"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Song of The Storm /w Eira 2979874845 Song of The Storm /w Eira 1973890357
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Song of The Storm /w Eira

 :: It's over :: Corbeille :: Anciens RP
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() message posté Jeu 1 Mai 2014 - 1:13 par Invité


Song of the storm





J'aimais ce son, le son du tonnerre... Cette foudre ce fracas incessant qui fait peut faire battre le cœur d'un monstre humanoïde, mais il n'y pas que ça l'odeur, l'odeur de l'orage. Ca a une odeur douce, cette fine pluie qui tombe sur le goudron... Cette odeur de chaud qui te donne l'impression d'être sur Mars ou dans un desert... Je quittais mon appartement sentant cette odeur dans la cage d'escalier, habiller d'un jeans sombre et d'une veste en cuir noir, j'avais décidé d'aller chercher Eria, ma Miss acacia caché dans son Andalousie, Il était temps pour moi de changer mes habitudes. J'avais profiter de ma soirée, pour lire et relire un de mes auteurs préféré. H-P Lovecraft... Lui qui pourrait me faire regretter de ne pas avoir un animal de compagnie comme Cthulhu ou ne pas venerer un dieu d'un autre monde comme Nierlatothep. J'avais des clefs en mains, c'était rare que je la prenais. Mon cerceuil roulant... Cette ford mustang noir... Installer à l'interieur je ressentit de nouveau cette sensation, cette sensation d'être tout jeune et de conduire pour la premiere fois cette voiture. Sentir le contact froid du volant en cuir et pouvoir demarrer... Je n'aimais pas rester enfermer dans une boite de conserve... Surtout quand je prenais la route, moi qui pedaler sur un vélo quand j'étais petit, celui qui faisait des cascades à essayer de devenir un oiseau. Cette douce sensation qu'on éprouve avant de tomber cette sensation qui perdure a ne plus ressentir le moindre mal, cette anti gravité de la moria qui fairait même pleurer une gargouille elle qui ne peut pas bouger... Roulant dans les rues de londres, l'eau qui ruisseler sur le pare brise, les lumieres qui semblait s'enflammer et danser un tango magistrale au contacte de la pluie, je tenta de faire marcher mon auto-radio , mais il semblait qu'il soit aussi têtu que moi. Je decida alors de siffler, siffler une chanson que je connaissais petit... Oh when the saints... On n'étais pas catholique dans ma famille trop bizarre pour croire en un meilleur ami invisible sans doute. J'arrivais au quartier de Eira. Je me gara devant son immeuble, je savais où elle habitait... J'ai déjà passer des nuits garer au coin de cette rue... Quand j'étais mal j'avais besoin de me souvenir... Moi qui avais l'habitude de cacher mes souvenirs dans des œufs... Me voilà obliger de crecher tel un clandestins devant la femme a qui j'ai brisé le cœur... j'attendis, lui envoyant un message lui disant que j'étais en bas, je baissa la tête observant la facade de son immeuble, apercevant sa silhouette derrière les rideaux. Un fin sourire sur mon visage. Je la connaissais comme ma poche et je savais bien que derrière ces airs de grande duchesse pas plus haute que trois pommes sur ses petits talons aiguille de reine aguicheuse... Elle ne restait qu'une enfant face au Croque mitaine.

