"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici JUAN SANCHEZ | Nous sommes nos propres démons. 2979874845 JUAN SANCHEZ | Nous sommes nos propres démons. 1973890357
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JUAN SANCHEZ | Nous sommes nos propres démons.

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() message posté Sam 7 Nov 2015 - 0:33 par Invité

Juan Paolo Sanchez

London calling to the faraway towns
NOM(S) : Sanchez. PRÉNOM(S) : Juan, Paolo. ÂGE : 38 pige, j'crois que j'commence à me faire vieux. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 16 décembre 1977 au Costa Rica. NATIONALITÉ : Costaricaine. STATUT CIVIL : célibataire. MÉTIER  : mécanicien spécialisé dans les motos. TRAITS DE CARACTÈRE : Les gens disent que je ne suis pas un sentimental, ils ont raison. J'ne suis pas le plus franc des hommes, je sais mentir. On ne peut pas tous être des petits gens avec une vie bien rangée. J'suis un mec jaloux et possessif, ouais, on ne touche pas aux choses qui m'appartiennent. J'hésite pas à me plaindre quand on me dérange, on me dit souvent que je suis grognon. Je n'aime pas qu'on me fasse chier, et ça peut vite chier dans les bulles. J'suis rancunier, je n'oublierai pas si vous m'avez fait une crasse. J'suis un mec secret, je n'étale pas ma vie privée aux premiers venus. Mais sinon, vous n'inquiétez pas, j'suis pas méchant. Juste un peu brut à ce qu'on dit. Il parait aussi que je suis sportif. GROUPE : On my bicycle, je suis un motard les amis.



My style, my life, my name

Vous ne le verrez pas se déplacer autrement en ville que sur sa précieuse moto qu'il chouchoute comme si elle était la prunelle de ses yeux. Les voitures ? Ce n'est pas son truc, il n'en a même pas. ♦ Il aime son train-train quotidien, surtout depuis qu'il est revenu en ville. Moto/boulot/muscu (parce qu'il faut s'entretenir, c'est son quotidien. Sans oublier, ses nombreuses sorties, faut bien que le monsieur s'occupe l'esprit. ♦ Il vit dans un studio au dessus de son boulot de mécano, il a réussi à s'arranger avec son patron pour récupérer le logement, même si c'est pas forcement très confortable, ça lui suffit. Un lit, une douche, un frigo, il fait ce qu'il veut et c'est le plus important pour lui. ♦ Il aime les voyage, et il a d'ailleurs pas mal voyagé, mais pour lui les voyages s'est terminé. A force de fuir, il a perdu cette envie de voyage qu'il avait au début. ♦ Il a une photo de sa mère dans son portefeuille ainsi qu'une ancienne photo de lui et de son ex-petite-amie. Lorsqu'il a peur de faire un mauvais choix, il regarde attentivement ces deux photos et il se rappelle la femme qui l'a mis au monde et qui lui a fait promettre de vivre ses rêves et celle qu'il a abandonnée pour fuir la police et la protéger, en regrettant de ne pas avoir pu s'expliquer. ♦ Quand on commence à l'emmerder, Juan ne met pas longtemps avant de partir au quart de tour. Il suffit d'un mot de travers pour qu'il ne sorte de ses gonds. Surtout qu'il ne parait pas forcement bien aimable au premier abord. Mais il a toujours été comme ça. ♦ Il a un chien, Déserteur, un labrador, qu'il a récupéré lorsqu'il avait deux ans dans une SPA, il aime son chien plus que tout et il en prends toujours grand soin. Il a décidé de l'appeler comme ça, car son chien est un vrai trouillard et dès qu'il a peur, il court se réfugier dans les jambes de Juan lorsqu'il est là. ♦ C'est pas un grand sentimentale, il n'aime pas se monter sensible. Macho ? Surement un peu oui, alors quand il sent qu'il va faiblir, c'est le genre de personne qui va commencer à se masser la nuque et qui va aller dans une autre pièce ou quelque part ailleurs, pour se laisser être "faible". ♦ Quand il n'est pas d'humeur à sortir, il aime se poser devant la télé mais il zappe toutes les séries policière, cela lui fait toujours se rappeler qu'il a tué un homme et qu'il n'a jamais payé aux yeux de la lois pour ça. ♦ Des fois, il fait des cauchemars dans lesquelles, le flic qu'il a tué reviens le hanté et cherche à le tuer. Heureusement pour lui, dès qu'il se réveille, son chien est à ses côtés et viens se coucher contre lui.  
PSEUDO : Anaysum. :3 PRÉNOM : Anaïs ! ÂGE : J'file dans peu de temps sur mes 18 ans. PERSONNAGE :  scénario.  AVATAR : Joe Manganiello. CRÉDITS : Shoukaa. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : On m'a envoyé le liens de LC et aussi celui de ce scénario sur Facebook. CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?: Nope.



