- terminée - LANCASTER ♠ J’aimerais être un flan. Un flan aux abricots.

RELAX, MAX Theodore, il est de ceux qui aiment profiter de la vie, qui détestent travailler et que lorsque enfin ils décident de s'y mettre... ils se font toujours virer de leur boulot. Sans jamais se prendre au sérieux dans ses petits boulots insignifiants, il revient toujours au même point de base: sans emploi et sur le canapé de ses demi-soeurs. S'il y a un truc qui l'énerve, c'est se plier aux conventions, aux règles et à tout ce qui semble "normal" aux yeux des autres. Il préfère vivre la vie qu'il souhaite, tel qu'il entend, peu lui importe les conséquences et le reste, il est bien trop insouciant pour le faire. LES ÉTUDES, ÇA CRAINT Certes, le Lancaster a survécu jusqu'à l'université, mais ne retenez pas votre souffle... il n'a, bien évidemment, jamais terminé ses études. Décrétant que ce lieu et ces études n'étaient pas pour lui, il a rapidement quitté les bancs de l'école pour enchaîner les petits boulots. Il n'a jamais été du genre à s'asseoir derrière ces petits bureaux qui vous serrent les genoux et ces chaises inconfortables qui ne vous donnent qu'une envie: vous lever et disparaître. Allergique aux études, il n'est plus jamais retourné à l'université. SID, C'EST MON MEILLEUR POTE Paresseux serait un euphémisme pour décrire Theodore. Lorsqu'il décide de s'étendre quelque part pour ne plus bouger, une armée d'éléphants ne pourrait le déplacer ou le faire changer d'idée. C'est aussi pourquoi il a perdu beaucoup de boulots. Combien de matins sont arrivés où le jeune homme a tout simplement décidé de ne pas se pointer au boulot sans aucun prétexte, tout simplement pour dormir plus longtemps ? Ces matins ne se comptent même plus sur les dix doigts des mains... ni sur les dix orteils des pieds. BAD BOY C'est un aimant à ennuis, littéralement. Il ne peut sortir de chez lui sans se retrouver dans des emmerdes incroyables, mais étonnamment, il finit toujours par s'en sortir. Le problème, c'est que ce n'est pas tout le monde qui apprécie son mode de vie dérangeant et nombreux sont ses colocataires qui l'ont chassés de par son attitude de "bad boy". Il n'est pas un mauvais garçon, mais il n'est pas faux de dire qu'il a une mauvaise attitude. Un jour, une lumière s'allumera quelque part et il décidera qu'agir comme un adolescent en manque d'attention n'est plus suffisant. MUSIC IS MY LIFE Si une chose peut bien passionner Theodore, c'est la musique. Il y a quelque chose dans ce domaine qui arrive à accrocher son attention. Un échappatoire, un autre monde dans lequel il se plonge aisément et où il tend à vivre toute sa vie. Un monde loin des problèmes et de tout ce que la vie peut amené d'ennuyeux. C'est un autre univers à découvrir pour lui et il serait bien intéressé à apprendre à jouer de tous les instruments. Il est même plutôt doué avec les instruments dont il sait déjà jouer, grâce à sa mère. Guitare, piano, violon, les instruments classiques, quoi. ART IS SO MUCH MORE La musique n'est pas le seul art qui intéresse le Lancaster. Bien qu'il est loin de maîtriser les autres formes d'arts, il n'en est pas moins passionné par le domaine. Le dessin est la seule autre forme d'art qu'il maîtrise très bien. La photographie est son prochain défi. Il possède cette impression que l'art est une large porte ouverte à univers qui lui est totalement inconnu, mais diablement fascinant. Et puis, le mode de vie d'artiste est bien près de celui qu'il mène actuellement. Vivre comme on l'entend, paresseusement. Il ne se soucie que de peu de la difficulté à se placer et du manque de travail, puisque c'est exactement le genre de métier qu'il recherche. Mais le moment où il tentera réellement de faire de l'art son métier est bien loin. Un manque de confiance ou tout simplement une nouvelle forme de paresse ? Ce n'est pas encore déterminé... RÉBELLION, FAIS MOI VIVRE Tendance à s'attirer les ennuis, amoureux de ce mode de vie, rien de son adolescence ne fut une surprise, à bien y réfléchir. Ses mauvaises fréquentations, ses premiers graffitis, ses premiers essais de l'alcool, de la cigarette, de la drogue. Il côtoie d'ailleurs toujours certains aspects de cette vie rebelle, mais il tente tant bien que mal de le dissimuler à ses demis-soeurs et leur colocataire, ne souhaitant pas se faire virer de leur appartement. Il tente de ne jamais revenir chez elles quand il est complètement saoul, il tente de ne jamais laisser ses vêtements s'imprégner de l'odeur de la cigarette... ou d'autre chose. Mais c'est bien le pire dans tout cela, si ce n'était que du respect qu'il possédait pour Scarlet et Eugenia, le Lancaster ne posséderait aucune gêne. Il se plait à être un aimant à ennuis, il se plait à vivre le mode de vie déchaîné qu'il vit, malgré toutes les conséquences. AH L'AMOUR, L'AMOUR... C'EST POUR LES FAIBLES, NON ? Amour ne serait pas encore un mot d'actualité, il est encore bien trop tôt pour cela. Mais il y a définitivement quelque chose chez Emery, la colocataire, qui intrigue et qui attire inexorablement Theodore près de la jeune femme. Son caractère, cette force en elle, ce quelque chose qui l'a pousse à vouloir faire de sa vie un enfer. Personne n'a jamais agit ainsi avec lui, et quelque chose le remue à l'intérieur. Il déteste l'amour, cette idée de l'attachement profond pour finalement souffrir. Il s'y refuse et parfois, il tend à vouloir s'éloigner de Emery et de ne plus jamais lui adresser la parole. Mais quelque chose le ramène toujours près d'elle et le force à continuer à agir comme si de rien était. Toujours à toucher à ses affaires, sachant à quel point elle en est irritée. C'est un cercle sans fin, peut-être vicieux aux yeux de Theodore. Il ne sait pas comment vivre cette relation qu'il développe avec la jeune femme. LA FAMILIA, Y A RIEN DE MIEUX, NON ? Parfois, Theodore se demande pourquoi il a attendu si longtemps avant de prendre contact avec ses demis-soeurs. Certes, parfois sa relation a été plus facile avec Eugenia qu'avec Scarlet, certes, il est conscient de parfois les irriter et les pousser à bout, certes il y a des engueulades, mais au fond du Lancaster... il y a aussi de l'amour. Peut-être ne l'avouera-t-il jamais à haute voix aux jeunes femmes, mais aujourd'hui, il ne se voit plus vraiment passer sa vie sans elles. Il ne se l'admet même pas à lui-même... mais il a besoin d'elles. LE MOU À L'INTÉRIEUR DE LA CARAPACE Rebelle, aimant à ennuis, etc... on pourrait continuer pendant des heures, mais les qualités qui transparaissent aussi chez le jeune homme sont le reflet de ce qu'il cache derrière cette façade. Séducteur, oui, mais aussi sociable, agréable et presque doux. Il tente tant bien que mal de le dissimuler, mais il possède une sensibilité bien plus grande qu'imaginable. Il est de nature méfiante, mais terriblement aimant lorsque l'on perce à jour ce mur de glace qu'il a érigé entre lui et le monde. Enfin, il faut le briser de l'extérieur pour découvrir ses secrets.