"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici you and i we can make it till the end feat ciaran  2979874845 you and i we can make it till the end feat ciaran  1973890357
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() message posté Sam 10 Sep 2016 - 19:01 par Invité
Le temps passe drôlement vite quand tout va bien. Je m'en suis rendu compte depuis quelques mois. Je pourrais presque dire que c'est le bonheur. Je ne suis pas encore tout à fait guéris, je sais que je devrais me battre longtemps contre mes démons d'ancien alcoolique et de drogué, mais il semblerait que cette fois je suis sur la bonne voix. J'ai repris mes cours mais cette fois je ne fais pas les même erreurs. Je ne me laisse pas avoir de nouveau par l'envie de sortir avec mes collègues une fois la journée d'apprentissage terminé, non et je n'avais jamais imaginé que le milieu de la finance puisse me plaire. C'est mon père qui va être content. Je crois bien que je suis en bonne voix pour devenir acheteur. Si tout va bien à la fin de l'année prochaine j'aurais un diplôme.

Depuis mes retrouvailles avec Ciaran j'essaie de le voir tous les jours ou du moins le plus souvent possible quand il n'est pas disponible. Pour lui tout semble aller aussi bien. Il semblerait que nous soyons tous les deux sauvés. Je m'en réjouis d'autant plus que j'ai quelque chose d'important à demander à Ciaran, pas encore les fiançailles, nan mais quand même une grande étape pour nous deux. Je lui ai demandé de me rejoindre dans un restaurant après le travail. Je suis arrivé le premier. J'ai déjà l'air d'un banquier avec les costard cravate, mais c'est la tenue obligatoire. Je ne suis pas passé chez mes parents pour me changer. J'avais trop hâte de le retrouver. D'ailleurs il ne tarde pas à arriver, toujours à l'heure. Un sourire s'affiche pour mon visage. Je lui fait signe et le laisse s'installer. J'ai encore du mal à m'afficher en public, surtout que je n'ai pas oublié que je me suis fais agressé il y a presque deux ans maintenant. Septembre est toujours une époque délicate depuis, mais aujourd'hui je me sens mieux.

« Je suis content que tu sois là.»


Je lui souris et pose ma main sur la sienne. Une serveuse nous donne la carte et s'en va. Je n'arrête pas de sourire, c'est fou ce que ça fait du bien d'être avec la personne que l'on aime.

« Je ne vais pas t'inquiéter plus longtemps. Je commence à te connaître alors je vais te dire tout de suite pourquoi j'ai voulu qu'on se voit se soir, en dehors du fait que te voir me fait toujours énormément de bien évidement, non en fait … je voulais savoir ce que tu dirais si je te proposais qu'on habite ensemble … pas chez mes parents … je veux dire qu'on ait … un vrai chez nous ...?»


Mon cœur bat à cent à l'heure. Je ne sais pas du tout s'il y a déjà pensé. Je ne sais pas du tout s'il voudra tenté l'expérience mais je ne vois pas pourquoi il dirait non. On est plus fort à deux. J'en suis persuadé. Le restaurant n'est pas encore plein, un pianiste joue une musique d'ambiance, j'espère que je n'ai pas visé trop haut, qu'il ne se sentira pas gêné, mais j'aime tellement lui faire plaisir que j’emmène Ciaran dans tous les endroits les plus chic de Londres comme ce soir.
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() message posté Mar 20 Sep 2016 - 19:12 par Invité
Septembre 2016

J'ai toujours un peu de mal à m'y faire. Pas au fait d'être avec Stan, non, ça, c'est juste génial, et j'ai aucune envie que ça s'arrête un jour. Mais à ses rendez-vous dans des lieux toujours plus luxueux les uns que les autres. Déjà parce que je ne suis jamais trop à l'aise dans un endroit public où on nous propose forcément des boissons alcoolisées auxquelles je n'ose pas toucher de peur de ne pas savoir m'arrêter, et puis surtout parce que... j'ai l'impression de faire tache au milieu des dorures et des meubles hors de prix. Je sais bien que c'est dans ma tête, mais je ne me sens pas forcément super à l'aise à chaque fois qu'il me donne ainsi rendez-vous. Evidemment, les plats servis sont juste divins, et ça a quelque chose d'idyllique, de se retrouver dans ces restaurants, mais... J'ai quand même du mal à m'y faire.

Stan a repris les cours, et ça a l'air de lui plaire, et ça aussi, c'est plus que positif. Finalement, il a bien fait de se lancer dans la finance, il faut croire, et tant qu'il y est heureux, ça me va. Pour ma part, les choses se débloquent aussi un peu, depuis que Timothy a décidé de me faire confiance, surtout, et je me demande parfois à quel moment on va sortir de ce rêve éveillé, parce qu'il faut dire ce qui est, c'est parfois presque trop beau pour être vrai. Et comme je suis quelqu'un d'assez anxieux, je ne peux pas m'empêcher de craindre le moment où quelque chose va nous retomber sur le coin de la tronche.

