"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Je suis sur des montagnes russes qui ne font que monter. + Zoey.  2979874845 Je suis sur des montagnes russes qui ne font que monter. + Zoey.  1973890357
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Je suis sur des montagnes russes qui ne font que monter. + Zoey.

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() message posté Sam 11 Juil 2015 - 18:46 par Invité

   
Zoey Aria Wood

   
London calling to the faraway towns
NOM(S) :  Wood. PRÉNOM(S) : Zoey Aria. ÂGE : 26 y-o. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Née le 25 décembre ; double ration de cadeaux pour moi, à Long Beach en Californie, là où j'ai jamais vu la neige. NATIONALITÉ : Américaine.  STATUT CIVIL : Célibataire. MÉTIER  : Comédienne. TRAITS DE CARACTÈRE : Bavarde + Curieuse + Optimiste + Bohème + Maladroite + Intelligente + Ingénieuse + Romanesque + Sensible + Douce et brusque à la fois + Franche + Givrée + Exubérante + Téméraire + Créative + Pétillante + Sociable + Engagée + Débrouillarde + Bornée + Susceptible + Attachante + Explosive + Charismatique + GROUPE : The tube.

   


   
My style, my life, my name

   
❈ Gamine, je voulais vivre dans un arbre. ❈ Un café tous les matins, je ne connais rien de tel pour bien commencer la journée. ❈ Je suis une grande maladroite. ❈ Déjà enfant, je faisais du théâtre et j'avais un réel talent pour me fondre dans la peau de n'importe quel personnage. ❈ Je suis d'une sensibilité désespérante. ❈ Je suis végétarienne -comment pourrai-je manger ces pauvres bêtes ? ❈ Je suis un aimant à emmerdes. ❈ Je ris beaucoup, parfois pour un rien, parfois pour masquer mes larmes. ❈ Je suis excessivement franche, je dis souvent tout ce qui me passe par la tête. ❈ Je promène mon chiot, Diabolo, tous les soirs. ❈ Il parait que je suis givrée. ❈ Je me suis un jour déguisé en pikachu. ❈ Quand je fais le ménage, je chante, du coup j'ai dû crever les tympans de tout mon immeuble. ❈ Je déborde d'imagination. ❈ Je suis sans cesse en mouvement, rester assise sans rien faire me démange. ❈ J'ai une vie de bohème. ❈ Carpe Diem, est ma devise. ❈ Enfant, j'étais une véritable garçon manqué : les genoux écorchés, les cheveux coupés court et ma passion pour les pirates. ❈ J'adorai l'escalade jusqu'à que ce que je fasse une chute... miracle ; je suis toujours en vie ! ❈ Je suis d'un optimisme à tout épreuve. ❈ Je suis quelqu'un de pétillant. ❈ Depuis que j'ai soignée un chaton maltraité enfant, je milite pour le droit des animaux. ❈ Je possède un tempérament de feu, gare à tout ceux qui oseront me marcher sur les pieds. ❈ Je m'emporte très vite. ❈ J'ai une grande collection de coquillages ramassée quand j'étais enfant, je me suis jamais résolue à m'en séparée. ❈ Je suis une grande curieuse. ❈ Il parait que je suis un peu tarée sur les bords. ❈ De drôles d'idées un peu loufoques me passe par la tête parfois, pire encore ? je les réalise. ❈  Je me passe souvent les mains dans les cheveux quand je suis stressée. ❈ J'ai des tics tordus, parfois. ❈ Je suis une gamine dans l'âme à certains moments. ❈ Je m'attache beaucoup trop vite. ❈ Je suis une femme romanesque et romantique. ❈ Je parle énormément, je ne supporte pas le silence. ❈
   
PSEUDO :  Lya.  Je suis sur des montagnes russes qui ne font que monter. + Zoey.  2979874845 PRÉNOM : Lynda. ÂGE : 14 ans. PERSONNAGE : scénario.  AVATAR : Emily Browning. CRÉDITS : /// COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Un top site :3 CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?: Nop.


