(✰) message posté Lun 5 Juin 2017 - 18:30 par Invité
Léopold Prénom Fitzgerald
FT. Johnny Depp
Il est écossais. + Ses parents s'appellent Jack et Elisabeth – Babeth – Fitzgerald et sont des campagnards incultes et fermés d'esprit. L'alcoolisme se transmet de père en fils chez les Fitzgerald. Il a un frère, George. + Il a 49 ans + Il a grandit à Glasgow et a décidé de partir à cause de disputes qui l'éloignaient encore un peu plus de ses parents. Eux voulaient que leurs deux fils restent auprès d'eux et qu'ils ne fassent pas d'étude pour s'occuper de leur ferme. + Il a rencontré Juliette De Beaulieu lors d'un voyage en France. Ils sont tombés amoureux, Juliette l'a suivi à Edimbourg en Écosse, et ils ont eu un fils appellé Solal. + Il n'a pas supporté d'avoir des responsabilités et a abandonné Juliette et leur bébé à Edimbourg, pour vivre seul à Glasgow. + Pendant deux ans, il a fréquenté de nombreuses femmes, sans jamais espérer autre chose de ses rencontres. Jusqu'à ce qu'il mette enceinte une de ses conquêtes. Il l'a épousé et ils ont eut deux jumeaux, Rose et Balthazar. + Il est producteur de musique. Mais son rêve était d'être batteur professionnel. Il a fait des mauvais choix qui lui ont coûté sa carrière. + Il est alcoolique, mais essaye depuis peu d'arrêter. + Son fils aîné, Solal, est atteint de la maladie de Wilson. Il ne parvient toujours pas à accepter le fait qu'il puisse mourir d'ici dix ans. Léopold est donc porteur de la maladie, même si chez lui elle ne s'est pas développée et ne se développera jamais. + Il a divorcé de sa femme en 2008 et est venu s'installer à Londres pour permettre aux jumeaux d'y vivre. + Il n'a plus aucun contact avec Solal depuis qu'il lui a apprit qu'il menait une double vie. + Il ne parle plus à son frère, George depuis qu'il a apprit que ce dernier battait son fils Julian. + Il chante, compose, joue de la guitare, de la batterie, et de la basse. Mais il n'en fait rien. + Léopold est un homme lâche, plein de regret et rongé par la peur. Il fait toujours tout de travers et ne sait jamais comment se rattraper. Malgré tout, il essaye d'être un bon père. + Il n'a jamais renié ses enfants, il n'est tout simplement pas parvenu à dire les bonnes choses, à faire les bons choix.
Caractère : lâche – tactile – protecteur – maladroit – talentueux – alcoolique - volage - instable - irresponsable - gamin - généreux - mal dans sa peau - rongé par les regrets.
JULIETTE D. DE BEAULIEU
Ex, amour de sa vie, mère de son fils. Juliette et Léopold se sont rencontrés à Paris. Ils se sont tout de suite plu, et sont tombés amoureux l'un de l'autre. Pour la première fois de sa vie, Léopold avait envie de faire quelque chose, de construire quelque chose. Alors, ils ont fait un enfant, Solal. Mais au lieu de s'aimer et d'être heureux, ils se sont détruits. Leur amour était destructeur, et rien ne semblait pouvoir réparer les choses. Léopold n'avait pas conscience de ce que signifiait être père, et Juliette n'acceptait pas que Léopold ne soit pas aussi proche de son fils. Léopold a finit par quitter Juliette et leur bébé. Ca les a détruit, un peu plus. Juliette s'est fait la promesse de ne jamais retomber amoureuse, de consacrer sa vie entière à son fils et n'a pas cherché à refaire sa vie. Elle a éprouvé une certaine amerture à l'égard de Léopold, qui faisait un pas, puis reculait de dix. Mais elle a toujours tout fait pour que Solal ne manque de rien. Lorsque la maladie a été diagnostiqué, Juliette et Léopold ont réellement repris contact. Elle le tenait au courant des dernières nouvelles, et lui, tentait de la rassurer. Même s'il n'y croyait. Au fond, ce n'était qu'un prétexte pour entendre la voix l'un de l'autre. Ils n'ont jamais cessé de s'aimer, et s'aimeront probablement toujours. Elle a apprit en même temps que Solal que Léopold avait fait refait sa vie de son côté, mais n'a pas réagit. Lui ne s'était fait aucune promesse. Aujourd'hui, il y a encore ces non dits entre eux. Ils ne parviennent pas à se retrouver. Et ne le désirent pas. Ils ont trop peur de ne pas supporter leur amour. Et leurs démons.