Ce soir, Stan m'a demandé de le rejoindre à une certaine adresse après le travail et évidemment, je me suis renseigné sur l'endroit en question, d'avance paniqué à l'idée, encore, de ne pas parvenir à me fondre dans le décor. Grace et ma best se moquent toujours de moi à ce sujet, mais rien n'y fait, je n'arrive pas à être serein quand on est dans ce genre de milieu. Chez ses parents, c'est différent, je commence à être habitué, à force, et leur demeure qui respire pourtant l'opulence ne me dérange plus. Mais ce restaurant m'est parfaitement inconnu, et si je me suis efforcé d'avoir une tenue qui corresponde à l'endroit, je ne peux pas m'empêcher de me demander quel détail j'ai pu louper dans l'histoire. Stan n'a pas l'air de s'en formaliser, cela dit, quand je passe la porte et qu'il me fait signe de le rejoindre comme il me voit le chercher du regard.

« Je suis content que tu sois là.
- Il y avait quand même peu de chances que je te pose un lapin, tu sais... »

A vrai dire, ça n'est jamais arrivé, et je n'ai pas vraiment l'intention que ça change. Si jamais j'avais eu un empêchement, il l'aurait su en avance, mon (nouveau) téléphone ne me quittant jamais. Je réponds à son sourire comme il pose sa main sur la mienne, appréciant toujours autant ce contact. En public, on en reste toujours à être relativement discrets. C'est un peu triste qu'aujourd'hui encore, on n'ait pas autant de facilité que les couples hétéro à s'afficher devant tous, mais je connais son passif, et je ne force pas les choses. Et puis à vrai dire, je suis un peu trop pudique pour avoir envie d'étaler ma vie privée sur la place publique.

On nous a apporté les cartes et après une légère caresse sur ses doigts, j'ai retiré ma main afin de consulter le menu, presque à contre-coeur. A vrai dire, quelque part dans un coin de ma tête, il y a cette petite pensée qui traîne : il m'a donné rendez-vous pour dîner, mais aussi pour me parler de quelque chose, et ça avait l'air important. Mais qu'est-ce que c'était ? Je n'en ai aucune idée, et ça m'angoisse toujours un peu. Le fait qu'il m'ait accueilli comme d'habitude est un peu rassurant, cela dit, mais ça n'empêche que tant que je ne saurais pas le fin mot de l'histoire, je ne serai sans doute jamais complètement serein.

« Je ne vais pas t'inquiéter plus longtemps. Je commence à te connaître alors je vais te dire tout de suite pourquoi j'ai voulu qu'on se voit se soir, en dehors du fait que te voir me fait toujours énormément de bien évidement... »

J'esquisse un sourire contrit. Ca se voit tant que ça sur mon visage que je suis inquiet là ?

« Non en fait… je voulais savoir ce que tu dirais si je te proposais qu'on habite ensemble… pas chez mes parents… je veux dire qu'on ait… un vrai chez nous...? »

Je reste bouche bée quelques secondes qui me semblent durer une éternité, les yeux écarquillés. Il vient bien de me demande ça, là ? On va pas se mentir, c'est pas quelque chose que j'aurais osé lui demander. Pourtant, c'est pas comme si ça m'avait jamais traversé l'esprit, bien loin de là. Ni comme si on passait pas déjà un certain nombre de nuits ensemble, chez moi ou chez lui. Ni comme si, surtout, je ne dormais pas correctement que les nuits où il est près de moi. Est-ce que je lui ai déjà dit ça ? A vrai dire, je ne sais pas trop. Ce que je sais en revanche, c'est que si je garde le silence, il va paniquer, et que même s'il n'en montre pas forcément grand chose, lui aussi, il est capable de partir en live très vite quand ça nous concerne... Ouvre la bouche, Ki, t'es resté muet comme une carpe trop longtemps, là...

« Tu... Je... Tu le veux vraiment...? »

Moui, cette réaction est du plus bel effet... On reprend, si possible sans trop bredouiller, mais c'est pas gagné.

« Je veux dire... J'adorerais ça, bien sûr ! Tu... T'es sûr que c'est ce que tu veux ? »

Parce que ça reste un engagement, malgré tout. Parce que si on se lance dans cette aventure-là, je vais pas vraiment pouvoir faire demi-tour du jour au lendemain. Et là, dans ma tête, ça part dans tous les sens. Il faut que je voie avec Grace, parce que je ne veux pas la laisser complètement en rade non plus. Il faut qu'on décide où on trouve cet appartement, aussi, parce que je l'imagine mal se contenter d'un petit appart' comme celui que j'avais dans Camden. On aurait quel budget ? Je sais bien que c'est pas trop un problème pour lui, mais j'ai pas envie de vivre à ses crochets malgré tout...