   

   
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() message posté Sam 11 Juil 2015 - 18:50 par Invité
At the beginning

   


Les maquilleuses tourbillonnent autour de moi, font les dernières retouches et s'esquivent enfin. Je me regarde dans le miroir et je ne peux m'empêcher d'éclater de rire. Mon agent artistique me sourit et me répète encore une fois que je suis magnifique et que je vais tout déchirer, je sens le stress grimpé et ma gorge se noue : je n'en suis pas si convaincue que ça moi, que tout va bien se passer. « Sois toi même et tout ira bien », me chuchote t-il, juste avant que je pénètre dans le plateau. Je suis saluée par une ovation d'applaudissements  et je leur offre l'un de mes plus beaux sourires, pas l'un des faux, celui de la panel Colgate et j'adresse un petit signe de main au public.

«  Zoey ! » s'exclame Tristan, le présentateur de l'émission. «  Comment allez vous, beauté ? » me demande t-il, on nous faisant la bise.

Je roule des yeux exagérément lorsqu'il m'offre un sourire charmeur ; ça fait rire le public.

« Bien et vous ?  »
je lui demande, un sourire malicieux au coin des lèvres.

Je m'installe sur un fauteuil rouge, Tristan en face de moi. Étrangement, je me sens immédiatement à mon aise, même si l'émission doit être vus par des milliers de téléspectateurs dans le pays. Peut-être que ma place est sous le feu des projecteurs, qui sait ?

«  Très bien ! » s'exclame le présentateur. «  Il parait que vous devenez l'une des actrices à garder à l’œil, Zoey ? » demande t-il, en passant une main dans ses cheveux.

«  C'est vous qui le dîtes, Tristan. » je réplique, en lui adressant un clin d’œil.

«  Vous avez été divine dans le rôle de Pénélope. » il me complimente, je souris. «  Ça était vraiment génial de se mettre dans la peau de Pénélope, j'ai adorée la jouer. » je réponds. « Regardez donc ce que nous avons trouver  ! » s'écrit-il soudain.

Je suis son regard vers l'écran et lorsque j'aperçois la photo, je ne peux m'empêcher de pouffer de rire et je suis bientôt prise d'un fou-rire. Sur la photo, je vois deux gosse, l'un qui entoure l'autre à l'aide de son bras : lui c'est Xander, mon meilleur ami de toujours, l'autre s'esclaffe une part de gâteau au chocolat dans ses doigts poisseux. L'autre, c'est la petite Zoey.

«  Vous comptez afficher toutes les photos humiliantes de moi, Tristan ? Parce qu'il faudra y passer toute la nuit ! » il rit, le public aussi. « Vôtre sourire n'a pas changé, Zoey. Vous avez grandie à Long Beach, en Californie, c'est ça ? Qu'est ce que vous ressentez à la vue de ce cliché ? »

Je regarde soigneusement la photo, je semble l'éplucher du regard. Il y a la mer derrière, houleuse et agitée, un orage devait éclater bientôt, un oiseau est posé sur un rocher et nous sommes assis sur le sable blond. Deux gosses, deux casses-cou, qui voient leurs parents tous les trente six du mois. Miss Marple, ma nourrice anglaise -une vieille femme sévère et douce à la fois-, a dû prendre la photo. Ce cliché c'est... tous mes souvenirs. C'est le sable chaud de la plage derrière notre grande maison à la façade blanche, c'est les coquillages que je glissais dans mes poches, c'est la mer dont laquelle je trompais mes pieds en riant, c'est la colline où on jouait aux pirates avec Xander, c'est les tartes aux pommes chaudes que nous préparaient Miss Marple, c'est nos blagues débiles, c'est nos farces montés avec ingéniosités, c'est nos rires qui résonnent dans tout le quartier, c'est nos déguisements grotesques avec lesquels on se pavanaient dans tout le quartier -on adoraient attirer l'attention. C'est tellement de choses.  

