only you, can make me feel like I do But you don't know, 'cause it never shows through • Les fêtes s’enchaînaient tout en haut de l'hôtel Hilton. Et Bellamy ne semblait jamais vouloir s'arrêter. Il ne s'en lassait pas, pouvant rester des jours et des jours sans réellement manger, ne faisant que boire et prendre de la drogue, dansant et chantant à tue tête. En bon maître de soirée, il mettait le paquet, offrant toujours plus à ses convives. Le service de traiteur se surpassait de fois en fois et les DJ de renoms se succédaient en ces lieux. Il avait de l'argent et souhaitait le montrer. Il avait enfin la vie dont il avait toujours rêvé. Et ça ne lui dérangeait pas de gaspiller son héritage pour le prouver au reste du monde. Tant qu'on savait qui il était et ce dont il était capable, il était heureux. Encore ce soir, il allait faire la fête. D'ailleurs, il se fit réveiller à 11 heures le matin par les femmes de chambre qui s'activaient pour tout remettre en ordre. Ces dernières avaient commencé le ménage et mettaient dehors les derniers convives de la veille. Bellamy ne put s'empêcher de grommeler, repoussant le bras qui se trouvait autour de lui. Greta allait se charger de mettre celle-là dehors le plus vite possible. Il ne désirait absolument pas qu'elle reste dans la chambre et qu'elle lui colle aux basques. Les filles, ils les enchaînaient. Au final, il n'avait pas de réel respect pour elles. Mise à part sa Elsa, mais ça, c'était une autre histoire. Oh! Il y avait aussi Thalie... En parlant d'elle, aucune trace de sa présence dans la suite, une chance. Même si en fait, il s'en fichait pas mal qu'elle le voit avec une autre. Elle connaissait très bien leur engagement. Elle profitait de son argent, de son corps de temps en temps, mais jamais de son cœur. Il ne l'aimait pas et c'était réciproque. Bellamy prit son téléphone entre ses mains et commença à lire ses messages. Rien d'intéressant à première vue et il s'apprêta à le remettre sur la table de chevet, mais il eut une petite idée. Plusieurs dizaines de minutes plus tard, il avait réussi à convaincre Maxym, sa pseudo dealeur de venir le soir même et d'amener du nouveau stock à tester. « Ça va être mémorable! » dit-il, enthousiasme avant de se lever et de se préparer pour la journée. Il avait tant de choses à faire et tellement peu de temps.
Le soir-même, vers 22h30, les gens commençaient déjà à arriver. Bellamy prit son téléphone et écrivit un nouveau message à Max. « T'es où? On t'attend! » avait-il écrit. De la contrariété se lisait bien évidemment dans son regard. Il détestait qu'on le fasse patienter. Il avait dit à tout le monde qu'ils pourraient essayer quelque chose de nouveau ce soir-là. Il n'avait aucune envie de passer pour un menteur. Max allait en entendre parler, ça, c'en était plus que certain. Parce que certaines personnes s'impatientaient déjà. Et puis, il lui avait dit d'arriver en avance, non? C'était pas compliqué pourtant!
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(✰) message posté Mar 15 Sep 2015 - 9:56 par Invité
you're my perfect paradise, but you don't see me • Boum boum boum, ça tape dans ma tête, j’ai l’impression d’avoir un orchestre qui joue la symphonie dans mon crâne. Encore un mauvais trip hier soir sûrement. Encore un mélange de merde raté. Max tu te tueras un jour. Je me lève, un peu bancal, j’appuie sur le bouton qui fait monter mes stores, le soleil m’éblouit violemment. Je regarde l’heure, c’est déjà 15h, j’ai la tête dans le cul alors que dans une heure je dois aller chercher les jumeaux Walsh à l’école, si je n’arrive pas à l’heure Savannah va me tuer. Je me dirige dans la cuisine, Lennie n’est pas là, normal elle a une vie, un boulot elle au moins. C’est clair qu’avec ma fac de chimie je ne pourrais pas aller bien loin, mise à part faire carrière dans la drogue et devenir une mini Tony Montana peut-être. Arrivée devant le frigo que j’ouvre, tout me dégoûte. Je prends juste une pêche que je mange devant la télé. Par la suite je me prépare et file à l’école des jumeaux en taxi.