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() message posté Jeu 1 Mai 2014 - 2:48 par Invité
Lewis ∞ Eira
We are such stuff as dreams are made on, and our little life, is rounded with a sleep.
LUn bain brûlant et du Beethoven en fond sonore. Assourdissant. Oublier. Oublier l'orage et sa malédiction... phobie chimérique prenant sa source dans l'enfance.
Enfantine et craintive, cellulaire à la main, elle se tourne vers son héros, son champion. Celui qui accouerait à elle pour la sauver et être le garant de sa vie.
Le paradoxe était qu'elle aimait la pluie mais qu'elle en redoutait les foudres. Ses fêlures dans le ciel, cette déchirure qui laissait surgir ses démons. Elle avait peur. Sans amants ce soir, il lui était tout disponible et la chaleur du bain n'était pas sans lui rappeler un autre ardeur. Ce désir de protection. Elle était si forte au quotidien que tous en oubliaient son humanité, sa fragilité caché. Il savait... il avait toujours su. Il était son meilleur ami, son confident, il fut son amant.... son amoureux il en demeure son âme gémellaire.
La femme si rationnelle et froide se réfugiait dans son imaginaire intérieur. Il viendrait la chercher, la sauver. Devant sa copie d'un Van Gogh, elle sentait l'âme présent de son homme s'embrasant au rythme du « Durch liebe Freude ». Elle sentait dans les coups de pinceau toute l'ardeur qu'il avait mis en œuvre pour elle. Emporté par son attente, elle toucha la peinture la caressant et se mit à se déhancher, un verre de Dom pérignon à la main. L'ivresse de l'or.
Elle file, légère sur ses jambes fuselée vers le dressing. Doux privilège d'avoir une maison à Belgravia... tant de pièce à remplir pour combler son désintérêt de la vie.
Elle ôta sa robe de chambre en soie pour se retrouver nue dans le dressing, elle voulait se déguiser, s'inventer. Elle prit un ensemble en soie et dentelle finement ouvragé couleur perle mettant en valeur sa peau de porcelaine, enfila une chemise de corsaire blanche avec une jupe taille haute et structurée en cuire pourpre, léger et souple. Elle voulait être une princesse byzantine en fuite sur un bateau pirate. Elle prit un foulard Hermès quelle noua dans ses cheveux et commença à dire des textes de son invention, prenant Hamlet à témoin. Le pauvre félin qui se demandait si sa maîtresse aurait un jour une bonne santé mentale... si tant est qu'un chat puisse se poser ses questions.
Soudain elle entendit son portable sonner... un message. Elle se mit à sa fenêtre et reconnue le corbillard de Lewis... enfin... son cercueil... mais les cercueil n'ont pas de chauffeur... Non.... c'était un  bateau pirate et il en était le capitaine. Il venait la sauver. Elle sourit... si heureuse de le voir ici, de le savoir s'être déplacé pour elle. Elle enfile une paire de talon, prend son sac avec des vêtements, saisit son parapluie.... inspire profondément... et sort de chez elle en courant vers la voiture pour s'y engouffrer coté passager.  
Elle dépose sur sa joue un baisé mouiller, souriant et riant comme un shooté. Oui shootée... shootée à la peur, shootée à la vie qui anime le ciel.

« Capitaine, nous ferions mieux de fuir avant que nos assaillants ne reviennent !!!! »
Dit-elle entre deux rire.

Les assaillant, les éclairs... Et à peine les avait-elle évoquait qu'ils grondèrent, fier flambeau des cieux. Elle sursauta, agrippant désespérément à lui en quête de protection. Lui... son veilleur de la nuit... pensait-il qu'elle en l'avait pas remarqué rôder dans le quartier ? Oui... il était son capitaine Hook, il était ton rêve, son imaginaire.

« Emportement moi loin.... »
Susurra-t-elle à son oreille

Elle déposa un baisé frileux sur sa nuque, elle nétait toujours déguisée, toujours dans son rêve. La nuit était le royaume des songes, alors qu'on la laisse y vagabonder allègrement, flirtant avec les chimères.  
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() message posté Jeu 1 Mai 2014 - 3:34 par Invité


