Les filles c'est des cloches...( Lennie)

Les filles c'est des cloches

On ne réparait pas ses erreurs en les ignorant ou même en faisant semblant. Et il n'en était pas question. Si le jeune homme envisageait tout juste à présent d'effectuer quelques efforts, il savait que vrai discussion et du temps s'imposerait comme nécessaire. Mais on en ai pas encore là, songea-t-il. Réussir à se parler sans se jeter les mots à la figure à la façon d'un lynchage publique ou d'un lancer de couteau, s'avérait une premier pas. Une étape, qui paraissait simple à vue de nez mais, dont l'application n'était pas aussi facile. Sam tenta l'échange de banalité : Quoi de neuf, le boulot, tout ça. Rien de plus normal pour deux personnes qui ne sont pas vus ou n'ont pas prient de nouvelles de l'un et l'autre depuis longtemps. « Je bosse toujours à la galerie. J’ai… J’ai aussi eu un rôle dans un film, je commence le tournage bientôt. J’ai hâte, ça faisait un moment que je faisais des auditions, je suis contente que ça aboutisse. » Malgré leurs efforts, la gêne était palpable et aucun des convives ne pouvaient nier l'évidence. « Mon frère est vivant. Il était prisonnier et ils l’ont trouvé. C’est un peu le bordel, tout est chamboulé… Mais ça va. Je suis tellement heureuse de le retrouver. » Il hocha lentement la tête avant de répondre : " C'est super. C'est que des bonnes nouvelles. Il me semble avoir vaguement entendu parler de l'affaire de ton frère. J'avoue que je ne crois pas vraiment aux miracles mais sur ce coup, je suis bluffé. Enfin, j'imagine que l'essentiel c'est qu'il soit de retour." Jouant avec un bouchon de liège qui trainait sur la table, il ajouta : "Pour le reste, j'avoue que ça m'intrigue. Je serais curieux de voir que ça donnera." Il ne doutait pas de la capacité de la demoiselle à aller jusqu'au bout et se donner au maximum. Si ça carrière commençait à décoller, tant mieux pour elle. N'était-ce pas ce que tout le monde pouvait souhaiter ? Réussir, avancer. Certes dans son cas, les choses se compliquaient légèrement. Il aimait le métier qu'il exerçait, aucun souci là dessus. Non, les problèmes commençaient l où s'arrêtait le vie publique. Quoi que pour le moment, il devait avouer que les choses ne tournaient pas si mal. « Et toi ? ça va ? »   Il haussa les épaules et sourit à nouveau. " Ça va plutôt bien. J'adore toujours autant mon travail. J'ai une nouvelle colocataire et je suis en couple depuis quelques temps. Ce qui est plutôt chouette. Au final je crois que tout vas bien." Il ne c'était pas senti si bien dans ses baskets depuis une longue période et comptait bien en profiter. Évidemment, certains ombres persistaient à s'accrocher à son tableau, néanmoins il choisissait vaillamment des les snober.

"Les filles c'est des cloches..."

