"Fermeture" de London Calling
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() message posté Jeu 19 Nov 2015 - 20:16 par Invité
And your very gaze is an art
Ilona Van Alen & Battista Vesari
Entre ses doigts ce crayon devenu extension même de sa main, il va et vient, s'attarde a un point pour fuir vers l'opposé sans crier gare, bondit, s'écrase et danse sur cette page sans considération pour l'encre qu'il laisse derrière. Ce qui est tracé est tracé, moindre faux-pas, moindre défaut. Il n'est pas prêt. Ça crève les yeux dans ce visage sans regard qu'il tente vainement de reproduire, mais même cette mémoire eidétique qu'est la sienne ne parvient pas a mettre émotion dans ces traits pâles, ni même un soupons de vie, celui qu'on ressent quand on regarde la Joconde, ce qui lui donne cette faculté de plonger dans votre âme et d'y sonder les moindre recoin. Vous regarder et savoir, vous regarder et vous connaître. Vous mettre a nu comme le jour de votre naissance, incapable de mentir a quelque chose qui ne pose aucune question.  Cesare se perd dans les imperfections qu'il laisse derrière, tente de les réparer, tente de changer quelque chose qu'il ne peut même pas comprendre. Il les voit partout mais ne saurait mettre le doigt dessus. Il pourchasse, grogne, hésite a arracher cette feuille et tout recommencer, s'entête. Il s'entête toujours, ne parvient pas a simplement s'avouer vaincu. Il cherche, tente de rapprocher les ombres des yeux, tente de réparer ce trait, puis cet ongle. Rien a faire, l'image de ce visage est si près de sa tête qu'il n'arrive même pas a distinguer son visage, même en sachant pertinemment a quoi elle ressemble. C'est sa sœur, après tout. Il perd patience, grogne une nouvelle fois en décidant finalement d'arracher la page et l'envoyer en chiffon a quelque centimètres de la poubelle.

Le problème, c'est cet étrange sensation, cette impatience. Aujourd'hui, elle venait pour se prêter a ce même art qui jaillit de ses doigts sans qu'il puisse en faire quoi que ce soit de potable. Ilona, c'est une amie qu'il voit d'un oeil de plus en plus étrange, qu'il se surprend a adorer que ça soit pour son rire ou sa manière de le calmer en toute situation. Il sait que lorsqu'elle arrivera, le stress tombera, la tension ne sera que vague souvenir. C'est toujours ce qui se produit, elle qui rassure, elle qui inspire ce no-stress apaisant. Ce projet de dessin d'observation pèse lourd sur sa conscience, et il a bien besoin de quelqu'un comme elle non seulement pour l'aider a se détendre, mais l'avancer dans celui-ci en prime. Mais tant qu'elle n'est pas là, il ne se détendra pas. Son regard ennuyé vogue vers son tiroir ou sont rangés tout ces outils pour fumer, eux qui semblent soudainement l'appeler. C'est ce qu'il fait toujours pour se détendre. Il se lève, fait les cent pas comme l'artiste ô-combien tourmenté qu'il est, lance plusieurs regard sur ce même tiroir.

Soupire. Non.

Il se ravise et se rassoit, regarde ailleurs et pense a autre chose. Ilona n'est pas nécessairement du genre a juger pour ce genre de trucs, mais l'accueillir les yeux rouges avec une odeur de marijuana plein la pièce, c'est moyen. Et puis, son nouveau... Travail lui permettra de s'amuser avec ces trucs bien assez tôt. Ça, par contre, c'est quelque chose dont il n'osera jamais parler a son amie. C'est quelque chose de dangereux, irréfléchi... et payant. C'est une risque qu'il avait eu l'habitude de prendre en Italie, et qu'Il compte reprendre sous peu.

On cogne a la porte et il bondit, s'élance pour l'ouvrir sans plus attendre, incapable de soutenir l'attente plus longtemps. C'est un sourire franc qui naît sur ses lèvres en la voyant, elle et son regard espiègle, elle et ses cheveux de blé.

«Hé, salut! Content que tu sois venu..»

Il lui fait signe d'entrer, sans néanmoins la lâcher du regard. Aujourd'hui est une séance plutôt spéciale, puisqu'elle devra presque se dénuder! Le pauvre jeune homme n'avait pas beaucoup d'autre amies a qui demander tel service, encore moins s'il faudrait qu'elles soient aussi ouvertes qu'Ilona, mais ça n'était pas comme si ces magnifiques courbes lui étaient complètement étrangères, après tout..


