. C'est eux qui ont la pression pas moi. 
»

C'est peut-être un peu lâche dis comme ça, mais au moins je préserve un peu mon anonymat et je préfère autant, surtout quand je vois qu'on la reconnaît un peu partout. Elle a l'air pourtant de savoir gérer tout ça très bien. Je ne sais pas si je tiens le choc, dans ce petit espace j'ai l'impression que je vais exploser. J'ai envie d'exploser et de respirer mieux, mais c'est de ma faute.

«Je peux vous répondre plus tard ? Je ne suis pas certains d'être très objectif. »


Non pas du tout même. J'essaie de ne pas visualiser la cabine de l’ascenseur et de me dire que je ne suis pas enfermé, mais c'est peine perdu, je sais que je suis enfermé et le pire et de ne pas savoir quand je vais sortir.

«Vous n'avez pas à me traiter différent cela dit. Je ne le mérite pas vraiment. »

Je ne vois pas comment elle pourrait m'aider plus. C'est déjà beaucoup que je ne sois pas seul. J'aurais sans doute péter les plombs un peu plus.
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