C’est seulement à 22h que je termine de garder les jumeaux, ils ont été infernaux toute la soirée, je suis épuisée mais je n’ai pas le temps de dormir puisque dans une demie heure je dois être à la fête de Bellamy, c’est clair que je ne serais pas à l’heure, mais je m’en fous, c’est bien le genre de soirée où t’arrives quand tu as envie. Arrivée chez moi, je me déshabille et file à la douche. Putain, ça fait tellement du bien. Une fois sortie, j’enroule mon corps dans une serviette chaude. Je sèche mes cheveux, leur fait de magnifiques boucles, j’applique du fond de teint, de la poudre, du blush, du rouge à lèvres mat et rouge sur mes lèvres, et un smocky pour faire ressortir la couleur de mes yeux. Je me dirige ensuite dans ma chambre et déniche une robe courte patineuse magnifique et rouge avec de la dentelle sur le haut. Je les assortis avec des escarpins doré Louboutin que mes parents m’ont offert pour mes vingt ans et je prends une pochette dorée également où j’y glisse une quinzaine de sachets de mes mélanges pour Bellamy, mon portable, mon paquet de cigarettes et mon rouge à lèvres. Il est 22h40 quand je pars de chez moi. Je monte dans le taxi quand mon portable vibre, c’est surement Bellamy. J’ai raison. Monsieur s’impatiente. Je lève les yeux au ciel, il m’agace tellement quand il fait son enfant pourri gâté. J’échange donc des sms avec lui tout le long de mon trajet en taxi. La conversation s’arrête lorsque je monte dans le prestigieux ascenseur de l’hôtel Hilton où Bell réside. Lorsque les portes s’ouvrent j’aperçois Bellamy au loin, un verre et une cigarette à la main, comme d’habitude. Il est tellement beau, putain Bellamy Sinclair pourquoi tu ne me vois pas ? Toutes ces filles qui lui tournent autour, toutes ces filles avec qui ils couchent ; en fait, je ne suis qu’une parmi tant d’autres, il fait une différence seulement parce que je lui fournis un peu de drogue, mais ça s’arrête là. Tu te fais tellement de mal Max, tu cherches, c’est de ta faute, il n’a rien fait lui, il fait sa vie comme il l’entend. Je sors alors de mes pensées et m’approche de Bellamy. « La plus belle est arrivée ! » Je salue brièvement Bellamy, pas de signe d’affection entre nous, malheureusement … Je lui prends la main et le tire dans un coin de sa suite de luxe. « J’ai les mélanges, j’ai emmené quinze sachets à peu près. » Je fouille dans ma pochette dorée et tend les petits paquets de poudre blanche à Bellamy. « Ça fait 150 livres et le reste c’est comme je t’ai dit … » Je me colle contre le mur qu’il y a derrière moi, en attendant une réponse de Bellamy. Putain, il est tellement canon.
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(✰) message posté Mar 15 Sep 2015 - 21:58 par Invité
only you, can make me feel like I do But you don't know, 'cause it never shows through • Après plusieurs messages textes envoyés à Maxym, Bellamy finit par ranger son téléphone dans sa poche dans un geste sec et impatient. Ce qu'elle pouvait être une plaie cette fille quand même! Et puis, quand elle prenait ses aises, elle l'embêtait terriblement, encore plus que d'habitude en fait. Certes, ils avaient du bon temps ensembles. Elle était un bon plan cul, mais pas plus que ça. Ce qu'elle ne comprenait pas, c'était que Bell pouvait avoir n'importe qui. Et il était certain qu'il pourrait trouver l'équivalent chez quelqu'un d'autre en un simple claquement de doigt. Mais peut-être s’ennuierait-il de son répondant? Mais bon, pour l'instant, il ne le saurait pas, parce que même s'il venait de la traiter en véritable merde, elle allait tout de même venir à sa fête avec ce qu'il avait demandé. Bell n'apprendrait donc jamais. Connard un jour! Connard toujours, comme on dit! Dans son dernier message, Maxym lui disait qu'elle était presque arrivée. Encore une fois, un mec s'approcha du jeune homme, impatient. Bell le poussa quelque peu. « Elle arrive, merde! » lâcha-t-il. Exaspéré de façon pas possible, Bellamy sortit de sa suite, cigarette derrière l'oreille et verre dans la main droite. Il alla dans le corridor et l'alluma finaelment. Il s'en fichait pas mal que ce soit interdit. On le lui avait répété plusieurs fois et il aurait même juré qu'on avait rajouté quelques affiches non loin de sa suite pour lui faire enfin comprendre les règlements de l'hôtel. Mais encore une fois, il ne pensait qu'à lui. Ça lui passait plusieurs mètres par dessus la tête ces conneries en fait. Il n'en avait rien à chier! La fumée qui l'entourait désormais le calmait quelque peu. Il ne remarqua Max que lorsqu'elle lui adressa la parole, arrivée en face de lui. En signe de réponse, il grommela. Il n'avait rien d'un homme des cavernes, mais lorsqu'il était agacé face à une situation, bah, il passa pour moins élevé qu'il ne l'était en réalité. « J’ai les mélanges, j’ai emmené quinze sachets à peu près. » lui dit la jolie brunette. Il s'en empara sans un merci, le lui arrachant presque des mains. Il inspecta la marchandise, curieux. « Ça fait 150 livres et le reste c’est comme je t’ai dit … » ajouta-t-elle en se collant contre le mur. Elle attendait quoi? Un merci? « Si j'ai la satisfaction de mes invités, t'auras ce que tu veux... » lui répliqua-t-il, amer, lui filant les 150 livres qu'elle demandait. Pour le reste, ça attendrait. Bellamy pénétra de nouveau dans sa suite après lui avoir foutu sa cigarette à peine entamée entre les doigts. La section plus ou moins VIP était située dans le fond. Ce ne serait pas tout le monde qui pourrait y goûter... Non Non... Seul les gens de confiance y étaient invités. Bell leur refourgua la substance et s'en garde une généreuse portion pour lui. Voyant le succès de celle-ci, il retourna auprès de Maxym plusieurs dizaines de minutes plus tard. « Faut croire que ta merde a du succès.... » lui dit-il en haussant les épaules. Bell n'était pas trop joueur.... ni tendre. En fait, ça dépendait des gens. Avec Thalie, c'était sauvage... Avec Max, c'était différent, mais ce n'était pas doux... Pas comme ça l'avait été avec Elsa.... Il n'avait pas baiser la jolie blonde, il lui avait fait l'amour. Et ce ne serait pas le cas de Max... Il obtiendrait ce qu'il voulait.... Il allait goûter à sa chaire... Mais elle n'aurait pas nécessairement le plaisir qui viendrait avec.