«  De la nostalgie. » je rétorque.

Il hoche solennellement la tête comme si il comprenait mais c'est seulement pour les caméras.

« J'imagine qu'à cet âge là vous vouliez déjà devenir comédienne ? » il demande. « Sûrement pas !  » je m'écris. « A cette époque mon rêve était de sauver les baleines bleues. » étrangement, ça fait rire le public comme si c'était ridicule mais je souris tout de même. « Sérieusement » j'ajoute, avec malice. « Mais il m'arrivait, avec mon meilleur ami, qu'on se déguise et qu'on improvise des scènes et des histoires dans le grenier. »

Je revois encore la pièce sous les toits, j'adorai m'y réfugier, le parquet craquait quand je faisais un pas, la poussière s'envolait quand je dénichai de vieux objets, une odeur de chèvre-feuille flottait dans l'air et la lumière tamisée m'enveloppait chaleureusement. Il y régnait un mystère qui faisait travailler mon imagination débordante. Et c'était tout un spectacle quand Xander me rejoignait là-bas, une fois on avait dessinés sur les murs avec de la peinture. Je me demande si la marguerite que j'avais peins y est toujours.

«  Vous avez eu néanmoins une adolescence difficile ? »
questionne Tristan, me tirant de mes pensées. J'acquiesce. « Oh, vous savez, j'imagine qu'on a tous un adolescent rebelle en nous. Pour ma part, c'était simplement plus... explosif ! »  c'est un sujet assez épineux et j'éclate de rire, comme pour prouver que je suis parfaitement détendue.

Quand j'y pense, c'était prévisible, deux parents jamais là, une gamine au tempérament de feu qui croulait sous le luxe et qui cherchait à attirer l'attention, on allait sans doute droit dans le mur. Je me rappelle encore de ce soir où je m'étais enfermée dans ma chambre pour écouter de la musique. L'idée était venue comme un éclair, imprévisible. A dix sept ans, avec les Beatles comme bande-son, je préparai ma fugue. J'ai fourrée mon nécessaire vitale dans deux sacs de sports et j'ai attrapée de l'argent liquide -gagné à la sueur de mon front lorsque je bossais dans un cabinet vétérinaire pendant l'été. J'ai pris les clés de ma voiture et je suis parie de cette maison, sans me retourner, sans un dernier adieu. Mon but était de faire le tour du pays sauf que pour cela il fallait de l'argent. J'ai roulée à vitesse grand V le jour et la nuit, les fenêtres ouvertes jusqu'à Santa Barbara. Pour la première fois de tout ma vie, je me sentais enfin libre. J'ai enchainée les petits boulots : serveuse, caissière, baby-sitter. Pour enfin me rendre compte que j'avais du mal à joindre les deux bouts. J'étais dans un bar miteux lorsque j'ai fais la rencontre de Alix, on a sympathisé avec un verre, elle faisait partie d'un groupe de voyous qui volaient les riches. J'ai trouvée ça amusant, ça m'a fait penser à Robin des Bois, alors naturellement, je les aient rejoins. Ils sont devenus ma presque-famille. Je ne saurais même pas dire si je le regrette aujourd'hui.

« Vous avez été tout de même condamné à deux mois de travaux forcés pour vol ! »
s'exclame Tristan. Je hoche gravement la tête.  « Vous êtes bien informés Tristan, j'ai toujours eu une âme de rebelle. Et je le regrette amèrement aujourd'hui. » je dis ;  c'est faux mais c'est ce qu'ils veulent entendre. « L'avantage à présent, c'est que je serais parfaite dans le rôle de l'adolescente paumée qui vole pour faire criser ses parents ! » je dis en riant, toujours finir par une touche d'humour. « Si vous deviez remercier quelqu'un aujourd'hui, quelqu'un qui a contribué à ce que vous êtes devenue aujourd'hui, qui se serait ?  » demande Tristan, en se penchant légèrement vers moi.

