(✰) message posté Sam 12 Juil 2014 - 21:19 par Invité
Gabe & Kait
She resuscitates me, She fucking hates me and I love it Wait ! Where you going ? I'm leaving you No you ain't, Come back Were running right back, Here we going again
Le drap blanc glissait sur ma jambe droite tandis que je tentais de me retourner pour prendre position sur le dos. C'était chaque fois pareil sur le lit de Kaitlyn j'avais du mal à trouver une bonne position quand elle n'était pas prêt de moi. Le soleil tapait fort et un rayon s’échappait à travers les rideau clos. Il devait être midi passé et j'avais un mal de tête épouvantable : reste d'une soirée plutôt mouvementé ou j'avais- encore une fois – beaucoup bu ! Reprenons depuis le début pour mieux comprendre. Hier en début d'après midi, ma meilleure amie et voisine Kait m'avait appelé pour m'inviter à une petite fête chez elle. Tout les deux on aimait faire la fête même si on en avait pas souvent l'occasion : on était tout les deux de jeunes parents ! Je savais que autant moi que elle culpabilisions de laissé nos bout de choux chez la baby-sitter. Mais la elle m'avait dit qu'elle avait la maison pour elle, que ses parents avaient prit la petite. Bref, elle avait employé tout les bons arguments pour me convaincre de venir en fait. J'avais appelé la baby-sitter qui adorait littéralement Tara et le soir venu je m'étais préparé : marinière, pantalon bleu et converse bleu jean. J'arrivais en premier chez Kait ce qui ne m'étonnait pas j'habitais juste en face de chez elle. Elle me charia sur la façon dont j'étais habillé et coiffé, alors que je savais très bien qu'elle aimait ça. Je lui lança un pique sur le fait qu'elle avait plus de parties découvertes que de tissus sur elle , alors qu'elle savait bien que j'adorais ça : bref notre petite routine à tout les deux. Les gens commençaient à arriver, à affluer en faite. Un peu plus de monde que prévu mais rien de vraiment alarmant non plus. Je dansais seul au début puis j'allai kidnapper Kait dans la cuisine en train de refaire du ponche. La ramenant au salon pour danser avec elle , de manière soft -encore maître de nos actes- puis un peu plus personnellement lorsque l'alcool monta à nos têtes.
C'était déjà arrivé qu'on se retrouve aussi proche l'un de l'autre corporellement : en faite surtout quand nous étions saoul. Je m'accaparais Kait presque toute la soirée, on ne prêtait presque plus attention à ce qu'il y avait autour de nous. Elle était si drôle quand elle avait bu, drôle et aguicheuse mais ça c'est autre chose. Vers les coup de deux heures du matin, Kait du allé réglé un problème : un des voisins se plaignait du son et avait sonné à la porte. Lorsqu'elle s'absenta je m'affala sur le sofa lorsqu'une jolie créature un peu prêt aussi saoule que moi s'approcha et prit place inopinément sur mes genoux. C'était une jolie brune, qui avait ce qu'il fallait ou il fallait. Elle se tourna et me sourit, j'allai rapidement dansé avec elle sans réfléchir. Je ne veux pas être vulgaire mais sur la fin cette danse n'avait rien eu de très catholique, c'est tout naturellement que abrutit par l'alcool et contrôler par ce que j'avais entre les jambes je l’emmena dans la chambre de Kaitlyn en lui disant que je connaissais la propriétaire des lieux. Inutile de vous faire un dessin pour vous décrire ce qu'il s'est passé – plusieurs fois – dans cette chambre. Je n'y pouvais rien si je ne savais résister au désir d'une belle femme ! Voilà pourquoi je me retrouvais dans cette chambre à traîner dans ce lit et n'ayant aucune envie de descendre. Kaitlyn avait du me voir monter avec cette fille, elle allait sûrement me prendre la tête pour ce qu'il s'était passé dans sa chambre : pour vous dire je penses bien que lui cracher dessus après lui avoir mis un coup de poing serait moins grave que ce que j'ai fais. C'est ma meilleure amie me direz vous , elle devrait rire de ça ou au pire me blâmer cinq minutes et s'en foutre en suite. Mais c'était bien plus compliqué. Kait et moi on se protégeait mutuellement, du moins c'était ça au départ. On ne le s'était jamais dit mais : je veillait sur elle et elle veillait sur moi : on était de jeunes parents tout les deux et on se comprenait et se soutenait comme personne. Puis la protection à laissé place une forme de possession du genre : « Je te comprend mieux que personne ! Personne ne pourras te comprendre mieux que moi donc reste avec moi. ». Pour ma part c'était normal j'étais un peu comme ça avec tout mes amis, comme si je tenais à marquer mon territoire. Je crois que je détestais qu'elle aille vers d'autre gens parce qu'en faisant ça elle prenait le risque d'être blessé. Bref, c'est bien trop bizarre pour être expliqué mais pour résumé : elle allait m'en vouloir puissance milles. J'entendais des bruits en bas : elle devait être en train de ranger. Peut-être bien que si je descendait pour l'aider elle passait l'éponge ? Pourquoi je me mentais à moi même ? Je me leva et alla à la salle de bain pour un brin de toilette. J'étais en caleçon , je fila pour enfiler mon pantalon au moins et descendit pour affronter le monstre de colère qui m'attendait. Elle était de dos : comme le gros connard que j'étais , sachant bien que j'allais être repoussé violemment je m'approcha d'elle par l'arrière passant mes bras autour de ses épaules. « Pas de violence pitié . Drapeau blanc ! »
