Maybe thats what happens when a Tornado meets a Volcano | GABLYN

Je le regardais me rendant compte que ça blessure était telle qu'elle laissait des trace de sang au sol. Je voulais vraiment l'en empêcher mais comme d'habitude je n'avais pas beaucoup d'impact sur sa vie et ses choix. Mais pourquoi son monde devait se plier à sa loi en ne me touchant pas mais moi je devais laisser londre entier passer sur lui. Des fois je me demandais sérieusement comment je le supportais, de plus il prennait même pas la peine de voir que c'est parce que je m'inquiète pour lui que je refuse de le voir faire ça. Mais il s'en foutait là toute de suite la preuve il venait de passer pour descendre sans même poser un regard sur moi.
« Vas y qu'est ce que je représente à tes yeux?! T'es même pas capable de voir que c'est parce que je m'inquiète que je veux pas que tu y va! Que c'est douloureux pour moi de te voir faire ça! C'est bon vas y mais ne revient pas ici! Je veux pas te voir! » Je descendais les escalier le regardant pour voir s'il oserait y aller ou si un peu de logique reviendrait dans la tête de cet obstiné .

J'y ai cru.. pendant un instant.. J'avais cru pouvoir le retenir, j'avais cru être capable d'influencer cette boule de rage de faire quelque chose de raisonnable... Je le pris même contre moi. Mais non! C'était encore un grand foutage de gueule. Il méritait une gifle.. Une  bonne grosse gifle. Mais j'étais incapable de lui donner ça. Surtout pas dans cet état. Je le laissais faire n'ayant aucun moyen ni de le suivre ni de l'en empêcher. Je pris sur moi ne voulant pas avouer ou montrer de faiblesse vis-à-vis de lui. Je me décidais alors de ranger le bordel que m'avait laissé Gabriel ainsi que les invités. J'ai passé facilement 3h30 à tout ranger. Il était 14h lorsque j'avais enfin fini, je me préparais une petite salade n'ayant pas trop d'appétit ce midi mais ne voulant pas me laisser mourir de faim. J'allais prendre une douche ensuite, attendant l'arriver de mes parents et de Hope. Ils ne mirent pas longtemps avant d'arriver. Je serrais alors ma puce dans mes bras ne voulant plus la lâcher d'une semelle , bien sûr je n'oubliais pas d'embrasser granny mummy et grandpa. Mais toute mon attention était pour ce petit bout de ciel qui venait ensoleiller cette mauvaise journée. C'était le plus beau cadeau que dieu ai pu m'offrir... pouvoir donner naissance à cet amour. Elle m'aimait autant que moi je l'adorais. Certaine personne disait détester leur enfant justement parce qu'elle leur faisait trop penser à leur erreur passé, moi c'était pas mon cas, j'adorais Des' plus que tout au monde! Je pourrais me sacrifier pour elle. C'était elle avant tout. Et ça sera toujours ainsi jusqu'à que je meurt. C'est ainsi que pendant une heure mon petit bout et moi passions tout notre temps sur ses jeux éducatifs et à nous amusait de diverse manière. Nous fûmes très vite rejoins par l'adorable Tara. La fille de Gab. La gentillesse en personne. Je l'aimais cette petite qu'est ce que je l'aimais! Elle était calme, gentille, adorable, sage, réfléchis... Tout le contraire de son père quoi! D'ailleurs c'était bizarre il ne soit toujours pas rentré. C'était la baby-sitter de celle-ci qui l'avait déposé ici.. Bizarre c'est pas son style de laisser Tara trop longtemps là-bas au contraire, c'était le style à venir même en avance la récupérer. J'espérais que rien ne lui était arrivé et quelque part je me disais que si c'était le cas il l'aurait bien mérité. Je serrais alors Tara dans mes bras l'inventant à venir s'amuser avec nous. J'avais l'habitude de la voir à la maison donc j'avais quelques jeux adapté pour son âge à elle aussi. Et elle les adorait d'ailleurs oui j'étais toujours fière de moi à chaque fois je m'en rendais compte. Je jouais donc avec mes deux amours toutes les deux voulant toujours me montrer ce qu'elle faisait avec leur jeu. Ce qui eut le don de m'amuser car je faisais la même avec elles. Oui je devenais une gamine en leur présence. C'est plus marrant de jouer avec quelqu'un un peu comme nous qu'avec quelqu'un qui nous prend de haut. Après avoir passer un long moment à jouer à toutes sorte de jeu physique, éducatif et sociétale. Je leur proposais ensuite un petit atelier cuisine: Au menu pour ce goûter une pizza sucré. Au fruit bien sur. On faisait ça non pas sans ce salir, c'est bien pour ça que je couvrais Tara d'un vieux haut à moi pour ne pas qu'elle salisse ses beaux vêtements. Nous commencions notre recette tout en nous amusant laissant Tara faire la forme qu'elle voulait à sa pâte. Ce fut à la mise au four que nous entendîmes quelqu'un sonner à la porte. Qui cela pouvait bien être ? On attendait personne. Je prenais les enfants en les laissant dans le coin jouet sous la surveillance de Grandpa pour aller ouvrir la porte.

...

Je le regardais, il me regardait, je le fixais, ma colère remontait petit à petit et c'est non pas sans haine que je lui claquais la porte au nez. Oui c'était prémédité et très mérité. Je retournais alors auprès des filles. Essayant tant bien que mal de cacher ma colère. Bien sûr étant donné que ça fille était là il était obligé de sonner de nouveau, mais cette fois c'était ma granny qui alla lui ouvrir la porte, curieuse de savoir qui cela pouvait être. Il avait de la chance c'était la seule personne qui l'appréciais ici. Elle lui sourit en lui tendant les bras pour le serrait contre elle
« Oooh Gabriel c'était toi, entre donc je t'en prie! Kaitlyn tout de même tu aurais pu faire preuve d'un minimum d'hospitalité! »
« Nope. »
« Rhooo. Pardonne là elle doit surement être dans sa mauvaise période » lui dis-elle à voix basse. « Mais qu'est ce qu'il c'est passé ? Tu es blessé de partout! »
C'est la raison de mon énervement Granny. Parcontre mon grandpa le regardais beaucoup plus mal que moi. A vrai dire je ne le regardais pas du tout pour ma part. Laissant ma grand mère dans son délire. Je peux vous dire qu'il en avait une qui était contente de voir son père et c'est bien la petite Tara, ni une ni deux elle avait quitter mes bras pour courir faire un câlin à son papa qui l'avait tant manqué. Je ne pouvais pas lui en vouloir à elle. C'était son papa gâteau