"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici [-18Warning] {FLASH-BACK} Les écossais ne sont pas des hommes, ils portent des jupes! (ft. Lewis) 2979874845 [-18Warning] {FLASH-BACK} Les écossais ne sont pas des hommes, ils portent des jupes! (ft. Lewis) 1973890357
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[-18Warning] {FLASH-BACK} Les écossais ne sont pas des hommes, ils portent des jupes! (ft. Lewis)

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() message posté Ven 2 Mai 2014 - 21:47 par Invité
Ceci est un rp flash-back, ces événements se déroulent lors de la troisième semaine de présence de Jonathan dans la capitale anglaise, tout cela est désormais proscrit et ne se reproduira pas. De plus, nous recommandons aux personnes non-majeures et aux âmes pures et chastes comme le Voldemort venant de naître de ne pas aller plus loin que ces quelques lignes. Après... nous ne saurons être tenus pour responsables de rêves incluant des loups en liberté. Cordialement, le narrateur.

* * *

Jonathan était partit de chez cet abrutit d'écossais sans faire de bruit, avant que ce dernier ne soit réveillé. Bon sang, il avait couché avec un mec qui venait d'un pays où les mecs se promènent en jupe et le sifflet à l'air... si ses amis savaient cela – alors qu'il faisait partit de ceux ayant participé à traumatiser les élèves écossais au lycée – il allait avoir le droit aux moqueries et aux imitations de l'accent scottish de ces derniers pendant des années.

En vérité, cette rivalité datait de si longtemps que ce n'était que par chauvinisme et patriotisme que l'irlandais agissait de la sorte. Aussi quand il était tombé sur un écossais la veille, dans un pub, la tension n'avait pas mis longtemps à monter entre les deux hommes. Les insultes bien sur.. le coups classique.. les vannes à deux livres, les boissons entre deux qui n'aidaient pas à calmer les pulsions et au final, ils avaient tout les deux été mis dehors.

Une idée assez judicieuse du gérant en fait puisqu'à peine dehors, l'irlandais et l'écossais s'étaient jetés l'un sur l'autre pour se battre comme des chiffonniers. Enfin... cela avait été le cas jusqu'à ce que la pluie tombe à verse, la bagarre avait alors prit une autre forme et s'était achevée chez... ha oui... Lewis. Enfin en même temps, une fois chez lui il s'était intéressé à autre chose qu'à son prénom.

Par contre vue l'heure à laquelle il s'était réveillé le lendemain, John s'était habillé à la hâte pour aller directement au travail. Il ne pouvait pas passer chez lui avant et ce n'est qu'en arrivant dans le vestiaire des employés, pour mettre sa tenue de travail, que le brun s'était rendu compte d'un fait important. Il avait bien oublié quelque chose chez Lewis, son boxer.

Bon... au moins il ne sera pas à l'étroit aujourd'hui, loin de là même. Mais le soir venu, son premier réflexe sera d'aller rechercher son bien chez son ''coups d'un soir''. Normalement il ne revoyait jamais ces personnes, cette exception l'énervait, surtout un Scottish quoi !

* * *

Il est maintenant 20h45. Après avoir nettoyer l'hôpital une bonne partie de la journée, avoir fait des heures supplémentaires pour aider remplacer un collègue qui avait dû rentrer plus tôt car son fils était malade, John venait de frapper à la porte du logement où il devait aller, bougonnant encore de devoir revenir ici. Quand la porte s'ouvrait, le sarcasme venait aussitôt dans la voix de Mitch.