Lennie & Samael

Je n’avais pas spécialement envie de faire la conversation avec lui, mais étant donné que nous étions assis l’un à côté de l’autre, cela allait dur à éviter. Je prenais sur moi pour ne pas gâcher la soirée, et je répondais à ses questions. Parler de ma carrière me paraissais suffisamment vague pour l’intéresser et parle d’Isaac… J’avais du mal à ne pas le mentionner. L’avoir retrouvé m’avait rendu tellement heureuse que je faisais tout pour parler de lui, on aurait dit une mère qui parle de son nouveau-né non-stop. " C'est super. C'est que des bonnes nouvelles. Il me semble avoir vaguement entendu parler de l'affaire de ton frère. J'avoue que je ne crois pas vraiment aux miracles mais sur ce coup, je suis bluffé. Enfin, j'imagine que l'essentiel c'est qu'il soit de retour." Au moins, il faisait son possible pour paraitre intéressé, ce qui était sympa de sa part : " Pour le reste, j'avoue que ça m'intrigue. Je serais curieux de voir que ça donnera." Samael semblait m’encourager, tant mieux, même si cela sonnait un peu faux. J’avais hâte de commencer le tournage, j’avais réellement envie que cela fonctionne. Faire carrière dans le cinéma était un rêve qui m’avait toujours semblé inaccessible, alors je m’étais tournée vers la scène. J’avais enchainé les auditions dès mes premières années de fac. Et enfin, enfin après tant de temps, j’avais décroché un rôle. Pas n’importe quoi en plus ! Un premier rôle ! C’était un film plutôt indépendant, mais c’était déjà quelque chose. Après avoir demandé à Samael comment il allait, le voilà qui répondait : " Ça va plutôt bien. J'adore toujours autant mon travail. J'ai une nouvelle colocataire et je suis en couple depuis quelques temps. Ce qui est plutôt chouette. Au final je crois que tout vas bien." Je n’étais pas spécialement intéressée par ses histoires, surtout après le scandale qu’il venait de faire, mais j’engageais tout de même la conversation : « Tu es en couple ? C’est cool pour toi. C’est qui ? » Demandais-je. Il y avait peu de chance que je connaisse sa nouvelle copine, mais sait-on jamais, peut-être que je savais qui elle était. Qui que cela soit, elle devait avoir des nerfs ultra résistants pour le supporter. Elle devait aussi particulièrement triste, parce que pour sortir avec Samael, il valait mieux ne pas aimer l’humour. Cela devait être terriblement déprimant de les voir. S’ils étaient heureux, tant mieux pour eux, mais Samael était loin d’être l’homme parfait selon mes critères. Il était même plutôt dans la catégorie de ceux que je gardais loin de moi, très loin de moi. Je préférais vivre des relations simples et plutôt courtes, surtout après le fiasco que j’avais vécu lorsque mon copain m’avait quitté en apprenant la mort de mon frère. J’avais eu beaucoup de mal à me remettre de la perte de mon frère alors ajouter à cela ma rupture, et découvrir que j’étais enceinte de cet idiot, cela avait été un tas de facteurs dont je me serais bien passée.  

Les filles c'est des cloches

L'envie manquait quelque peu dans cette conversation forcée. Néanmoins, ayant finalement décidé, tant bien que mal, de rester, faire un effort était de mise. Le jeune homme se félicitait d'être quelqu'un de sociable, aussi amorcer une discussion ne lui avait jamais posé de problème. Tout du moins, si l'on omettait les différents problèmes survenue dans ses plus jeunes années. Après avoir écouté attentivement, les nouvelles apportées par sa compagne, il se permit de mentionner également un peu sa vie. Rien de notable dans l'ensemble, hormis Annabelle. « Tu es en couple ? C’est cool pour toi. C’est qui ? » demanda sa camarade. Oui, je viens de le dire, songea-t-il. Eh bien peut-être que cela l'étonne, ajouta-sa conscience. "Elle s'appelle Annabelle et elle est sage-femme." cru-t-il bon de préciser. Les deux jeunes femmes ne devaient pas se connaitre, il ne risquait donc doute par grand chose. Et puis quand bien même ! Attrapant son verre remplit d'une eau, qu'il n'avait aucun souvenir d'avoir versée  dedans, il sourit. "Je te vois d'ici entrain de m'imaginer une vie déprimante." Il secoua légèrement la tête. "J'ai mal réagit une fois...Ça ne veut pas dire que je suis une personne triste qui fait passer le temps avec des choses sans intérêt." Peut-être allait-il trop loin. Peut-être la demoiselle n'envisageait-elle pas les choses ainsi. Néanmoins, il en avait eu l'impression. "Et toi ? Personne en vu ou quoi que ce soit, hormis le boulot ?". Elle voulait tellement réussir dans son domaine. Ce qu'il pouvait comprendre bien sur. Lorsqu'une activité vous passionne, le monde entier aurait tendance à disparaitre. Comme souvent, son esprit s'égara. Ses pensées revinrent naturellement vers Sarah. Son image surgissait régulièrement, sans qu'il pu lutter de quelconque manière contre ce phénomène. Battant des cils, la réalité s'imposa à nouveau. "Qu'est ce que tu as dit ?" demanda-t-il. Sam avait cru distinguer des mots lui étant adressés, sans les assimiler. "J'ai eu un moment d'absence, désolé." Il marqua une pause et attendit. Le silence, lorsqu'il commençait à s'installer, surtout dans ce genre de contexte, tendu, paraissait pesant. Il se mordit la lèvre, cherchant quoi dire de plus. Il ne pourrait alimenter incessamment la discussion, déjà sur le point de s'éteindre.

