"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici let's have another toast to the girl almighty! 2979874845 let's have another toast to the girl almighty! 1973890357
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let's have another toast to the girl almighty!

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() message posté Jeu 14 Mai 2015 - 22:31 par Invité

Sephora Gillian White

London calling to the faraway towns
NOM(S) : white. PRÉNOM(S) : sephora gillian. ÂGE : vingt-trois ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 23novembre à londres. NATIONALITÉ : britannique. STATUT CIVIL : forever alone. MÉTIER  : vendeuse en animalerie. TRAITS DE CARACTÈRE : un peu trop franche, indépendante, drôle, têtue et maladroite. GROUPE : the tube.



My style, my life, my name

Constamment en retard. A toujours un bouquin entre les mains, ne peut vivre sans son Frappuccino, porte toujours un short sous ses jupes et trie sa nourriture avant de la manger. Collectionneuse de pansement du à sa maladresse légendaire. Boycotte les salopettes après un épisode embarrassant lui étant arrivé lorsqu'elle en portait une. Dort avec des chaussettes, mange les pâtes chinoises crues, douée en origami et championne de karaoké sous la douche. Sait jouer du ukulélé, pleure devant n'importe quel film, cuisine seulement quand elle est en colère. Possède une mémoire sélective, ne mâche jamais de chewing-gum, fait des grimaces aux enfants dans les transports en commun. Sort courir tous les matins, fan inconditionnelle du Breakfast Show avec Nick Grimshaw. Croit en l'horoscope, aux âmes-sœur et au karma. Donne des noms à tous ses objets électronique, s'émeut devant de beaux paysages, grosse nerd refoulée. Fan de Haim, fait le tour du pays pour assister à n'importe quel festival, passe des heures à perfectionner son tumblr. Use de son sarcasme comme unique arme dans ce monde de brutes. Éternelle insatisfaite, rejette le terme "hopeless romantic" tout en étant une "hopeless romantic".

Mentalement parlant, Sephora est une Sagittaire typique. Chaleureuse, affectueuse, marrante et captivante. Éprouve beaucoup de difficultés à rester concentrée sur la même chose trop longtemps. Amoureuse du changement, il est difficile de la suivre. Elle commence quelque chose pour ne jamais le finir, organise des trucs qui n'ont jamais lieu et promet des choses qu'elle ne peut pas tenir. Pourtant, c'est quelqu'un de loyale, prête à se couper en quatre pour les gens qu'elle apprécie. Elle écoute, conseille, mais suit rarement ce qu'on lui suggère de faire parce qu'il n'y a qu'une seule autorité qui compte à ses yeux et c'est celle qu'elle décide pour elle-même. Elle manque de diplomatie, prendre les gens avec des pincettes n'est pas son fort, mais ce n'est pas quelque chose qu'on lui reproche, au contraire: on se tourne souvent vers elle pour sa franchise et son honnêteté. A l'habitude de se foutre dans une merde pas possible, mais trouve toujours un moyen de s'en sortir sans trop perdre de plumes. La complication, c'est son dada, de toute façon. Manque cruellement de confiance en elle, adepte de l'expression "ça s'appelle revient".
PSEUDO : catharsis. PRÉNOM : megan. ÂGE : twenteh. PERSONNAGE : scénario.  AVATAR : taylor swift. CRÉDITS : tumblr&livejournal. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : top50rpg. CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?: nopeedo.



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() message posté Jeu 14 Mai 2015 - 22:31 par Invité
At the beginning


ROMEO ; the beginning.


Du plus loin que je me souvienne, le moindre souvenir que j'ai d'attaché à ma mémoire inclut Romeo. Après tout, il est là depuis mon premier souffle. C'est ça qui fait la puissance de notre histoire. Lui et sa famille sont là depuis mon arrivée sur Terre, ils sont devenu un repère pour moi, une partie importante et indispensable à mes yeux. Leur omniprésence a fait que la limite entre famille et amitié s'est brouillée et n'existe plus. A tel point que Romeo et moi nous considérions cousins, plus qu'amis d'enfance.