« Hey Kilt-man, t'aurais pas trouvé quelque chose à moi ? »
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() message posté Ven 2 Mai 2014 - 23:11 par Invité
Ce fut comme un tango Céleste ce soir là, je dois dire que je ne m'attendais a réagir au quart de tour ainsi. Poser au bar Guiness à la main, je contemplais les ornements sur le mur de ce pub sur Camden. Des photos des plaines Irlandaise des écussons de Clan écossais. Celui la aimait bien la mixité. Mon voisin de tabouret n'était autre qu'un Irlandais, un saleté de Leprechaun qui commençait a se foutre de la gueule des miens... S’était plutôt patriotique, ma famille était comme ça et mon éducation bien que volage m'a fait comprendre une chose... Ne jamais se laisser marcher sur les pieds... Alors que j'avais entretenu la conversation et n'étant pas à mon premier verre, cela s'est réduit a poing dans sa gueule et le retour à l'envoyeur nous fûmes virer assez vite. Une fois dehors, ce fut encore de plus belle Le coups ont plu comme une averse dans les Highlands. Bien que le temps se gâta de nouveau, j'ai éprouvée comme une pulsion, mon cœur ne suivait plus ma tête, cela s'est terminé chez moi... C'est comme avoir démonter les murs, ce fut passionner et Fougueux. Cela dit au réveil ce fut différent, le retour de la lame comme on dit alors qu'il était parti comme une furie, je dois dire que j'ai eu la pire gueule de bois de ma vie !
Alors que je suis sortie de la douche, j'observais la piece quand je vis quelques chose... Quelques cloché dans cette pièce, il y avais un trophée au pied de mon lit, ce genre de boxer noir qui allait super bien quand même a cette Irlandais. Aujourd'hui ce fut ma journée de congé, après avoir discuter avec Alfie qui est venu me voir en fin de matiné pour un coup a la national Gallery. L'après midi je me suis concentré sur un tableau que je devais finir. « La terrasse du café le soir. » de Van Gogh, le cheval poser devant la table j'était habillé d'un marcel blanc ainsi qu'un jeans. Mes bras était coloré il faisait chaud ça sentait l'orage encore. Alors que je tentais de reproduire ce tableau... le temps passa comme une lettre a la poste, c'est en fin de journée que j'entendis frappé... Je me leva posant le pinceau ayant presque finit d'achever le tableau... J'ouvris alors la porte des traces de peinture sur les bras et dans les cheveux... Et aussi sur le marcel.
« Hey Kilt-man, t'aurais pas trouvé quelque chose à moi ? » Je me suis mis a sourire, était il serieux tout d'un coup ? J'ouvris la porte un peu plus. « Mais je t'en pris le Leprechaun entre ! T'as pas oublié ton chaudron j'espère ! » Je me suis mis a rire... Le laissant alors entrer, je refermis la porte derrière lui et je lui dis « Ton boxer est sur le lit... mais... Oooh je vois tu n'a même pas pris le temps de te changer... Tu bosser où déjà... Ah oui l'hopital... Ca va la tenue était confortable ? » Disais je essayant de le taquiner c'était plus fort que moi, j'adorais quand il prenait la mouche...
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() message posté Sam 3 Mai 2014 - 13:33 par Invité
Maudit sois ces écossais. Non franchement, il venait à peine de demander ce qu'il avait oublié que ce crétin se moquait de lui et du fait qu'il ne se soit pas changé. C'est sur que quand on a pas à travailler – suivez son regard – on n'avait pas besoin de se presser et se retrouver en rad de vêtement. Cependant il savait que tout ceci n'était que provocation. Leprechaun, chaudron.. tout ceci entrait dans les clichés même que les gens avaient de son pays, et si entre irlandais la blague était fréquente – et diable qu'elle l'était – aucun irish digne de ce nom n'acceptait qu'un nordiste vienne leur dire cela.

John détaillait la pièce, voyait une peinture et comprenait alors le fait que l'homme soit recouvert de diverses couleurs, de quoi lui donner une petite pique à lancer, pour rebondir sur le fait qu'il ait ou non pris son chaudron.

