"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici “La beauté plaît aux yeux, la douceur charme l'âme.”  - Scarlett (HOT) 2979874845 “La beauté plaît aux yeux, la douceur charme l'âme.”  - Scarlett (HOT) 1973890357
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“La beauté plaît aux yeux, la douceur charme l'âme.” - Scarlett (HOT)

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() message posté Sam 27 Juin 2015 - 23:26 par Invité
Est-ce que j’habitais loin ? Oui, on pouvait considérer que l’est de Londres, où j’habitais donc, était loin du nord, là où nous avions bu un verre. Mais Scarlett habitait tout aussi loin d’après mes souvenirs. Elle Stratford, moi Shoreditch, c’était du pareil au même. Enfin, « du pareil au même », peut-être pas. Je ne savais pas comment c’était chez elle, mais chez moi, c’était un véritable chantier. Mon appartement était un cliché de l’appartement de l’homme célibataire. Certains disaient que c’était le bordel, je préférais appeler ça mon « bordel organisé ». Vu comment les choses avançaient entre la demoiselle et moi, je n’avais pas vraiment envie de tout gâcher à cause de l’état lamentable de mon appartement. Il faudrait que je pense à ranger tout ça un jour, en cas d’imprévu de ce type. La douce Scarlett m’avait dit ne plus être vraiment à l’aise au bar, et j’avais aisément compris pourquoi. Ces mecs… Inutile de s’étendre sur leur sujet, tout avait déjà été dis et leur cas était désespéré. Je me levai alors, vidai mon verre et remis mon perfecto avant de sortir de l’établissement à la suite de Scarlett. Dehors, le vent était frais, les rues étaient calmes, et nous étions bien décidés à ne pas terminer la soirée ainsi. Très vite, nous primes la décision d’aller chez elle plutôt que chez moi et d’y aller en taxi. Pendant la dizaine de minutes d’attente pour le taxi, elle et moi nous nous regardions en silence, comme si nous nous analysions, comme si elle et moi cherchions à savoir ce que voulais l’autre. En dehors des deux baisers échangés au bar quelques minutes plus tôt, le reste n’était pas très clair et alors que je m’approchai d’elle pour l’embrasser, le taxi klaxonna pour signaler son arrivée.

Destination donnée, le taxi démarra dans un bruit de moteur rutilant. La voiture était très classe pour un simple taxi et la musique en fond plutôt agréable, Gorillaz – Clint Eastwood, sympa et rythme lascif bien adapté à la situation. Le silence régnait. Depuis la sortie du bar, je ne savais plus quoi dire à la brunette. Par chance, elle fit à nouveau le premier pas en posant une main au niveau de mon genou. La proximité n’était donc pas qu’une façon d’éloigner des mecs un peu lourds, c’était aussi une vraie volonté de sa part de se rapprocher de moi. Mais le rapprochement n’était toujours pas clair. Plus direct et un brin malpoli, je posai ma main sur l’intérieur de la cuisse de Scarlett, à un niveau qui restait tout de même décent. Nous échangeâmes un sourire et échangeâmes un baiser langoureux, baiser que le conducteur ne semblait pas apprécier puisqu’il toussa de manière peu naturelle pour nous demander d’arrêter. Scarlett se redressa, moi également, je lui souris, elle en fit de même, et la fin du trajet se déroula en silence, main dans la main. En moins d’une demi-heure, le véhicule s’arrêta. Je réglai la course et sortis au pied d’un immeuble quelconque. La jeune femme brisa le silence d’un « C’est là. » qui sentait l’impatience, du moins, c’était l’analyse que j’avais envie de faire.

