"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici (Kaydance & Eleanor) oh it's raining today, where is my umbrella ? 2979874845 (Kaydance & Eleanor) oh it's raining today, where is my umbrella ? 1973890357
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(Kaydance & Eleanor) oh it's raining today, where is my umbrella ?

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Destiny Tynged
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() message posté Dim 31 Mai 2015 - 22:34 par Destiny Tynged
oh it's raining today, where is my umbrella ?

Kaydance M. Thompson & Eleanor D. Sweetlove


Vous (Eleanor) rentrez à pied chez vous, quand d'un seul coup il se met à pleuvoir. Bien évidemment, vous avez complètement oublié de prendre un parapluie. Vous vous mettez à marcher plus vite, mais malheureusement vous glissez dans une flaque d'eau et tombée. La personne (Kaydance) sous l'abri de bus non loin, voit la chute et décide de braver la pluie pour venir vous aider. Il semblerait que vous vous soyez fouler la cheville, ce qui demande que l'on voit porte à moitié. Difficilement, vous parvenez tous les deux sous cet abri, mais vous voilà désormais protéger de la pluie. Malheureusement avec votre cheville qui vous fait souffrir et cette pluie, vous ne pouvez pas faire grand-chose pour l'instant. Heureusement, vous n'êtes pas seule.

Il n'y a pas d'ordre défini dans ce RP. Ce RP est issu du système "Le RP est aveugle"


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() message posté Lun 1 Juin 2015 - 17:15 par Invité
kaydance, eleanor. oh it's raining today, where is my umbrella ? ✻✻✻ Ce matin, en remarquant le temps ensoleillé qui régnait sur la capitale anglaise, j’ai décidé de changer mes habitudes. J’ai laissé mon vélo de côté pour marcher. La proximité entre mon logement et mon université me permet de m’y rendre à pieds sans risquer d’être en retard. Je ne suis pas une grande marcheuse. Dans 90% des cas, je me déplace sur mon deux rues qui me permet de garder une forme olympique mais aujourd’hui, cette lubie d’utiliser mes pieds plutôt que mes cuisses m’a prise sans que je ne puisse y résister. Il faut dire qu’à huit heures du matin, il n’y avait aucune raison pour que je décide de ne pas écouter cette soudaine envie. Cependant, la météo londonienne est tout sauf fiable. En l’espace de quelques heures, le temps a changé et à présent, c’est des trombes d’eau qui tombent sur la ville.
Assise dans un des amphithéâtres de mon université, je ne peux m’empêcher de laisser mon regard se porter vers les fenêtres, priant inconsciemment le ciel de s’arrêter de pleuvoir. Je regarde ma montre, il me reste une vingtaine de minutes de cours avant la fin de ma journée. Connaissant très bien Londres et ses caprices météorologiques, je sais qu’il y a peu de chances que la pluie ne cesse de tomber avant que je mette de nouveau les pieds dehors. Je soupire plus bruyamment que souhaité et m’attire les foudres de mon voisin. Celui-ci me foudroie du regard, regard que je soutiens. On n’a plus le droit de s’exprimer maintenant ? Il est le premier à détourner le regard et je prends ça pour une victoire. J’aurai pris la pluie également avec mon vélo mais j’aurai également été plus rapide à rentrer chez moi. Je cherche une solution à mon problème. Le bus ! L’université est desservie par plusieurs lignes, l’une d’entre elles me déposera bien près de mon immeuble. Je sors mon smartphone et consulte les horaires. J’en ai un seulement cinq petites minutes après la fin de mon cours. Le suivant n’arrive qu’une demi-heure après celui-ci. Je n’ai pas envie d’attendre une demi-heure sous la pluie. C’est décidé, je vais courir pour avoir le premier des deux bus.
Contente d’avoir su trouver une solution à mon problème, je peux de nouveau me concentrer sur mon cours. Ce n’est pas évident puisqu’il s’agit ici du cours que j’apprécie le moins : le droit des affaires. Etant donné que je souhaite travailler auprès de jeunes adolescents ou adultes en difficultés, c’est bien loin de mes envies et donc, j’y porte peu d’intérêts. En réalité, je fais simplement ce qu’il faut pour parvenir à suivre et avoir des notes correctes. De toute façon, il s’agit de mon dernier cours de cette matière avant la fin d’année qui se produit à la fin de la semaine. Les examens sont passés, il n’y a plus tellement d’enjeu.
Je sors de mon université et me dirige directement vers les arrêts de bus et plus précisément vers celui qui m’intéresse. Je n’ai que peu de temps et forcément, je presse le pas ce qui m’arrange. Moins je tarderais sous la pluie et moins je serais mouillée. Au loin, j’aperçois les portes de mon bus se fermer ce qui annonce son départ imminent. Je ne réfléchis pas et commence à courir. Les yeux fixés sur mon bus, je ne vois pas la flaque d’eau dans laquelle je trébuche. Je finis ma course à même le sol. Je ne peux m’empêcher de jurer en tapant une main sur le sol. Evidemment, à part me faire mal, ça n’a aucune utilité. Cependant, cette douleur n’a que futile et temporaire contrairement à celle qui me chatouille la cheville gauche. Visiblement, je suis plutôt mal tombée. Instinctivement, je porte ma main à ma cheville en grimaçant. Je jure à nouveau en voyant mon bus partir sous mes yeux. En plus de l’avoir loupé, je me suis bousillé la cheville et totalement dégueulassée. Gé-nial.
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() message posté Mar 9 Juin 2015 - 22:19 par Invité
La journée avait mal commencé. Très mal commencer même. Mon réveil n’avait pas sonné, ma machine à café ne fonctionnait plus et comme si ce n’était pas assez, je m’étais levé une heure trop tôt. En effet, arrivée devant l’amphithéâtre où je devais avoir cours, on m’informa que le cours avait été annulé. J’avais ruminé dans mon coin plusieurs minutes avant d’aller me chercher un café à la cafeteria. J’aurais pu rentrer chez moi pour dormir mais il était clair que je n’aurais jamais redécollé de mon lit. Je n’étais pas flemmarde mais lorsque j’étais posée tranquillement à la maison, j’avais des difficultés à ressortir. Bref le reste de ma journée se passe plutôt bien. J’enchaînais les cours mais je ne les écoutais pas tous. Que ceux qui m’intéressaient. Une fois ma journée finie, l’une de mes amies me proposa d’aller réviser à la bibliothèque. J’acceptais avec plaisir. Cela me permettrait de rentrer chez moi et de me poser devant la première téléréalité venue puisque je n’aurais plus aucun devoir à faire.