« Je n'oublie jamais rien. Je suis d'ailleurs flatté de voir que tu te convertit à ma culture. Tu fais un arc-en-ciel presque charmant... pour un écossais je veux dire. »


Son ton était bien sur moqueur, qu'attendre de plus de lui ? Mais il se renfrognait encore en pensant qu'il avait été obligé de venir ici car il avait oublié son boxer – le trophée de Lewis comme l'avait pensé ce dernier le matin – et il passait sans un mot dans la chambre pour le reprendre. Hors de question de le laisser ici, il n'était pas le genre d'homme à laisser un souvenir de son passage à ses conquêtes.

« Tu dois bien savoir si la tenue est confortable. Tu as l'habitude avec tes petites jupes à carreaux. » grinçait-il, passablement agacé par la question. Toute la journée il n'avait eu qu'une crainte, qu'une personne découvre qu'il ne portait rien en dessous. Surtout avec son collègue un peu farceur, qui avait déjà réussi à l'avoir par surprise et descendre son pantalon pour le taquiner. S'il l'avait fait aujourd'hui... bon sang. « D'ailleurs... est-ce que c'est une coutume de votre pays de se travestir de la sorte ? Ou une tendance à l’exhibitionnisme ? » s'amusait-il ensuite, avant de renchérir avec de la moquerie dans la voix. « Tes ancêtres devaient avoir l'air fin, se battre en jupette, quelle virilité ! Armée de leurs cornemuses et ils se pensaient crédible ? Oh mais attend... ce sont eux les femmes à barbes dans la foire aux monstres ! »

Oui bon, il allait peut-être loin en disant cela mais c'était plus fort que lui. Dans la même pièce que ce... ce fox terrier, il ne pouvait agir autrement. Son honneur était en jeu, il l'avait déjà mis bien trop de côté la nuit passée.

« Et en plus tu fais de petits gribouillages en peinture ? Mais tu es la petite fille modèle. Tu as bien fais tes exercices de cuisine et de couture aussi ? Sinon ta maman va te gronder. »

Le regard amusé, un sourire moqueur aux lèvres, John guettait la réaction de Lewis en rangeant en même temps dans son sac ce qu'il était venu chercher. Il n'allait pas en plus se rechanger ici, et puis quoi encore ?
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() message posté Sam 3 Mai 2014 - 20:41 par Invité
« Tu dois bien savoir si la tenue est confortable. Tu as l'habitude avec tes petites jupes à carreaux. » Oh oui vas y j'aime quand tu m’agresses... Oui j'avais des pensées un peu dégueulasse dans la tête, je dois dire qu'il pouvait m'arriver d'avoir un appétit féroce... « Je porte rarement le Kilt... Que dans les grandes occasion... T'as du culot de dire ça n'empêche ! ». C'était bien vrai, généralement on porte le Kilt lors de grand moment, les repas de familles, mariage etc... C'était pas un truc que je portait beaucoup c'est dernier temps.

« D'ailleurs... est-ce que c'est une coutume de votre pays de se travestir de la sorte ? Ou une tendance à l’exhibitionnisme ? » Mais c'est qu'il est bavard celui là... et en plus j'ai l'impression qu'il est ignorant des propres coutumes c'était hallucinant... mais cela dit je le laissa dans sa connerie au moins ca mettait l'ambiance. Et soudain je me suis dit autant répondre a sa question en posant une autre question.  
« Et de te taper un Écossais c'est une coutume ou ta connerie congénitale ? »

« Tes ancêtres devaient avoir l'air fin, se battre en jupette, quelle virilité ! Armée de leurs cornemuses et ils se pensaient crédible ? Oh mais attend... ce sont eux les femmes à barbes dans la foire aux monstres ! » Non il allait trop loin... Il s’enfonçait encore plus. Il fallait que je lui remette les pendules a l'heure quand même je m'approcha de lui alors en lui disant : « Parle pour toi ! Les Irlandais aussi portent des Kilts... Je trouve un peu hypocrite pour le coup... Je suis sur que tu es très mignonne en Kilt ma petite hobbit. »