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(✰) message posté Dim 13 Juil 2014 - 0:53 par Invité
Oh mon dieu... Ma tête... Mon corps... Ça fait mal ! C'est horrible! Faut que j'arrête d'abuser des boissons alcoolisées comme ça mon dieu c'est juste pas possible. Comment on pouvait avoir mal à chacun de ses cheveux! C'est horrible et pourtant c'est ce que je ressentais. Il me fallut pas moins d'une demie heure pour pouvoir me décider à me lever de ce qui me semblait être un matelas. Bin oui, c'est logique qu'en temps qu'hôte je dorme par terre. C'est inadmissible. Mais bon, je ne pouvais pas faire autrement toutes les chambre de cette maison avait été prise pour différente raisons, je vous laisse imaginer lesquelles y compris celle de Granny et grandpa. Il était quel heure? ... 10 h 25 Merde. Je constatais les dégâts qu'avait générés cette fête. J'allais devoir nettoyer tout ça ?! Sérieusement ?! Putain... Je vais en baver sévère. Mais avec tout ça, j'arrivais pas à me souvenir des conneries qui c'était passé ici... Je me dirigeais vers la pharmacie à la salle de bain. Je pris deux aspirine non pas sans dégoût. Je sortais de celle-ci me dirigeant vers ma chambre. En entrant dans celle-ci j'observais avec amertume et haine le corps de ce qui semble être mon ex meilleur ami. Il avait été en très charmante compagnie durant cette soirée, ça par contre je me souvenais très bien de ça. Oui oui, de toute manière tout ce qui touchait de près ou de loin à Gabriel je ne pouvais pas l'oublier.. Même avec 3 milliards de cuites. Juste après m'être faite engueulé par Mme Kolingham pour le bruit et la musique je n'eu même pas le temps de fermer la porte que monsieur était déjà entrain de danser avec une brune insipide. Je peux vous dire que mon sang ne fit qu'un tour lorsque je le vis danser de manière plus que "torride" avec une fille comme ça. Oui je suis jalouse mais il n'avait pas à faire ça ! Il savait très bien ce que je pensais de ses choses qu'il nomme conquêtes. Et le fait qu'il fasse ça sous mon propres toit.. C'était insultant! Oui c'est mon meilleur ami, je suis pas censé me comporter comme ça mais j'y peux rien je suis quelqu'un qui aime pas partagé j'y suis pour rien! Je l'interdis pas de faire sa vie mais pas quand je suis dans les environs! Encore moins quand on passe la soirée ensemble! ça a le don de m'énerver à un point pas possible et il le savait très bien vu qu'il était pareil. Et pour vous dire à quel point je suis une rageuse je me suis pas gênée pour aller draguer le premier venu et aller faire un tour à la salle de bain avec, quand Gab est monté avec sa copine. Pas très glamour, je sais. C'est pas à ma hauteur, mais j'avais besoin de faire ça. Oui je suis ce genre de fille qui pour ce sentir mieux doit faire une connerie sous la colère. Mais il l'a bien cherché. Et le fait de savoir qu'il ait osé faire sa sur MON lit... Comment vous dire que j'ai envie de l'étouffer avec mon oreiller. En plus d'être irrespectueux envers elle il l'était aussi envers moi. Il m'énervait comme jamais. Et puis fuck, je suis pas sa mère je suis personne pour l'empêcher de prendre son pied toute la nuit mais qu'il ne vienne même pas m'adresser la parole. Sa copine d'un soir revenait de ma salle de bain un peu surprise de me voir là entrain de me changer et sourit ensuite ce qui eu le don de me sortir de ma tentative de remémoration de souvenir. Elle me dit ensuite que la soirée était super, je fis ma potiche en souriant et en ricanant avec elle lui faisant quelques remarques sur sa soirée, qu'elle m'expliqua ensuite en détail, c'est bien un truc de fille ça raconter notre vie à une autre fille dans les moindres détails, qu'on se connaisse ou pas. Comment vous dire que je faisais preuve d'une force d'esprit incroyable pour ne pas vomir mes tripes au sol... Elle me donna ensuite un bout de papier avec son numéro que je devais donner à Gabriel car elle ne pouvait pas rester plus longtemps. Je lui affirmais que je ferais ça dés qu'il se réveillera. Elle s'en alla ensuite et je ne perdit pas une seconde avant de déchirer le bout de feuille et de mettre mon t-shirt large qui m'arrivait à mi-cuisse avec des collant et des portes-jarretelles. Je descendis ensuite pour commencer à ranger tout ce bordel.. il était 11 h et quelques maintenant d'après l'horloge. Heureusement pour moi il ne restait quasiment plus personne. Je me mise à ranger tout ça en écoutant la radio en commençant par la radio.