Après une heure, voir même deux heures de travail, je décidais enfin de rentrer chez moi. Ils pleuvaient à torrent et bien évidemment, je n’avais pas pris mon parapluie. Je n’avais pas pris ma voiture non plus. J’étais donc condamnée à rentrer en bus. Je marchais vite jusqu’à l’arrête de bus qui se trouvait à cinq minutes de l’université. Certes, ce n’était pas non plus le bout du monde mais bon… sous la pluie ça faisait long. Arrivée à l’arrête de bus, j’égouttais mes cheveux. Je sortis ensuite mon téléphone portable pour répondre aux messages que j’avais. Je posais mes yeux sur l’écran qui indiquait le nombre de minute que j’aurais à attendre. Je soupirais légèrement et posa mon regard en face de moi. Le même bus en sens inverse, était en train de partir. Je vis une fille courir derrière. Sur le coup, ça me faisait rire mais je perdis mon sourire lorsque je la vis se vautré royalement par terre.

Après quelques secondes d’hésitations, je me mis à courir vers elle. J’entendis un klaxon de voiture. Effectivement, je n’avais pas regarder avant de traverser mais qu’importe. Arrivé à la hauteur de la fille, je lui demandais :

« Ca va ? » J’étais limite obligée de hurler pour qu’elle puisse m’entendre. J’essayais de l’aider à se relever mais elle ne semblait pas pouvoir prendre appuis sur sa cheville. Je soupirais quelques secondes avant de passer l’un de ses bras autour de mon cou et de me diriger difficilement avec elle jusqu’à l’arrêt de bus pour être à l’abri. Je lui laissais un bref sourire, avant de lui dire : « J’peux regarder ? »