« Et en plus tu fais de petits gribouillages en peinture ? Mais tu es la petite fille modèle. Tu as bien fais tes exercices de cuisine et de couture aussi ? Sinon ta maman va te gronder. » Mais je rêve ou il me cherche vraiment, je m'approcha encore de lui me retrouvant face a lui, tremblant de peur j'était le pire comedien au monde, mais tout était dans l'ironie justement :
« Ouuuh j'ai peur ! Je pense que si je lui dis que actuellement je fais chier un Irlandais arogant et plutôt canon style démon incube... je pense qu'elle serait plutôt fière... », Je m'avanca, il se retrouvant dos coller contre la bibliothèque,je posais ma main sur la reliure des livres étant proche de lui :

« Alors dis moi ca fais quoi de se taper un Ecossais, le genre de type que tu ne supportes pas... Je dois dire que je trouve ca plutôt... Excitant...pour ma part... » Je vous l'ai dit j'ai un appetit féroce.
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() message posté Sam 3 Mai 2014 - 22:11 par Invité
Qu'importe s'il avait du culot à se moquer des kilt – il savait bien que les irlandais en portant aussi, parfois – non ce qui l'amusait c'était que Lewis admette justement qu'il en portait parfois, ce qui ne faisait qu'accroitre son amusement. Non franchement, imaginer le scottish en kilt lui donnait de drôles d'images, qu'il ne chassait de son esprit qu'en récitant les premiers trucs qui lui passait par la tête. Non franchement, il devait rester loin des nordistes, ils avaient une bien mauvaise influence sur les personnes saines d'esprit. Bon sang... il aurait mieux fait de rentrer chez lui et ne pas vouloir reprendre ses affaires. Mais quel idiot !

Il ne voulait plus répondre à ce type, mais quand ce dernier mettait en avant le fait que se devait être sa connerie qui l'avait poussé à coucher avec lui – non mais, c'était l'écossais qui lui avait sauté dessus, dirait il sans doute – et qu'en plus il venait mettre en doute le fait qu'il sache que les irlandais portaient aussi le kilt, mais hors de question de laisser dire qu'il devait être une mignonne petite hobbit lorsqu'il en portait. Pour la simple et bonne raison qu'il n'avait encore jamais arborée cette chose, il n'était pas du genre à aimer sentir passer les courants d'air frais.

De fait, quand Lewis s'était rapproché, de façon à ce que le plus jeune se retrouve dos à la bibliothèque, il n'avait qu'une envie, lui faire ravaler son air suffisant, lui flanquer un coups pour lui faire voir s'il était une frêle créature, mais une fois encore... il était incapable de tenir sa langue, même à quelques millimètres de son visage... surtout à cette distance en fait.

« Dis encore que je suis ''mignonne'' et je ferais de ta vie un enfer. Tradition ou non, je ne me suis jamais abaissé à cette tradition ridicule, celui qui me fera porter cette jupette ridicule n'est pas né. » grondait-il, se giflant mentalement en se disant que le terme ''abaissé'' n'était sans doute pas le plus judicieux, ni la pointe de défi dans sa voix. Les irlandais parlent trop... et ont également, une fois encore, une capacité incroyable à s'implanter les choses qu'il ne faut pas en tête. Ou alors... il était juste un obsédé, ce ne pouvait être que ça et la promiscuité n'aidait en rien dans ce genre de situation. « Au moins, tu admets que tu me trouve canon.. elle serait sans doute fière de voir que tu m'emmerdes et me tape sur les nerfs, mais moins de savoir que je suis, à tes yeux, aussi tentant que le plus beau des démons. »

Mais une fois encore, la situation repartait au désavantage de John, pourquoi est-ce que les gens avaient cette facilité à le mettre mal à l'aise, dans une situation délicate pour lui. Il n'avait pas envie de perdre cet échange, mais en même temps il sentait sans soucis la pente glissante sur laquelle ils étaient maintenant... ils s'insultaient et étaient à deux doigts – sans pensées douteuses – de recommencer.