Je peux vous dire que lorsque un pseudo meilleur ami vint me prendre par les épaules je le poussais violemment presque comme un reflex et en le frappant ensuite. "NE ME TOUCHE PAS RODRIGUEZ NE ME TOUCHE PAS! Dégage." Je ne veux même pas prendre la peine de lui faire la morale. Il le mérite pas. Je veux pas qu'il me parle. Il me laisse faire mon ménage en paix. C'est tout ce que je veux. Quoi de plus énervant que deux personnes qui savent ce qu'ils valent et qui en plus s'en servent comme une arme autant entre eux qu'avec les autres?
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(✰) message posté Dim 13 Juil 2014 - 2:25 par Invité
Gabe & Kait
She resuscitates me, She fucking hates me and I love it Wait ! Where you going ? I'm leaving you No you ain't, Come back Were running right back, Here we going again
Oh merde ! A partir du moment ou elle m'appelait comme ça c'était même pas la peine de tenter une quelconque communication. Je m'éloignai doucement et me mis à ranger de trois truque par-ci et par-la tout en la regardant. Pourquoi il fallait que ce soit la même chose chaque fois. L'un de nous faisait du mal à l'autre, et l'autre avait tellement mal qu'il ressentait le besoin de lui faire du mal autant qu'il soufrait. C'était notre manière de marché : comme si le monde s'effondrait chaque fois que l'un de nous deux semblait s'éloigner un peu de l'autre, même si on savait réciproquement qu'on reviendrait l'un vers l'autre. Je la regardait et je savais très bien qu'elle sentait mon regard peser sur elle. Je n'arrivais plus à ranger quoi que ce soit je la regardait de haut en bas bien qu'elle soit de dos. Je n'avais pas envie de me disputer aujourd'hui, mais c'était pas comme si j'en avais le choix. J'avais un mal de tête phénoménal donc j'allais me servir dans l’armoire à pharmacie : deux aspirine et me servie un grand verre d'eau. Je faisais un peu comme chez moi et je me doutais bien que ça l'énervait mais tan pis. « Sérieusement Kait tu vas pas faire la gueule pour ça ? C'était même pas un six sur dix ! ». C'était pour moi la chose qui ressemblait le plus à des excuses. Je savais que j'avais à m’excuser , je savais que j'avais eu tord mais : j'étais bien trop fière pour prononcer ses mots, de plus qui me dit qu'elle accepterais ? Six sur dix c'était la note que je donnais au physique de la fille : c'était une manière d'évaluer que j'avais mis en place avec Kaitlyn. Au départ c'était pour se moquer des gens mais c'était devenu une habitude en suite. Et c'était vrais elle n'avait pas à s'en faire, à être jalouse ou quoi que ce soit d'autre : j'étais saoul et j'aurais taper dans n'importe qu'elle fille , même un quatre sur dix ! De plus on s'était mit d'accord tout les deux sur le fait qu'on étaient tout les deux des dix sur dix. Ce qui signifiait que Kait était loin devant : c'était logique. Ma meilleure amie n'était pas moche du tout, loin de la , elle avait cinq ans de moins que moi mais un corps de femme , des cheveux bouclés teint en blond, et des yeux vert foncé à s'en perdre dedans. Je la regardait l'air un peu étonné, attendant une réponse de sa part. Je me sentais con d'un seul coup , comment je pouvais perdre toute logique quand j'étais saoul ? Je passais une main dans mes cheveux tout en me demandant si je ne l'aurais pas fais même si j'étais sobre. Ses perpétuelles disputes avec Kait allaient de plus en plus loin : mais quelque part elle nous permettaient de nous prouver qu'on tenait toujours l'un à l'autre. Peu de personne pourrait comprendre ça mais c'était comme ça : on avait besoin de sentir les choses pour les comprendre, comme si quelqu'un à côté d'une flamme qui aurait besoin de se brûler pour se rappeler que le feu fait mal. C'était horrible et à la fois essentiel. « Kait tu m'écoute ? » ; je me rapprocha d'elle tout doucement , me mettant face à elle même si j'étais la dernière personne qu'elle voulait voir. Je bougeait mon visage de gauche à droite pour l'obliger à regarder mes yeux, je savais que ça l'énervait mais je continuais. « Frappe moi . Vas y si ça peut te soulager fait le. » Dis-je sincèrement, j'avais besoin qu'elle s'énerve qu'elle exprime sa colère. Je ne voulais pas qu'elle se retienne.