Du calme, Ki, respire.

« C'est un énorme cap à franchir, mais... j'en serais ravi. A vrai dire, l'idée m'a déjà traversé l'esprit... un certain nombre de fois... »

On va dire que c'est un bel euphémisme.

« Ca fait longtemps que tu y penses ?... »

En même temps, je pourrais juste être logique et me rappeler qu'il me présente à ses potes comme l'homme de sa vie (ce qui ne manque pas de me faire rougir à chaque fois, ce qui est tout autant le cas à cet instant aussi), ça pourrait me donner un ordre d'idée, non ?
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() message posté Mer 5 Oct 2016 - 13:27 par Invité
J'avais hâte que Ki arrive. Je voulais lui parler depuis un bon moment et je n'avais pas trouvé le temps. Mon emploi du temps se rempli et le sien aussi. C'est toujours agréable de se voir d'avoir un moment à nous et ce n'est pas chez mes parents que ça peut se faire, même si mon père ne m'a plus rien dit au sujet de mon homosexualité je sais qu'il aurait préféré que je sorte avec une femme. Je n'ai pas tellement envie qu'il se rappelle que je ne suis pas le fils parfait. Il a fait des efforts s'est évident et j'en ai fait aussi alors je préfère autant qu'on se voit en dehors de chez moi. Je sais qu'il est souvent inquiet quand je commence mes phrases par «il faut que je te parle.». Je lui ai donc tout de suite poser la question et ça réponse me laisse toujours sans voix. Il a l'air toujours surpris à chacune de mes demandes, comme s'il ne croyait pas à tout ça. Je n'utilise peut-être pas les bons mots non plus. C'est assez perturbant mais je vois qu'il à l'air content que je lui propose et il me dit même qu'il y avait pensé aussi.

« C'est vrai ? Tu ne m'en a jamais parlé.»


Je me demande pourquoi il ne me parle pas de tout ça. J'ai parfois l'impression que tout ça lui semble irréel. J'oublie parfois que nous ne sommes pas du même monde. J'en fais peut-être trop. Je ne suis pourtant pas inquiet nous concernant. Je sais qu'on arrivera à tout surmonter. On a déjà fait beaucoup. Je ne perdrais jamais espoir.

« Quelques semaines. Je me dis qu'il est temps. Je n'ai pas envie d'imposer ma présence à mes parents. J'avais l'habitude de vivre seul avant … avant tout ça.»


Il y a longtemps que je n'ai pas reparlé de mon agression ça a beau faire deux ans je ne pourrais jamais oublié ce qui est arrivé. J'en fais encore parfois des cauchemars. Les crises d'angoisses sont beaucoup moins nombreuses mais les cauchemars eux ne m'ont pas quittés. Sans tout ça je ne serais sans doute pas là avec Ki, mais j'aurais aimé qu'on se rencontre autrement enfin maintenant je me sens beaucoup mieux et lui aussi.

« Et comme tu as un nouveau travail, je me dis que c'est le bon moment. »

Je sais qu'il voudra participer parce qu'il est comme ça. Il ne supportera pas que je paie tout, même si j'en ai les moyens évidement. Je sais aussi que je dois lui laisser sa place et qu'on peut décider à deux de ce qu'on aimerait parce qu'on est un couple et que c'est à deux que les choses fonctionnent.
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() message posté Ven 30 Déc 2016 - 12:38 par Invité
Retrouver mon homme, c'est, sans surprise, quelque chose que j'attends toujours avec impatience. A présent qu'on a tous les deux retrouvé des activités professionnelles, on n'a moins de temps à se consacrer, et c'est un peu frustrant, parfois, de ne pas pouvoir se voir autant qu'on voudrait. Ca n'empêche que je suis plus qu'heureux de pouvoir enfin lancer ma boîte, même si pour l'instant, je suis loin de pouvoir dire qu'Erin Games se soit fait un nom dans le jeu vidéo - en même temps, ce serait surprenant, il faut un minimum de temps pour que la réputation d'une société se fasse. Cela dit, le partenariat avec la Harlowe Industry est clairement un atout, et je crois que je remercierai jamais assez Tim de m'avoir fait confiance - je m'explique toujours pas pourquoi il l'a fait, mais passons. C'est une bonne chose, en soi, c'est juste dommage que ça empiète autant sur ma vie privée, parce que, clairement, je ne vois pas le temps passer quand je suis derrière mon écran, et il est souvent passablement tard quand je rentre chez moi, difficile dans ces conditions de passer beaucoup de temps avec Stan, à mon grand regret. Alors évidemment, ce soir, je suis ravi de le rejoindre, et je n'aurais loupé ça pour rien au monde ou presque.