Song of the storm





Je vis les lumieres s'éteindre, je ne savais pas quoi penser sur le coup, mais de voir l'eau couler sur ma fenetre, me donner envie de sortir... mais je me suis dit que de l'accueillir tremper de la tête au pied ne serait peut être pas la solution après tout. C'est alors que je la vis sortir de sa maison... Bien jolie maison après tout, elle descendit les quelques marche en courant... je n'avais pas remarqué sa tenue, la voilà qu'elle se prend pour un marin... J'ai l'appression de retomber en enfance, elle était belle et sexy c'était dingue... Elle rentra alors dans la voiture essouflé comme si elle avait couru le marathon de New York. « Capitaine, nous ferions mieux de fuir avant que nos assaillants ne reviennent !!!! » Je fis de gros yeux, bien je suis un Capitaine... J'engagea la premiere... « Accroche toi moussaillon sa risque de secouer... » disais-je d'une voix de vieu corsaire à la barbe noir, je verifié mon angle mort et oui être prudent, le bruit de mes essui glace donnais une impression de battement dans les cales... Elle me faisait rentrer dans le jeu si facilement : « Emportement moi loin.... »  Je me suis mis à rire : « Emportement... Mais ca n'existe pas... » Le bug du soir merci Eria... Je partit alors de vive alors après avoir entendu le grondement de la foudre... « Je n'avais vu de mer aussi folle ! Moussaillon fermer les ecoutilles nous prenons la direction Babord ! » Disais je alors en tournant a gauche et traversant alors Oxford street, il y avais personne je pouvais rouler comme je le voulais mais je fis attention se serai dommage tout de même d'avoir un accident... Quelques minutes plus tard, après avoir jouer les capitaines avec elle nous arrivions devant mon immeuble... J'eteins le contact : « Il est temps qu'on plonge, Milady... » Je sortis de véhicule fermant ma porte j'alla ouvrir la sienne tendant ma main... sentant des cheveux mes cheveux degouliner sur mon visage : « Prenez ma main Milady... Je vais vous porter, vous protegez de nos assaillant... » Elle sortis je la pris alors comme une jeune marié nous rentrion vite dans l'immeuble, nous prenions alors l'ascenceur pour arriver devant ma porte je la deposa alors : « Nous voilà sain et sauf ma chere... êtes vous prête a revoir l'île aux trésor ? » Lui disais-je alors d'un sourire au lèvres... J'aimais ses moments, ses moments me manquait jouer... le jeu était se qui relier toutes nos relations... Notre enfance avec mes histoires et ses amis imaginaire... Jusqu'à finir par ce jeu dangereux qui me coutera de ne plus l'avoir dans mon lit comme avant. J'ouvris ma porte et la laissa rentrer... J'avais preparer deux serviette sur une chaise pour nous accueillir, on pouvais voir mon livre ainsi que mon verre de vin sur la table... La lumiere était déjà allumé... Et on entendais l'eau tomber sur la verrière aux plafonds...

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() message posté Jeu 1 Mai 2014 - 4:40 par Invité
Lewis ∞ Eira
We are such stuff as dreams are made on, and our little life, is rounded with a sleep.
LElle n'était plus elle mais était une autre... ou était-ce l'inverse, elle n'était plus l'autre mais elle. Le foulard das les cheveux une chemise blanche de corsaire..... un navire noir... un capitaine diablement sexy dont elle se ferait avec joie la prisonnière. Ni une ni deux.... il campa son rôle. Il était Jack Sparrow, Killian Jones, et autre flibustiers. La pluie donnait le tempo, l'éclair battant la mesure, elle s’enivrait de son hilarité et tant pis si elle parlait de traviole. Elle avait été monté à l'envers, elle n'avait ni queue ni tête et le cœur au bord de la bouche.
Il était là... là pour elle... la juste avec elle... elle et ses multiple personnalité fantasque... elle avait un désir d'éternité, et le moment se figé, car en vérité, certain instant ont un goût d'éternité.

« Capitaine Killian Jones, Le Jolly Rogers ne saurait faillir ! »
dit-elle complètement extatique.

Oui.... il était son Killian, sa dope écossaise oc. Elle avait sa maint sur sa cuisse, observant la vision difficile qu'offrait la pluie diluvienne, elle se rappelait qu'en fait elle imaginait que les goutte d'eau faisait des course sur les vitre. Elle sourit, elle avait la tête pleine de souvenir.... Ces nuit d'orage.... Lewis.... il avait était là pendant des années.... tout ses fois où... chambre à part, elle était venu le trouver dans son lit, être contre lui, entre ses bras.... et toute ces fois où ça avait dérapé. Subtile mémoire.... glorieuse mémoire.... Lui-même avait avoué ne pas avoir oublié.... Il avait bien fier allure le pirate qui avait su lui ravir les sens.
Elle se sentait différente ce soir, comme si c'était un rêve, un songe... Titania reine des fée... ou es-tu ? Et toi Puck ? Aurait tu encore la rosé de cette fleur qui nous rendrait la vue ? Oui... voir leur amour... il était si fort si hardant.... Un phare au regard immuable fixé sur la tempête et jamais ébranlé.... Ils étaient ainsi... a se connaître si bien.... si vieux... si jeune.... ils étaient les même et si différent.
Les rues étaient déserte, le monde leur appartenait. Elle voulait partir loin avec lui... fuir tout, et d'un autre coté... Elle ne voulait que vivre leur vie... si c'était à refaire, elle reprendrait ce parie fou.
Elle reconnaissait le quartier du jeune homme, son immeuble... elle traînait quelque fois dans le secteur... une perruque sur le crâne en générale.... quand elle le voulait... elle savait se déguiser et se fondre dans la masse.... pour autant... ils étaient tellement relié l'un à l'autre, qu'aucun n'était le dupe de l'autre.
Sortant de la voiture, il en avait les cheveux trempé... elle prit sa main... et il la porta.... Elle se sentait si légère, si enfant... et en même temps si femme.... sa femme. Un jour... ou non.... dans son cœur elle l'était déjà. Elle était dans ses bras... ces bras quelle avait possédé et qu'elle rêvait. Quand il la déposa devant sa porte, elle remarqua qu'elle était trempée, sa chemise de corsaire en était transparente par endroit... le défaut du blanc.