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(✰) message posté Dim 13 Juil 2014 - 3:47 par Invité
Il reculait doucement, je pense qu'il commence à réaliser que je lui en voulais vraiment. Ce qui est temps mieux car je ne plaisantais pas. Je continuais mon rangement. Me débarrassant de tout les objets qui ne devait pas être là. Pour pouvoir - et surtout - Oublier l'acte de Gabriel. Je peux pas ne pas lui en vouloir, c'est pas comme si il ne savait pas ce que j'en pensais, c'est pas comme si il avait été seul chez lui non. Et le pire dans tout ça c'est qu'il fait ça sous mes draps quoi! Quoi de plus irrespectueux que de coucher dans lit de sa meilleur amie avec une fille sorti de nul part alors qu'on sait qu'elle n'aime pas ça? S'il vous plait dite moi, parce que là tout dessus j'ai du mal à trouver. Et c'était toujours comme ça, c'est pas la première fois. J'ai déjà fait quelque chose de similaire en boîte, je ne vous cacherez pas qu'après ça il m'avait fait la gueule pendant 5 jours. Oui c'est habituelle entre nous ce genre de scène. Mais il n'était jamais allé aussi loin. Et pour moi, que je lui fasse la gueule était légitime. Et bien sûr pour ne pas l'aider il faisait comme si c'était sa maison. Argh! Calme toi Kay ou tu vas lui arracher la tête avec les dents. N'y prête pas attention. Je préparais l'eau et les produit ménagers lorsqu'il m'adressa à nouveau la parole. Pour ça ? J'aimerai bien l'y voir moi! Il en parle comme d'une chose futile. Pfff. Et entre nous je savais que dans le fond elle était une sept et demi. Je ne lui répondait pas ne voulant pas montrer que ses paroles avait une quelconque importance. Qu'il souffre un peu lui aussi dans cet histoire. Je savais que c'était pas le message premier de cette phrase, mais ça m'avait trop énervé et ça réaction n'arrangeait rien. Mais quelque part j'avais menti, à vrai dire si elle avait été une huit sur dix j'aurais réagis avec beaucoup plus de haine et je le sais. Surtout vu l'état d'ébriété dans lequel il m'avait laissé hier. Sa me saoulait, c'était principalement ça qui me saoulait, à chaque fois qu'il avait une petite ouverture avec une fille c'était une raison pour me laisser pour aller vers sa prochaine proie. Au début on s'en fout c'est supportable mais plus on est proche plus cela devient énervant et hier c'était plus haut que je ne pouvais supporter. Je savais que mon ami était loin d'être moche, c'était n dix sur dix on pouvait pas le nier, corps d'athlète musclé mais pas trop, joli minois, yeux d'un bleu hypnotique, oui Gabriel avait un physique de tombeur. C'était d'ailleurs la raison pour laquelle il avait un tableau de chasse si remplis. Mais j'étais certaine qu'aucune d'entre elles ne le connaîtrait un jour comme moi je le connais. J'en était sûre et certaine. Mais.. Quand on est saoul, on avait tendance à faire les pires choses possibles. Oubliant même que nos actes pouvait toucher l'autre d'une quelconque manière. Je retenta à nouveau le coup en s'approchant de moi. « Elle aurait même pu être une moins cent! Que ça m'aurait autant saoulait! Si tu pense que c'est pas une raison pour faire la gueule staive. » Je tentais de ne pas le regarder en tournant la tête pour éviter son regard mais rien n'y faisait il n'arrêtait. Et ça ne faisait qu'ajouter de l'énervement à ma haine. Calm down.. Il m'encourageais à le taper. Il le demandait si gentiment, ni une ni deux, je lui envoyais des coups sur son corps aussi violemment que je le pouvais, après tout c'était mon meilleur ami bien sur donc que je retenais pas mal de violence en moi malgré que pour lui ça ne change rien, mais je vais pas me gêner pour lui envoyer le peux que ce que me permet ma conscience. Il le méritait largement, je le tapais jusqu'à en être épuisé et je le poussais alors pour l'éloigner de moi comme pour me contenir et pour pas faire de connerie que je regretterais. « Voilà! Et mérite plus que ça! Dans mon lit quoi! Juste ça! DANS MON LIT! »
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(✰) message posté Dim 13 Juil 2014 - 4:24 par Invité
Gabe & Kait
She resuscitates me, She fucking hates me and I love it Wait ! Where you going ? I'm leaving you No you ain't, Come back Were running right back, Here we going again