« C'est une horreur deary.. mais quand on a rien d'autre à se mettre sous la dent, tu restes passable. Si tu en parles, je nierais cette histoire en bloc, alors calme tes ardeurs, je n'ai aucun désir pour toi. » dixit le type dont le regard passait de celui de son Nemesis prédestiné, aux lèvres de ce dernier. Dont le visage gagnait malgré tout une teinte rougeâtre et qui au final, était somme toute satisfait de ne pas être coincé dans un étau de tissus en cet instant. « Maintenant, je suis ravi de savoir que je suis maintenant le fruit de l'un de tes fantasmes... ton regard ne trompe pas. »

Hein ? Mais non ! Il ne le provoquait pas du tout. Vous déraillez !
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() message posté Mar 6 Mai 2014 - 8:11 par Invité
« Dis encore que je suis ''mignonne'' et je ferais de ta vie un enfer. Tradition ou non, je ne me suis jamais abaissé à cette tradition ridicule, celui qui me fera porter cette jupette ridicule n'est pas né. » Et cela était tout en son honneur, Le Kilt était un acte qu'on appellerai tout simplement : Le lien du sang, Chaque Clan a son propre tartan, qui symbolise le lien qui les unis que se soit du sang ou de l'Alliance. À Édimbourg, le Clan Hamilton y règne. La famille de Lewis, je n'en ai jamais parler. Il a trois frère et deux sœur qui sont tous d'âge bien différent, l’aînée vient d'atteindre la cinquantaine et le cadet à fête son douzième anniversaire il y a peu. Je n'ai eu de vraiment liens avec ma famille, mais ma sœur, Winnifred, elle s'est marié avec un Hamilton. Clayton Hamilton. Depuis ma famille porte le tartan de la famille Hamilton. Cela fait bien longtemps personnellement que je n'ai pas porter ce tartan. Si mes souvenirs sont exacte, je pense que cela a du remonter au Mariage de mon frère il y a quatre ans, j'étais encore en couple avec Eira. Je dois dire que c'est toujours bizarre de porter ce genre de vêtement. Surtout après ce que me disait Jonathan... Avoir les balloches à l'air c'est plutôt agréable, n’empêche Eira adorait me voir dans ce Kilt. Que de bon souvenir. « Oh mais je suis sur que tu serais adorable en Kilt... Dommage pour toi. » Disais-je alors que je l'imaginais bien dans un Kilt au couleur verte. La différence entre les tartans de l'Irlande et de l’écosse c'est le vert. Le vert signifie la noblesse au moyen âge, mais le vert à une teinte différentes selon la région. Le vert de l'Irlande est plus clair que celui de l’écosse, le vert d’écossé ressemble a une émeraude non traité un verre foncé et éteint, comparé au vert de l'Irlande qui est légèrement plus clair ressemblant plus au couleur des landes. C'était très excitant de l'imaginer ainsi. Le fantasme le plus connu pour certain britannique c'est de voir sous les Kilts des hommes bizarrement ça l'intriguait de revoir ça.

« Au moins, tu admets que tu me trouve canon.. elle serait sans doute fière de voir que tu m'emmerdes et me tape sur les nerfs, mais moins de savoir que je suis, à tes yeux, aussi tentant que le plus beau des démons. » Oh ma pauvre mère si elle entendait ça. Mon dieu Mary, si tu entendais ce que dit cette homme. Es-tu si désespéré de moi... Hum bizarrement je ne crois pas, ma mère était comme une sauvageonne, le genre de femme caractérielle, c'est elle qui m'a appris à ne jamais me laisser faire contrairement à mon père qui lui était différent. Jack, Jack McAllister était un inventeur qui était au bord de la dépression nerveuse. Rêvant de choses fantasmagorique, ma mère a toujours dit que cette homme était un raté, pour moi c'était un héros, c'est lui qui m'a donné cette envie de prendre mon envol. « Elle aurait crée un autel pour cet acte de bravoure je suis sur. » Je me suis même mis a sourire, imaginant ma mère me félicitait derrière son bandeau de suffragette. Alors que je faisais en sorte de lui demander qu'est ce que cela faisait de coucher avec Écossais, bien que cela pourrait ne pas être la première fois. Mais bon ce n'est pas non plus mon premier Irlandais.