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(✰) message posté Jeu 17 Sep 2015 - 14:27 par Invité
you're my perfect paradise, but you don't see me •Bellamy Sinclair dans toute sa splendeur, aussi connard que canon. Toujours en train de prendre les gens de haut et de penser qu’il est le meilleur au monde. J’ai toujours pensé que ce comportement provenait d’un trouble mental, surement ses parents ... C’est vrai qu’il n’en parle jamais, enfin c’est sûr qu’à moi ça ne sera jamais le cas. Mais sincèrement, en réalité tous les drogués ont des problèmes psychologiques. Moi, j’ai été torturé et je sais qu’il ait forcément arrivé un truc à Bellamy, ce gars est trop perturbé pour être normal. Je donne alors les sachets à Bellamy qu’il s’empresse de m’arracher de la main, quel con ! Je le hais tellement d’être comme ça avec moi et de me faire souffrir, mais je cache tout, je cache cette tristesse, ce malheur de le voir en face de moi embrasser des salopes à moitié à poil et ce depuis plusieurs temps déjà. Jake m’a souvent dit d’arrêter de le voir et de ne plus rien lui fournir, mais c’est plus fort que moi, à chaque fois il revient vers moi avec ses soirées à la con. Mais à vrai dire je ne sais même pas pourquoi je m’obstine avec une telle personne, non seulement il ne me rapporte pas beaucoup de fric et en plus il me fait chier ! Je ne dis alors rien quand il m’arrache les sachets des mains, ma fierté est bel et bien présente mais je la garde pour ses prochains pics, car le connaissant je sais qu’il y en aura. Lorsqu’il réplique je rigole, l’air de montrer qu’aucune de ses paroles ne m’atteint, si je ne finis pas la soirée au lit avec lui heureusement que je n’en mourrais pas, mais ça serait la dernière fois que je lui filerais autant de sachets pour la moitié du prix. Je lui arrache alors les 150 livres qu’il me tend, affichant un sourire de peste. « MERCI ! » dis-je en insistant sur le mot et en glissant l’argent dans ma pochette. De la provocation, toujours de la provocation. Comment puis-je avoir des sentiments pour quelqu’un d’aussi cruel ? Je crois que je ne suis jamais tombée aussi bas. Bellamy finit alors par s’en aller pour raviver ses convives. Je m’éclipse également pour aller fumer une clope dans un coin de la suite assise dans un énorme fauteuil de luxe. J’échange quelques mots avec des personnes de la soirée que je connais puis Bellamy revient finalement vers moi après une dizaine de minutes. Je lève les yeux au ciel lorsqu’il s’approche de moi. Je le regarde avec insistance puis il me dit que « ma merde » a du succès. « En effet, ça ne vaut tellement pas les pauvres 150 livres que tu m’as filé … » Je tire une latte sur ma clope et rejette la fumée en direction de Bell. Une fois la clope terminée, je l’écrase sur l’accoudoir du fauteuil où je suis assise sans aucun respect. Je sors un sachet de poudreuse de mon sac et en sniff un peu. « Bon apparemment, tes blaireaux d’invités ont été convaincus, je peux avoir ce que je veux ! » … « Enfin, c’est comme tu veux, sinon la prochaine fois je te fournis plus, ou au tarif complet. » Le chantage est le seul moyen pour avoir ce que je veux de Bellamy. Je me dégoûte tellement à faire ça, mais les sentiments sont plus forts que la fierté à ce moment-là. Je sais que je le regretterais encore une fois le lendemain, mais c’est toujours la même chose, à répétitions, le même scénario, la même connerie, le même dégoût pour lui et cette scène minable où Bellamy se sert finalement de moi. Mais t’en fais pas Max un jour il te tueras, tu n’auras plus à souffrir.
