NOM(S) : écrire ici. PRÉNOM(S) : écrire ici. ÂGE : écrire ici. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Le 6 Novembre 1988 NATIONALITÉ : Père Anglais, mère Isréaelo-française. STATUT CIVIL : écrire ici. MÉTIER : écrire ici. TRAITS DE CARACTÈRE : écrire ici. GROUPE : écrire ici.
My style, my life, my name
Ici vous écrirez au moins 10 caractéristiques de votre personnage. Ses habitudes, ses goûts, tout ce qui vous passe par la tête qui fait de votre personnage ce qu'il est. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Sed non risus. Suspendisse lectus tortor, dignissim sit amet, adipiscing nec, ultricies sed, dolor. Cras elementum ultrices diam. Maecenas ligula massa, varius a, semper congue, euismod non, mi. Proin porttitor, orci nec nonummy molestie, enim est eleifend mi, non fermentum diam nisl sit amet erat. Duis semper. Duis arcu massa, scelerisque vitae, consequat in, pretium a, enim. Pellentesque congue. Ut in risus volutpat libero pharetra tempor. Cras vestibulum bibendum augue. Praesent egestas leo in pede. Praesent blandit odio eu enim. Pellentesque sed dui ut augue blandit sodales. Vestibulum ante ipsum primis in faucibus orci luctus et ultrices posuere cubilia Curae; Aliquam nibh. Mauris ac mauris sed pede pellentesque fermentum. Maecenas adipiscing ante non diam sodales hendrerit.
PSEUDO : écrire ici. PRÉNOM : écrire ici. ÂGE : écrire ici. PERSONNAGE : inventé, scénario. AVATAR : écrire ici. CRÉDITS : écrire ici. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : écrire ici. CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?: écrire ici.
TEL AVIV - Tu es né dans cet écrin du monde, embaumé dans les prestiges, tu as été un enfant choyé et protégé par la chevelure dorée de ta mère. Des années après, tout s'est cassé la gueule. T'es devenu un enfant trop sage pour exister, trop sage pour respirer et tu ne faisais que fuir dans les délits de ton crâne. Maman a Jérusalem et toi, tu dois rester avec le paternel. L'éloquent calice de cette froideur maintenant t'as été transmise, elle se glace dans tes muscles. De lui tu connais les danses des apparences, les mots de venin qui s'enlisent à travers ta gorge. Les années de turpitude écartelante sont venues te hanter, dans les brises éphémères de mains qui traînent sur ton corps enfantin. Ton innocence consumée dans des larmes béantes et le manque constant des reflets de ta mère au loin. Tu aurais dû hurler dans ces soupirs silencieux mais, bien sûr tu as embaumé les blessures. Ces ratures t'ont rendu différent : alors que les autres cherchaient la rédemption, toi tu n'as fait que chercher la damnation.
PARIS - Tu as été cette vague métallique qui s'échoue dans les profondeurs de la vie. Des fragments découpant les moindres actions humaines, cet adolescent désinvolte mais, sophistiqué dans toutes tes perditions. Ravager les moindres courbes existantes, s'imprégner d'un plaisir malsain dans chaque être, rechercher cette beauté cachée par la pudeur. Se perdre dans chacun des pêchés et ce long apprentissage de la vie, dynamique et destructeur. T'as tellement été insupportable que ton père t'a éjecté sous les reflets d'une soeur cadette et t'es devenu un fils de France. T'as marché sur ses pavés et tu t'es électrocuté les sens, t'as fait des rencontres qui t'ont transformé. Les interdits ne t'ont jamais fait peur, tu t'es jeté dedans et t'as grandi de façon étrange mais, tu as grandi. Tu t'es coupé de tout contact avec ta famille, t'es devenu un être totalement indépendant en faisant l'inverse de ce que ton père aspirait pour toi. T'étais cet élève parfaitement normal dans un internat, tu ne t'es jamais foulé à la tâche, le strict minimum étant suffisant à tes yeux car tu avais d'autres occupations. Des femmes de hauts rangs, des hommes de bas quartiers, tu t'es promené dans les effusions éphémères. T'as consommé toujours plus, tu as foulé les milieux divers et variés. T'es devenu un cintre de luxe.
SAN FRANCISCO - Il y a eu cet être divinement laid à qui tu t'es marié dans le secret, cet être totalement opposé à toi. Ce garçon qui a déclenché ce que tu croyais inexistant dans ton être, une tendresse incompréhensible. Il t'a appris des choses que tu croyais inexistantes chez l'être humain. Définir les années ensemble reste flou, car tu ne peux pas cracher et en même temps tu voudrais pouvoir dégueuler. Vous êtes retournés en Israël pendant quelques temps et puis vous vous êtes arrachés à ton pays. Vous vous êtes fondus dans la masse de San Francisco. Vous avez vécu ensemble pendant un temps, des années disparues entre les océans et les flots de votre mascarade. Vous vous êtes arrachés.