Elle me frappait. Elle frappait presqu'aussi fort qu'elle devait avoir mal. Je subissais en silence me laissant faire, la laissant se défouler. Je savais que j'étais une tête à claque, je savais que je le méritais. Au quotidien c'était même une chose dont j'étais plutôt fier ! Je ne laissait jamais personne me marcher sur les pieds et encore moi me frapper ! Mais avec elle c'était différent : je lui faisais du mal souvent et j'en avais conscience, il n'y avait que face à elle que je me laissais faire. Il n'y avait qu'elle qui méritais mon pardon toutes les autres c'étaient que des marche pieds je m'en fichais pas mal. C'est ça une meilleure amie non ? Je sentais la haine dans sa voix, je sentais la rage dans ses yeux et je savais pas quoi ajouter. Je connaissais Kait elle ne me pardonnerais pas si facilement. Ca prendrais une semaine au même deux avant qu'on puisse de nouveau se parler sans qu'elle fasse la gueule ou remette le sujet sur le tapis. Je le savais et pourtant je m’entêtais à vouloir me réconcilier avec elle aujourd'hui. Je l'a regardait dans le blanc des yeux et soupira. Aucun mots ne venais à ma bouche, comme si j'étais devenu muet d'un coup. Je voulu la prendre dans mes bras mais ma raison me rattrapa avant que je ne passe à l'acte. Pourquoi c'était si difficile à chaque fois : j'avais envie de m'en aller, rentrer chez moi et m'allonger dans mon lit. C'était trop facile de fuir maintenant, bien trop lâche et elle le prendrait encore plus mal que si je restais la à me battre avec elle. Parce que rester la ça montrait bien que je tenait à elle un minimum. J'en avais marre, les disputes en ce moment était trop violentes, elle étaient de plus en plus régulière et de plus en plus douloureuse. Devais-je prendre le problème sous un autre angle, nous mettre face à une « réalité » dont nous avions peur tout les deux ? Je ne croyais pas que ce soit une bonne idée, par contre prendre le problème sous un autre angle : pourquoi pas ? Je baissa la tête puis planta de nouveau mon regard dans celui de Kait. « J'étais bourré ok. J'ai pas réfléchis, tu sais comment je suis quand je suis dans cet état la alors arrêt. » ; Commençais-je pour planté le décors. J'allais en suite m'aventurer sur un terrain miner duquel je n'étais pas sur de revenir vivant mais c'était la seule solution pour la détourner de sa colère. « Donc si tu prend en compte tout ce que je fais pendant que je suis torcher il faut qu'on compte aussi ce qu'il s'est passé entre toi et moi hier ? Si tu as besoin d'un rafraîchissement de mémoire : je t'ai mis la main au cul plus de cinq fois et on s'est frotter l'un à l'autre pendant une bonne heure sur de la musique. » ; je regrettais mes paroles à la seconde même ou je les avaient prononcé. J'étais vraiment un triple idiot parfois mais tans pis ce qui était dit était dis. « On étaient bourré ça compte pas, de la même manière que ce qu'il s'est passé dans ta chambre compte pas. » ; je me rapprochait d'elle lentement toujours en la regardant dans les yeux. Je savais qu'elle allait me repousser mais je forcerais ma présence prêt d'elle. « Donc, Kait calme toi s'il te plaît te mets pas dans tous tes états pour une fille qui en vaut pas la peine » ; je lui pris la main doucement mais pas sur que celle si reste dans la mienne bien longtemps.
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(✰) message posté Dim 13 Juil 2014 - 16:57 par Invité
J'en avais marre de lui. Marre qu'il m'énerve à ce point là. Marre de passer pour l'hystérique de service, la jalouse possessive. Alors qu'il fait tout pour que je le sois, parfois malgré lui. C'était impossible que dans une semaine on se dispute pas au moins 3 fois. Autant on le faisait déjà avant mais à l'époque c'était plus sous forme de pique alors que là... C'est clairement de la colère. Que quelque part je regrettais de réagir comme ça, mais quelque fois il ne me laissait pas le choix. Comme aujourd'hui. Mais je m'en fiche complétement de savoir ou pas comment tu es quand t'es bourré, le faite est que tu n'avais pas le droit de faire ce que tu as fait c'est tout! Il se cache toujours derrière cette excuse mais ça sert à rien merde! Tu crois vraiment qe je vais calculer tout tes faits et geste en fonction de ça?! C'est pas croyable. Il pense trop que je vais me limité parce que monsieur ne se contrôe plus quand il est dans le fond du trou. Non mais je rêve, ne me dite pas qu'il est sérieux là?! Il vient tout de même pas de me comparer à l'autre potiche! Calme toi Kait, calme toi. J'inspirais doucement. posant un peu violement le chiffon que je tenais dans la main sur le meuble. Oui il était vrai que ça c'était passé. On avait dansé ensemble, de manière très proche. Mais le plus énervant dans tout ça ce n'est pas qu'il me le disent comme si ça n'avait pas d'importance aucune.. Non c'était que je ressentais des frissons au niveau du bas de mon dos