Pas la peine de réfléchir. Suite aux deux mois de travaux forcés, j'étais à la recherche d'une vie plus stable. Ma grand-mère m'a ouvert les bras, je suis allée la rejoindre à New-York. C'était une vieille femme qui irradiait le bonheur, qui respirait la joie de vivre, elle avait toujours des bonbons au citron sur elle -tout chez elle, sentait le citron, du salon jusqu'à la salle de bain- et elle dirigeait une petite troupe de théâtre pour les jeunes enfants du quartier. Avec son aide, j'ai trouvée un poste de secrétaire dans une agence matrimonial, un travail ennuyeux au possible mais stable et qui me permettait de payer ma part du loyer. Grand-mère est morte suite à une crise cardiaque, tout ce à quoi je pensais avait été chamboulé, balayé d'un revers de la main. Une vie bien rangée, une vie monotone, c'était pas pour moi. J'ai envoyée ma démission et quelques semaines plus tard, un agent artistique m'avait repérée, décidant de faire de moi une comédienne. C'était une bouffée d'un air frais, d'un air nouveau. J'ai enchaînée les petits rôles, jouée dans quelques pubs, puis j'ai incarnée Pénélope, ce qui m'a fait décollée. Tout semblait être parfait, semblait, seulement.

« Ma grand-mère, où quelle soit je la remercie et j'espère qu'elle est fière de moi. » je chuchote, émue. «  Il y a peu vous  avez participer à une compétition de tatouage ? Vous avez donc plusieurs cordes à vôtre arc, Zoey ! » demande t-il. « Oui, ça a été une expérience fabuleuse. » je réponds joyeusement.

On m'avait proposée d'intégrer cette compétition dans le but de faire de l'audimat, les producteurs voulaient sans doute jouer sur mon charisme. J'avais acceptée, ça me semblait être une expérience très intéressante, en quelques mois, j'avais appris les rudiments du tatouage. C'était un rôle des plus faciles et pourtant j'avais réussi à me mettre dans le pétrin en la personne de Delsin Sullivan.
Deux autres photos s'affichent à l'écran : l'une où on rit, l'air complice, penchés l'un vers l'autre et l'autre où Delsin m'embrasse. Mon cœur fait une galipette dans ma poitrine, menace de sortir de ma cage thoracique, je passe nerveusement une main dans mes cheveux.

« Vous filez toujours le parfait amour, j'imagine, avec Delsin Sullivan, le vainqueur de la compétition, c'est bien ça ? » demande Tristan, un sourire en coin se lit sur son visage. Dans le fond de ses yeux, j'aperçois une curiosité malsaine et il me fait l'effet pour la première fois l'effet d'un vautour. « Non » je réponds, en lâchant un petit rire. « C'était sympa entre nous mais c'est fini, il est rentré à Londres. » j'ajoute, d'un ton que je veux détaché. « Oh, dommage ! Vous étiez mignons ensemble ! » s'exclame Tristan.

Je hausse les épaules, un sourire contrit étire mes lèvres. Si seulement tout était aussi simple que je venais de le présenter, ça m'aurait éviter de souffrir ainsi. Non seulement c'était sympa entre nous, mais je m'étais irrémédiablement attachée à lui, pire encore, j'étais tombée amoureuse de ce crétin. Ça me donnait des ailes puis il y a eu que la douleur. Ma plus grande tare restera sans doute de m'attacher trop vite et d'être déçue par la suite. Je traine encore le poids de sa promesse, une carcasse qui se cramponne à moi comme un dernier espoir, alors qu'un océan sépare ce fumier de moi.

«  Vous avez des projets pour la suite, Zoey ? » me demande le présentateur. Je fais mine de réfléchir. « Non aucuns, comme toujours je vais vivre la vie au jour le jour. La vie n'est après tout pas un long fleuve tranquille. Qui sait ce qu'elle me réserve encore ? » je rétorque, avec un sourire délicieux.  

