"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Une petite soirée pour se détendre ni plus ni moins ( Noah Avery) 2979874845 Une petite soirée pour se détendre ni plus ni moins ( Noah Avery) 1973890357
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Une petite soirée pour se détendre ni plus ni moins ( Noah Avery)

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Anonymous
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() message posté Ven 18 Déc 2015 - 10:21 par Invité
J’avais de salles journées au boulot. J’étais super occupée entre mes patients, les urgences, la clinique externe et mes recherches. J’avais hâte aux vacances. Certes, les vacances ne seraient pas les mêmes puisque mon frère cadet était toujours dans le coma. J’allais probablement passé le réveillon du moins avec lui, inactif... Je lui châtouillais les pieds et lui faisait la lecture et les ragôts. Il en était plus partisant que moi, alors je lui accordais cette faveur.

Toutefois, aujourd’hui, j’avais congé et j’en avais profité pour aller faire de l’équitation et une virée en forêt accompagné de ma jument et de mon chien. Par la suite, j’avais prévenu Noah de me rejoindre au Bistro bar afin de prendre une bouchée et un verre. Je lui avais mentionné le besoin de me détendre par texto. Puisque je n’avais pas beaucoup d’amis véritables, étant trop secrète, méfiante et occupée, j’avais jeté mon dévolu sur lui. Et puis bon, Noah était pour moi une personne très spéciale que j’avais connu dans des circonstances particulières. J’avais fais un stage dans une clinique psychiatrique et j’avais rencontré sa mère. Elle m’avait tant parlé de son fils adoré. J’avais également fait sa connaissance. Par l’ordre des choses, dans un contexte si intime en détails, si on peut dire, une sorte de complicité s’était installée. Avec le temps du moins, ça avait été possible sans compter que cela faisait environ 6 ans qu’on se connaissait. C’était alors une personne que je pouvais compter comme un bon ami même-si j’avais des sentiments un peu compliqués pour lui. Je ne suis certes quelqu’un qui cherchait à vivre des sentiments ni de relation. J’avais déjà du mal à assumer et vivre des relations d’amitié par peur de déception, je ne voulais certainement pas m’avouer quoique ce soit ni même aux autres.

Je m’étais douchée suite à une longue journée active. Puis, préparée, je me dirigeai vers le bistro bar en question. Je m’asseoya au comptoir en attendant Noah. J’étais quelqu’un de très ponctuelle dans mes temps libres Au contraire lors mes journées de boulot.. J’étais donc à l’avance de 10 minutes. Je commandai une bière puis, sortie mon journal de bord clinique afin de réviser mes notes de cas. Je n’y pouvais rien, le travail, c’était presque toute ma vie. Ma vie étant constitué que d’une colocataire, d’animaux de compagnies, de quelques amis, voir peu, un frère presque mort, il fallait se le dire, un passé lourd comme éléphant et des patients... Fous! Quoique je les respectais, bien entendu. Dans l’ensemble, ma vie me suffisait... J’étais peut-être toutefois ennuyeuse pour les autres. Le coeur de mes préoccupations étaient mes recherches et mes patients ainsi qu’un nouveau projet que je menais sur la réhabilitation et les traitements chez les toxicomanes et les groupes de soutient que j’animais. Sans oublier mon frère...

Quelqu’un tenta également de m’aborder, mais je déclinai sa tentative de m’adresser la parole en lui disant :

Désolée je suis occupée et j’attends quelqu’un, merci, bonne soirée.

Et oui, j’étais presque qu’inapdaté socialement. Misère
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Anonymous
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() message posté Lun 21 Déc 2015 - 15:06 par Invité


❝Adventure Of A Lifetime❞
Emilie-Ann& Noah


18h30- Les lumières éclairaient la galerie d’art avec intensité et les londoniens occupaient les lieux coupe de champagne en main, passant d’une œuvre à l’autre sans en comprendre réellement la portée : banalités, mondanités.
Les expositions étaient-elles à ce point dépersonnalisées ? Le jeune homme se tenait loin de la foule agitée, les yeux rivés sur une des peintures qu’avait réalisée son protégé.
Ses yeux azurs admiraient, détaillaient les fleurs de cerisiers rouges. La toile prenait littéralement vie.
Le vent venait agiter les branches de l’arbre centenaire et les pétales tombaient au sol avec légèreté ; Noah était absent, il avait délaissé cette vie londonienne, les bribes de conversations ne l’atteignaient plus.
C’était un sentiment rassurant et paisible- le tableau avait ce don incroyable de vous faire sentir exceptionnel. Quelle personne pouvait se prévaloir d’admirer l’éclosion d’une fleur si pur et de contempler sa sénescence… Une esquisse de la vie en outre. Noah porta à sa bouche le champagne et il vînt parfumer  ses lèvres fines.
« Bonsoir », cette voix masculine bouleversa ses songes. Il délaissa le tableau pour porter son attention sur son interlocuteur. Un léger sourire se dessina sur son visage.
« C’est encore une réussite » déclara Noah. L’artiste ne cessait de le surprendre. Ce dernier arbora une mine réjouie. L’agent artistique déposa sa coupe sur le bas-côté avant d’observer les personnes présentes : journalistes, amateurs, directeurs de galerie. Le talent de Ian quant à la communication était certain.
«  Je dois malheureusement vous laisser », avança le jeune Avery en se saisissant d’une de ses cartes de visite ainsi que d’un stylo dans la poche intérieure de sa veste de costume. Il écrivit une adresse au dos de la carte.
« Je vous achète ce tableau. Pourriez-vous le faire livrer à cette adresse ? » Il lui délivra le bout de carton. L’artiste resta sans voix face au chiffre énoncé.
Noah le contourna, récupéra son manteau et sortit des lieux. Le vent glacial britannique vînt le frapper au visage ; un soupir traversa la barrière de ses lèvres et il ne tarda à porter une cigarette à ces dernières.
Le tableau allait lui plaire- il n’avait aucun doute.
Sa mère avait après tout toujours rêvé de s’envoler en direction de la terre du soleil levant.