« C'est une horreur deary.. mais quand on a rien d'autre à se mettre sous la dent, tu restes passable. Si tu en parles, je nierais cette histoire en bloc, alors calme tes ardeurs, je n'ai aucun désir pour toi. » Je me suis mis à rire et en plus il faisais dans l'ironie je savais bien que tout cela semblait être surréaliste, ce n'est pas ce qu'il disait alors que nous faisions l'amour contre les murs de cet appartement ou bien dans le lit. Il fallait bien que cela reste discret, mais cela dit pourquoi m’amusais a lui dire des choses qu'il adore... Il me dégouttait avec sa fierté aussi malsaine que la mienne cela devenait presque blessant pour l'âme. « Tant mieux, je pense que je n'avouerai jamais que j'ai couché avec un Irlandais, je garde tout de même ma dignité. » je me suis approcher de lui posant ma main sur la bibliothèque, il était piéger le bourge et il n'allais pas s'en tirer a bon compte. Me faire passer pour un tuberculeux. Alors que je l'ai regardé avec une envie derrière la tête :

« Maintenant, je suis ravi de savoir que je suis maintenant le fruit de l'un de tes fantasmes... ton regard ne trompe pas. » Je me suis a sourire d'une façon qu'on pourrait dire très coquine, soudain j'ai baissé mes yeux voyant la tente qui se montait tranquillement dans le pantalon du jeune homme... mon sourire c'est agrandit je ne pouvais ne pas reagir quand même. Je ne pouvais m’empêcher de lui dire : « Et toi c'est ton pantalon qui ne trompe pas... Bonjour monsieur Irish... » Je glissa mon autre main justement sur cette tente m'apercevant alors que j'avais raison je lui dis alors doucement : « Tu aurais sans doute du remettre ton caleçon. » Je me suis mis a sourire, carressant doucement la tente, il fallais bien que je m'occupe de ça...Ce serait une honte de laisser cette homme partir sans le soulager. Un Crime pour l'humanité que sais-je. « Je suis sur que je peux soulager cet chose qui semble à l'étroit dans ton pantalon... »
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() message posté Mar 13 Mai 2014 - 14:03 par Invité
« Adorable ? Bien sur que je serais adorable, je suis toujours adorable, peu importe ce que je porte ! » s'exclamait directement Jonathan, avant de vouloir une fois de plus s'en coller une en pleine poire. Pourquoi est-ce qu'il répondait tout haut ce qu'il ne devrait dire que tout bas. Bien sur, il aurait de toute manière pensée cette phrase, mais il n'avait pas pensé la dire à haute voix.

Il faut dire aussi que le brun n'avait pas de tartan propre à sa famille pour sa part. Enfin... sa famille adoptive n'en avait pas, et même s'ils en avaient eu un, il se serait toujours refusé à le porter car ils n'étaient pas ses véritables parents. En revanche, s'il trouvait un jour sa famille de sang, il pourrait bien faire l'effort, s'ils étaient dignes d'intérêt et de son port selon lui.

Un autel ? Non sérieusement ? Si lui avait eu un gamin irlandais pure souche (évidemment) et qu'il venait à lui dire qu'il était avec un écossais ou en tout cas qu'il ou elle avait couché avec l'un d'eux, John aurait plutôt tendance à avoir l'impression d'avaler un jus de citron pur, à très mal accepter la nouvelle. Il serait sans doute capable de faire la tronche pendant des semaines d'ailleurs. Comme on dit, fait ce que je dis, pas ce que je fais.