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(✰) message posté Jeu 17 Sep 2015 - 20:48 par Invité
only you, can make me feel like I do But you don't know, 'cause it never shows through • Bellamy aurait pu payer amplement le plein prix pour les cochonneries de Maxym. Il aurait pu payer le double et même le triple de ce qu'elle lui demandait. Pourquoi il ne le faisait pas? Parce que même s'il disait haut et fort qu'il n'en avait rien à foutre de sa tronche, une toute petite et minuscule partie de lui s’ennuierait d'elle si jamais elle disparaissait de sa vie. Évidemment, personne n'en saurait jamais rien. Et il n'était même pas certain de s'en apercevoir lui-même. Il était beaucoup trop fière pour avouer qu'il tenait à quelqu'un même si c'était vraiment minime comme type d'affection. Dans tous les cas, en ce moment, il agissait comme un connard avec elle parce que Maxym l'avait énervé. Il n'était pas très patient dans la vie et faire attendre des gens importants l'énervaient au plus haut point. Max ne semblait même pas se soucier de ça. S'il perdait la face à cause d'elle, c'était certain qu'il serait contrarié. Et personne ne veut que Bell le soit. Qu'est-ce qu'elle ne comprenait pas là-dedans? Provocante, elle insista sur le mot « MERCI ! » mais il préféra l'ignorer, lui balança qu'elle aurait peut-être le reste du contrat si ses consommateurs étaient satisfaits. Il disparut donc dans sa suite, la laissant tout bonnement sur le pas de la porte, lui ayant préalablement fourré sa cigarette à peine entamée entre les doigts. Ce qu'elle allait faire en attendant, bah, il s'en fichait. Il lui aurait envoyé une claque si ça lui était socialement permis, mais heureusement pour elle, ça ne l'était pas. Il y avait quand même quelques personnes qui marchaient non loin d'eux. Bell avait quand même plusieurs plaintes à son actif.... Il ne fallait pas exagérer non plus.
Heureusement pour elle, les gens furent satisfaits de sa merde. Bell n'avait aucun remord à leur procurer quelque chose dont il ne connaissait même pas les effets lui-même, tant qu'ils passaient du bon temps sur le coup. Le « après », bah il n'en avait rien à foutre en fait. Il revint alors vers la jeune femme. Cette dernière discutait avec d'autres invités et il n'eut aucun remord à la couper dans son élan. « En effet, ça ne vaut tellement pas les pauvres 150 livres que tu m’as filé … » dit-elle en lui envoyant une bouffée de cigarette au visage. Il plissa les yeux. Il n'était plus autant contrarié que tout à l'heure, mais il ne fallait pas abuser non plus. « Arrête de te plaindre! » répliqua-t-il simplement, un peu plus détendu. Il la regarda écraser sa cigarette contre l'accoudoir de la chaise. S'il était soucieux de son environnement, Bell aurait probablement été fâchée de la voir agir ainsi, mais en fait non. « T'as besoin d'un high pour te supporter? » ajouta-t-il lorsqu'il la vit sniffer. « Bon apparemment, tes blaireaux d’invités ont été convaincus, je peux avoir ce que je veux ! Enfin, c’est comme tu veux, sinon la prochaine fois je te fournis plus, ou au tarif complet. » dit-elle, me faisant du chantage. Il eut un petit sourire. Elle le faisait bien marrer en fait. « Allez viens! » lui dit-il. Il s'en foutait de dépenser sans compter, mais parfois avoir des rabais ne faisait pas de tort au portefeuille. Il l’entraîna dans sa chambre. L'endroit était totalement interdit aux invités. Et il ferma la porte derrière eux. Bellamy sortit alors un sachet du tiroir. C'était de la coke. Il essayerait plus tard ce que Max lui avait apporté. Là tout de suite, il avait besoin de son high à lui, celui qu'il connaissait par cœur. Il se fit une belle ligne et la sniffa sans plus attendre. Les effets se firent sentir quelque temps plus tard tandis qu'il reportait son attention sur Max. Il ne pouvait pas mentir sur le fait qu'il la trouvait splendide et qu'il appréciait chaque parcelle de son corps. Il s'en approcha et caressa sa joue. « T'es désespérante.... Mais t'es belle.... t'as de la chance! » ajouta-t-il. Plus doux qu'auparavant, il descendit vers sa mâchoire, puis son cou, pour venir enfin effleurer sa poitrine d'un geste étonnamment tendre. Max n'allait pas finir d'être confuse...
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(✰) message posté Ven 18 Sep 2015 - 14:26 par Invité
you're my perfect paradise, but you don't see me • Bellamy sait choisir ses invités, ce sont tous les mêmes, soit des poufiasses en mini robe en train de sniffer ou de boire, ou sinon des mecs riches bien sapés reluquant toutes les filles qui passent devant eux. A vrai dire, j’ai l’habitude de voir ce genre de choses, et à force j’ai même l’impression de ressembler à ces gens-là. Pourrie gâtée, droguée, torturée, des gens qui ont ce qui veulent grâce à l’argent d’un héritage ou tout simplement grâce à Papa et Maman ce qui est pour ma part, mon cas. Petite, j’avais décidé que je serais riche grâce à mon propre travail mais là ce n’est pas le cas, ou presque.. Il faut dire que mes petits mélanges me rapportent quand même un bon paquet de fric.