« Mais voyons cher Capitaine Hook.... je suis toujours prête... auriez-vous oublier l'aventurière que je suis ? »
dit-elle en entrant chez lui...

Elle ôta ses chaussure à talon... redevenant une minimoys... si petite... Tout était comme il l'avait laissé avant de venir la chercher... elle le voyait à sa table... répondant à ses sms... elle en sentait des hamster dans le creux de son ventre.

« Si l'on m'avait dis qu'après bien des détour je reviendrait échouer sur cette île... »
dit elle en retournant vers lui dans une démarche chancelante.

Elle s'accrocha à lui... tremblotant alors que l'orage grondait... enfouissant son minois au creux de son coup. Elle était sur la pointe des pieds. Elle respirait cette odeur familière et rassurante... alors pourquoi son cœur cognait-il si fort qu'elle en entendait les percussions dans ses oreilles ?

 « vous m'avez sauvé.... »
susurra-t-elle au creux de son oreille sans se décoller de lui.
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() message posté Jeu 1 Mai 2014 - 16:41 par Invité


Song of the storm





Nous étions devant la porte de mon appartement cette vielle porte en bois, le bruit de la mecanique me rassura comme toujours ce n'était pas qu'une île pour moi ici... C'était un rêve le genre de rêve qu'on ne veut pas s'en reveiller... Ouvrant cette porte, je sentis l'odeur du vin et du pesto maigre repas du soir pour moi... Cette appartement avait une histoire, et dieu que j'aimais les histoires... Ce fut un ancien bar clandestins et cela se voyait surtout dans le dressing avec le miroir sans teint... C'était comme si je vivais dans une epoque de révolution ici. « Mais voyons cher Capitaine Hook.... je suis toujours prête... auriez-vous oublier l'aventurière que je suis ? » Mais pour elle ce fut different, pour elle c'était l'île aux tresors qu'elle avait déjà fréquenté par le passé. Nous avions vécu tellement d'aventure ici quand nous sommes arriver à Londres... J'eu un sourire la voyant retirer ses chaussures, j'en fis de même posant ma veste humide sur le porte manteau. «  Je n'ai point oublier cette magnifique qualité que tu as. » disais je en souriant... Oh oui aventuriere et surtout mal lunée... C'est peut être pour ça que je fut attiré par elle quand nous étions enfants... Je l'entendais parlais dieu qu'elle était bavarde a parler toute seule en marchant dehors... J'écoutais ses aventure du haut de ma fenêtre... Je me suis imiser dans sa vie comme un violeur... Je me suis dit que de le faire anonymement aurait pu être drôle j'ai donc fait cette avion en papier... La chose qui me plaisait dans cette origami, c'est la grace qu'il y avais quand il prenait la houle pour s'envoler... Bien que je m'amusais trop souvent a sauter avec mes sublimes ailes en carton... Cela dit quand j'ai envoyé cette avion... Il avait atteri paisiblement sur sa tête de petite flamme. J'eu un sourire quand j'ai vu ce sourire pour la premiere fois... Un sourire casser par quelques dents de lait en moins... Je fut couper dans ma nostalgie : « Si l'on m'avait dis qu'après bien des détour je reviendrait échouer sur cette île... » Elle n'avais pas tord, mais j'en était heureux elle s'était retourné s'approchant de moi et on entendait un grondement sourd celui de l'orage, elle s'approcha de moi nichant sa tête dans mon cou. Elle semblait terrifier, je glissa mes mains autour se de sa taille posant ma tête sur la sienne elle dit alors doucement :  « vous m'avez sauvé.... » Je vis ce joli minoi remonter, mon regard se plongea dans le sien... je remonta une main delicatement sur sa joue degageant son visage d'une meche de cheveux laissant ma main sur sa nuque en lui disant : « Je vous sauverai quoi qu'il arrive... » Lui disais je d'un petit sourire... j'aimais ce genre de regard, ce regard qui veut tout dire... Je t'aime, tu me manques... Oublions le passé revenons au present... Embrasse moi... Je m'approcha doucement un peu sur mes gardes peur de la faire fuir, il faut savoir maitriser ce genre d'oiseau, si on y a trop brusquement elle risque de s'envoler pour toujours, j'ai voulu l'embrasser même que nos lèvres était a deux doigt de s'embrasser... Mais ma tête ma fichue tête n'en fit qu'à elle même... Je me redressa posant mes lèvres sur son front humide... la gardant contre moi : « On devrait se secher avant de tomber malade se serait dommage quand même... » Lui disais je d'un sourire.