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() message posté Sam 7 Nov 2015 - 0:33 par Invité
At the beginning

Je ne saurais pas vous dire, comme s'est déroulé toute ma vie. J'tourne autour de la quarantaine et il y a beaucoup de choses que j'ai oubliées.
Je suis né un 16 décembre 1977 au Costa Rica. Mes parents n'étaient pas les parents les plus riches du monde, il était simplement de bon parent qui faisait de leur mieux pour maintenir leur famille à flot. Mon enfant était heureuse dans l'ensemble. J'ai grandi avec un père et une mère exemplaire, ma mère était femme de ménage et mon père bossait dans un garage automobile. C'est lui qui m'a donné le plaisir de la moto. Il m'a emmené faire mon premier voyage à moto quand j'avais dix ans. Je n'étais pas bien grand, le casque ne tenait pas beaucoup sur ma tête et je m'étais accroché à sa veste aussi fort que je l'avais pu. Mon cœur avait battu si fort dans ma poitrine que j'étais tout de suite tombé amoureux de ce sentiment qui vous inonde lorsque vous parcourez un trajet tel qu'il soit en moto. J'ai déjà essayé de conduire une voiture, mais ça n'avait rien de bien intéressant. La seule sensation que je pouvais ressentir, c'était ce horrible ennui qui me donnait envie de dormir au volant. Durant toutes ses années, je suis donc resté concentré sur ma moto.
Ma mère, elle, c'est cette passion du voyage qu'elle m'a donné. Cette envie de flâner de pays en pays. Elle me racontait souvent quand j'étais gosse qu'avec mon père, ils s'étaient autorisé un road trip aux États-Unis pour leur voyage de noce avec tout l'argent que leur avait offert la famille pour cette grande occasion. Je ne sais pas à quel moment, ce rêve de partir en voyage est né dans mon esprit. Petit à petit, je suppose. Contrairement à moi, ma sœur, beaucoup trop casanières ne s'imaginaient pas quitter notre beau pays. Elle aimait trop Costa Rica pour s'imaginer ce que le reste du monde avait à lui offrir. J'étais toujours en train de lui raconter les nombreux paysages qu'elle manquerait, mais elle ne m'écoutait que d'une oreille. Ça ne l'intéressait pas.

« Tu veux faire plaisir à ta mère ? Vie ta vie, fait ce que tu veux, réalises tes rêves, mais ne reste pas au Costa Rica, il y a tellement de choses qui t'attendent ailleurs, Juanito. »
J'approchai de ma majorité, doucement, quand le plus grand drame de ma vie est arrivé.
C'est la dernière chose que m'a dit ma mère avant de mourir et avait que j'ai pu lui dire en retard. Elle est morte d'un cancer, une putain de maladie que nous n'avons pas été capables de voir arriver. Je soupçonne ma mère de nous avoir caché sa maladie jusqu'à ce qu'elle ne le puisse plus. C'était une femme forte, une femme pleine de vie, une mère incroyable et je n'avais qu'une manière d'honorer sa mémoire, à ma manière : partir. Quitter Costa Rica. Voyager. Faire tous ces voyages dont je lui avais longuement parlé. Mon père fut d'accord avec moi lorsque je lui avais dit que je travaillerais pendant une année entière, ou peut-être deux pour mettre de l'argent de côté et ensuite, je partirai. Et le premier lieu que j'ai eu en tête, c'était les Etats-Unis. D'une certaine manière revivre le dernier voyage qu'avait vécu ma mère, sa dernière découverte. J'avais dix-sept ans. Je me voyais déjà vivre de grandes aventures.
J'ai trouvé un boulot rapidement, je bossai en tant que serveur dans un fast-food et le week-end, j'aidais mon père dans son garage. Il me donnait un peu de sous quand je l'aidais et je mettais tout de suite l'argent dans un pot qui représentait mes rêves de voyages.
Bientôt, j'ai eu dix-neuf ans. J'avais passé deux ans à emmagasiner tout ce que je pouvais. Je n'étais pas devenus riche, loin de là, mais j'avais clairement réussi à me démerder pour pouvoir survire quelques mois si je faisais attention à mon argent. Et je suis parti. Ma sœur n'a pas compris que j'ai eu envie de partir voyager alors que maman était morte et que papa se retrouvait tout seul. J'ai essayé de lui faire comprendre, mais je crois qu'elle m'en a toujours voulu, j'ai senti son regard me brûler le dos lorsque j'ai quitté la maison familiale. Je savais que mon père était derrière moi. Il savait que c'était ce que ma mère aurait voulu pour moi.