Je suivais la jolie brune qui marchait devant moi, me montrant le chemin jusqu’à son appartement. Ce chemin justement, je ne le regardais pas. Je ne savais même pas à quoi ressemblait l’immeuble dans lequel nous étions entrés pour la simple et bonne raison que je ne l’avais pas regardé. A vrai dire, mes yeux étaient rivés sur Elle, tandis que je me mordais la lèvre inférieure. Je ne savais pas si j’étais le seul à ressentir cette tension, mais j’étais quasiment certain que ça allait arriver : Scarlett allait m’ôter ma virginité, je le sentais venir et ça ne me déplaisait pas, au contraire. Cependant, il y avait un petit souci. Ou plutôt deux en fait. D’une part je n’étais pas du genre à avoir de préservatif sur moi, dans mon portefeuille, inutile pour une personne comme moi qui ne cherche pas à coucher tous les deux jours et d’autre part, j’étais nerveux. De ma virginité découlait mon inexpérience. Et si Scarlett attendait beaucoup de moi ? Si j’étais nul ? Pour une fois, le fier et solide Edgar Hamilton était intérieurement chancelant. Je sentais à présent la panique m’envahir, tout autant que l’excitation. Curieux mélange. Nous montions quelques marches jusqu’à ce qu’elle m’indique d’une petite voix timide, que nous étions arrivé à son étage. Ma patience était alors à son paroxysme et alors que ce n’était plus qu’une question de secondes, j’attrapai Scarlett par la main, la tira pour qu’elle se retourne vers moi et la plaqua contre le mur à côté de sa porte d’entrée en l’embrassant fougueusement. Elle semblait répondre positivement à mon initiative, quoi que, je n’en savais rien, trop pris dans l’instant présent pour réfléchir vraiment à ce qu’il se passait. Ma bouche se détacha de celle de mon ex stagiaire pour aller se refugier dans son cou tiède. Une de mes mains glissa le long des hanches de la demoiselle et arrêta sa course à mi-cuisse pour lever légèrement la jambe en question. Quelques secondes plus tard, alors que je m’affairais toujours à couvrir le cou de la brune de baisers passionnés, ma seconde main mima la première et je me retrouvai alors à porter Scarlett qui était toujours plaquée contre le mur. Plutôt grande d’habitude, elle me toisait à présent dans cette position. Je n’avais plus accès qu’au bas de son cou. En fait, mon visage était plus proche du décolleté de la jeune femme qu’autre chose. Dans le même élan d’excitation, je me mis à l’embrasser entre les seins avant de m’interrompre très vite lorsque j’entendis une porte s’ouvrir à l’étage du dessus. Essoufflé, je remis délicatement Scarlett sur ses pieds, l’embrassai rapidement avant de lui sourire. Je pense qu’on devrait rentrer, tu ne crois pas?
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() message posté Mar 30 Juin 2015 - 21:40 par Invité
La beauté plaît aux yeux, la douceur charme l'âme.
EDGAR & SCARLETT

✻✻✻ « On peut aller chez moi si tu veux. » C'est dit, c'est sortit c'est trop tard et je ne peux plus reculer devant rien. Edgar semblait réticent à l'idée de trouver un endroit où nous pourrions nous trouver en tout intimité c'est pourquoi j'ai proposé mon appartement. Cet appartement cosy, peint de murs blancs, avec quelques touches de noir et de rose, un appartement de fille avec des tapis, un nid douillet quoi. Nous sommes donc dehors à attendre un taxi qu'Edgar vient d'appeler. La discussion n'est déclenchée par aucun de nous deux, nous nous contemplons juste. Je trouve d'ailleurs ce moment un peu gênant, je déteste lorsque l'on m'observe avec autant d'insistance. Edgar lui, n'a pas l'air d'être déstabilisé. Il arrive alors près de mon visage pour m'embrasser lorsque le taxi que nous avons commandé se fait entendre. Nous montons donc tous les deux à l'arrière. Je donne alors mon adresse exacte au chauffeur de taxi et nous démarrons jusqu'à cette destination.