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() message posté Jeu 1 Mai 2014 - 22:11 par Invité
Lewis ∞ Eira
We are such stuff as dreams are made on, and our little life, is rounded with a sleep.
LEst-ce la vie qui est un rêve ? Notre songe n'est-il qu'un prolongation du réel ? Rêver sa vie ou la vivre... Ne pouvions-nous pas faire les deux ? Non.... tout dans la vie est une question de choix et de conséquence... Eira le savait... Elle payait aujourd'hui ses choix d'hier. Pourtant.... ce n'était si cher payer... Elle l'avait quitté mais aujourd'hui encore.... quand elle avait besoin de lui il accourait. Il était son soldat son champion.
Cette porte... elle s'en rappelait... Elle avait vécut ici, elle il avait laisser des morceau de son âme... en y allant avec une loupe, on y retrouverait des morceau de son cœur... il elle ratissait le lieux et qu'elle les recollait ensemble... pourrait-il battre à nouveau ?
Elle revoit les scène de rire cette appartement avait été leur terrain de jeux et elle en revoyait les scène sous ses yeux. Des flash de rire de moment de joie et intime comme des photos dans un album... sauf que tout se passe dans sa tête, mais ce n'est pas pour autant que c'est moins réel.
Elle se tourne vers lui... Oui elle était inventive rêveuse et se voyait en Indiana Jones. Elle pouvait être 1001 femme et n'avoir qu'une âme.
Elle aurait voulu folâtrer encore dans le jardin du manoir, parler à ses personnage qui était si vivace en elle des être de papier qui s'étaient enflammés à l'arrivé d'un avion... Le destin vous frappe, et le mythe d'Aristophane se concrétise. Quand elle l'avait vu... quand il avait fait irruption dans sa vie tel un voleur qu'on aurait prit la main dans le sac elle avait su. Il était son ami son confident... il était devenue son amant... il était tout les hommes il était celui qu'elle avait toujours voulu.
Là contre lui elle sentait que rien ne pourrait lui arriver il était une muraille un château, son bouclier face au monde.
L'orage retentissait, elle se voyait tout à coup dans un film noir des années 40... Elle avait relevé ses yeux vers lui, il lui promettait de toujours la sauver. Il était si prêt elle était toute contre lui son visage si proche du siens... Elle voulais revenir... Elle avait envie de lui... lui dire ce qu'elle s'était cachait même à elle-même... Elle avait si peur dans le fond... bouffé par les chimères de l'obscure.
Abandon.Voilà le démon qui se tapis dans les rouages de son cœur. Elle avait été avec lui si longtemps... ils avaient vécut tant de chose... et s'il se lassait ? Ses propre parents n'avait jamais réussit à la trouver intéressante et s'étaient détaché d'elle... qu'est ce qui lui garantissait qu'il ne le ferait pas une fois qu'il aurait fait le tour.
Pourtant... elle la santait si forte en elle la vague intense de son regard dans le siens et de ses lèvres si proche des siennes... Elle voulait se rappeler cette délicieuse sensation... Ils étaient dans leur monde leur bulle et les yeux d'Eira criait son amour qu'elle ne pouvait exprimer. Il était le seul... Une histoire pareille on en a qu'une dans sa vie et encore si on a de la chance....
Il dévia résista à la tentation pour l'embrasser simplement sur le front... Son cœur lâchait, il vibrait. The Ice dance... Edward au main d'argent sculptait la glace de son cœur. Lewis était un artiste. Oui se sécher mais elle avait tout autre chose à l'esprit.... après tout... pourquoi pas ? Sans un mot souriant entre ses bras elle se détacha lentement tout en douceur, elle lui prit la main pour l’entraîner plus avant dans le salon, proche des serviettes.
Elle enleva a veste en cuir du jeune homme et déboutonna sa chemise lentement sans le quitter des yeux. Elle le regardait de son regard le plus tendre le plus intense ses pupille brûlant d'un feu ardant, un feu nouveau. Elle ôta la chemise, prit une des serviette et entreprit de le sécher... De temps à autre elle glisser ses yeux sur son torses musclé et ferme.. Il était beau... il l'avait toujours été.... Ses yeux se firent brillant pétillant et malicieux... Elle se mit à sécher des cheveux en le poussant à s’asseoir... Une fois fait elle le recoiffa tout en passant ses bras autour de son cou... la tête de Lewis lui arrivant au niveau de son ventre... en dessous de sa poitrine... Elle caressait son visage... se mordillant la lèvre.... même en cette instant elle avait peur qu'il parte.
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() message posté Ven 2 Mai 2014 - 22:09 par Invité