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Lennie & Samael

Je faisais mon possible pour paraitre intéressée mais Samael m’avait tellement saoulé que je me forçais. Il répondit à mes questions sur sa copine et je hochais la tête. Tant mieux pour lui, il avait quelqu’un mais je n’en avais pas grand-chose à faire. . " Je te vois d'ici entrain de m'imaginer une vie déprimante. " Me dit-il. " J'ai mal réagit une fois...Ça ne veut pas dire que je suis une personne triste qui fait passer le temps avec des choses sans intérêt. " Je restais bouche-bée face à lui. Il ne voyait que le pire en moi. D’accord, je n’avais rien à faire de ses histoires mais de là à lui souhaiter des malheurs… « Tu racontes n’importe quoi. Je ne te souhaite pas d’être triste et déprimé. On peut rien te dire sans que tu t’imagines que le reste du monde t’en veut. » Lançais-je exaspérée. Samael était vraiment énervant à toujours être sur la défensive, c’était lourd à la longue. " Et toi ? Personne en vu ou quoi que ce soit, hormis le boulot ? ". Je ne savais pas vraiment quoi répondre. Mon travail me prenait beaucoup de temps, entre les auditions, les heures à la galerie et les cours de danse, je n’avais pas une minute à moi. De plus, si j’avais du temps libre, je le passais avec Isaac. Nous avions perdu trop de temps alors je le rattrapais. Mon frère avait raté beaucoup de choses et nous nous efforcions de nous voir et partager le plus de choses maintenant. « Rien de bien sérieux. Je bosse trop pour rencontrer qui que ce soit. Et puis je passe mon temps avec mon frère quand c’est possible. Je préfère me concentrer sur ma famille. » Je savais parfaitement que lui non plus n’était pas intéressé par ce que je lui racontais mais j’essayais d’aliment la conversation tant bien que mal. " Qu'est ce que tu as dit ? " Me demanda-t-il. J’étais choquée. Il n’écoutait rien de ce que je lui racontais. Je restais sans voix. " J'ai eu un moment d'absence, désolé. " Il s’excusait mais je n’y croyais qu’à moitié. « D’accord. Tu dois être passionné par ce que je raconte. » Lançais-je. « Je crois qu’on ferait mieux d’arrêter de se parler. Vu où ça nous mène à chaque fois, ça vaut pas le coup. » J’en venais au point de non-retour. J’avais eu ma dose de faux semblants avec Samael, je préférais en rester là. Je ne voyais pas à quoi bon continuer. « Je crois que je vais rentrer, je suis claquée. J’ai pas tellement faim de toute façon. » Murmurais-je. Je finissais mon verre cul-sec et me tournais vers le reste de la bande. Je leur annonçais mon départ. « C’était sympa de vous voir, mais je vais rentrer. Je bosse tôt demain, faut que je me repose un peu. » Leur dis-je en prenant mes affaires.   