Les Etats-Unis n'ont pas été ce que j'espérais. Trop de lumière, c'était une ville qui était trop pour moi. Tout n'étais qu'abondance. Mal-grès les nombreuses villes que j'ai visitées, quand je suis arrivé à New-York, j'ai compris, que là-bas, ce n'était pas fait pour moi, que je ne devrais pas rester ici très longtemps. J'ai garé ma moto sur un trottoir et pendant quelques instants, j'ai regardé les gens passées. Je ne voulais pas repartir comme ça, tout de suite. Je voulais découvrir cet endroit, au moins un minimum ! Et pour rester, sans avoir à payer d'hôtel, j'avais trouvé une bonne idée. Il me suffisait de me rentrer dans un coin, où je pouvais me faire passer pour un mec de vingt et un an et je draguais. Je passai la nuit chez des femmes et je repartais le lendemain. Je ne me souviens pas de leurs noms, mais elles étaient fort sympathiques.
J'ai fonctionné de la même manière lorsque je suis arrivé en France et mon statut de Latino avait l'air de plaire énormément à ces jeunes françaises. Mes nuits étaient passionnées et je dois dire que j'en garde un bon souvenir. Mais je perdais de plus en plus d'argent, et le gazole me coûtaient cher alors je suis parti en direction de l'Allemagne, ils cherchaient des gens pour du boulot. Autant dire que le pays était beau, mais la langue disgracieuse. J'ai trouvé mon compte, même si j'arrivais pas à parler Allemand, j'avais trouvé un endroit où bosser et j'y suis resté.
Un temps.
Mais rapidement, j'ai voulu changer d'air, changer d'endroit. Je voulais voir autre chose. L'Allemagne ne me plaisait plus.
Je suis partie vers L’Angleterre.

J'ai posé mes valises à Londres et cette ville a été un soudain coup de cœur, j'ai aimé la chaleur de cette ville l'ambiance qu'elle m'offrait. J'avais réussi à trouver un petit appart, mais je n'avais pas grand chose pour payer le loyer, alors j'ai dû vite trouver un job. Mais je n'ai rien trouvé. Dans un premier temps. Je ne savais pas comment faire pour m'en sortir, sans finir à la rue. Et rapidement, il y avais un truc qui m'avais sauté sous les yeux. Un trafic merdique, mais qui promettait d'avoir de l'argent, c'est comme ça que je suis rentré dans un réseau de cambrioleurs qui me permettait de payer son loyer. Je mentais sur mon métier, pour tous les mondes, j'étais veilleur de nuit, mais je n'ai jamais dit clairement où. Alors, je suis rentré dans le truc et j'ai commencé les cambriolages. J'étais plutôt doué finalement et pour moi au début tout se passait bien, je suis passé plusieurs fois à côté de la police, mais rien de bien grave, je réussissais à m'en sortir.
Et ça m'est tombé dessus.
Je n'ai rien demandé pourtant.
J'ai rencontré une femme.

J'ai rencontré Lily-Rose. Je ne sais pas pourquoi, mais quand je l'ai vu ça a été très différent de toutes les autres femmes avec qui j'avais partagé une nuit passionnée. Je ne savais pas ce que c'était ce sentiment qui avait commencé à me torturer. J'y pensais tout le temps et elle me repoussait. Ça m'a rendu fou. J'ai mis plus d'un an avant qu'elle ne m'accepte, qu'elle me laisse ma chance et merde, j'étais le plus heureux des hommes ! J'ne suis pas du style amoureux et je ne comprends toujours pas comment c'est arrivé.
Quatre ans se sont écoulés pendant lesquels je l'ai aimé comme aucun autre homme n'aurait pu le faire. Je l'ai aimé comme un fou, et ça peut me faire passer pour un psychopathe, mais elle était la seule à me turlupiner l'esprit. Son sourire, ses manies, ces petites choses qui la rendaient si spéciale. Mais je devais la protéger du trafic. S'ils venaient à apprendre, qu'elle était beaucoup trop importante pour moi, ceux qui me tenaient comme un pantin auraient pu s'en prendre à elle. Je voulais partir. Devenir honnête, me ranger, mais ils ne m'ont jamais laissé le choix. « Si tu nous abandonnes maintenant, on te fera regretter d'être parti. Et je crois que les flics seraient ravis de connaître le nom d'un cambrioleur. » Je la fermai et je m’exécutais.