lorsqu'il m'en parlait comme ça. Pourtant ça n'a rien de "chaud" mais.. je sais pas et ça m'énervait qu'il prenne ça comme ça et qu'en plus ça ai un effet pareil. Je tentais tout de même de garder ma tranquillité. Je retirais ma main de la sienne. "Ok ça compte pour du beurre Gab, y'a aucune différence à danser avec moi et danser avec une fille que tu connais à peine. t'as bien raison, l'alcool fait faire tout un tas de truc stupide. De toute façon rien ne compte avec toi. Tu peux manquer de respect à quelqu'un sous son propre toit mais ça comptera pas étant donné que tu étais torché. Et parle pas de notre danse parce que elle était loin d'être à la hauteur de celle que t'as partagé avec Clair. On était proche ouais mais c'est deux choses différentes. Et tu le sais très bien. De toute manière on s'en fout vu que ça compte pas, ouais un peu comme ma nuit avec Jake. Elle compte pas non plus on va dire ça. Comme ça on est quitte. Et vu que ça compte pas personne risque de mal le prendre. En tout cas lui et moi on le sait. Mais apparemment elle, elle le savait vu qu'elle ma laissé son numéro pour toi, avec un peu de chance je l'ai pas trop froissé et tu devrait pouvoir le récupérer. Et au passage tu serais un amour de me débarrasser des draps que vous avez utilisés." J'avais du mal à réaliser comment je pouvais aller aussi loin. J'abuse grave! Mais j'y peux rien je ne contrôle pas ce que je dis et après je regrette. Mais il avait dit ça de manière tellement normal, posé que ça m'avait trop énervé et je sais que je regretterais mes paroles à la minutes même ou il les aurait analysé et compris. Mais il l'a bien cherché.
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(✰) message posté Dim 13 Juil 2014 - 18:28 par Invité
Gabe & Kait
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J'avais raison. Sa main n'était pas resté longtemps dans la mienne malheureusement. Elle l'avait sèchement retiré et avait enchaîner avec une suite de mots tous aussi tranchant que des couteaux aiguisé. Et dieux seul sait qu'il n'est pas facile de me blesser. En réalité c'est presque impossible : a par si on en venait à bléser Tara. Mais elle, Kait arrivait toujours à trouver la faille. Je regrettais parfois de l'avoir connue parce que je sentais bien que je n'étais pas le même avec elle, ça avait ses avantages comme ses inconvénients. Mais dans ses moments la j'aurais simplement voulu être ce connard de Gabe qui ne tourne jamais la langue sept fois dans sa bouche. Cet abrutit au sang chaud qui avait une fierté tellement grande que personne ne pouvait toucher son cœur. Mon cerveaux avait mit un moment avant d’accepter ce qu'elle venait de dire. Jake ? Jacob Daniels ? C'était bien de cet individu la qu'elle parlait. Non ça devait être une blague. Tout d'un coup j'oubliai tout : le fait que j'étais en tord, le fait qu'elle m'en voulais, le fait que j'avais mis ça sur le tapis … Tout j'oubliai pour me concentrer sur ça. Je me fichait de si elle l'avait fait volontairement ou pas de choisir le seul mec dans cette putain de fête que je ne pouvais pas me voir en peinture. Le seul que a looser de cette fête avait posé les main sur elle premièrement et en plus ils avaient … J'osais même pas y penser, mon cerveaux refusait d'accepter l'information. Je serait les poings fortement : cet enfoiré n'aurait même pas le temps de décuvé que je lui aurais déjà refais le portrait. Mais pour le moment je devais régler mes comptes avec elle. Je la regardais avec une certaine haine dans le regard : le prie c'est qu'elle m'avait dit ça d'une manière tellement normal, comme si elle s'en fichait, comme si ça n'avait pas d'importance. Mais putain qu'es qu'elle avait dans le crane. Elle savait comment j'étais, elle savais que ce n'était même pas la peine de me parler de tout ses gars qui lui tournaient autour si elle ne voulais pas de scène ou qu'il y ait un meurtre. « T'es sérieuse la ? » ; j'avais la respiration saccader et j'avais de plus en plus de mal à me contenir. « Et c'était bon ? T'as kiffé ? Non mais Jake ! Es que tu te rend compte de ce que tu me dis ou pas la ! » ; j'étais hors de moi, je hurlais, et je sais que dans le fond même si elle ne le montrerais pas : je lui faisait peur. Je ne pouvais pas me retenir j'étais hors de moi, dans ma tête des images d'elle et de lui me venait comme des flash et j'avais de tout casser et de vomir. Je shoota dans le pied de la table qui se retourna piteusement sur le sol : laissant glisser verre et bol qui y traîner. C'était fou comme la situation avait été inversé en deux secondes.