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Le soigneur fronça un instant les sourcils, quand sa compagne lui répondit. « Tu racontes n’importe quoi. Je ne te souhaite pas d’être triste et déprimé. On peut rien te dire sans que tu t’imagines que le reste du monde t’en veut. » Elle paraissait exaspérée et il avouait ne pas réellement comprendre pourquoi. Était-ce l'huile sur le feu, qui faisait tant d'étincelles ? Verre toujours en main, il bu une nouvelle gorgée d'eau avant d'ajouter : "Je crois qu'on c'est mal comprit." Il réfléchit, cherchant ses mots pour ne pas risquer un autre quiproquo. " Je ne voulais pas dire que tu me souhaitais du mal. Je ne vois pas pourquoi ce serait le cas et je ne te considère pas comme quelqu'un de mesquin. J'ai seulement l'impression que tu l'image que tu as de moi depuis...un moment, n'est pas la réalité." Il marqua une pause et joua avec le bout de sa fourchette. "Bien sur, je ne t'ai pas beaucoup aidé à me voir positivement. Mais ce n'est pas parce que je me permet de jouer le gros blaireaux, aussi bête qu'agaçant, que je vois forcément le mal partout ou que je me persuade que le monde m'en veux." Son ton était calme. Étrangement calme. "Bref...A la base, je voulais simplement dire un truc du genre : Si on se détendait ? Cette ambiance convenue, c'est pas moi, c'est pas toi, c'est juste absolument bizarre... J'ai pas assez clair, désolé." Passant à autre chose, il interrogea la jeune femme sur sa vie amoureuse. Il ne l'imaginait pas sincèrement avoir une relation en ce moment, d'autant plus que son boulot devait lui prendre mal de temps mais, savait-on jamais, hum ? « Rien de bien sérieux. Je bosse trop pour rencontrer qui que ce soit. Et puis je passe mon temps avec mon frère quand c’est possible. Je préfère me concentrer sur ma famille. » Il écouta vaguement, d'une oreille distraite jusqu’à qu'un blanc monumental vint se dresser entre eux. L'image fugace de Sarah, l'assaillait ainsi régulièrement. Peu importait le lieu ou l'heure. " Qu'est ce que tu as dit ?  J'ai eu un moment d'absence, désolé. ". Il s'excusa et pourtant la réaction de Lennie n'en fut que plus virulente. « D’accord. Tu dois être passionné par ce que je raconte. » Lançais-je. « Je crois qu’on ferait mieux d’arrêter de se parler. Vu où ça nous mène à chaque fois, ça vaut pas le coup.  Je crois que je vais rentrer, je suis claquée. J’ai pas tellement faim de toute façon. » Il l'a regarda finir son verre, légèrement choqué.  « C’était sympa de vous voir, mais je vais rentrer. Je bosse tôt demain, faut que je me repose un peu. » Battant des cils, comment sortit d'un rêve, il se leva brusquement pour rattraper la brune. "Attends. Écoute, je...c'était vraiment involontaire. Je ne cherchais pas à ce que ça tourne mal. Je peux pas te forcer à rester, ni à me parler. Mais...là je t'avoue que pour la première fois depuis longtemps je ne cherchais à être désagréable." Il se tut et patienta en quête d'une dernière réaction avant son départ.