SOLAL D. B. FITZGERALD
Fils aîné Solal n'était pas un accident. Non. Léopold désirait vraiment être père. Pourtant, il n'a pas supporté les pleurs, les responsabilités et est parti. Chaque année, il envoyait une carte le 1er Janvier pour l'anniversaire de son fils. Mais il ne l'appelait pas, ne le voyait pas. Lorsque Solal avait dix ans, il l'a appelé et invité à venir à Glasgow. Cette semaine là, sa femme et ses deux autres enfants, Rose et Balthazar, n'étaient pas là. Il aimait son fils, et voulait lui faire plaisir. Il voulait devenir son père. Il lui présenta sa famille, il lui présenta sa famille et les choses se passèrent mal. Il quitta donc la maison familiale avec colère. Mais ce fut lors de ces retrouvailles que le corps de Solal lâcha. Son corps entier tremblait, et il ne parvenait plus à bouger. Ils lui ont diagnostiqué la maladie de Wilson et Léopold s'est excusé auprès de lui. Il ne pouvait pas rester là, il ne pouvait pas s'occuper d'un enfant malade. Il n'en était pas capable. Il a continué d'appeler, sans jamais le revoir. Puis, en 2008, lorsque Léopold prit la décision de divorcer, il se rendit à Paris et avoua à son fils qu'il avait deux autres enfants. Solal, qui, jusqu'ici lui avait pardonné sa lâcheté, a prit la décision de ne plus jamais lui adresser la parole. Il était là, lorsqu'on a diagnostiqué une hépatique fulgurante à Solal - une conséquence de la maladie de Wilson. Mais son fils n'a pas désiré le voir, pire encore, sa présence l'a fait entrer dans une démence soudaine. Il hurlait, et Léopold est parti. Il aimerait reprendre contact avec son fils, et être un bon père. Mais Solal refuse. Au fond, ils s'aiment de tous leurs coeurs, mais ne parviennent pas à trouver un juste milieu entre la haine, la peur et l'amour.
JULIAN P. FITZGERALD
Neveu Julian n'avait rien contre son oncle, au début. Il était gentil, il ne buvait pas d'alcool et envoyait constamment valser Jack et Babeth Fitzgerald. Pourtant, lorsque George s'est mit à frapper son fils, Leopold n'a rien fait. Il a certes essayé de parler à son frère, sans pour autant sauver Julian. Il a fini par détourner le regard, et par vivre sa vie. Puis, Julian n'a pas pardonné à Leopold d'avoir abandonné Solal et d'avoir fondé sa famille après. Leopold, de son côté, n'essaye même pas de se faire pardonner pour ses erreurs. Il sait que c'est trop tard. Rien n'obligera Julian à lui pardonner, à oublier. De plus Julian ne sait pas toute l'histoire. Il ne sait pas que Solal est malade et que Leopold n'a jamais assumé ses responsabilités.
Fille Rose admirait son père lorsqu'elle était petite. Il était sa fierté, et elle le suivait partout. Elle le regardait jouer de la musique, et mimait ses gestes, ses habitudes. Elle était sa princesse. Adolescente, elle n'a jamais eut peur de se confier à lui, de lui demander conseils. Il était plus disponible que sa mère. Mais lorsqu'il a plongé dans l'alcool, après l'hospitalisation et la transplantation de Solal suite à son hépatique fulgurante, elle ne l'a plus reconnu. Il n'était plus là. Il n'était plus à l'écoute. Il était tout simplement hanté par ses démons, rongé par les regrets. Elle qui avait toujours accepté l'existence de son grand demi-frère, a essayé de comprendre ce qu'il s'était passé. Jusqu'à ce qu'elle sache. Jusqu'à ce qu'elle comprenne qu'il n'était pas seulement loin, hors d'atteinte. Jusqu'à ce qu'elle comprenne pourquoi son père les élevait eux, et pas lui. Il était malade. Elle tourna le dos à son père. Du moins, elle était celle qui lui hurlait dessus, qui essayait de le faire réagir. Elle voulait connaître son frère, mais à cause de Léopold, à cause de sa lâcheté, elle n'en aurait pas la possibilité. Solal les détestait, Balthazar et elle. Au fond, Rose sera toujours là pour son père. Mais elle ne parvient désormais plus à retrouver l'homme qu'elle admirait tant autrefois. Il n'était plus Léopold. Il était un Fitzgerald. Le fils de Jack, le frère de George.