Le silence est toujours à son comble, je décide donc de faire le premier pas en glissant ma main sur le genou d'Edgar tout en laissant mon regard défilé devant les lumières illuminées des commerces de ce beau Londres. Edgar quant à lui, dépose sa main à l'intérieur de ma cuisse, geste qui me fait alors frissonner et me donne chaud. Certes, ça ne fait pas très longtemps que j'ai eu des rapports sexuels avec un homme, mais le contact d'une nouvelle peau sur la mienne m'excite. Face à ça, je me tourne face à lui, je lui souris et il fait de même. Puis, nous nous embrassons langoureusement. La chaleur monte d'un cran et je sens que la fin de soirée va être intense et bonne. Cependant, je suis tout de même gênée par la présence du chauffeur et cela se fait surement ressentir dans ma façon d'embrasser. Le chauffeur est également gêné puisqu'il tousse afin que nous arrêtions cet acte intime. Je me redresse et me rhabille comme si nous venions de faire quelque chose de mal. Je regarde Edgar qui me sourit et j'en fais de même à son égard. Une fois arrivée c'est Edgar qui paye le trajet, je suis un peu mal à l'aise mais je sais que si je refuse ça va être un débat pendant dix minutes et ça nous fera que perdre du temps. Lorsqu'il sort à son tour, je lui montre mon appartement de la main « C'est là. » dis-je en souriant. Nous nous dirigeons alors vers l'immeuble, je tape le code de l'entrée et nous montons quelques marches jusqu'à arriver devant la porte de mon appartement. « C'est bon on est arrivé. Il n'y a malheureusement pas d'ascenseur dans cet immeuble. » dis-je en soupirant un peu. Je cherche alors les clés dans ma pochette quand Edgar m'attrape la main pour me plaquer contre le mur et m'embrasser avec fougue. Je suis toute émoustillée, j'ai chaud, pour un débutant il sait s'y prendre. Je sens son odeur contre moi, sa langue qui s'emmêle avec la mienne. Ma respiration s'accélère. Je passe alors une main dans ses cheveux en n'en tirant quelques uns. Edgar passe ensuite sa bouche dans mon cou. Je ferme alors les yeux et ma tête cogne contre le mur tellement ses baisers me font du bien. Je respire de plus en plus fort quitte à laisser échapper de minis gémissements. C'est tellement bon ! Et il est tellement doué pour un mec encore vierge. Ensuite, il s'empare de ma jambe puis de l'autre, il me porte et n'hésite pas à m'embrasser entre les seins. La température va exploser et moi avec. Je sens que ma culotte est en train de se mouiller. Je me mords alors la lèvre inférieur, tellement fort qu'elle risquerait de saigner si il ne s'arrête pas. Je tire encore ses cheveux puis nous entendons une porte s'ouvrir à l'étage d'au dessus. La température redescend lorsque Edgar me repose à terre. Je toussote légèrement, et remets mes cheveux en place. Mes joues sont roses tellement j'ai chaud d'excitation, ma lèvre inférieur l'est également. Je regarde Edgar avec un petit sourire puis je cherche à nouveau mes clés dans mon sac. « Oui il vaudrait mieux, on serait plus tranquille. » Une fois mes clés trouvées, je m'empresse d'ouvrir les verrous. J'entre, je me retourne et tire légèrement Edgar contre moi pour qu'il entre et lui faire comprendre que j'ai très envie de lui. Je claque ensuite la porte. J'embrasse Edgar et enlève mon sac et ma veste en même temps que je jette au sol. Je continue encore et toujours d'embrasser mon partenaire avec fougue. Ma respiration reprend alors la vitesse qu'elle avait dans le couloir puis j'enlève le perfecto et le t-shirt de mister Hamilton. Je déboutonne également son jean. Pour sa part, il se charge d'enlever ses chaussures à l'aide de ses pieds ainsi que ses chaussettes. Je le prends ensuite par la main et l'embarque jusqu'à ma chambre. Une fois arrivée, nous tombons sur le lit. Je stoppe l'acte un moment, je regarde Edgar dans les yeux, les miens pétillent et mes joues sont toujours aussi rosées. « J'ai tellement envie que tu me fasses l'amour  ... » dis-je en chuchotant. La petite Scarlett timide fait face à la chaude en quête de sexe.



✻✻✻
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() message posté Mer 1 Juil 2015 - 1:05 par Invité
J’avais bien fait de m’arrêter. La personne qui avait ouvert sa porte l’avait fait dans l’unique but de comprendre quelle était la source des bruits qu’elle avait entendu dans les parties communes. Avant que cet illustre inconnu ne s’aventure dans les escaliers pour traquer ces bruits, Scarlett avait ouvert la porte de son appartement et m’avait tiré à l’intérieur. Elle ne semblait pas aussi intriguée que je l’étais par ce voisin. De nature curieux, j’aurais voulu en savoir plus, j’aurais voulu savoir s’il voulait profiter du spectacle, si, outré, il aurait porté plainte ou si il n’était pas parvenu à identifier les bruits et voulait s’assurer qu’un sans domicile fixe n’avait pas élu domicile dans les escaliers. Toutes ces questions resteraient éternellement sans réponse. Je n’étais pas si déçu que ça, non, car mon attention fut vite captivée ailleurs. Scarlett. Elle était déchainée comme jamais elle ne l’avait été auparavant, pas avec moi. Même si je partageais bien évidemment son excitation, j’étais intérieurement paniqué. J’étais vierge bordel ! Envolé le fier et vaillant Edgard, bonjour le fébrile et apeuré puceau. Je ne devais pas lui laisser voir ça. Ma fierté, mon assurance, ma carapace de froideur, tout ça devait me protéger. Scarlett m’embrassa plusieurs fois, et chaque fois je répondis à ses baisers, parfois en lui tenant le visage entre mes mains, parfois en devant m’arrêter et lever les bras alors qu’elle me déshabillait avec une impatience non dissimulée. En moins de deux, je me retrouvai torse nu, le pantalon au genou et tiré vers la chambre. Sur le chemin vers cette pièce de tous les vices, je terminai de retirer mon jean et étais à présent le seul de nous deux en petite tenue. Mais cette situation ne resta pas ainsi bien longtemps. Enfin, je ne voulais pas qu’elle reste ainsi bien longtemps. Dans les faits, Scarlett portait une combinaison, et je ne savais pas du tout comment m’attaquer à la chose. De manière peu sensuelle et pas du tout excitante, je me mis à scruter sa tenue pour trouver par où je pouvais l’enlever. Je finis par trouver la solution dans le haut de son dos après l’avoir faite s’asseoir, mais je n’étais pas rendu. J’avais déjà tué toute ambiance érotique, ça n’étaient pas les vingt secondes que je mis à défaire le clip qui changeaient quelque chose. Surtout qu’il y avait encore une fermeture éclair dans le bas de son dos. Pour tenter de me rattraper, je me postai devant Scarlett, l’invitait à se remettre debout et l’embrassai langoureusement tout en dézippant à l’aveugle sa combinaison, et ce avec succès ! Première victoire. Je me détachai alors d’elle et affichait le première sourire satisfait depuis que j’avais pénétré dans son appartement, genre « Tu vois, je sais le faire ! » alors que j’avais été d’une maladresse sans nom quelques secondes plus tôt…