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(✰) message posté Dim 13 Juil 2014 - 19:29 par Invité
Je rêve là! Il est en train de retourner la situation ! Merde c'est toi qui est allé vers cette vieille fille en premier! Tu pensais que quoi ?! Que j'allais rester là, assise comme une potiche à attendre que tu tires ton coup et que tu reviennes ensuite?! Non me dite pas qu'il pensait sérieusement que j'allais jouer les petit chien servant ou les sainte-nitouche?! C'est ça. Et puis fuck c'est pas lui qui vient de dire qu'on passait l'éponge ?! Alors monsieur sort toutes ses grandes phrases quand c'est lui qui est en tord mais dés que ça me touche ça n'existe plus. C'est grave comment il a que de la bouche! C'est toujours pareil. Quand la même chose se passe pour moi là par contre... Préparez vos oreilles. Il me demandais ensuite si j'était sérieuse. « J'étais bourré tu sais comment je suis quand je suis dans cet état la. » Lui dis-je en faisant clairement ma gamine. Attend lui a le droit d'utiliser cette phrase pour se défendre et pas moi ? Mais oui bien sûr. Mais je savais qu'il ne prenait plus ça à la légère. Bien évidemment sa connerie n'était plus le centre de la discussion, c'était sûr que maintenant il allait bien se lâcher. Et ça avait le don de m'énervé autant que de m'effrayer. « T'es le plus mal placé pour vouloir faire une scène là actuellement. » Lui dis-je en lui rappelant la situation. Mais tout ce que je pouvais dire à présent ne servait strictement plus à rien il avait bloqué sur ça. Et je ne peux pas faire comme si je ne m'en doutais pas. Je savais qu'il réagirais comme ça. C'est justement pour ça que je l'ai sorti avec autant d'aigreur. Oui pour le faire réagir et qu'il comprenne à quel point c'est désagréable de se sentir trahis. Mais le connaissant il ne le prendra absolument pas comme ça. Non, il se sentira trahis, mais il ne le prendra jamais à titre de comparaison. De toute manière avec lui c'est fait ce que je te dis mais fait pas ce que je fais. Ce qui est stupide vu que je ne pourrais jamais fonctionner comme ça, je n'obéissais à personne j'étais comme ça. Mais en le regardant comme ça, il commençais à vraiment m'effrayer. J'avais envie de lui envoyer un "Ouais et même qu'on l'a fait plusieurs fois! de plusieurs manières différentes tu devrais aller le voir pt'être qu'il sera assez généreux pour te donner des cours ou des conseils!" Mais j'étais pas encore suicidaire. Je le regardais , je regardais la table qui venait de valser et de tomber au sol. Je le regardais à nouveau le cœur battant. « Autant que toi tu te rends compte de ce que tu as fait avec elle! » Je soupirais, mes poils se hérissait devant le visage défiguré de Gabriel sous la colère. Je pris alors mon seau me décidant à monter à l'étage. Je ne pouvais pas. Si je restais encore face à lui je savais que ses mots serait tellement violent et douloureux que j'en utiliserais des plus durs encore. On était comme ça. On se battait avec nos mots parce qu'on savait que tout ce qui venait de la bouche de l'un envers l'autre pouvait autant être un doux baiser qu'un coup de poignard empoisonné.
She resuscitates me, She fucking hates me and I love it Wait ! Where you going ? I'm leaving you No you ain't, Come back Were running right back, Here we going again
Elle osait utilise mes propres mots contre moi. C'était une chose que je détestais ,c'était une chose qu'elle faisait bien trop souvent. Elle fuyait, elle voulait pas faire face à ce qu'elle m'avait fait. Elle voulait pas faire face au mal qu'elle m’infligeait. Elle ne savait pas mais elle brûlait ma fierté à petit feu, elle me piétinait. Je me sentais salle et je sentais que plus j'y pensais plus j'étais hors de moi. J'avais du mal à contenir ma colère et même si pour une autre personne ça n'en valait pas la peine j'étais en colère plus que jamais. Je me demandais pourquoi je m'entêtais à maintenir cette pseudo amitié qui nous faisait tant de mal à tout les deux. Le revers de ma main éjecta un verre contre le mur incontrôlable. Puis sans même que je ne me vois le faire je renversa au sol tout ce qui se trouvait sur le comptoir. Heureusement il n'y avait rien de vraiment précieux dessus. « Putain ! » ; hurlais-je comme si ça allais m'aider à expulser ma colère. Et puis merde. Je me décida toujours en colère a monter la trouver la ou elle se cachait. Elle était à la salle de bain son seau à la main, la colère marquait toujours mon visage et je resta un moment silencieux face à elle. J'avais envie de la détruire avec mes mots et de la serrer contre moi pour effacer chacune des traces qu'avait laisser ce con de sur elle. Comment … Pourquoi ça faisait si mal, pourquoi fallait-il que ce soit si compliqué ? Je m'approchait de lui la respiration saccadé pas sur de ce que j'allais faire je la poussa violemment contre le mur lui faisant