Puis, y a un moment, tout à basculé. Je devais orchestrer un cambriolage avec de gros risques, mais qui pouvait rapporter beaucoup. Mais, avant que je ne puisse partir, les flics ont commencé à ce ramener. Un flic, un voisin et j'ai paniqué. Quand il a voulu m'arrêter, j'ai tiré. Il est mort sur le coup. Il est mort à cause de moi, je l'ai tué. J'ai été voir mes "patrons" je leur ai balancé à la gueule que je voulais arrêter, que je voulais plus de tout ça, et encore moins maintenant. Mais ils m'on fit que si je me défilais, un coup de fil anonyme serait passé et je finirai ma vie en prison.
J'ai flippé et il n'y a qu'une chose qui m'est venue à l'esprit.
Je ne voulais pas impliquer Lily-Rose le dedans et je ne voulais pas aller en prison. Alors, je suis partie. Du jour au lendemain, j'ai quitté Londres et je suis reparti en France, et j'ai pris la route vers Monaco.

J'ai eu d'la chance. J'ai réussi à trouver un moyen de rester là-bas sans que mes histoires n'y arrivent. J'ai été sauvé, mais chaque jour, je repensais et je repensai encore à ce qu'il s'était passé. Je pensai à la femme que j'ai aimée et que j'ai laissée derrière moi. J'aurais tant voulu m'excuser, la voir pour me faire pardonner.
C'est là-bas que j'ai trouvé Déserteur. Un pauvre chien qui n'avait que deux ans dans une SPA, il m'a tout de suite tapé dans l’œil et je l'ai adopté et maintenant, c'est mon plus fidèle compagnon. J'ai repris mes conneries, je voulais un job tranquille, sans problèmes, mais je recommençai doucement à redevenir un dragueur. J'allais voir des femmes, je passais de bonnes nuits, mais j'évitai toutes celles qui me faisaient penser à la seule qui avait capté mon cœur, je ne préférais pas. C'était au fond de moi, peut-être qu'une illusion j'en sais rien.
Mais ce que je sais, c'est que certaine nuit je me réveillais après avoir vu l'homme que j'avais tué. Et ces cauchemars étaient tous différents les uns des autres.
J'ai passé sept ans là-bas. Et puis, un jour, je ne sais pas pourquoi, un matin en me réveillant, j'ai attrapé mon porte-feuille et j'ai regardé les trois photos que j'y ai coincé, celle de mes parents et de ma sœur, celle de ma mère, seule ainsi que celle de Lily-Rose, et une voix intérieur à commencé à résonner dans ma tête. Je voulais tellement retourner à Londres, allez m'excuser, elle n'avait jamais mérité tout cela.
Et je l'ai écouté.
Je suis retourné à Londres.
Et putain, ce que cette ville m'avait manqué.
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() message posté Sam 7 Nov 2015 - 0:58 par Invité
Bienvenue parmi nous, et si tu as la moindre question n'hésite pas. JUAN SANCHEZ | Nous sommes nos propres démons. 2941632856 JUAN SANCHEZ | Nous sommes nos propres démons. 1973890357
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() message posté Sam 7 Nov 2015 - 1:00 par Invité
Merci beaucoup ! :chou: JUAN SANCHEZ | Nous sommes nos propres démons. 1973890357
J'aurais surement une petite question, mais là je vais partir me coucher et je reviens demain pour terminer ma fiche et tout ça, tout ça ! JUAN SANCHEZ | Nous sommes nos propres démons. 947882337
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() message posté Sam 7 Nov 2015 - 1:53 par Invité
Bienvenue parmi nous JUAN SANCHEZ | Nous sommes nos propres démons. 1922099377 Tu vas faire une heureuse JUAN SANCHEZ | Nous sommes nos propres démons. 1973890357
Bonne chance pour ta fiche JUAN SANCHEZ | Nous sommes nos propres démons. 2941632856
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() message posté Sam 7 Nov 2015 - 2:23 par Invité
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche JUAN SANCHEZ | Nous sommes nos propres démons. 2878031100 JUAN SANCHEZ | Nous sommes nos propres démons. 1481422717
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Rhiannon O'Connor
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() message posté Sam 7 Nov 2015 - 2:28 par Rhiannon O'Connor
Bienvenue JUAN SANCHEZ | Nous sommes nos propres démons. 208687334 Amuse-toi bien par ici!
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() message posté Sam 7 Nov 2015 - 2:56 par Invité
Bienvenue I love you
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() message posté Sam 7 Nov 2015 - 5:38 par Samia Bukhari
bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche JUAN SANCHEZ | Nous sommes nos propres démons. 2941632856 JUAN SANCHEZ | Nous sommes nos propres démons. 1973890357
n'hésite pas si jamais tu as des questions JUAN SANCHEZ | Nous sommes nos propres démons. 208687334
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() message posté Sam 7 Nov 2015 - 9:32 par Invité
Bienvenu JUAN SANCHEZ | Nous sommes nos propres démons. 208687334
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