Je fis glisser la combinaison le long du corps chaud de Scarlett qui me fixait en se mordant la lèvre inférieure. Nous étions maintenant à égalité parfaite, tous les deux en sous-vêtements, sauf que je fus plus rapide à m’attaquer aux siens. Là encore je fis preuve d’un peu de maladresse mais très vite je la dénudai avant d’enlever moi-même mon boxer. Voilà, le moment fatidique allait se produire, je ne pouvais plus reculer et à en croire mon corps, et surtout mon entrejambe, je n’avais pas envie de m’arrêter là de toute manière. Comme dans le couloir, je portai la demoiselle qui m’enlaça de ses jambes et à nouveau, nous tombions sur le lit. Je pris et déchirai le petit carré d’aluminium que j’avais posé sur la table de chevet, j’en tirai le petit disque de latex et l’enfilai avec une étonnante facilité sur mon pénis. Si j’assurais autant pour la suite, alors je garderai un bon souvenir de ma première fois. Embrassant Scarlett dans le cou tout en lui tenant fermement le sein gauche, je la pénétrai pour la première fois. Pas encore de va-et-viens, loin de l’orgasme, mais je n’étais techniquement plus vierge. Sauf que voilà, les choses ne se passèrent pas totalement comme je l’aurais souhaité. Le geste « d’aller et venir » en elle était théoriquement simple, mais dans la pratique, je fus incapable de maintenir un rythme constant, de varier le rythme et par moments, dans des mouvements trop amples, mon sexe tendu s’extirpait de celui de Scarlett. Concentré plus que libéré, j’étais tendu et mal à l’aise. Cette partie de jambes pas du tout en l’air dura une petite dizaine de minutes. Dix longues minutes de malaise pour moi, je n’avais pas senti ma partenaire prendre beaucoup de plaisir.

Une fois tout ceci terminé, je m’affalai sur le dos, à ses côtés et penchai la tête pour la regarder, en silence. J’étais en sueur et essoufflé, elle était calme et n’avait pas transpiré. Nous n’avions visiblement pas vécu la même expérience et, de toute manière, sans la regarder, je l’aurai su. J’avais eu espoir d’être tout de même un bon coup malgré ma virginité, j’avais été pitoyable et je me levai avant de recevoir un « Ce n’est pas grave tu sais ? » qui m’aurait énervé irrémédiablement. J’aurais pu être indifférent, ne pas accorder d’importance à cet échec, me dire que ce n’était Scarlett, mais voilà, je n’étais pas indifférent, j’accordais beaucoup trop d’importance à cet échec et JUSTEMENT, c’était Scarlett, ce n’était pas n’importe qui. En arrivant dans l’appartement, je n’avais pas eu le droit à une petite visite des lieux que je découvrais. Ce fut donc après de longues secondes de recherche que j’arrivai finalement à la salle de bain. Appuyé sur les bords du lavabo, je me regardai, l’air sévère dans le miroir. Mon reflet m’en voulait, à en croire ses traits tirés et son regard noir. Ma première fois aurait du être planifiée, prévue de longue date, pas si… imprévue que ça, pas si nulle pour ma partenaire. J’hésitais à récupérer mes vêtements discrètement et à partir sans un mot pour Scarlett, mais ça n’aurait fait qu’aggraver mon cas. Après avoir passé de l’eau sur mon visage et recoiffé mes cheveux en arrière, je fis demi-tour, direction la chambre pour faire face à Scarlett.