« COUPE !  »

Je lâche un soupir de soulagement, c'était pas si terrible. Mon agent artistique lève deux pouces en l'air, je lui souris. Tristan me serre dans ses bras puis j'attrape mon sac et je quitte rapidement les lieux, en saluant tout le monde d'un signe de la main. J'attrape un taxi dans la rue.

« L'aéroport, s'il vous plait. »
je glisse au chauffeur.

Lors du trajet, je me remémore la scène d'hier matin. Ma meilleure amie était venue me rejoindre dans mon appartement alors que je l'avais appelée plus tôt pour lui crier « SOS » et lui crever les tympans en lui transmettant mon torrent d'angoisse. « Alors ? » m'avait-elle pressée. Je lui avais tendue le test de grossesse avec une grimace. « Le père ? » avait-elle demandée, autant sous le choc que moi. « Sullivan. » j'ai grognée. Elle m'a prit dans ses bras et j'ai fondue en larmes ; je n'étais absolument pas prête à porter un mioche, ce n'était pas dans mes plans, tout autour de moi s'effondrait. « Qu'est ce que tu compte faire ? » a demandée ma meilleure amie en m'ayant eu au téléphone ce matin. « Aller à Londres. » j'avais répondue, sûre de moi. Je ne suis plus très sûre de moi à présent. Mais je refuse que mon morveux n'est pas de père, je ne voulais pas qu'il est à subir ce que j'avais eu à subir moi dans mon enfance. Même si je devais prendre sur moi pour cela.

Et après tout, j'avais toujours rêvée de voyager, de visiter Londres. Là, c'était différent certes, j'y allée pour m'y installer.
J'aurais dû naitre anglaise, je me serais balader dans Londres avec le fol espoir de rencontrer J.K Rowling au coin de la rue, j'aurai assister à la relève de la garde de Buckingam Palace, j'aurai écoutée les Beatles à longueur  de journée et je boirai le thé en levant le petit doigt, comme une vraie dame.

La vie n'est décidément pas un long fleuve tranquille.
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() message posté Sam 11 Juil 2015 - 18:55 par Invité
Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche. I love you
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() message posté Sam 11 Juil 2015 - 18:59 par Invité
Bienvenue parmi nous, n'hésite pas si tu as besoin. Je suis sur des montagnes russes qui ne font que monter. + Zoey.  2941632856
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() message posté Sam 11 Juil 2015 - 19:05 par Invité
Bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche Je suis sur des montagnes russes qui ne font que monter. + Zoey.  208687334
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() message posté Sam 11 Juil 2015 - 19:07 par Invité
Emily Je suis sur des montagnes russes qui ne font que monter. + Zoey.  878725457 très bon choix de scénario & bon courage pour ta fiche Je suis sur des montagnes russes qui ne font que monter. + Zoey.  3209449636
+ il faudrait mettre le nom de ta célébrité en sous-titre s'il te plait Je suis sur des montagnes russes qui ne font que monter. + Zoey.  2555317567

Hésite pas à nous contacter en cas de question. Je suis sur des montagnes russes qui ne font que monter. + Zoey.  208687334
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() message posté Sam 11 Juil 2015 - 19:23 par Invité
Emily Je suis sur des montagnes russes qui ne font que monter. + Zoey.  1973890357

bienvenue et bon courage pour ta fiche (=
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() message posté Sam 11 Juil 2015 - 19:26 par Invité
bienvenue parmi nous. Je suis sur des montagnes russes qui ne font que monter. + Zoey.  2941632856
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() message posté Sam 11 Juil 2015 - 19:30 par Invité
Ton titre Je suis sur des montagnes russes qui ne font que monter. + Zoey.  878725457 j'adore ! Je suis sur des montagnes russes qui ne font que monter. + Zoey.  2956214381
Bienvenue ! Bon courage pour ta fiche Je suis sur des montagnes russes qui ne font que monter. + Zoey.  1973890357
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() message posté Sam 11 Juil 2015 - 19:35 par Invité
Bienvenue parmi nous Je suis sur des montagnes russes qui ne font que monter. + Zoey.  1973890357
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