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() message posté Ven 20 Nov 2015 - 19:07 par Invité

   
Battisa C. Vesari & Ilona Van Alen
"Modeling is an art…"


« L
es immeubles défilaient sous mes yeux qui fixaient sans grande envie la fenêtre du taxi. Je soupirai, ennuyée par le temps que le chauffeur prenait pour arrive à destination. J’avais hâte d’y être, très excitée par l’idée de mon ami. Je pris sur mon temps libre pour non seulement être avec lui, mais également l’aider dans un de ses projets personnels qui m’intéressait beaucoup. Je le savais dessinateur et il me proposa d’être son modèle. Mannequin, je posais très souvent devant les caméras et les appareils photos des professionnels. J’y étais donc habituée. La différence, c’était que dans mon métier, tout se passait rapidement. Les photos se prenaient en un claquement de doigt. Je bougeai sans soucis car à chaque seconde, le photographe pouvait immortaliser ma pose. Là, c’était différent et j’avais envie de découvrir et de savoir ce que cela faisait.

Pour être drôle, j’avais lancé l’idée de me dénuder et j’avais remarqué que c’était peut-être ce qu’il souhaitait. Tout du moins, quand je riais, il n’avait pas protesté. Au moins, c’était clair : s’il n’avait pas confirmé, j’étais certaine qu’il attendait de moi de me déshabiller ne serait-ce qu’un peu. Un sourire au coin de mes lèvres alors que je le regardai malicieusement, je n’obtins pas une réponse. Mais j’acceptais, vraiment emballée par cette idée. Encore une fois, mon expérience de mannequin me permettait de me mettre plus à nue plus facilement, surtout devant des professionnels. Je n’avais pas honte de mon corps, j’en jouais même parfois, devant l’objectif notamment. Même devant mes amis, je n’avais pas peur de me dévoiler, que ce fût une fille ou un garçon. Et encore moins si c’était un garçon pour lequel j’avais un petit faible…

Oui, car je devais bien me l’avouer, cet ami ne me laissait pas indifférente. J’aimais passer du temps à ses côtés, rire avec lui et surtout, lui faire pleins de câlins – ou de chatouilles et de pincements, c’était au choix. Avec lui, j’étais un peu espiègle et toujours souriante. Côté physique, dès la première seconde où nos regards s’étaient croisés, je l’avais trouvé si attirant et charmant. Sans parler de ses magnifiques yeux qui me faisaient fondre. A force, j’avais compris assez rapidement que j’avais eu un gros coup de cœur pour lui et que je ne serai pas contre le « et plus si affinités ». Mais pour l’instant, je ne m’aventurais pas plus loin encore, préférant lui envoyer des signaux plus subtils et implicites. Je n’étais pas certain qu’il les remarquât vraiment, mais je continuais quand même, dès que je le pouvais.

En ce jour, j’avais décidé de lui faire comprendre à ma manière encore une fois, me demandant s’il se rendrait compte de mon clin d’œil. Peut-être que cela allait juste le faire rire, mais déjà cela, c’était une petite victoire en soi. Le taxi tourna dans sa rue, que je reconnus sans problème et je ne tenais plus en place tellement j’avais envie de commencer. Je payai le chauffeur, qui ne se doutait pas ce qui se tramait. Et heureusement, puisque je n’aurais pas souhaité d’avoir des regards pervers de sa part. Je descendis de la voiture et je montai rapidement dans l’immeuble jusqu’à l’étage de mon ami, me dirigeant vers sa porte à laquelle je frappai. Mon cœur battait la chamade, un peu anxieuse de connaître la réaction de ce dernier face à mon idée.

Moi aussi j’étais très contente de le voir et je lui lançai un sourire chaleureux et amical en guise de réponse. Je passai le seuil de la porte et j’avançai dans l’appartement, dans lequel j’étais déjà venue plusieurs fois. Je m’arrêtai près du canapé et déposai mon sac à côté. Je me tournai la tête vers lui et je vis qu’il avait fermé la porte. A ce moment-là, mes yeux commencèrent à briller et mon sourire malicieux laissait transparaître la bêtise que j’étais sur le point de commettre. Puis, je me mis de sorte à être dos face à lui.

- Alors mon Batman, et si nous commencions ? dis-je sensuellement, mon visage de profil et les yeux fermés.