Song of the storm





Elle avait elle un cœur de glace, le mien était de bois. Je le sentis battre comme un coucou qui tenterait de s'échapper de ma cage thoracique. Je voulais tellement l'embrasser et tout reprendre, mais ce stupide coucou n'en faisait qu'à sa tête... j'avais envie de le foutre à la poubelle et pour de bon ! Mais cela me serait impossible, car si je le faisais... Je devrais sûrement m'enfuir, a la recherche d'un cœur de pierre sans doute. Alors que j'embrassais son front, mes levres ont pris un teint glacé, serait ce surement avoir toucher la peau glacé de la jeune femme. Elle se detacha comme si elle tira mon cœur par les rouages l'emmenant alors vers le living room. Elle posa une serviette sur ma tête alors qu'elle retira mon haut (ma veste étant sur le porte manteau déjà), elle commenca a m'essuyer, je la laissa faire, alors que je commencais a hautait sa chemise corsaire completement tremper. Ce n'était pas comme si je l'avais déjà vu dans une tel tenue je pris la serviette la sechant a mon tour. Je prenais soin en ce que je faisait et revoir la peau pâle de la jeune femme, me fit comme un surchauffe comme si quelque chose se coincer dans mes plumes... Elle me forma a m'asseoir je la laissa faire, elle me frotta les cheveux tentant de me recoiffer j'eu un sourire... j'eu un elan de nostalgique... Quand nous allions au Lagon l'été... Elle jouait les sirène je jouais les rois en pyjama comme des enfants elle prenait soin de moi jouant avec mes cheveux se prenant pour une coiffeuse des profondeurs des oceans... Je leva les yeux apercevant son ventre plat et cette peau qui luisait a cause de l'humidité... J'avais envie de croquer a pleine dent dans cette chair qui me semblait si delectable... Mon regard remonta doucement guider par la jeune femme, j'observait ses yeux azur... Elle était comme je l'imaginais... Cette sirène, je posa ma main doucement sur la sienne la faisant descendre doucement pour l'attirer a moi, je posa delicatement mes lèvres sur les siennes... Le baiser d'une sirène, le mythe de tout marins qui se respecte... Ma Ariel semblait perdu, j'essayais de la retrouver parmis ce baiser glissant ma main sur sa nuque, j'espèrais qu'elle prolonge mon cœur en avait envie. Ce fut une remasterisation defecteuse du bolero de Ravel dans sa poitrine... Chaque mesure un nouvel instrument, ma main dans ses cheveux, mes lèvres sur les siennes mon dos qui joua les Xylophones de l'émotion. J'étais comme chambouler par ce simple baiser. Chose que je n'avais plus vecu avec elle depuis trois ans... Ce fut le plus petit baiser jamais recensé, ce baiser de nostalgique qui s'évanouit dans les souvenirs enfouie dans mes œufs... Peur de ne les casser, j'interrompit le baiser après un echange houleux, mes lèvres virèrent d'un rouge pivoine j'ouvris doucement les yeux tombant en nez à nez avec le sien j'était comme charmé.