Je n’étais pas médecin mais avec le nombre de blessure que j’avais eu en surf, j’en connaissais un sacré rayon. J’attendis donc sa réponse, patiemment.
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() message posté Mar 30 Juin 2015 - 18:49 par Invité
kaydance, eleanor. oh it's raining today, where is my umbrella ? ✻✻✻ Au sol, dans une plaque d’eau presque plus grande que moi, je balance toutes les grossièretés qui me viennent en tête. C’est fou ce que je peux devenir extrêmement vulgaire en une fraction de seconde lorsque quelque chose m’énerve. C’est le cas actuellement. J’ai tout perdu : mon bus s’est barré sans moi, j’ai plus que sali mes vêtements et en plus de ça, cette douleur à la cheville semble inquiétante. Je suis tracassée. J’ai mon service à effectuer ce soir au cinéma, des heures et des heures à devoir rester debout. J’essaye silencieusement que ce n’est rien de grave.
« Ça va ? » Je relève les yeux, ils tombent directement sur une jeune femme. Dans nos positions respectives, elle debout et moi au sol, elle me parait mesurer deux mètres. Elle donne de la voix pour que je puisse l’entendre ce qui me ferait presque sourire d’amusement mais étant donné la situation, il n’y a pas grand-chose qui pourrait m’amuser. Je hoche simplement la tête de haut en bas. Ça doit aller ! Je ne peux pas me permettre de me faire arrêter. J’ai besoin de mon travail. Gentiment, l’inconnue tente de m’aider à me remettre sur pieds, la tâche s’avère périlleuse. En effet, j’ai un mal fou à poser le pied par terre. Elle soupire et bientôt, je l’imite. Finalement, en passant un bras sur ses épaules, je parviens à me relever. Les premiers pas sont douloureux mais au fur et à mesure que l’on se rapproche de l’arrêt de bus, ma démarche s’améliore.
Je m’assois sur le petit banc et me réjouis d’être enfin à l’abri de la pluie et ça, même si à cause de ma chute, je suis déjà bien mouillée. « J’peux regarder ? » Je regarde la demoiselle, elle semble confiante. Apparemment, elle sait ce qu’elle fait. De toute façon, ça ne peut pas empirer les choses. « Oui. Attends, j’enlève ma chaussure. » Je me penche pour me déchausser. Je pose ma basket à mes côtés. J’enlève ensuite ma chaussette. Heureusement, j’ai plutôt de beaux pieds qui ne transpirent pas facilement. Autrement, j’aurai dû rajouter une honte de plus à ma situation.
La jeune femme s’accroupie afin d’être à la hauteur de ma cheville. Elle commence son inspection. « Tu t’y connais ? Tu fais médecine ? » Après tout, j’avais le droit d’être curieuse, de poser des questions. Enfin, je crois. Et dire que certains se prédestinent vraiment à l’orthopédie. Personnellement, je ne trouve pas le domaine très passionnant. Au contraire, dans le milieu de la médecine, c’est sûrement l’une des spécialisations les plus ennuyeuses. Du moins, de mon point de vue – qui est totalement extérieur à la profession, c’est le cas.

Spoiler:
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() message posté Mer 22 Juil 2015 - 18:34 par Invité
J’ai souvent entendu cette phrase « aide-toi et le ciel t’aidera ». Je ne l’avais jamais réellement compris. Je n’étais absolument croyante. Pour moi, tout ce qui touchait de près ou de loin à la religion, c’était trop abstrait. Et donc ce n’était pas pour cette raison que j’avais décidé d’aider cette fille. Je me dis que si j’avais été dans la même situation qu’elle, j’aurais aimé que quelqu’un daigne s’arrêter pour m’aider. La jeune fille répond par un hochement de tête à ma question. Je l’aide néanmoins, à atteindre l’arrêt de bus, histoire d’être plus ou moins sec. Enfin, c’était surtout pour ne plus se prendre de pluie sur le coin de la tronche. Avec toute cette histoire, j’allais louper mon bus mais tant pis. Ca n’a pas de prix de jouer les bons samaritains. Je lui avais demandé de regarder sa cheville, histoire de faire un diagnostic comme je savais les faire en compétition. Elle enleva sa chaussure. Je m’agenouillai au niveau de son pied et commença à la tâter légèrement. Elle me posa ensuite une question. Je relevais les yeux vers elle et sourit avant de répondre :

« Non je suis pas étudiante en médecine mais ouais je m’y connais. » Je marquais une brève une pause et continua, voyant la jeune fille qui ne comprenait pas vraiment : « J’suis sportive de haut niveau et du coup, je connais un peu tous les bobos, de ce style. »

Je lui souris à niveau avant de me reconcentrer sur ce que j’étais en train de faire. Sa cheville était légèrement enflée ce qui était signe d’une entorse. Toujours en train de tâter sa cheville, je lui dis :

« Dis-moi si ça te fait mal. »