Je me suis un peu construite en fonction de lui. Personne ne prononçait mon prénom sans qu'il ne soit suivit par le sien parce qu'on était tout le temps fourrés ensemble. Si on en trouvait un quelque part, il y avait forcément l'autre pas loin et ça été comme ça depuis toujours. Même si la vie s'est amusée à vouloir nous séparer, un lien demeure toujours, le genre de lien qui ne se rompt jamais.

Quand j'avais quinze ans et que j'étais une adolescente fragile et sentimentale, le cerveau retourné par la musique indie britannique, je postais sur Facebook des photos de Romeo et moi accompagnés de textes mielleux et niais, stipulant qu'on finirait par s'enterrer ensemble.

J'ai vécu toutes mes premières fois avec lui.

Bon... pas littéralement, parce que Romeo n'a pas été mon premier amour. Parce que... Imaginez embrasser un membre de votre famille. Oui, tout à fait, moi aussi je vomis. Donc, il n'a pas été mon premier amour, ni mon premier baiser, ni ma première fois. Mais il a été là durant toutes ces étapes, pour m'épauler et frapper sur la tronche des types qui m'ont fait souffrir et inversement proportionnel de situation, puisque j'ai été là pour lui dans n'importe quelle situation, à lancer des dictionnaire sur les gens qui se moquaient de ses difficultés en orthographe, par exemple.

Quand je dis que je me suis construite en fonction de lui, c'est pas pour faire joli et toucher le peuple. Je tiens de lui mon côté tomboy, ma soif d'aventure et ma joie de vivre. J'aurais été une toute autre personne si il n'avait pas été là pour m'aider à forger mon caractère ou pour me protéger.


MILA ; the turning point.


J'ai réussi à traîner Romeo avec moi en cours jusqu'à ce qu'il fasse sa tête de mule et laisse tomber pour de bon. Il était le cancre qui dormait en classe et j'étais la tête d'ampoule qui s'asseyait au premier rang. Le fait que je répondais aux questions plus rapidement que mon ombre me rappelle nos années frivoles durant lesquelles on jouait à Harry Potter avec des tournevis en guise de baguettes magiques alors que je prétendais être Hermione Granger. Disons que j'étais un peu devenue la personne que je jouais les dimanches après-midi autrefois, les pouvoirs magiques en moins.

On traînait beaucoup moins souvent ensemble, puisque nous avions les cours à gérer et chacun nos propres amis. Romeo était très jaloux des personnes avec qui je restais, c'est pourquoi je me forçais un peu à accepter ses invitations à la cantine, ou le weekend pour un ciné ou un McDo, histoire de compenser. Globalement, je m'entendais bien avec les personnes avec qui il restait.

Je suis une espèce de caméléon, m'adapter aux personnes que j'ai en face de moi n'est pas un problème. Si avec mes amies, j'avais l'habitude de parler musique et littérature, ça me gênait pas de parler de comics, topping de pizza et de jeux vidéos avec Romeo et Casey. Après tout, en grandissant, Romeo m'avait initié à ses délires. Seulement, il y avait des personnes avec qui ça passait pas. En l'occurrence, les amies des amis de Romeo.

En fait, mon plus gros problème, c'était Mila. Et le problème de Mila, c'était moi. Je reviendrais pas sur nos différences, mais en gros, elle pensait être beaucoup plus cool que moi, et moi, je me sentais supérieure à elle parce que j'étais studieuse et ça clashait en permanence pour un oui ou pour un non. On pouvait pas se voir en peinture et c'était lourd, puéril, quand je regarde en arrière, mais il suffisait d'un rien pour qu'une s'énerve et que ça parte en freestyle.

Stupide esprit de compétition.

Au final, on a tous finit par accepter que ce serait comme ça pour toujours et qu'il fallait mieux laisser couler que d'essayer de changer les choses.

Puis il y a un adage qui dit que l'amour commence par la guerre.

Quand elle a quitté l'école, j'ai décidé de quitter mon orgueil et me présenter à sa porte pour aller prendre de ses nouvelles. C'était un peu bizarre au début, un peu comme si on se forçait. Mais au final, je l'aidais à comprendre les cours incomplets qu'elle devait apprendre et faire en parallèle de sa passion et lui racontais tout ce qu'elle ratait depuis son départ.

Je m'étais changée en vraie fouine, pour dégoter les tous derniers potins qui touchaient les filles de notre classe et nos commérages nous ont considérablement rapprochés et aidés à enterrer la hache de guerre.