Fils Balthazar s'est toujours montré distant. Il sentait que Léopold cachait certaines choses, il sentait qu'il n'était pas stable et que si le monde s'écroulait, Léopold n'essayerait même pas de se battre. Leopold n'a jamais compris son fils, il n'a jamais réussit à répondre à ses attentes, à être un bon père. Depuis toujours, il entendait parler d'un Solal. Son grand-frère. Pourtant, il ne le connaissait pas. Il ne le voyait pas. Balthazar a tout compris, avant tout le monde. Il savait que son père était lâche, et était conscient que Solal n'était même pas au courant de leur existence. Il n'a cessé de faire des conneries. Pour attirer l'attention de son père. Pour qu'il cesse de penser à ce qu'il avait laissé derrière et à ce qu'il n'avait pas le courage de retrouver, pour qu'il s'intéresse enfin à lui. Son second fils. Balthazar ne s'est jamais senti à la hauteur. Il était le deuxième garçon, et Rose était la seule fille. Il ne s'est jamais senti aimé par son père, pourtant, c'était le cas. Léopold a aimé ses enfants avec le même amour, il ne savait tout simplement pas le montrer. Balthazar tourne peu à peu le dos à son père.
Bonus > Extrait de la fiche de Juliette:
❧ ❧ ❧ Hiver 1990
C'est à l'aube de mes dix-ans ans que je le vois pour la première fois. Je me ballade dans les rues parisiennes avec une amie de l'université. On regarde les boutiques de nuit. On flâne, on déambule. J'ai mon long manteau en fourrure noire sur les épaules et une longue queue de cheval. Mes cheveux ondules au niveau des pointes malgré le brushing exécuté le matin-même. L'air est frais à m'en brûler la gorge. Lorsque j'expire, des nuages se forme à la naissance de mes lèvres. J'ai les mains dans les poches, parce que même avec mes gants en cuir je sens mes os se congeler. Avec Jeanne, on se dirige vers une rue où il y a un tas de bar. Tout est illuminé comme un soir de Noël, alors que nous ne sommes qu'en novembre. Mais ça m'importe peu finalement. On en choisit un au hasard, parce qu'à travers les vitres, on aperçoit des beaux garçons. On passe la porte du bar, et là, je le remarque tout de suite. Il est là, avec ses cheveux mi-longs, sa barbe naissante, ses yeux couleurs jais. Je crois bien qu'à ce moment-là, le moment où nos regards se croisent, mon cœur rate un battement. Je sens mes genoux flancher lorsqu'il m'adresse un sourire. Je me retourne, parce que je peux pas croire que ce sourire me soit adressé. Il est forcément adressé à la superbe fille derrière moi. Mais il n'y a personne. Ce sourire, c'est le mien, pour moi. Alors je souris en retour, de toutes mes dents. Et puis je m'assois avec Jeanne au comptoir. J'enlève mon manteau, j'ai une robe en dessous. Parce que je savais que ce soir on irait boire un coup, et je voulais me faire belle. J'arrête pas de jeter des regards par dessus mon épaule, je veux voir s'il m'observe. À chaque fois que je me tourne, il lève le regard vers moi. Ma robe a la même couleur que ses yeux. Je replace une mèche derrière mon oreille droite, je souris et me mord sensuellement la lèvre, et puis je commande à boire avec mon amie. L'alcool aidant, je confesse à Jeanne que le garçon au fond du bar, celui avec le groupe d'anglais qui joue au billard, il me plaît. Alors mon amie me traîne là-bas, un peu de force. Parce que je suis pas sûre de ce que je vais bien pouvoir dire. Arrivée à sa hauteur, je me dis qu'après tout, c'est à moi qu'il a souris toute la soirée. Alors j'engage la conversation. J'apprends qu'il s'appelle Léopold, qu'il est en vacances à Paris avec des amis, et qu'il est écossais. Son accent est étrange, mais j'imagine qu'il doit se dire la même chose de moi qui parle anglais du mieux que je peux. On passe le reste de la soirée à discuter, à rire, à se tourner autour. À un moment, il pose sa main sur ma joue. Elle brûle sous ses doigts rugueux. Il ne m'embrasse pas cette nuit-là, j'aurais aimé qu'il le fasse. Mais il me propose qu'on se retrouve le lendemain ; je pourrais lui faire visiter Paris, parce qu'après tout, j'ai toujours vécu ici moi.