19h30- Le jeune était passé en coup de vent à son appartement afin de se rafraîchir. Il enfila son manteau et jeta un dernier regard au miroir qui le reflétait: sa barbe était taillée de manière correcte mais ses cheveux étaient toujours aussi rebelles.
Il haussa les épaules et se saisit de son nécessaire de survie, en outre son paquet de cigarette.
Le châtain mira l'heure à sa montre- Emilie-ann devait être déjà arrivée à cette heure-ci. Le jeune homme ne tarda donc pas à sortir et rejoindre son amie.
Mains dans les poches il dévalait les escaliers de l'immeuble et s'engouffra enfin dans les rues de la capitale,interpellant un taxi en levant son bras gauche.

19h50- Noah et Emilie avaient pris leurs habitudes dans un restaurant de Fish and Chip bien connu des "natifs".
Le jeune homme arriva enfin sur les lieux; il régla le chauffeur et descendit du véhicule; il traversa une grande place pour rejoindre les bords de la Tamise. L'auberge était situé aux côtés du fleuve face au London Eye. D'ailleurs l'attraction revêtait ses couleurs bleues et lumineuses.
Noah s'arrêta un instant devant l'enseigne, apercevant son amie à travers la vitrine. Elle lisait attentivement ses dernières notes de son "journal de bord". Un sourire mince naquit sur ses lèvres puis il engagea le pas, franchissant le bas de la porte du restaurant.
En cet espace de temps, en une fraction de seconde, un inconnu tentait sa chance auprès de la jeune Lenz: avec son tact légendaire, le pauvre rebroussa chemin. Son intervention n'était nullement nécessaire.
Une fois que l'homme déserta, il vînt s'asseoir en face de Emilie, enlevant son manteau avec nonchalance.
«  Ton succès fait de tel ravage» dit-il non sans un rire dans la voix.


© Pando
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Anonymous
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() message posté Mar 29 Déc 2015 - 22:22 par Invité
Je n’aimais pas particulièrement les endroits publics. Il était d’ailleurs rare que je les fréquente. Il m’arrivait plutôt d’inviter des gens lorsque je dégnais en voir. Il était également peu fréquent que je vois mes amis. J’étais très occupée. Je comblais le vide dans ma vie, c’est ce que j’en déduisais, mais je n’y croyais pas un mot. Bien souvent, mes amis me reprochaient de ne pas assez les voir. Aucune excuses n’étaient bonne certes. Les gens qui me connaissaient bien savaient que j’avais intérêt et que c’était mon premier réflexe de ne pas miser sur mes relations sociales. J’étais une fille détruite par la déception... Enfin, c’était dramatique, mais c’était une phrase et un sentiment présent depuis tellement longtemps que c’était une croyance forte chez moi de ne pas faire confiance aux autres et de ne pas prendre pour acquis leur relation. J’avais été seule toute ma vie, j’avais repris le droit chemin, mais je n’avais pas d’attache ni même d’engagements. J’avais un poste bien payé, pour loisir: mes recherches et les comités sur lesquels je siégeais étaient des refuges. Mon cheval et mon chien était les êtres qui comptaient le plus pour moi avec mon frère. Maintenant, mon seul et unique rare attache de toute une vie était mon frère dans le coma. Je me retrouvais clouée plus souvent qu’autrement à son chevet.

J’avais pour habitude et plaisir toutefois de voir Noah, je l’aimais bien. Cela ne prit pas trop de temps avant que je le vois arriver. Je lui souri lorsqu’il me fit signe. J’étais heureuse de le voir. J’avais beaucoup de nouveau et j’avais hâte de prendre de ses nouvelles. Quoique je n’étais pas très expressive comme fille et transparente. Il devait me connaître, c’est ce que j’en déduisais pour qu’il sache que nous étions ami malgré que je ne lui exprimais pas froncièrement mon enthousiasme. Sinon, pourquoi étions-nous amis

Puis Noah me dit que mon succès faisait de tel ravage. Il devait être sarcastique. Je lui répondis alors:
Ouais, bien disons-le, j'ai des patients plus subtils!Je roulai les yeux au ciel. Je me dis ainsi dans ma tête, psychiatrique faut le dire! Et puis, quel genre d'homme s'adresserait à une pauvre fille ayant l'air froide... Et quel genre d'homme s'adresserait à une jeune femme qu'il ne connait pas... Pff des salauds. Pensais-je.Noah connaissait mon opinion sur ce genre d'interraction avec les hommes et les filles quand on y pensait.

Je repris la parole en regardant néanmoins quelques secondes à nouveau le jeune homme qui venait de s'éloigner. Je regardai par la suite à nouveau Noah, cette fois droit dans les yeux, lui souriant délicatement.

Peut-être suis-je trop dur, finis-je par dire. Bon! Fis-je avec entrain! Comment vas-tu ??




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