Bellamy me claque la porte au nez en me laissant sa cigarette entre les doigts. Je tire une bouffée sur sa cigarette et la jette au sol, je l’écrase ensuite avec ma semelle rouge. J’entre sans plus attendre dans la suite, pour rejoindre un groupe d’invités que j’ai déjà côtoyer dans les soirées précédentes organisées par Bell. J’allume une cigarette provenant de mon paquet. Une fois que Sinclair revient en me disant que ma came plaît, je rétorque et il grommelle. Je ne réponds pas et lève une nouvelle fois les yeux au ciel. Ce que tu peux être chiant Bellamy Maxence Sinclair ! Mais qu’est-ce que tu me plais. J’essaye de ne pas y penser et me concentre sur autre chose. Je sniffe un peu de mon mélange et regarde Bellamy avec un air désespéré. « Ferme la et contente toi d’être beau, ça suffira » dis-je en sniffant une autre ligne. Qu’est-ce que ça fait du bien putain. Max Von Ziegler dans tout son malheur. Je présume que c’est moche à voir, et que je me dégoûterais si je me voyais, mais ça fait tellement de bien, ça apaise tellement que jamais je ne pourrais m’en passer. Et si les mecs de la réunion des drogués anonymes me verraient ? Putain, ils en chialeraient ! Enfin, je négocie avec Bellamy la suite du contrat, je veux voir s’il accepte mon offre ou s’il va m’arnaquer comme il sait très bien le faire. Mais heureusement pour moi, mon « chantage » fonctionne, même si je sais que Monsieur à juste envie de se vider les couilles. J’affiche un sourire lorsqu’il me demande de venir avec lui. Je vais enfin pouvoir le toucher et avoir un moment « d’intimité » avec lui, entre guillemets bien évidemment. Je prends ma poudre que je re-glisse dans son sachet pour y ranger dans ma pochette et suis Bellamy jusqu’à sa somptueuse chambre. L’odeur, son odeur m’apaise alors, ou c’est surement l’effet de mon mélange qui agit. En tous les cas je me sens bien même si mon cœur s’accélère. Je pose ma pochette sur un fauteuil de la chambre et me pose près de Bellamy. Ce-dernier sort alors un rail de coke qu’il sniffe d’un très. Nous sommes tous les deux autant drogué l’un que l’autre, comme d’habitude, comme à chaque fois que l’on se retrouve dans une chambre ou dans un endroit propice. Une fois la ligne sniffée, Bell revient vers moi, il a l’air plus tendre, moins stressé, moins lui. Il pose alors sa main sur ma joue pour la caresser. Je me mords la lèvre. Dès que sa peau est en contact avec la mienne ce n’est plus pareil, je frissonne, je suis bien, c’est autre chose, un autre monde. Je n’entends plus la musique qu’il y a en dehors, ni les braillements des invités . En plus de ça, il me complimente, je ne sais pas comment réagir. Je baisse les yeux. « Arrête ton baratin » je joue la Max qui n’y croit pas. Je dépose alors mes mains sur ses hanches pour garder une prise sur lui. Quant à lui, il descend sa main le long de mon cou, jusqu’à ma poitrine. Les battements de mon cœur se font plus intenses, mes frissons également et mes yeux se ferment automatiquement. Je les rouvre finalement pour m’approcher un peu plus près de Bellamy. J’enlève mes escarpins pour ensuite caresser avec mes lèvres celles de Bellamy. Il sent tellement bon. J’ai qu’une envie c’est de l’embrasser, mais je sais qu’il va jouer avec moi et me mener à bout. « T’as envie de moi ? » dis-je toujours aussi prêt de son visage. Ma fierté était en train de s'abaisser.
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(✰) message posté Mar 22 Sep 2015 - 21:06 par Invité
only you, can make me feel like I do But you don't know, 'cause it never shows through • Thalie et Maxym se ressemblaient quelque peu dans leur comportement vis à vis de Bellamy. Elles avaient toutes les deux la réplique facile, fin prête pour énerver le jeune homme au plus haut point. Les deux femmes avaient toutes les deux un sale caractère et savaient comment se défendre. Mais Max était aussi très différente de son épouse dans un sens. Thalie, elle, était mariée à Bell, donc il était normal qu'elle lui colle aux basques et qu'elle ne le laisse jamais tranquille et ce, peut importe la manière dont il la traitait. Mais Von Ziegler n'était pas là pour la fortune de Sinclair, alors pourquoi restait-elle à ses côtés même s'il la traitait mal à ce point, comme si elle était une moins que rien? Cela restait un total mystère pour le jeune homme. Peut-être parce qu'elle l'appréciait peut-être plus qu'elle ne le laissait paraître? Sûrement en fait, mais Bellamy ne le voyait pas. Il pensait bien trop à son nombril pour se soucier de quelqu'un d'autre. Aurait-il abrégé ses souffrances s'il s'en était rendu compte? Probablement pas. Si elle était sadomasochiste, c'était son problème, après tout, non? Certainement pas le sien. Ayant pris sa dose, il se sentait mieux d'un coup, un peu moins irritable. Il se retourna donc vers la jeune femme qui s'était assise sur son lit ou plutôt celui qu'il partageait avec sa femme. Même s'il ne l'aimait pas et que c'était réciproque, ils dormaient la majorité du temps ensembles. Des fois, même collés l'un contre l'autre. C'était un besoin, presque une obligation. Mais elle était la seule qui avait la permission de rester dormir ici. Les autres femmes, elles devaient partir une fois leur contrat rempli. C'était sa règle. Et Maxym en faisait partie. Bellamy lança d'ailleurs une pique à la jeune femme tout en la complimentant. « Arrête ton baratin » lâcha Max. S'il n'était pas sous l'influence de la drogue, Bell aurait pu se braquer et la foutre dehors. Parfois, ça ne lui en prenait pas beaucoup pour réagir de façon exagérée. Heureusement pour elle, il était dans une bonne passe. Il continua donc la descente de sa main, tantôt sur sa joue, plus tard sur son cou et au final, sur sa poitrine. Bellamy sentait sa respiration s'accélérer et ses yeux se fermer. Son charme faisait visiblement effet.