SEPHORA ; the road to hell.


Certaines personnes considèrent que j'ai eu beaucoup de chance. Mes parents sont ensemble depuis qu'ils se sont rencontrés à la fac et ils sont fou amoureux de l'autre, s'en est dégoûtant. Je n'ai jamais eu de problèmes à l'école, parce qu'avec ma curiosité naturelle, j'ai toujours été passionnée par ce que j'étudiais, mourant d'envie d'en savoir toujours plus sur tout. Bien sûr, j'ai vécu des déceptions amoureuses, mais pendant le temps que ça durait avant que ça casse, j'avais toujours des relations idylliques. Je n'ai jamais manqué de rien, je me suis toujours sentie aimée et je sens que j'ai réellement vécu, même si je n'ai pas de cicatrices profondes, comme beaucoup de personnes.

Je sais que je suis intelligente. Et je sais aussi que je suis lucide sur énormément de choses. Je me pose beaucoup de questions et j'angoisse énormément, ce qui peut me miner le moral, souvent, mais en dehors de ça, je suis consciente de la chance que j'ai et tout ce qui m'importe dans ma vie, c'est de m'amuser.

Je prends beaucoup les choses à la légère, probablement un peu trop, d'ailleurs. On dit souvent de moi que je suis nonchalante, détachée, trop je-m'en-foutiste pour que ce soit raisonnable.

C'est frustrant d'avoir une vie sans soucis et voir les gens souffrir autour de soi. Se sentir impuissant, incapable de ressentir la peine réellement pour être en mesure de compatir comme il se doit. Durant ce laps de temps, j'ai été une éponge. J'ai vu Romeo tomber. Après la perte de son père, je l'ai vu tomber et puis je l'ai vu partir.

Puis ça a été au tour de Mila. Même schéma. Traumatisme puis départ. En l'espace de deux ans, je me suis retrouvée seule, démunie de mes deux meilleurs amis.

J'ai été une éponge, intériorisant tous ces maux et pourtant, je n'ai pas imploser.

Parfois, quand je repense à cette période déstabilisante, je me demande comment je fonctionne, pourquoi je ne ressens pas les choses comme les autres et pourquoi est-ce qu'elles ne m'atteignent pas aussi fort. Pendant un moment, j'ai cru que j'étais brisée, que quelque chose n'allait pas chez moi. Mais comme le reste, je l'ai pris à la légère et je suis passée à autre chose. Parce que les gens s'en sortent toujours. Je crois que j'ai toujours vu la vie un peu naïvement et malgré la période de crise, j'étais persuadée que les choses rentreraient dans l'ordre, persuadée que mes amis reviendraient et que ça irait mieux pour tout le monde.



ELIAS ; the catharsis.


A l'issue du lycée, j'étais de ceux qui ne savaient pas quoi faire de leur vie. J'ai toujours rêvé de faire des études, aller à l'université, c'était un peu un fantasme, mais je n'avais pas d'ambition concrète et bien définie, donc pas de filière à poursuivre. Avec mon bulletin en béton, mes professeurs ont commencé à vouloir choisir pour moi. Mes parents ont su être là pour moi lors de cette immense période de confusion et on a tous les trois décider de mettre la fac de côté en attendant de trouver quelque chose qui en vaille la peine.

C'est de cette manière que j'ai enchaîné les jobs et formations pendant environ six ans, jusqu'à trouver ma place dans une animalerie. Je suis encore jeune et l'idée de reprendre mes études plane toujours au dessus de ma tête. Mais rien ne presse, surtout que je n'ai toujours pas de dream job et tant que je peux me permettre de caresser des bébés chiens pour gagner ma vie, pas besoin de prendre de grosses décisions flippantes et décisives.

Si ma vie me convient parfaitement comme elle est, la plupart de mes amies veulent la métamorphoser. Je le répète, mais l'essence de ma vie, c'est l'idée de pouvoir m'amuser. Je veux m'amuser.