Petit à petit, j’enlevai mon manteau, le glissant lentement sur le haut de mon dos révélant que… je ne portais pas de haut. Seules les bretelles de mon soutien-gorge se révélaient doucement. J’ouvris les yeux pour observer la réaction de Battista, alors que mon sourire s’agrandit. Tout du long, je ne cessai de baisser le vêtement et j’en arrivai aux fesses. Là, je finis par le lancer sur le canapé et me dévoiler toute entière, en lingerie. Fine, transparente et en dentelle, bien évidemment… Pour le moment, je ne bougeai pas encore, histoire de ne pas le brusquer davantage s’il n’avait pas envie de voir le devant tout de suite. »
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() message posté Jeu 3 Déc 2015 - 19:13 par Invité
The fire in your eyes
Ilona Van Alen & Battista Vesari
C'est ce même regard a la lueur malicieuse qui s'attache au sien, lui donne l'impression de tomber l'espace d'une demi-seconde, l'impression qu'il n'y a ni plafond ni mûr, ni plancher ni horizon. Ça l'aveugle comme les rayons agaçants du soleil italien a travers son pare brise, comme le flash d'un appareil professionnel qui nous fait voir des points noirs pour les vingts minutes a venir. Mais ce qu'il contemple, pour une fois, n'est pas simplement la beauté de son amie. C'est qui elle est, ce grand tout que ses parents ont appelés Ilona Van Alen. Elle qui lui sourit parfois pour rien du tout, elle qui ne peut s'empêcher de rire a chacune de ses gaffes. Elle qui d'une simple parole remet son compteur instable a zéro, calme la tempête qui menace d'éclater. Il n'a jamais comprit comment elle faisait, comment elle pouvait avoir ce pouvoir sur lui, alors que personne d'autre, pas même lui-même, n'avait jusque là eu ce don. Mais Ilona le faisait, et elle le faisait sans même s'en rendre compte, a chacun de ses rires, au moindre de ses soupires, elle lui donnait envie de... de lui plaire. Oui, lui plaire et la voir sourire, c'était...

Elle s'avance de sa démarche habituellement fine et se rend jusqu'au canapé, lui laissant cet instant d'angle mort pour fermer la porte et s'y adosser, déjà épuisé par les efforts qu'il déploie pour rester cool, ne pas lui sourire comme un niais sans rien dire et surtout sortir une bêtise comme il en a l'habitude, quand il ne sait pas quoi dire. Mais étrangement, ça ne s'était jusque là jamais produis avec elle. Batman, c'est comme ça qu'elle l'appel. Ce nom le fait rire presque autant qu'il le malmène a l'intérieur, lui qui porte le surnom d'un nom qui n'est même pas le sien. Il ne lui a pas dit, pas encore. Il ne lui a pas parlé de Luna, de sa véritable raison d'être venu ici, il ne lui a jamais avoué que son vrai nom, c'était Cesare. Mais... Mais si elle commençait a l'appeler comme ça, il ne pouvait même pas concevoir ce que ça impliquerait. Un sentiment de liberté, de franchise totale sans le moindre secret... Ou d'un douloureux retour vers les mauvaises habitudes de son pays natal? Il avait peur. Peur de quoi? Peur d'avoir peur.

Le mouvement du tissus glissant sur cette peau douce, dénudée. Dénudée. Il a l'impression de faire un bond en arrière alors que son dos était bel et bien pressé contre cette porte désormais fermée. Il voit le manteau glisser, dévoiler ses hanches, les plaines et vallons d'un corps qu'il ne lâche pas des yeux ne serait-ce qu'un instant. L'attirance entre eux deux n'était plus a confirmer depuis un moment déjà. Mais c'était tout de même quelque chose que de la savoir si nonchalante au fait qu'il la dévore des yeux ainsi, l'espace d'un instant. Sa lingerie transparente, sa dentelle pâle si fragile sur un corps le semble tout autant aux premiers abords. Elle lui lance ce regard malicieux, lueur espiègle dans cette oeuvre d'art que mère nature lui laisse dessiner.

Le problème, c'est qu'il sent ses jeans se serrer et son cœur battre.  

Il lui faut quelque secondes pour reprendre ses esprits, tenter de reprendre un air décontracté. Sourire aux lèvres, il n'arrive néanmoins pas a s'empêcher de jeter de furtifs regards sur sa nuque dévoilée.

«.. Woah..» Il passe une main dans son visage, retrouve peu a peu ses esprit pour lui lancer ces sourires confiant dont il a l'habitude «Tu sais, t'étais pas obligée de..»