Comme je m’y attendais, la demoiselle me fixa dès mon entrée dans la pièce. Pas un regard accusateur, non, son regard était gêné ; pas déçu, c’était déjà ça. Timidement, je me glissai à nouveau sous les draps et pris Scarlett dans mes bras après lui avoir déposé un baiser au coin des lèvres. Je pense qu’on n’a pas besoin de commenter ma performance plus que médiocre. Je m’attendais à ce qu’elle me vire de chez elle pour ne pas avoir comblé ses attentes et ne pas correspondre à l’image qu’elle avait de moi mais j’avais personnellement, d’autres plans pour le reste de la soirée. Non, je ne voulais pas retenter ma chance, non, plus de préservatif et une seule ridiculisation était suffisante pour la soirée, voire pour le mois. Je fus plus câlin avec elle, parcourant son corps nu du bout des doigts, de son bas ventre à ses joues, en passant par ses seins. Est-ce que… je peux… dormir là cette nuit ?
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() message posté Jeu 2 Juil 2015 - 15:28 par Invité
La beauté plaît aux yeux, la douceur charme l'âme.
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✻✻✻ La chaleur de sa peau contre la mienne me fait frissonner. Je le redis, pour un débutant ses débuts en matière de " préliminaires " ne sont pas mal du tout. Je me laisse bercer par ses baisers et ses caresses. Mes yeux sont fermés, ma peau est rosée, mon souffle s'accélère et mon coeur aussi. Une fois dans la chambre j'ai presque déshabillé Edgar entièrement il ne lui reste plus que son boxer. Quant à lui, je le vois totalement galérer avec ma combinaison, ce qui me fait rire intérieurement, face à lui je n'affiche qu'un sourire de compassion. Je sais qu'il va y arriver ce n'est pas si dur, juste un clip à défaire et une fermeture à glisser. Après quelques instants il arrive enfin à le retirer, je rigole un peu et me laisse finalement emporter avec lui, il dézippe alors ma combinaison et affiche un sourire satsifait. Je lui fais un clin d'oeil en guise de bravo. Edgar me fait alors penser à un enfant, un jeune garçon qui débute quelque chose de nouveau et qui est totalement satisfait de lui. Je me sens puissante face à lui alors qu'il a trois ans de plus que moi. Les choses peuvent être bizarres parfois. Edgar finit par me retirer mes sous vêtements à une vitesse impressionnante et tellement pressé il enlève lui même son boxer. Pour ma part, je continue de le bisoullier partout sur le corps, sa bouche, son cou, ses pectoraux, ses joues etc. J'ai très envie de lui et ça se fait ressentir. Je suis toute mouillée, chose qui lui facilitera la tâche. Il me porte à nouveau et je peux alors sentir son érection sous mes fesses. Nous nous étalons ensuite sur mon lit. Edgar déchire le papier en aluminium du préservatif et pénètre enfin en moi. Une grande inspiration me succombe, je suis en pleine extase. Mes yeux sont fermés, j'essaye de savourer le moment aussi bien que je le peux et là je peux également voir qu'Edgar débute, et qu'en effet ce n'est pas aussi bien qu'il y a deux semaines avec Theodore. Mais je suis tolérante et je comprends tout à fait qu'il ne puisse pas être parfait lors de sa première fois, nous y sommes tous passé et nous avons tous galéré comme lui le jour où ça nous est arrivé. Lors de l'acte, je l'embrasse, et me cramponne à son dos. Ces petites maladresses le rendent vulnérable et donc totalement mignon à tel point que je ne lui en veux pas. Cependant, lors de l'acte sexuel je sens qu'Edgar est totalement mal à l'aise et j'ai donc du mal à prendre mon plaisir. Tout prend fin lors de son éjaculation dix minutes plus tard. Je sens alors qu'il est soulagé mais en même temps totalement gêné et honteux par ce qu'il vient de se produire. Je me faufile alors sous mes draps, laissant mes bras nus au dessus. Je le regarde, je suis également gênée car je n'ai pas pris autant de plaisir qu'il aurait souhaité mais c'est normal, c'est sa première fois. Edgar me regarde, il est essoufflé. Je le regarde également, je ne sais pas quoi lui dire, ni même comment réagir à part lui dire que ce n'est pas grave et que c'est surtout totalement normal. Je n'ai rien le temps de dire, qu'il s'en va de ma chambre. Il va surement retirer la capote et la jeter. Pendant ce temps, j'attache mes cheveux en chignon bun et me couche sur le dos à moitié assise et coucher, mon drap couvre mon corps mise à part ma jambe gauche que je laisse dépasser. Edgar revient finalement. Je le regarde et il fait de même, nous sommes tous les deux gênés par ce qu'il vient de se passer et je le sens tellement mal à l'aise que j'ai envie de le rassurer. Il me rejoint dans mon lit et me prend dans ses bras et dépose finalement un baiser au coin de mes lèvres. Je lui souris, mon visage est rassurant, mes yeux bleus pétillent et le fixent en même temps. J'enlève ensuite le drap de nos corps, afin qu'ils se touchent et que nous puissions chacun admirer l'autre. « Arrête, c'était pas si médiocre que ça comme tu dis. Tu sais on est tous passé par là, et c'est normal que tu sois pas parfait pour une première fois, sinon j'aurais eu des doutes, et je me serais dis que tu m'aurais menti. » ds-je avec ma petite voix fluette avant de déposer un baiser sur la joue de mon partenaire. « Tu n'as pas à culpabiliser. On aura pleins d'occasions de le refaire et puis tu as un tas de trucs à apprendre. Encore deux ou trois fois et tu seras un très bon coup. » dis-je en lui faisant un clin d'oeil. « Fais moi confiance et fais toi confiance à toi aussi. Je ne savais pas que Mr Hamilton était si paniqué que ça » dis-je en rigolant légèrement. Me foutre de lui était en train de détendre l'atmosphère et j'aimais ça, c'était mon rôle dans un tel moment pour lui. Edgar est alors tout de suite plus tendre. Il caresse mon corps. Lorsqu'il passe ses doigts sur mes seins, mes tétons durcissent et pointent, c'est une chose que j'apprécie énormément, on peut dire que c'est un peu mon point faible au niveau sexuel. Je souris à Edgar et caresse également tout son corps, je passe mes mains le long de ses cuisses et remonte jusqu'à son sexe que j'effleure simplement. Il me demande ensuite avec hésitation si il peut passer la nuit ici. « Bien sûr, tu n'as même pas besoin de me demander, c'est naturel. Enfin ... Pour moi. Et puis je ne vais pas te virer de chez moi. J'ai envie qu'on passe la nuit ensemble et pas forcément pour dormir. » Dis-je en caressant son torse. En effet ce soir j'ai envie de mieux connaître Edgar et de voir si nos attentes sont les mêmes, si nous avons la même vision des choses au niveau de notre relation etc. Je sais que c'est un homme bien, dans son monde, mais un homme bien tout de même qui me fera surement pas autant souffrir que Theodore. Je le regarde alors intensément, et me faufile sur lui. Je me redresse et me retrouve nue à califourchon sur lui. Je lui attrape les deux mains et entrelace nos doigts, puis je m'approche de lui pour l'embrasser langoureusement.