Hey mais... c'est qu'il devenait frustrant le scottish là ! Si c'était une honte de céder à l'un des siens, il fallait au contraire être fier d'amener un irlandais dans son lit, surtout un comme lui d'ailleurs. Oui vous pouviez le penser, ces deux là étaient aussi fiers que des paons, incapables de mettre de côté leur rivalité héritée de génération en génération. Comble de tout, Mitchell ne pouvait plus fuir, Lewis l'avait coincé avec sa main posée contre la bibliothèque. Et merde... lui ne voulait que rentrer chez lui, parole d'irlandais !

« Et toi c'est ton pantalon qui ne trompe pas... Bonjour monsieur Irish... »

Son pant... oh c'est pas vrai... mais pourquoi est-ce que Mitchy – oui il lui donnait un surnom – ne pouvait pas se tenir un minimum tranquille en public ? Au moins pour son amour propre quoi !

« Tu aurais sans doute du remettre ton caleçon. »

Non sans blague ? Ça il l'avait compris tout seul, mais lui était tellement pressé de repartir – bien sur, nous y croyons tous maintenant – qu'il avait préféré attendre d'être rentré chez lui, histoire de ne pas craindre qu'un pervers d'écossais ne l'espionne. Ha bah il avait tout gagné, maintenant il avait une cruelle impression de déjà vu avec la veille, impossible de reculer une fois encore et donc, de nier ce qu'affirmait l'homme face à lui.

« J'aurais dû oui, mais tu n'aurais pas sût résister à la vue de mon corps dans ton appartement. La preuve, même encore couvert tu me cède. Je suis plus fort que je ne le pensais. » lançait-il avec un rire dans la voix, mais avouons le, la nervosité passait aussi clairement chez lui. « Je peux le faire seul aussi tu sais, il suffit que je t'imagine comme hier et ça me fera l'effet d'une douche glacée. »

Bon là, c'était la mauvaise foi qui parlait... si je vous disais la vérité... ? Oui, ce serait sans doute mieux. S'il tentait d'afficher un air dégoûté, il fallait avouer que de petites mimiques trahissait son véritable ressentit. Par exemple, il était assez peu crédible de croire en son dédain lorsque l'on le voyait certes tenter de reculer, mais se mordre la lèvre ou discerner un certain plaisir dans ce simple geste, tout en glissant une main dans le dos de Lewis pour l'amener contre lui.

Non vraiment, il était un menteur terrible... terriblement nul.

« Et moi je reste sur que tu en rêves depuis hier soir, écossais le malheur... »
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() message posté Dim 25 Mai 2014 - 16:22 par Invité
La vue du pantalon du jeune homme deformé par son erection plutôt incongru... me faisait doucement sourire, tel un magicien vaudoo je ne pensais pas capable de faire si vite de l'effet, je me souvient encore de cette soirée plus que bizarre n'empêche alors qu'il me repondu : « J'aurais dû oui, mais tu n'aurais pas sût résister à la vue de mon corps dans ton appartement. La preuve, même encore couvert tu me cède. Je suis plus fort que je ne le pensais. » Je ne pouvais m'empecher de rire, Je lui cèdes ? Je ne me demandais bien pourquoi il pensait ça, c'est bien lui qui est revenu, il aurait pu laisser son calecon à l'abandon est pourtant il est revenu : suicidaire ou purement un imbecile c'est encore quelque chose qu'il faut que je determine au plus vite : « Je peux le faire seul aussi tu sais, il suffit que je t'imagine comme hier et ça me fera l'effet d'une douche glacée. » Eh bien il recherchait la perfection dans l'arret de cet afflux sanguin qui profiler dans son jeans qui sembler vraiment trop a l'étroit. Cela dit l'air veinard du jeune homme ne me laissa pas de glace. Il semblait mentir, il ment aussi mal qu'un arracheur de dent ou comme Malcolm tout simplement... le plus mauvais Cascadeur... Enfin non ça c'est moi lui ce serait plus le plus mauvais menteur du monde et de la galaxie. Un genre d'oiseau Moqueur qui se fou de ta gueule quoi que tu dises ou fasses.