Et cette fois, elle se retourne et il en oublie complètement sa phrase. Obligée de quoi? De faire autant d'efforts pour lui? D'être aussi magnifique? De lui faire tourner la tête a ce point? L'espace d'un instant, il a ce petit frisson d'irritation qui lui monte aux joues. Mais bordel, comment est-ce qu'il va faire pour dessiner dans de telles circonstances! Puis il réalise qu'il n'a jamais terminé sa phrase, qu'il a l'air d'un con a ce moment précis.

«E-Euh ouais, commençons! Eum... Allez, assieds-toi sur ce tabouret, là.»

Il se dirige vers le comptoir pour y prendre ses crayons et son cahier, son cœur battant de plus en plus fort. D'habitude, il est pas comme ça! Normalement, il lui aurait dit le canapé, plus confortable, mais... Il la voulait en entière. Entièrement dans son image, de la tête au pieds, jusqu'au bout des orteils. Il lui fallait un truc plus haut, un tabouret peu confortable, mais efficace. Qu'est-ce qui se passe, comment peut-il être déstabilisé a ce point par un corps qu'il a si mainte fois zieuté en douce!


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() message posté Jeu 3 Déc 2015 - 20:21 par Invité

   
Battisa C. Vesari & Ilona Van Alen
"Modeling is an art…"


Surprise
« P
as obligée de… quoi ? Me retournant enfin, je lui fis perdre la voix, apparemment. Satisfaite de ma grande bêtise très provocante, j’affichai toujours un sourire espiègle et des yeux brillants de malice. La fin de sa phrase n’arriva pas et je me doutais qu’elle ne traverserait jamais la barrière de sa bouche. Certes, venir aussi peu vêtue n’avait pas été une obligation mais me connaissant un petit peu, il aurait dû s’y attendre. J’étais pleine de ressources et j’adorais faire les quatre cent coups. Au vu de la situation, il était évident que ceci était à prévoir. J’avais envie de rire, mais je me contenais pour continuer mon petit jeu. Il était touchant à être aussi bloqué devant mon corps presque nu, à croire qu’il n’en avait jamais vu de féminin.

Je faisais un petit pas, histoire de m’avancer vers lui mais il me commanda de m’asseoir sur un tabouret, ce qui m’arrêta dans ma lancée. Je le vis se dépêcher vers le comptoir afin de prendre ses crayons et son cahier. De mon côté, je restai un peu incrédule au final, puisque je m’attendais plutôt à m’installer sur le canapé, beaucoup plus confortablement que sur un pauvre tabouret. Je me rendais compte qu’il m’avait tellement prise de court, que je ne sus pas comment me comporter et où je devais réellement poser mes petites fesses. Je ne comprenais pas du tout ce qu’il attendait vraiment de moi. Il ne m’avait pas donné d’ordres précis concernant la manière dont il souhaitait que je me pose. Or, c’était le plus important. Je lui laissai un peu de temps, alors que je me dirigeai vers l’un des tabourets que je trouvai aux alentours.

Une nouvelle idée pleine de provocation me traversa l’esprit. Une lueur malicieuse revint dans mes yeux, perdue le temps de ces quelques secondes. Je m’assis, écartant un petit peu les jambes comme si je montai en scelle sur un cheval. Ensuite, je posai mes mains devant, me penchant un petit peu en avant. Une pose sexy, provocante qui mettait en avant ma poitrine, un brin remontée par mes bras autour de celle-ci. Mes longues mèches blondes tombaient dessus, la cachant un petit peu quand même. Quant à moi, je mordais ma lèvre inférieure avec un nouveau grand sourire. Mes yeux scintillants observaient toutes ses réactions qui m’amusaient fortement, fallait l’avouer.

- Comme ça, ça te va ? demandai-je, sensuellement.

Je me contrôlais pour ne pas exploser de rire, tellement j’adorais la façon dont il réagissait. Devrais-je me calmer ? Après tout, j’étais venue pour l’aider dans son projet artistique et j’étais loin de tenir ma promesse. Avec mon comportement, il n’était pas étonnant qu’il ne pût se concentrer correctement. J’hésitai encore… Mais la seconde suivante, je me redressai et je m’assis simplement. Tout de suite, je repris un air beaucoup plus sérieux.

- Bon aller, comment veux-tu que je me place ? fis-je avec une voix plus normale.

Il fallait quand même savoir quand s’arrêter. Une blague n’était plus drôle lorsqu’elle était trop longue. Il était temps donc pour moi d’en terminer avec ma bêtise. Aller, un peu de sérieux maintenant. »
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