Les yeux de la jeune femme s'ouvrirent de nouveau et elle se rapprocha de Bell tranquillement. Ses lèvres s'approchèrent des siennes, mais ne les effleurèrent qu'à peine. « T’as envie de moi ? » demanda-t-elle alors, comme un souffle contre la peau du jeune homme. Ce dernier soupira. En avait-il vraiment envie? Là, maintenant? Il ne savait pas pourquoi, mais ça lui avait passé d'un seul coup. « Non.... » dit-il tout simplement. Et il s'éloigna d'elle d'un seul coup. Elle lui avait fait perdre patience tellement de fois dans la soirée que c'était maintenant qu'il souhaitait lui faire payer cet affront. Il se leva et replaça ses vêtements. Max devait s'en poser des questions là maintenant. Si elle le voulait vraiment en ce moment, il faudrait qu'elle fasse le premier pas parce que Bell lui n'en avait pas envie du tout.
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(✰) message posté Jeu 24 Sep 2015 - 20:25 par Invité
you're my perfect paradise, but you don't see me • L’amour ne se choisit pas, ça nous tombe dessus. Un beau jour, tu sors de chez toi et un petit mec avec des ailes dans le dos et le cul à l’air te tire dessus avec une de ses misérables flèches. Seulement il est tellement tête en l’air que des fois il tire sur une seule personne et pas sur l’autre. Et là, tu te sens con, t’as envie de le haïr ce putain de mec à poil, t’as envie de lui demander ce que tu lui as fait pour mériter de souffrir autant. C’est un con ce gars, je l’aime tellement pas, il n’a jamais été sympa avec moi, toujours été cruel. Je me demande ce que je lui ai fait ou si il fait ça parce qu’il en a envie, mais j’ai toujours juré que si je le croisais, je le bousillerais.
Je me trouve donc dans la chambre de Bellamy. Il y a une ambiance étrange, très très étrange. Comme à chaque fois que je me retrouve ici pour une fête ou autre chose. Et dire que pleins de filles sont passées dans ce lit, même sa femme Thalie à qui je me confie y passe des fois et y dort tous les soirs. C’est si étrange cette relation. Je me torture comme une vraie sadomasochiste alors que j’ai horreur de ça. Moi qui croyais au prince charmant étant plus jeune, moi qui pensais que je me marierais avec une sorte de Jake Cavendish, et que j’aurais une grande maison, des enfants et des petits chats. Ma pauvre Max, t’es vraiment une sacré tarée, regarde ce que tu es devenue : un pauvre déchet, qui se fait baiser par un mec ultra drogué et qui baise d’autres filles juste après toi. C’est tellement répugnant, je suis tellement répugnante. Ces pensées me rendent triste, je me demande comme j’ai fait pour ne jamais me reprendre en main et sombrer autant dans le noir.
Les caresses de Bellamy sur ma peau me font toujours le même effet, ce contact me rend sensible et frissonnante, c’est incontrôlable, totalement embarrassant car la tendresse entre nous est très rare et lorsqu’elle apparaît, je ne me sens pas moi, je ne le sens pas lui. Bellamy est si sauvage, si mystérieux, si cruel avec moi. Est-ce que d’autres filles ressentent la même chose que moi face à lui, cette pensée m’enrage, je n’ai pas envie d’y croire, d’y penser, de me torturer à nouveau. Bell je t’en prie.