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() message posté Ven 3 Juil 2015 - 11:44 par Invité
Un acte mécanique. Voilà ce que j’avais toujours pensé de l’acte sexuel. Un acte mécanique, froid, dont la finalité est la procréation, sans intérêt spécial pour moi. Bien entendu, comme beaucoup d’autres, je m’étais souvent adonné aux plaisirs solitaires en quête d’évasion mais même en allant jusqu’au bout des choses, je n’avais jamais ressenti de plaisir, rien, pas la moindre once d’extase. D’ailleurs, je ne comprenais pas cette honte d’avouer se faire plaisir tout seul ; peu importe l’intérêt, il était selon moi très naturel de découvrir son corps et profiter des possibilités offertes par celui-ci. Alors ce jour là, j’avais été très étonné de ressentir et comprendre ce plaisir tant recherché par tant de monde. Ma première fois avait égoïstement été très agréable, ça avait été bien plus qu’un acte mécanique et froid comme j’avais toujours vu ça auparavant. « Egoïstement », c’était sans doute ma manière d’être au quotidien, mais là, ce n’était pas le cas. Il y avait Scarlett, elle n’était pas une partenaire comme les autres, non. Pas d’amour, pas d’attachement, non, mais elle était la première et avait donc un statut spécial par la force des choses. Cette personne au statut si particulier, je l’avais déçue, je ne lui avais pas donné le plaisir qu’elle méritait alors que moi, dans mon égoïsme, j’avais apprécié ce moment délicieux. Mais voilà, Scarlett, bourrée de qualités, comme je l’avais déjà remarqué au Guardian, ne me reprochait pas la moindre chose. Cette jolie brune était là, à mes côtés, à me réconforter, me redonner confiance en moi. Taquine, elle profitait même de mes faiblesses visibles pour me bousculer gentiment, effet immédiat. Un petit sourire en coin se dessina sur mon visage, elle avait su trouver les mots pour que j’arrête de bouder et qu’on puisse passer à autre chose tous les deux. Quand tu dis qu’on aura pleins d’occasions de le refaire, tu veux dire que tu n’es pas déçue au point de ne plus m’accorder une nouvelle chance ? Ma question était purement rhétorique, je connaissais la réponse vu qu’elle avait été très claire mais lui demander confirmation était une façon moyennement déguisée de me rassurer encore un peu plus. J’étais déjà détendu et n’hésitait pas à caresser le corps nu de Scarlett.