Je suis pas fâché non plus qu'on se retrouve à l'extérieur. Pas que je m'entende pas avec ses parents, c'est même plutôt tout le contraire concernant sa mère, et si son père est plus distant, je crois qu'il m'apprécie un minimum, après tout ce qu'il s'est passé au fil des mois. Le truc, c'est que ça se voit qu'il est pas à l'aise avec notre relation, et ça me met très mal à l'aise, forcément. Un peu comme les phrases qui ont souvent tendance à amorcer la dernière conversation d'une relation, d'ailleurs. Il faut que je te parle... j'ai vraiment beaucoup de mal avec cette formulation, parce que ça annonce rarement quelque chose de bon, et ça doit se voir sur mon visage, parce que Stan a repris tout de suite. Et pour cette fois, c'est pas du tout une mauvaise nouvelle, à mon grand soulagement. A ma plus grande surprise, aussi, et ça aussi, ça se voit sur ma tronche ; une bonne surprise.

« C'est vrai ? Tu ne m'en a jamais parlé.
- Je craignais que ça soit trop tôt... Ou que tu préfères garder une certaine indépendance... Enfin... Je sais pas... »

J'ai jamais osé, voilà tout. Je sais bien que j'ai tendance à flipper pour un peu trop de choses et que je peux lui faire confiance. J'ai confiance en lui, en nous, c'est pas le souci. J'ai beaucoup moins confiance en moi, et je crains toujours un peu une réaction négative... même si je sais, au fond, que c'est ridicule, c'est plus fort que moi. En l'occurrence, c'est d'autant plus ridicule que Stan avait la même idée au fond. Et comme je me demande depuis combien de temps c'est le cas, je me retrouve à lui poser la question.

« Quelques semaines. Je me dis qu'il est temps. Je n'ai pas envie d'imposer ma présence à mes parents. J'avais l'habitude de vivre seul avant… avant tout ça. »

Ca me fait mal de sentir le malaise, encore vivace, toujours, mais je dis rien. Je sais bien qu'il a toujours du mal à encaisser l'agression qu'il a subie. Je sais qu'il en fait encore des cauchemars, et même si ça va mieux que quand on s'est rencontrés, je me demande toujours s'il sera vraiment serein un jour à présent. Je sais bien qu'on n'oublie pas ce genre de choses, j'ai pas sombré pour les mêmes raisons, mais les blessures sont toujours là malgré tout. J'accepte malgré tout les choses plus naturellement à présent, mais j'ai pas cette épée de Damoclès au-dessus de la tête pour ma part, pas de risque de voir le traumatisme se répéter. On m'a pas agressé physiquement pour ce que je suis et j'ose même pas imaginer la terreur qui peut rester, à l'idée que ça recommence à nouveau, n'importe quand. Parce que ces conneries-là, c'est gratuit, et ça prévient pas.

Il y a ce proverbe qui dit un truc du genre "à quelque chose, malheur est bon", et si j'aime pas trop ce dicton, je dois bien avouer que pour nous, c'est pourtant assez vrai. On en a bavé tous les deux à notre manière, on a touché le fond, et c'est ce qui a fait qu'on s'est retrouvés en désintox. Sans ça, on se serait peut-être jamais rencontrés, et on en serait pas là aujourd'hui. Et s'il y a bien une chose que je ne renierai jamais, c'est celle-là, c'est nous.

« Et comme tu as un nouveau travail, je me dis que c'est le bon moment.
- J'en serai ravi en tout cas. »

J'avoue que j'aurais eu plus de mal à accepter si j'avais pas retrouvé une situation stable, parce que j'aurais eu le sentiment de vivre à ses crochets, et l'idée d'être un parasite accroché à lui me plaît pas vraiment. Le fait qu'il ait, clairement, les moyens de le faire n'y change rien, je veux juste pas être un poids pour lui.

« T'as déjà regardé un peu ?... »

Le marché de l'immobilier, à Londres, c'est franchement pas simple. Pour avoir déménagé en début d'année déjà, je visualise. Mais je serais pas très surpris que le nom de Newmann ouvre pas mal de portes, et si ça me gêne toujours un peu, je vais pas non plus trop râler à ce sujet, parce que ça aidera très certainement dans les démarches... Quant à savoir où on s'installera, pour ma part, je n'ai pas vraiment de préférence. La Harlowe est dans le centre ville, et je bosse aussi en grande partie de chez moi alors j'irai où il ira, ça n'a pas d'importance. Home is where your heart is, comme ils disent. Je crois que ça sera jamais plus vrai à mes yeux que quand il s'agit de lui.
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