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Lennie & Samael

D’après Samael, il y avait eu un mal entendu, mais je savais très bien qu’il ne m’avait toujours pas pardonné, et personnellement, j’en avais marre de perdre mon temps et mon énergie à essayer de faire que nous nous entendions. Il n’était pas méchant, mais ses propos avaient un quelque chose de blessant. J’avais l’impression de passer pour un monstre lorsqu’il me parlait. Il ne voulait pas non plus passer pour le méchant, mais ce n’était pas une raison pour me rabaisser. J’en avais assez de faire des efforts. Nous avions essayé mais maintenant, je ne voulais plus tenter de nous rabibocher. A quoi bon. Il était têtu comme une mule et moi aussi. Nous allions droit dans le mur. Il n’écoutait même pas lorsque je lui parlais, trop occupé par ses propres pensées. Cela ne servait vraiment à rien de s’obstiner, il n’en avait rien à faire de ce que je disais et franchement moi non plus. Il me parlait mais j’étais tellement bourrue que je n’écoutais pas. Je préférais rentrer chez moi, me reposer, plutôt que de me prendre la tête ici. Je ne voulais pas sortir de cette soirée avec une migraine juste parce que Samael et moi ne nous entendions pas. Je rassemblais mes affaires, enfilais mon manteau et commençais à faire mes au revoir aux autres personnes autour de la table. Je leur expliquais brièvement que j’étais fatiguée et que boire un verre avec eux avait été un plaisir, mais que je préférais rentrer. J’étais presque sortie lorsque Samael me rattrapa. " Attends. Écoute, je...c'était vraiment involontaire. Je ne cherchais pas à ce que ça tourne mal. Je peux pas te forcer à rester, ni à me parler. Mais...là je t'avoue que pour la première fois depuis longtemps je ne cherchais à être désagréable. " Il me semblait sincère, mais je n’avais vraiment pas envie de rester après la soirée que nous venions de passer. J’étais venue pour passer un bon moment et m’amuser, mais cela avait tourné en dispute dès que l’on s’était vu. Je voulais bien comprendre qu’il avait toujours en travers de la gorge la blague que je lui avais fait, mais j’avais eu assez de ses jérémiades. La dispute avait pris une telle ampleur que je ne voyais pas comment nous allions en sortir. Rien que discuter de tout et de rien était devenu difficile. « Non, je vais rentrer. On s’est mal entendu, et là j’ai vraiment pas envie de parler. On aura qu’à se revoir au calme. Mais là, j’ai eu ma dose. » Dis-je déterminée. « Bonsoir Sam. Je rentre me coucher. » J’en avais marre de me battre pour sauver une soi-disant amitié. Autant en rester là, et retrouver mon lit douillet. J’ouvrais la porte et sortais du restaurant. J’allumais une cigarette, pour essayer de me détendre même si je doutais que cela arrive aussi rapidement, puis je prenais le chemin pour rentrer chez moi.

Les filles c'est des cloches

Après cette dernière intervention, il se tu. Le jeune homme resta ainsi là, à regarder sa camarade en silence. Il ne pouvait pas l'a retenir indéfiniment, de même qu'il n'était pas non plus capable de recoller les morceaux d'un claquement de doigts. Sa mère lui avait toujours dit, que lorsqu'un vase se brisait, même en le reconstituant pièce par pièce, avec toute la patience du monde, on ne parvenait jamais à le rendre comme neuf. Cela s'avérait également vrai pour les relations. Peut-être avec du temps seraient-ils capable tout deux, de s'entendre un minimum. Peut-être...Ca nécessitera surement de gros efforts...Il se mordit la lèvre. Le soigneur continua d'observer sa compagne, jusqu'à ce qu'elle décida de partir pour de bon. Elle tourna d'abord les talons, s'éloigna, franchit la porte et ne fut plus là. Cette conclusion en demi-teinte, le laissait insatisfait et peu confiant pour la suite des évènements. A son humble avis, à chaud, Lennie ne souhaiterait certainement plus le revoir. Bien sur, ils possédaient nombre d'amis communs, ce qui ne facilitait pas la tâche lors des réunions chez les uns ou les autres. Néanmoins, si vraiment elle ne le supportait pas, rien ne l'empêchait de demander à ceux qui invitaient, de choisir : Elle ou Sam. Il secoua la tête. Bon ba on est pas encore arriver là... Ce sera peut-être pour bientôt. Je ne sais pas, je n'espère pas. Que la situation eu des chances de devenir plus compliquée ou de s'envenimer d'avantage lui aurait parut absolument improbable quelques heures plus tôt. Et pourtant... Le comble venait réellement du fait, qu'en se montrant moins pénible, il semblait exaspérer sa partenaire. Et après on dira que c'est moi, qui me sens agressé en permanence. C'est l'hôpital qui se fou de la charité un peu non...Dépité, il essaya de se concentré sur le moment présent. Il retourna donc vers la table, se réinstalla et reprit la conversation du mieux qu'il pu avec les convives restant.