Une fois les caresses faite, je me lève pour me rapprocher de Bellamy, j’ai envie de plus, j’ai envie de le sentir encore plus contre moi, j’ai envie de ça, j’ai envie de me faire du mal encore une fois et surtout de remplir l’accord que nous avions convenu. Il se laisse faire lorsque j’effleure mes lèvres contre les siennes, il ne bouge pas, il ne dit rien. Puis, je lui demande s’il a envie de moi, sa réponse me donne mal au ventre, j’ai peur du oui et j’ai peur du non, c’est une sensation terrible que je ne contrôle pas. L’odeur corporelle de Bellamy m’envenime, et me donne mal au cœur en même temps, c’est vraiment déstabilisant. En fait j’ai eu raison d’être autant perturbée par sa réponse puisqu’il me lâche un gros non, sans scrupule, en pensant une nouvelle fois qu’à lui. Il s’éloigne alors de moi. J’ai envie de chialer comme une grosse merde mais ça n’est pas le moment, et jamais je ne me rabaisserais devant lui, c’est juste impensable. Ma fierté et ma colère prennent alors le dessus. Je prends une cigarette dans mon paquet, que j’allume et me rassoit sur le lit de Bellamy pour enfin tirer plusieurs lattes sur ma cigarettes. Je réfléchis, qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire ? Comment réagir pour parvenir à mes fins ? Il est si dur, je le déteste autant que je l’aime, il est misérable, pathétique et si capricieux. Je m’approche alors finalement de lui, ma clope toujours à la main. « Pourquoi tu mens Bell ? » dis-je en commençant à enlever ma robe rouge écarlate. Je m’approche une nouvelle fois de Bellamy, je sais qu’il ne pourra pas résister. Je suis en sous-vêtements, une lingerie magnifique, Victoria’s secret, de la dentelle noire, c’est chaud, c’est sexy, ça attire l’œil. Je m’approche encore de Bell en tirant sur ma cigarette. J’enlève mon soutien-gorge et je cache mes seins avec mes mains. Puis je m’approche encore de Sinclair, je me baisse, écrase ma cigarette parterre, et déboutonne son pantalon, je le baisse ainsi que son boxer. C’est hard, c’est dégueulasse mais je suis obligée. « Tu peux pas résister Sinclair, te voile pas la face ». J’enchaîne, je procède à la continuité de l’action.
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(✰) message posté Ven 25 Sep 2015 - 20:50 par Invité
only you, can make me feel like I do But you don't know, 'cause it never shows through • Méchamment, il l'avait repoussé. Le « non » le plus sec qu'il lui ait été donné de dire dans sa vie. Pourtant Bellamy ne disait jamais non pour une partie de jambe en l'air. Jamais. Il était un mec après tout. Il avait besoin de ce genre de choses assez souvent. Et puis, elle qui s'offrait comme ça à lui... Ça aurait du l'exciter. Et que Maxym lui réponde en plus, il aurait du en vouloir davantage, jouer avec son corps et lui demandé tout ce qu'il voulait. Il était sur et certain d'obtenir tout ce qu'il désirait d'elle et même plus ce soir. Mais soudainement, il n'avait plus du tout envie de la jeune femme. Il ne savait pas trop pourquoi. Ça lui était passé d'un seul coup. Peut-être parce qu'elle avait été trop chiante au courant de la journée et de la soirée? Avait-il perdu patience? Il ne savait pas, mais Bell n'avait plus du tout envie d'elle et bah, il n'y avait pas grand chose à faire dans ces temps-là. L'anglais s'était donc levé et avait replacé ses vêtements. « Tu peux partir maintenant.... » avait-il simplement dit. Le ton employé était un peu moins sec que précédemment, mais il incitait tout de même à ce que l'on écoute ce qu'on avait à dire. Ce n'était pas un ordre, mais presque. Il avait envie de retourner faire la fête, danser peut-être? Non, il avait plutôt envie de sortir sur le balcon et de sentir la fraîcheur sur son visage. Voilà ce dont il avait réellement envie pour le moment. Mais Maxym en avait décidé autrement. Elle avait bel et bien l'intention de mettre le grappin sur Sinclair malgré tout. Par contre, ce dernier ne se souciait déjà plus d'elle. Il était déjà prêt à sortir dehors. Lorsqu'il se retourna, elle était toujours là cigarette au bec. Il soupira tandis qu'elle lui demandait pourquoi il mentait. Mentir, ça lui arrivait très souvent. Après tout, Bellamy était mythomane. Pas grand monde était au courant de ce péché, pas même Max, mais en ce moment, non, il ne disait pas de mensonge. Il soupira donc de nouveau. « Qu'est-ce que tu ne comprends dans les mots « partir » et « maintenant »? » ajouta-t-il, ennuyé par la conversation. Mais Max ne s'arrêta pas là. Elle entreprit d'enlever sa magnifique robe rouge et de s'approcher du jeune homme. Encore plus contrarié par cette attitude, Bellamy fronça les sourcils. Que cherchait-elle à prouver? Qu'elle était une pute en manque? Qu'elle était désespérée? La deuxième option se fit sentir lorsqu'elle entreprit de baisser le pantalon de l'anglais, puis son boxer. Maintenant penchée vers lui, elle parla de nouveau. « Tu peux pas résister Sinclair, te voile pas la face » ajouta-t-elle, enchaînant dans son élan avec son plan diabolique. Pendant l'espace d'une seconde, Bellamy fut déstabilisé. Mais il se ressaisit bien vite, se laissant tout bonnement faire. Il n'était pas con après tout. Ce qu'elle pouvait être douée la Von Ziegler dans sa tâche, mais ça, jamais il ne lui avouerait. La belle avait décidé de parvenir à ses fins malgré tout. Bellamy qui n'avait plus envie de rien n'arrivait plus à penser correctement à présent. Son corps s'électrifiait. Il était de nouveau excité et ça paraissait. Plusieurs instants plus tard, après avoir pleinement profité du moment, il la repoussa et la fit relever. Sa chaire le tentait un peu plus maintenant, mais il n'allait pas être tendre avec elle, pas comme tout à l'heure. Bellamy la poussa contre le mur et se força en elle. Le geste n'était pas tendre ni doux. Il était violent, excessif. Et encore une fois, l'anglais était égoïste, comme il en avait l'habitude avec elle.