Il m'embrasse deux jours plus tard, sous un lampadaire près de ma maison. Ses lèvres sont sèches sur les miennes, mais elles sont chaudes. Ses mains ont rejoint mes joues brûlantes, et je me rappelle de ses pouces les caressant. Je passe trois autres semaines avec lui. Tous les jours je le vois. Personne ne m'a regardé comme lui pose ses yeux sur moi. Et puis il doit partir, retourner en Écosse. Et il me propose quelque chose d'indécent. Moi, je n'ai jamais rien fais d'indécent dans ma vie. Mon père est journaliste, ma mère est professeur de français dans un lycée catholique. J'ai toujours tout fait pour leur faire plaisir. Mais je leur dis que je pars en Écosse moi aussi. Mes parents me haïssent, ils me hurlent dessus. Ils disent que je suis irresponsable, trop jeune pour vivre seule. Ils disent que Léopold, je ne le connais que depuis quelques semaines ; que ça va trop vite. Mais moi je l'aime Léopold. Ses yeux de jais qui se posent sur mon corps, ça me fait fondre. J'ai jamais ressenti ça, et je suis sûre que jamais je ressentirais ça à nouveau. Alors je le suis. Je plaque tout et je pars ; Mes études et ma famille, mes amis et mes rêves. Léopold, ça devient tout ce que j'ai, et sur le moment, j'ai l'impression que ça suffit amplement à mon bonheur. Mais j'ai que dix-huit ans, et à dix-huit ans on a l'impression de tout savoir. Alors qu'en fait, on est vraiment à côté de la plaque.
❧ ❧ ❧ Printemps 1992
Les fleurs éclosent timidement à l'approche du soleil qui se lève et la rosée du matin parfume l'air d'une douceur familière. Je n'ai encore que dix-neuf ans, dans quelques jours j'en aurais vingt. Mais le plus important, c'est l'enfant que je tiens dans mes bras; Lui n'a que cinq mois et n'en a même pas conscience. Il dort paisiblement, après avoir pleuré toute la nuit. C'est souvent comme ça malheureusement pour moi. Son père n'a pas supporté les cris et les pleurs et nous a quitté quelques semaine auparavant. Je le tiens tout contre moi, je n'ose pas le reposer dans son berceau de peur qu'il se réveille. Vient à mon esprit les images de cette dernière dispute, celle qui a fait quitter Léopold de notre nid douillet. J'ai beaucoup pleuré ces derniers temps, mais ce matin, je me sens éprise d'une énergie nouvelle. Je regarde Solal, et je caresse délicatement ses cheveux fins et bouclés; ils me font penser à ceux de ma mère. J'aime ces moments, ceux où l'enfant finit par trouver le sommeil tandis que le soleil se lève. J'embrasse son front, ne me lassant jamais de sentir l'odeur de bébé qui s'en dégage; le genre d'odeur qui vous rendrait accroc.
Je vais sur le minuscule balcon de mon appartement délabré, et une légère brise me caresse le visage. J'observe les premiers rayons au loin, et la couleur carmin du ciel qui annonce l'arrivée prochaine d'une journée ensoleillée. Je m'assois sur la chaise en liège fasse au spectacle, et je reste ainsi un long moment. Je sens le souffle chaud du petit être que je tiens contre ma poitrine, et j'expire un soupire d'aise. J'entend les premiers sifflements des oiseaux au loin, et apprécie ce moment de plénitude, où le temps semble tourner au ralenti. On a l'impression que rien ne saurait gâcher ce moment. Mais je sais que tout cela n'est que temporaire. Dans quelques heures, je devrais aller travailler; laisser mon petit ange dans les bras d'une femme qui s'en occupera toute la journée. Ce sera encore une journée difficile, elles le sont toutes après tout. Mais je sais qu'à mon retour ce soir, je pourrais à nouveau le prendre dans mes bras. Il sera mon rayon de soleil dans la nuit, Solal. Même s'il pleure encore pendant ce soir, même si je passe des heures à le réconforter, et puisqu'il est tout ce que j'ai maintenant, je continuerais d'être forte pour lui, pour nous. « Tout se passera bien chéri. Je suis là. »
Invité
Invité
(✰) message posté Lun 5 Juin 2017 - 19:04 par Invité
allez viens, on est bien.