« Et moi je reste sur que tu en rêves depuis hier soir, écossais de malheur... » J'eu un grand sourire sur les lèvres, des pensées impur m'éffleura tel un ange passant ses ailes sur ma peau... C'était l'heure du jugement dernier rien a perdre tout a gagner tel était le crédo d'un des plus grand cambrioleur anglais. 'La Licorne'. Cela dit je me colla un peu plus a lui sentant sa bosse se serrer contre ma cuisse je lui dit alors : «  Tu es le plus mauvais menteur que je ne connaisse Monsieur le Leprechaun... Ta fierté te fais mentir... » Je m'approcha de lui pour saisir de ma main libre la bosse superflu, un sourire sur les lèvres amusé de cette situation : «  Pour repondre à ta certitude... Je ne rêve pas... j'agis. » Après avoir dit ses mots je m'en vais acquerir sa nuque pour deposa un baiser jouant en malaxant se que je tenais dans ma main... Il aurait pas du revenir... le grand mechant loup peut être perfide est un salaud sanguinaire quand il est en manque de sensation forte une chose que je ne connaissait que trop bien... Le goût du risque, cette limite a franchir... Ce point de non retour qui te fait perdre toute sensation de réalité morbide... la sensation de voler tel un Aigle quoi que l'aigle est un connard pretentieux...
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() message posté Mer 4 Juin 2014 - 15:12 par Invité
Jonathan était – soyons franc – de plus en plus mal à l’aise maintenant. Non parce que bon, savoir qu’il était un piètre menteur était une chose, se l’entendre dire par un écossais qui osait en plus le traiter de Leprechaun en était une autre. Il était bien entendu fier de ses origines – très fier même – mais détestait se faire appeler de la sorte par les personnes qu’il n’appréciait pas outre mesure.

Soucis numéro deux, Mitchy – oui nous parlions bien de ce que Lewis taquinait désormais – était d’une sensibilité telle qu’il était maintenant impossible de faire croire qu’il ne ressentait rien du tout, autant dire que le poisson était frais dans Astérix et Obélix ! Enfin… tout ça pour dire que oui, plus cela allait, plus son érection se faisait sentir et avec un grognement – qu’il jurera être de mécontentement par la suite, mais officiellement, c’était plus un mélange de plaisir et de frustration. Céder à un écossais, la honte suprême pour ce petit irish-boy.

« Tu ne rêves pas ? Hum. J’espère pour toi, car tu es un véritable cauchemars deary. »

Et nous allons arrêter la mauvaise foi ici, parce que là, Jonathan n’avait plus réellement de pensées cohérentes, il y avait un coups une insulte pour kilt-man, un coups un souvenir de la nuit de la veille – et quelle nuit bon sang ! – et le coups suivant, il préférait se taire et murmurer pour la forme un « ta gueule » avant d’embrasser le brun, pas aussi doucement qu’il l’aurait fait normalement, plus avec une forme de ‘violence’ , de fougue qui montrait bien qu’il ne voulait plus parler, juste agir comme le soumettais l’écossais. Non il parlait de l’idée, pas du fait qu’il allait se mettre à genoux devant ce type, il ne fallait pas rêver non plus hein !

S’il fallait être franc, et heureusement pour toi lecteur, je le suis, Mitchell n’avait pas vraiment peur du grand méchant loup. En vérité, se faire dévorer par ce dernier pouvait même être assez excitant… très intéressant même. Son esprit imaginait d’ailleurs plusieurs choses – plus ou moins confessable à un prêtre – tout en débouclant la ceinture de son nouveau Nemesis.
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