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(✰) message posté Dim 27 Sep 2015 - 17:59 par Invité
you're my perfect paradise, but you don't see me • Encore une crise du comportement de ce cher Bellamy, ce mec est insupportable totalement pas maîtrisable, c’est un enfant pourri gâté qui ne se soucie de personne. Et il faut dire que je n’ai jamais compris, ni même cerné les personnes de ce type. Qu’est-ce qu’il se passe dans leur tête, dans leur cœur ? On dirait qu’ils ne sont pas dans le même monde que les autres, qu’ils ne sont pas humains, qu’ils ne comprennent rien à rien, qu’ils sont perchés haut, très très haut. Des fois je me dis que c’est surement la coke qui le rend aussi stupide et ça ne pourrait être que cohérent, mais je ne sais pas, ça va au-delà de ça, au-delà de tout et moi je m’acharne face à cet être aussi misérable que moi. Il me repousse sans cesse, il me considère comme son joujou, comme sa chienne, un animal et je me laisse faire, je reviens toujours à la charge, ou plutôt je dis oui lorsque c’est lui qui revient me demander ses services à la con. Max, si Isaac savait ça il le tuerait ce putain de fils, il en ferait une seule bouchée pour tout ce qu’il te fait endurer, personne n’accepterait que sa petite sœur se fasse traiter ainsi. Mais j’ai tellement honte, j’ai honte de ce que je suis et de ce que je suis capable de faire. Je ne sais même pas si c’est de l’amour ou plutôt de la soumission. En fait, je passe pour une pute désespérée en manque de sexe. C’est tellement honteux, tellement dégueulasse, tu dois arrêter ça Max, tu n’es pas ce genre de filles, absolument pas. Je n’écoute pas ce que me dit Bell lorsqu’il insiste pour que je sorte de sa suite en me disant qu’il ne se passera rien et qu’il n’a certainement pas envie de moi. Ça me fend le cœur, j’ai envie de le haïr, de me pleurer, mais non pas face à lui, ça lui ferait trop plaisir ou même pas d’ailleurs, je lui suis tellement indifférente. Je retire alors ma sublime robe rouge que je jette à terre. Bellamy se retourne, il n’a pas l’air attiré par mon corps à moitié nu, mais je ne lâche pas l’affaire, je le poursuis, l’empêchant de sortir de cette suite, moi aussi je veux de ce que j’ai envie, moi aussi je suis une fille qui a tout ce qu’elle veut. Je me baisse alors et atteint la partie intime de Bellamy, tout à coup son regard et son comportement change, je suis contente de moi tout en étant écœurée, si Isaac et Lennie voyaient ça … Je continue mon action en levant les yeux vers Bell pour voir sa réaction, le voir aussi impuissant me fait jouir de plaisir, c’est tellement drôle de le voir se faire contrôler, tu es si faible Sinclair ! Il me repousse finalement pour m’aider à me relever, me plaquer contre le mur et s’enfoncer en moi. Mes mains se crispe contre le mur de la suite, je jouis face à ses vas et viens, j’ai eu ce que je voulais enfin. Mais, Bellamy n’est pas tendre avec moi il me torture comme si j’étais sa chienne, sa pute, son vide couilles, il s’en fout de moi, il veut juste se faire plaisir ou même pire me donner ce que j’ai envie pour que je lui foute la paix. Cette idée, me dégoûte. Je décide alors de me retirer de lui alors qu’il n’a même pas encore éjaculé, frustration complète pour les hommes et surtout pour les chiens comme Bellamy. « T’es vraiment qu’un sale porc toi, tu me dégoûte ! Je me demande comment je fais pour me faire baiser par toi ! » La rage me provient soudainement, j’en ai tellement marre qu’il ne me voit pas, qu’il ne me calcule même pas ! Je me baisse pour repositionner mon tanga, et remettre mon soutien-gorge ainsi que ma magnifique robe, mes chaussures quant à elles sont toujours à mes pieds. « Pourquoi tu me fais ça Bellamy ? Il y a quoi d’intéressant à faire ça ? » Je suis en colère, j’en ai assez de me laisser faire par un sale mec, je ne mérite pas ça, il est temps d’arrêter. J'ai le coeur en miette, la rage au ventre, le dégoût au bord des lèvres.