LONDON CALLING TO THE FARAWAY TOWNS
HEY TOI ! Tout d'abord, bienvenue sur London Calling, et merci de t'intéresser au scénario. Avec Solal on l'attend vraiment avec impatience, et si tu es arrivé jusqu'ici c'est peut-être qu'il t'intéresse vraiment qui sait !
Concernant nos exigences, elles sont plutôt claires et concises
Le prénom et le nom de famille ne sont absolument pas négociables. Tout simplement parce qu'avec Solal, on a écrit Léopold partout sur nos fiches et nos rps du coup ça ferait bizarre qu'on passe de Léopold à Jean-Jacques ! Je sais tu es un peu déçu, Jean-Jacques c'est pas mal j'avoue, mais Léopold c'est beau, c'est classe, il y a franchement aucun raison de changer au final. Et le nom de famille ça tombe sous le sens que tu peux pas le changer vu que Solal porte ce même patronyme, restons logique. Par contre tu peux te faire plais' sur un éventuel deuxième prénom, là la seule limite, c'est ton imagination.
L'avatar n'est pas négociable non plus sauf si gros coup de coeur pour le scénario et que l'avatar vous bloque. Parce qu'à la base Johnny Depp est parfait dans le rôle et avec Solal on l'imagine vraiment avec cette tête là. Johnny Depp est sexy, il y a plein de ressources d'avatar et de gif partout dans le vaste monde d'internet sooo, ouais, que demande le peuple ?
Il faut bien évidemment veiller à respecter tous les points qui ont été cité ci-dessus à propos de son histoire et de son caractère, bien que nous soyons totalement ouvertes pour que tu rajoutes des trucs farfelues en tout genre. Même autant que tu veux en fait, tant que ça respecte les points cités et la cohérence du personnage.
Les liens de base ne sont pas négociables (ouais on est dur en affaire nous. ), après, on est bien entendu ouverte à la discussion concernant le futur des liens entre Léopold/Juliette, Solal/Léopold. J'avoue que je verrais bien dans la finalité Léopold et Juliette ensemble, mais le lien entre eux n'est pas obligatoirement un lien love, du coup il reste encore bien des choses à déterminer. En plus, je t'avoue que je suis personnellement une adepte des rps avec plein de feels, et j'aime faire souffrir mes persos, donc ça risque de déménager entre ces deux-là. Pareil pour le lien avec Solal, il y aura forcément des évolutions à voir entre les joueurs.
Ça va sans dire que j'attends quelqu'un de sérieux et de motivé pour jouer Léopold. On a tous une vie en dehors du forum (moi la première, promis), du coup franchement au niveau des rps je suis pas chiante, une réponse toutes les semaines voir même tous les deux semaines ça me suffit, avec un niveau d'orthographe correct. Par contre j'attends vraiment quelqu'un d'investi sur le forum, qui va pas juste se contenter du lien avec Solal et Juliette, mais qui va aussi avoir des liens avec d'autres membres du forum.
Je crois qu'on a fait le tour ! Promis, je suis vraiment gentille même si là j'ai juste l'air d'une grosse relou avec tous mes points non-négociables. Mais je suis vraiment motivée à ce que Léopold soit pris Du coup, je reste à ta disposition si tu as la moindre question ou suggestion Et si tu t'inquiètes concernant ton intégration sur le forum, sache qu'avec Solal on se porte garante pour que tu te sentes le mieux possible sur le forum ! Donc pour résumé, tu n'as plus aucune raison d'hésiter ! On t'attend, rejoins-nous vite vite viiiiite.
Accueil 
Je sais tu es un peu déçu, Jean-Jacques c'est pas mal j'avoue, mais Léopold c'est beau, c'est classe, il y a franchement aucun raison de changer au final. 
), après, on est bien entendu ouverte à la discussion concernant le futur des liens entre Léopold/Juliette, Solal/Léopold. J'avoue que je verrais bien dans la finalité Léopold et Juliette ensemble, mais le lien entre eux n'est pas obligatoirement un lien love, du coup il reste encore bien des choses à déterminer. 
En plus, je t'avoue que je suis personnellement une adepte des rps avec plein de feels, et j'aime faire souffrir mes persos, donc ça risque de déménager entre ces deux-là. 
Mais je suis vraiment motivée à ce que Léopold soit pris 
Du coup, je reste à ta disposition si tu as la moindre question ou suggestion 