Lorsque la demoiselle m’accepta sous son toit et dans son lit jusqu’au lendemain, mon sourire s’élargit, j’étais ravi et soulagé de pouvoir passer encore un peu de temps avec elle. Elle se mit à me caresser, chose qui me fit frissonner, avant de se mettre à califourchon sur moi sans prévenir, bloquer mes mouvements en liant nos mains et se pencher sur moi pour m’embrasser. Je ne pouvais sourire mais c’était ce que j’aurais fait si ma bouche n’avait pas été trop occupée à répondre au baiser de Scarlett. Mes mains, plaquées contre le lit, de chaque côté de ma tête, je ne pouvais pas faire grand-chose, mais cela ne me dérangeait pas. Finalement, j’aimais bien ce changement de situation où la jolie brune était dominante et que je n’avais d’autres choix que de me laisser faire. Elle n’était plus la jeune femme rougissant à chaque compliment de son ancien maitre de stage, elle était plus sûre d’elle, plus confiante et plus entreprenante. Cette facette de sa personnalité était étonnante mais très agréable, surtout en la découvrant ainsi, nus, au lit. Pour être tout à fait honnête avec toi, je ne m’attendais pas à une telle soirée en buvant un verre avec toi au bar tout à l’heure. dis-je en souriant une fois notre baiser terminé. Scarlett me sourit en réponse et se redressa, reprenant sa position initiale, à califourchon sur moi. Sans gêne, je laissai mes yeux quitter ceux de la jeune femme pour venir se poser sur sa poitrine. Cette dernière n’était pas outrageusement grosse, et c’était mieux ainsi, plus dans mes gouts. Je me mordis la lèvre inférieure et, sans lui demander son avis, la soulevai légèrement d’une main, pour prendre mon sexe durci de l’autre et l’introduire lentement en elle, sans préservatif. Je ne savais pas si elle le voulait, si elle était d’accord, je ne lui avais rien demandé et je m’attendais à présent à ce qu’elle se relève d’un coup et me gifle en me traitant de goujat. Pour ma défense, j’avais trouvé que l’instant, l’ambiance et l’atmosphère entre nous deux étaient propices à une telle initiative, même risquée. Ma respiration se fit plus bruyante, elle était d’ailleurs plus proche du soupir. Scarlett, quant à elle, semblait toujours être sous le coup de la surprise, immobile. Je posai alors mes mains sous ses fesses et, en forçant légèrement, la déplaçait de haut en bas pour qu’elle oublie les questions qu’elle se posait peut-être à ce moment là. Au bout de quelques secondes, la surprise passée, elle se mit à prendre les choses en main et je pus alors lui lâcher les fesses pour lui caresser le ventre, puis les seins, en m’attardant tout particulièrement sur ces derniers. La brune était assez maigre, je le remarquais d’autant plus que nous étions en tenue d’Adam et Eve, mais le moment n’était pas opportun pour souligner ce détail à haute voix. Allongé sur le dos, j’étais totalement passif. Je sentais que cette fois là serait mieux que la première, parce que Scarlett menait la danse. Cependant, ma passivité me démangeait, et je m’assis, mon torse se retrouvant collé à celui de Scarlett. Nous étions à nouveau dans une totale osmose charnelle, sensuelle et délicate. Je poussai légèrement Scarlett, qui prit appui sur ses mains, en arrière avant de me pencher vers elle, toujours assis, pour pouvoir passer tout mon temps à embrasser ses seins pendant l’acte. Nous étions repartis pour un tour, un agréable tour.
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() message posté Jeu 9 Juil 2015 - 22:01 par Invité
La beauté plaît aux yeux, la douceur charme l'âme.
EDGAR & SCARLETT

✻✻✻ Edgar a l'air d'un enfant, pas serein, ni sûr de lui. Chose que je n'aurais jamais imaginé lorsque j'ai effectué mon stage il y a quelques temps. Edgar paraissait distant, dragueur, dompteur, taquin. J'aurais cru que son tableau de chasse était déjà bien plein. Quand je pense à toutes les femmes qui lui tournaient autour au journal. J'avoue être choquée à l'idée de savoir qu'il était encore vierge il y a à peine une heure et je suis encore plus déstabilisée par le fait de me dire que c'est finalement moi qui lui ai ôté sa virginité. Et si il l'avait fait exprès ? Si il m'avait dit qu'il était encore vierge pour me faire succomber et me montrer que ce n'est pas un tombeur ? Si il avait fait exprès d'être maladroit lors de notre acte sexuel ? Je fronce les yeux face à cette idée. A vingt-huit ans je ne pense pas que l'on pense à ça, et puis les hommes aiment toujours trop se mettre en valeur en disant qu'ils ont une vingtaine de conquêtes à leur compteur. Edgar est enfin près de moi, nous sommes tout deux allongés dans mon lit, corps nus, à se contempler. Les mains de mon partenaire glissent le long de mon corps ce qui fait frémir le moindre centimètre de ma peau. Face à l'inquiétude d'Edgar j'ai finalement réussit à le faire sourire, chose qui me rassure puisque je n'ai pas envie de passer une mauvaise soirée. Il est détendu, je suis détendue, nous sommes détendu. Sa question me fait alors sourire. Il souhaite absolument que je le rassure au maximum et je trouve ça mignon. Je lève les yeux au ciel comme si je réfléchissais à sa question. « Hum, et bien je crois que oui ... » Je rigole finalement avec ma petite voix fluette. Mes yeux bleus pétillent et mes joues sont encore roses à cause de nos deux corps chauds. Edgar n'est pas rassuré et c'est ce qui me montre sa sincérité.