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() message posté Sam 3 Mai 2014 - 13:35 par Invité
Lewis ∞ Eira
We are such stuff as dreams are made on, and our little life, is rounded with a sleep.
LRêves, chimères étourdissante et enivrante, la fée verte se démène en cette nuit orageuse.
Elle était tendre... si tendre et reconnaissante, elle avait des allures de damnatrice et de rédemptrice sous ses yeux de madone sacrifié. Aucun mot ne franchit ses lèvres violacé, on ne doit pas transgresser de paroles futiles l'intimité d'un moment... quel gâchis si les horloges carillonnaient au lieux de sonner le glas ! Silence... ça tourne. Ils revivent le film. Tendresse et attention... elle avait toujours su y faire en bonne petite fille avec des rêve plein la tête : corsaire, pirates, maman, docteur, fée, elle pouvait tout être, cruelle même en cultivant sa graine de méchanceté qui semble si dérisoire quand on débrouilla la foret pour y découvrir l'Eldorado.
Un cynique à un jour dis que l'amour dur trois ans. Blasé de la vie ou non, c'était un raisonnement à l'emporte pièce, de ces phrase que l'on jette comme une bouteille à la mer en espérant qu'on la relève. Être amoureux oui, c'est un état qui une durée de péremption aussi certaine que le jambon du supermarché. Aimer... aimer est un verbe, c'est un acte. On choisit d'aimer. Être amoureux on va paisiblement chez le primeur et l'on admire les fruit les plus mur, les plus beau... Aimer... c'est prendre tout la cagette avec aussi dedans les fruit les moins murs.
Elle l'avait choisit... Elle n'avait peut-être pas son nom tatoué sur sa fesse droit mais elle l'avait gravé sur les rouages de son cœur et chaque fois que le carillon résonné, le coucou semblait psalmodier son nom.
Elle le recoiffé, passant ses mains dans ses cheveux avec soin. Il était beau... Mais pas d'une beauté démoniaque... Elle se rappelait... replongeant avec le scaphandrier dans les profondeurs de ses souvenirs... Lors de leur première nuit... épuisé, ils s'était endormie comme des locomotive ayant trop fumée que l'on met à l'arrêt, elle s'était éveillé avant lui, sur lui, elle avait relevé son visage pour mieux l'admiré. Ce n'était pas un diable mais un ange... une de ces créature divine qui irradie dans votre vie, il avait le visage doux, sublime, jamais elle n'aurait pensé qu'il lui dissimulerait quoi que se soit jamais elle n'aurait pensé qu'il arriverait quoi que se soit. Tel un ange, il l'avait sauvé... sauvé de sa solitude et de sa folie... pendant plus de 20 ans ils avaient veillé l'un sur l'autre.
Doucement, il l'attirait à lui, elle se laissa entraîner comme une feuille tomber dans une rivière, son cœur... son pauvre cœur, il battait à l'envers, les rouage grincé de cette manœuvre visant à ralentir, le temps, le dilater pour prendre pleinement la mesure
Elle voyait leur visage se rapprochait au ralentis son souffle se suspendre, elle allait avoir besoin d'air, d’oxygène. Il était là, vraiment là... Était-ce bien réelle ? Elle le sentait le touchait... mais si c’était un rêve éveillé, elle ne voulait pas que le jour se lève, elle ne voulait pas entendre le chant de l'alouette.
Les rouages de glace s'activait pour mieux fondre lorsque leur lèvres se touchèrent, le cerveau avait abandonné sa bataille, le cor ne résonnait plus... plus rien n'existait... Les yeux fermait, elle se sentait plonger contre lui, sentant sa chaleur enivrante... Ses lèvres... elle es reconnaissait... c'était sa madeleine de Proust... Trois ans... trois ans sans les avoirs... et voilà qu'elle y était... son pirate, son voleur, son prince. Elle se fondait contre lui, intensifiant l'instant.
Quand leur lèvre se séparèrent, elle sentie les sienne chaude, de violacée elles avaient rougie, il lui avait insufflée le souffle de vie. La glace des rouages semblait avoir fondu l'espace d'un instant, elle ne savait pas combien de temps s'écoulerait jusqu'à la prochaine ère glaciaire.
Elle caressa son visage, le regardant avec un émotion à la fois toute nouvelle et ancienne, intemporelle. Ses doigts glissèrent sur sa joue et elle passa son pouce sur ses lèvre rougis, la peau était douce et la chaire tendre.
Assise sur lui, elle vit un éclaire, la mélodie tranchante ne saurait tarder, elle entrechoqua leur bouche, les faisant valser dans une danse aussi émouvante qu'endiable. Le bruit sourd arriva, le cœur palpita, sa langue l’entraîna son corps se pressa.