Tu t’es persuadé que le monde était en train de s’éteindre, c’est pour cette raison que tu te clapissais dans ton sofa défraîchi depuis quelques jours. Tu semblais vouloir oublier les astres, absoudre les souvenirs dont tu étais hanté. L’opium se promenait dans les airs. Tu espérais secrètement que la fumée t’emporte avec elle aux confins de l’infini néant. Tes yeux fixaient le plafond liliale voir laiteux. Tu étais en équilibre sur tes psychés. Tu recherchais des réponses aux fins fonds de ta mémoire mais tout s’échappait. T’as vécu ici comme un cadavre, sans réellement avoir envie de le faire. Tu étais une de ces âmes transparentes. Tu n’avais pas d’ancre pour t’accrocher. Tu as fait ce tu sais faire le mieux, ce à quoi tu as toujours servi : te damner dans les autres. Foutre ton venin dans les autres et troubler ta mélancolie.
Il y a eu les rencontres particulières que tu as préféré enterrer sous tes mensonges habituels pour détourner regard. Tes vagues se sont réveillées pour protéger ta condition humaine de la réalité et célébrer les nuances de ce vent usé qui tournait dans tes veines. Et dire que tu regrettes est un mensonge, car c’est comme ça que tu as vécu des instants que tu as sincèrement aimé vivre, d’autre beaucoup moins. Tu as découvert le goût des blessures, le goût de ressentir à nouveau des choses de façon un peu étrange. Tu as pris ça comme un jeu et tu t’es perdu dans dedans comme un con. Feindre l’indifférence dans cette lucidité déconcertante, comme toujours. L’ivresse t’a fortement aidé, les corps aussi. Des bas instinct comme la jalousie sont venus t’agiter l’esprit. Tu es passé entre les mailles en y faisant des trous. Ton incapacité dans certains domaines est flagrant. Les attaches sont des faiblesses dans l’intérieur de rétines, tu t’es évanoui.
TEL AVIV - JERUSALEM - LA FRANCE. Tu es retourné voir ton père lui foutant la vérité dans la gueule, une fois de plus. Tu as vu ta mère, tu as passé du temps avec elle et ça faisait depuis ton enfance que tu t’étais refuser à le faire. Tu as repris le contact avec ta famille et tu t’es échappé dans les vignes de France. Tu t’es infusé de la douceur de la chaleur de certains membres de ta famille. Elles sont comme des arc-en-ciel qui aspire tes pluies. Elles sont le soleil qui réchauffent les stalactites de ton être. Elles font renaître en toi les espoirs qui étaient morts. Elles sont cette simplicité dans tes complicité vomitive. Ton parrain en quelques semaines, t’as appris des choses à propos de la famille et de ta sexualité qui se sont incrustées dans tes rétines pour devenir matière. Tu es devenu plus serein grâce à leurs lumières dont tu avais manqué. NEW YORK - Ton antre depuis toujours ton lieu de repos, celui qui tempère tes surplus. La vérité à fini par être dite. Tu as assumé trop tard ses nuances qui s’érigeaient dans les almanachs de tes exodes. Les rixes ont éclaté, tu as dit la vérité en sachant que tu n’étais pas le seul à mentir et puis elle t’a permise de l’approcher à nouveau. Les prémisses de ce qui s’était effiloché dans tes cavités sont revenues de façon naturelle. Elle perçoit les crépitements de ton ombre qui se délave sur les murmures de ses courbes. Tu étends tes souffles et ton imagination prend une masse trop importante. Tu fouilles, tu sens l’ivresse mais tu essaies de rester sobre et pourtant tu voudrais céder et pour la première fois de toute ta vie, tu te risques à la sagesse à ne pas la consommer bêtement et simplement parce qu’elle est plus qu’un simple vertige. C’est la raison principale de ta venue à San Francisco parce que tu as besoin de te confronter à toi-même. Tu as besoin de comprendre, tu as besoin de savoir si tu as réussi à dompter le moindre de tes carnages qui tapissent les rythmes de ton être.
RESTE À ÉCRIRE LE CARNAGE COMPLET + JADE.
Jake O. Cavendish
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(✰) message posté Lun 25 Avr 2016 - 18:39 par Jake O. Cavendish
bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche n'hésite pas si tu as des questions