Je veux manger des céréales pour enfant devant la télévision en rentrant du travail le soir en décrétant qu'il s'agit d'un repas tout à fait valable et respectable. Je veux jouer aux jeux vidéos les dimanches après-midi pluvieux jusqu'à ce que mes pouces en aient ras le bol, même si c'est pas un jeu qui fait peur sur la toute dernière Play Station, mais plutôt Sonic sur la Sega. Je veux continuer de porter des converses plutôt qu'une paire de talons. Je veux continuer de faire la plouf sur des décisions cruciales de ma vie et je veux continuer de danser à moitié nue chez moi sur une cassette que j'ai fait quand j'avais treize ans, ne comportant que des chansons de *NSYNC, des Spice Girls et de Britney Spears.

Donc quand mes potes me disent qu'il est temps de me bouger le cul et chercher quelqu'un et quelque chose de concret à faire de ma vie, je boude. Ou je lance des doigts d'honneur à la pelle, ça dépend de mon humeur, si elle est enfantine ou rebellious.

Je réplique souvent au fait que je devrais trouver quelqu'un, que j'ai des trucs plus importants à faire dans ma vie que me caser bêtement et m'enfermer dans une relation, comme sauver le monde ou partir à la recherche du pain perdu, par exemple.

La dernière fois que je me suis laissée approcher, a été l'une des plus grosses humiliations de ma vie entière. Le scénario fait rêver. Je suis seule au comptoir de ce bar qui passe de la bonne musique, un type s'approche pour me parler avec une technique de drague bancale. Je suis éméchée, donc je ris comme une pintade... pour l'effort. On parle, on boit, on décide de quitter l'endroit ensemble, on va chez lui, on se déshabille à moitié et c'est le drame.

On a aucune idée de qui blâmer. L'alcool, popol et les deux orphelines, ma nervosité... trop fatigués pour réfléchir, on s'endort ensemble. Le matin, c'est encore plus bizarre, s'en suit la fameuse walk of shame.

Et la conclusion de cette histoire, c'est que quelque temps après, on se recroise par hasard, lui au bras de Romeo et, bonjour, moi c'est Elias, avec des regards fuyants et un Sephora enchantée et la honte atteint son climax, tout le monde pleure intérieurement, the end.


Ce qu'il y a à retenir de tout ce blabla, c'est que je m'appelle Sephora. Je suis une calamité sentimentale avec un cerveau de la taille de l'Ecosse et je prends mon petit déjeuner dans un bol Spiderman. Des fois, je trouve que ma vie a pris une tournure inattendue. Puis quand j'y regarde à deux fois, je trouve qu'en fin de compte, j'me suis bien marré jusque là.

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() message posté Jeu 14 Mai 2015 - 22:34 par Invité
Bienvenue à toi let's have another toast to the girl almighty! 208687334
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() message posté Jeu 14 Mai 2015 - 22:35 par Invité
Bienvenue parmi nous let's have another toast to the girl almighty! 1973890357 let's have another toast to the girl almighty! 1922099377
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() message posté Jeu 14 Mai 2015 - 22:42 par Invité
Bienvenue mademoiselle ! let's have another toast to the girl almighty! 1922099377
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() message posté Jeu 14 Mai 2015 - 22:52 par Invité
Bienvenue parmi nous. let's have another toast to the girl almighty! 1973890357
Si tu as la moindre question, n'hésite pas à nous contacter.
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() message posté Jeu 14 Mai 2015 - 22:53 par Invité
bienvenue parmi nous let's have another toast to the girl almighty! 1922099377 let's have another toast to the girl almighty! 1973890357
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() message posté Jeu 14 Mai 2015 - 22:57 par Invité
wow, merci beaucoup! :triodanse:
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() message posté Jeu 14 Mai 2015 - 23:02 par Invité
La petite Sephora let's have another toast to the girl almighty! 878725457 & Taylor let's have another toast to the girl almighty! 705448254 Merci de prendre ce scéna let's have another toast to the girl almighty! 1942225346
Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche let's have another toast to the girl almighty! 1922099377 si tu a des questions sur le scénarios (ou le forum) n'hésite pas à nous MP :elliana:
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() message posté Jeu 14 Mai 2015 - 23:06 par Invité
Ceeeeee Sceeenariiiooooo let's have another toast to the girl almighty! 1973890357
Bienvenue parmi nosu tu fais un excellent choix puis Taylor est subime let's have another toast to the girl almighty! 705448254
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