Je prends ensuite l'initiative de me poser à califourchon sur mon ancien tuteur. Il est vrai qu'à présent je ne ressens plus de gêne envers lui. En même temps, je viens de le dépuceler, j'ai donc entre autre reprit le pouvoir. Malgré ça, la phase timide de ma personnalité reste et restera toujours présente en la présence d'un homme qui me plaît. Je m'approche enfin de mon partenaire pour partager avec lui un baiser langoureux et sensuel qui me fait à nouveau mouiller, chose qu'Edgar doit surement sentir puisque je me trouve nue contre sa peau qui est telle que la mienne. Une fois notre baiser terminé, Edgar me dit qu'il ne pensait absolument pas que l'on finisse comme ça se soir. Je me relève tout en me remettant à califourchon sur lui en rigolant et en cachant mes yeux à l'aide de mes deux mains. En effet je ne l'aurais pas cru non plus, c'est allé si vite. « Mon dieu, tu dois me prendre pour une fille facile. » Dis-je en souriant simplement et mettant cette fois-ci mes mains sur mes joues pour ne pas qu'Edgar voit que je rougis encore. Il est vrai que coucher dès le premier soir n'est pas dans mes habitudes. Enfin.. Ce n'est indirectement pas le premier soir puisque ça fait déjà pas mal de temps que je connais Edgar, même si ça n'était que professionnel auparavant. Suite à notre petite discussion, je sens le sexe de l'écrivain se grossir contre mes fesses. L'envie me succombe. Le fait qu'il soit excité m'excite également. Il prend alors l'initiative de me soulever d'une main et de prendre son sexe de l'autre pour l'insérer dans le mien, je suis tellement humide d'excitation que son pénis n'a pas de mal à glisser. Mes mains sont alors posées sur le torse d'Edgar, je le griffe légèrement lorsque son sexe énorme me pénètre, un jouïssement s'évade également de ma bouche. C'est tellement bon ! Cependant, Edgar n'a plus de préservatif, il me pénètre sans et je trouve ça tellement mieux que je ne le fais pas remarquer, trop absorbée par l'envie de me faire pénétrer. Je suis tellement excitée, que je frissonne, mes tétons durcissent. Edgar prend alors l'initiative de mettre ses mains sous mes fesses afin de commencer les vas et viens, c'est tellement bon et tellement mieux que la première fois, je vois qu'il commence à prendre le rythme. Je décide ensuite de prendre les choses en main en faisant moi-même les vas et viens, c'est toujours aussi et encore plus lorsqu'Edgar pose ses mains sur mon ventre et sur mes seins. Ses caresses me bercent, je prends un plaisir inhumain. Ma respiration est également forte, et je n'hésite pas à laisser passer des petits bruits aiguës. Edgar se redresse ensuite, nos torses sont alors collés l'un contre l'autre mais je n'ai pas le temps de m'accrocher à lui qu'il me pousse légèrement en arrière. Je m'appuie alors sur mes mains quand Edgar s'approche de mes seins pour les lécher. Je pousse un cri un peu plus fort que les précédents, mon vagin ne cesse d'être mouillé. La tendresse et les actes d'Edgar me fascinent, je suis partie totalement dans un autre univers. Je bouge en continuant les vas et viens, je pose ensuite une main sur l'arrière de la tête d'Edgar pour qu'il continue de m'embrasser les seins. Je le pousse ensuite à mon tour et l'embrasse langoureusement avec la langue. Nos respirations sont toujours aussi fortes. « Han Edgar ... » Dis-je en me mordant la lèvre inférieure. Je me retire ensuite de lui, et lui prend la main pour qu'il vienne s'asseoir au bord de mon lit. Je m'accroupis alors entre ses jambes et m'approche de son sexe que je laisse glisser dans ma bouche. Je lui fait une fellation pendant environ cinq minutes, il a l'air d'apprécier et j'aime ça. Suite à ça je viens m'asseoir sur lui et laisse pénétrer son sexe dans le mien. La tension est tellement forte et l'acte est tellement bon que nous en oublions que nous n'avons pas de préservatifs. Tellement qu'Edgar éjacule en moi. A la fin de notre acte, nous nous embrassons aussi intensément qu'il y a quelques minutes. Nous restons alors l'un dans l'autre. « On aurait peut-être pas dû pour la fin ... » Dis-je totalement essoufflée. En fait, je ne regrette pas.

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» La beauté est une courte tyrannie
» Tu as la beauté diaphane et la désespérance d’une beauté tragique. (leanne)
» « Ta beauté n'égale que ma folie. » [Jo A. Beauchamp & Zane Smith]
» Une petite douceur. {Libre}
» Le charme s'use du temps qu'on ne l'utilise pas. {Fiche terminée.}

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