Les gens qui passaient en voiture devaient certainement nous prendre pour des folles. Être sous un abris-bus en train d’essayer de faire un diagnostic médical, on ne devait pas voir cela souvent. Mais je m’en moquais. Les jugements des gens me passaient largement au-dessus. Parce qu’il fallait bien se le dire, les gens passaient de plus en plus de temps à critiquer, juger ou encore se moquer. Certes, il m’arrivait de faire partie de ces personnes. La preuve, j’avais rigolé en voyant mon interlocutrice courir pour avoir son bus. Mais, je n’étais pas non plus le genre à rire du malheur des autres. Même si certains dans le fond ne méritait que ça. J’attendis donc une de ses réactions. Je ne savais pas comment cette histoire allait finir mais il y avait de grande chance pour que je la transporte jusqu’à l’hôpital, histoire qu’elle soit mieux prise en charge.
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() message posté Dim 9 Aoû 2015 - 11:15 par Invité
kaydance, eleanor. oh it's raining today, where is my umbrella ? ✻✻✻ Je suis agréablement surprise par la gentillesse dont fait preuve cette inconnue. Après tout, à ce simple titre, elle aurait très bien pu ne rien faire. Lorsqu’on y réfléchit, ça lui aurait évité de se faire tremper, elle qui était à l’abri sous l’arrêt de bus. Cependant, elle a choisi une autre possibilité : me venir en aide. Je ne vais pas mentir, je préfère. En effet, même avec son aide, j’ai du mal à rejoindre l’arrêt de bus alors seule, ça aurait sûrement été mission impossible. Je me serais retrouvée à devoir ramper et je pense que niveau humiliation publique, j’ai mon compte pour la journée. Une chute devant plusieurs dizaines d’étudiants de mon université me semble déjà bien suffisante. Pas la peine d’en rajouter volontairement.
Une fois installée sur le petit banc de l’arrêt de bus, j’écoute mon interlocutrice me proposer de jeter un coup d’œil à ma cheville. Je n’hésite pas vraiment, elle a l’air de savoir ce qu’elle fait. De mon point de vue, personne ne demanderait de regarder sans avoir un minimum de connaissances ou alors, ça serait plutôt stupide comme démarche. D’ailleurs, intriguée par la maitrise qu’affiche la jeune femme, je ne peux m’empêcher de la questionner. La curiosité est un vilain défaut mais pas tant que ça, elle offre également la possibilité de faire connaissance. « Non je suis pas étudiante en médecine mais ouais je m’y connais. » Je hoche la tête sans être complétement satisfaite de la réponse donnée par mon interlocutrice. En effet, au lieu de combler ma curiosité, elle ne fait que l’augmenter. Elle doit d’ailleurs s’en apercevoir puisqu’elle poursuit avec plus de détails. « J’suis sportive de haut niveau et du coup, je connais un peu tous les bobos, de ce style. » Je comprends mieux d’un coup. Voilà pourquoi elle s’y connait. « Woh, sportive de haut niveau et étudiante, tu dois avoir un sacré planning. » Après réflexion, je n’ai aucune certitude qu’elle est bel et bien étudiante. Elle pourrait se trouver à cet arrêt de bus, celui de l’université parce qu’elle vit dans les environs. Cependant, elle doit avoir la vingtaine et le sac qu’elle a avec elle semble contenir plus qu’un simple bazar de filles. Bref, elle a le profil de l’étudiante.
« Dis-moi si ça te fait mal. » J’ai juste le temps d’hocher la tête avant qu’elle ne commence à tâter ma cheville et qu’un petit cri s’échappe de ma bouche. Il est plutôt inédit et peut se comparer au son que fait la grenouille. Bref, j’aurai pu et dû me retenir. Je porte une main à ma bouche, quelque peu embarrassée. Décidément, je fais une très bonne première impression. Ça ferait presque peur. Je souris, gênée. « Je ne suis pas aussi douillette et… expressive en règle générale. » Je finis par rire doucement. Je ne vais pas non plus mentir, les manipulations qu’elle fait intensifient la douleur. Je n’ai pas besoin de faire médecine ou d’être médecin pour comprendre que ce n’est pas bon signe. Cependant, avec une fine lueur d’espoir dans la voix, je finis par lui demander après quelques minutes d’inspection. « Alors, verdict madame sportive de haut niveau ? » Bon, je m’emballe peut-être un peu. Je ne devrais pas oublier que je connais la jeune femme depuis une poignée de minutes seulement, rien qui ne m’autorise à me montrer si familière. En effet, cela peut en déranger certains. J’espère que ma sauveuse n’en fait pas partie.
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