tomber son seau d'eau au sol et mon poing alla violemment taper le mur prêt de son oreille. Je ne la regardait pas, mon regard était fixé sur le sol. Je ne le sentais pas mais mon poing était tout ensanglanté, j'avais légèrement déformer le mur. Aucun mots ne voulait sortir de ma bouche. Je finis par la regarder dans les yeux, elle devait avoir peur. Je ne lui avait jamais fait un coup pareil, mais sur ce coup la la colère avait prit le dessus plus que d'habitude. Je plongea mon regard dans ses yeux vert et pendant un instant je fus presque complètement calmé . Mon autre main passa un peu en dessous de son t-shirt et serra tout doucement sa hanche la rapprochant de moi. Tout se passa tellement rapidement, qu'a peine sa peau commençait-elle à réchauffer la mienne je la relâchai et m'éloignai d'elle. Pourquoi j'avais fais ça déjà ? Qu'es que je faisais encore la ? J'avais pas à régler le compte de quelqu'un ? « En attendant j'ai quelqu'un à aller tuer » ; dis-je en me dirigeant vers la chambre ou j'avais laisser mon t-shirt que j’enfilais assez rapidement. Je savais très bien ou ce clown habitait donc ça me faisait la corvée de la recherche en moins. Connaissant Kait elle allait sûrement m'empêcher d'y aller mais tant pis. J'avais déjà face à des colosse qui faisait trois fois mon poids, j'avais déjà finis à l'hopital pour des conneries pareil. Même si je n'étais pas de taille je me confrontais toujours au types qui traînait autour d'elle. Rien ne pouvait m'en empêché … A par si … Non ça n'arriverais pas. J'irais chez lui et je lui apprendrais les bonne manière. Je lui apprendrais à toucher à ce qui ne lui appartenait pas.
J'évitais le conflit au moins quelques minutes. Oui parce que je savais de quoi on était capable, je savais qu'on était tout les deux des mules qui tiraient les choses chacun de son côté. Têtu, fier, jaloux, protecteur. J'allais nettoyer la salle de bain lorsque j'entendis des verre exploser oui bien sûr c'est exactement ce qu'il faut tu donnera une raison de plus à mes parents de pas d'aimer mon grand. Un putain sortir de nulle part. Tant qu'il ne m'était pas adressé tout allé bien. Je tremblais un peu mais je tentais de prendre ça pour moi et de tout calmer. C'était la première fois qu'il réagissait comme ça. Et pourtant c'est pas la première fois que je passais une nuit avec un mec.. C'est surement parce que c'était Jake et qu'il l'aimait pas vraiment déjà de base. Je respirais un peu plus fort et mon cœur ne m'aidait pas à me calmer vu les battement qu'il me faisait. Je tentais de me calmer de mon côté en cherchant à partir de quel moment ça avait commencé à dégénérer à ce point. Je mouillais un peu mon visage et repris mon seau remplis lorsque j'entendis La porte s'ouvrir brusquement, je me retournais pour voir le visage énervé de Gabe. Il restais là, sans bouger en me regardant avec toujours se visage énervé. Je peux vous dire qu'à cet instant précis je craignais pour ma vie, sérieusement. Il me plaqua alors contre le mur avant d'envoyer un coup juste à côté de ma tête, je restais tétanisé par cet acte. Comment je devais prendre ça? Je regardais le mur qui venait d'être touché. son poing encore dessus avec quelque trace de sang. J'étais terrorisé intérieurement, ma respiration était devenue forte il ne me regardait pas. Il me regarda ensuite dans les yeux, comment vous dire que ma terreur c'était dissipé juste en le regardant dans les yeux, ce contact là a suffit à me rappeler qu'il n'oserait jamais lever la main sur moi. Je le connaissais bien et ce contact visuelle avait réussi à me le rappeler et à m’apaiser. Oui je vous le confirme entre nous c'était plus que bizarre. Ce qui ce passa ensuite me laissa sans voit. Il venait de passer sa main sous mon t-shirt la plaçant sur ma hanche qu'il serra pour me rapprocher de lui, je le regardais un peu surprise. C'était pas son style de réagir comme ça. Un frisson me parcourra le long du corps, et je le laissais faire restant à cette proximité malgré qu'il est retiré sa main aussi rapidement qu'il l'avait mise. Qu'est ce qu'il nous arrivait, à nous battre, nous reprendre, nous lâcher à nouveau... Je ne savais pas quoi penser de tout ça... J'avais pas le temps de penser vu que monsieur prévoyait déjà de casser la gueule à quelqu'un. Je ne réagis pas tout de suite après qu'il ait quitter la pièce encore sous le choc de ce rapprochement corporelle. Je finis tout de même par bouger et à me rendre à la porte de la chambre. « Non tu lui fera rien du tout ! Tu bouges pas d'ici Gabriel! » Il n'était pas d'humeur à ça, à recevoir des ordres, encore moins de moi. Mais j'étais pas d'humeur à le voir se battre et le voir avoir des bleus partout. C'est tellement bête de réagir comme ça.. Je voulais pas le voir aller mal pour des choses aussi futile que ça.
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