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() message posté Sam 3 Mai 2014 - 19:42 par Invité


Song of the storm





Ce n'était pas comme si je n'avais plus le goût de ses lèvres depuis trois ans, bien que trois ans c'était trop long... tant de baiser donner que j'en avais perdu son goût, ce goût de miel qu'elle avais... J'en étais totalement retournée comme une fusillade d'emotion dans mon estomac. J'en avais perdu le contrôle de mes pensées, ses mains se glissant dans ses cheveux humides qui filer sous mes doigts. Elle s'est assis sur moi après ce merveilleux baiser. Je n'osais rien dire, surement peur de la faire fuir. le bruit de l'eau tombant sur la verrière donnait comme une impression de déjà vu... Une apocalypse, nous étions les survivant de cette tempête... Son doigt qui glisse sur mes lèvres couleur pivoine... Elle semblait elle aussi dans ses pensées elle m'embrassa de nouveau comme une drogué qui réclamait sa dose. Elle était douce, ayant poses mains sur elle carressant doucement sa peau de velour, je glissa un bras sous ses jambes, elle avait raison... Soir d'orage n'était pas une bonne idée pour être sage, je me suis relevé la portant marchant doucement jusqu'au lit alors que je ne quitta ses lèvres, la posant tel une princesse sur mon lit je me mis a cheval sur elle... mes sentiments étaient en feu, je ne savais pas quoi dire comme a mon habitude, je préférais agir par les gestes ses cheveux qui s'étaler sur l'oreille, elle ressemblait a une lionne avec ses cheveux couleur coucher de soleil, ce fut tendre... Cet instant fut tendre et remplit de passion... Cela m'avait manqué tant manqué, le corps d'une femme, le corps de cette femme... Je n'étais pas doué pour trouver quelqu'un à sa hauteur, je ne m'étais pencher que sur la gente masculine durant trois ans...Comme si coucher avec un autre femme serait la tromper, il y a eu elle en premier, et il n'y aura qu'elle... C'est elle que j'aimais et que j'aime encore quoi qu'il arrive... Une main remonta le long de son bras pour se nicher dans sa chevelure. J'avais comme une melodie dans la tête ce genre de mélodie qui revenait sans cesse sans pouvoir s'arreter, je savais que nous allions sauter le pas je descendit mes baisers sur sa nuque, sa peau était froide, une fraicheur qui me satisfaisait dans ce que je faisais. Je descendit doucement sur ses fines épaules d'arbre en fleur. Ne m'attardant pas sur sa poitrine pour retrouver ce ventre ou mille et une artifice devait s'accomplir a l'instant. Je remonta doucement effleurant ses hanches de mes doigts remontant a ses bras, je prenais mon temps pour redecouvrir son corps... Son corps dont j'ai eu le temps d'explorer, elle était belle et magique... Son corps refermer tant de souvenir. Mon estomac en avait des papillons prêt à jaillir tel un feu ardent. Je remonta doucement à ses lèvres prêt à conquerir l'Everest ce soir... Ou bien de conquerir les caraïbes tel un pirate romantique. Elle était encore habillé de cette jupe en cuir qui me coupa l'envie de descendre, et de ce soutien gorges bien trop serrer pour que j'y n'ose aventurer mes mains. J'avais encore mon jeans qui me collait a la peau tel une seconde peau. Je me demandais où bien tout cela allait nous mener , mais je fus couper par l'envie de reprendre la folle enjamber de ce baiser endiablé, pendant que mes mains elle continuèrent la redecouvert de ce qu'avant m'appartenait.

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Anonymous
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() message posté Jeu 8 Mai 2014 - 22:54 par Invité
Lewis ∞ Eira
We are such stuff as dreams are made on, and our little life, is rounded with a sleep.
LTomber amoureux est sans nul la chose la plus enivrante, savoir qu'on fonce droit dans le mur et accélérer quand même.
Eira se rappelait que dans son cynisme elle avait dit à une de ses amies : aimer c'est 90% de souffrance, c'est pour cela que les 10% restant son si magiques. Elle vivait en ce moment même un de ses instant hors du temps qui ont un goût d'éternité. Elle se délecte de cette saveur enivrante, elle s'y shoot, elle l'emprisonne. Cela était bien trop rare trop précieux pour qu'on en prenne pas a pleine mesure.
Le ciel jouait sa mélodie, des percutions, des sons sourds qui grondent, un subtil jeu de lumière qui éclaire les face caché, illuminant les face d'ombre... Il était là, c'était réelle, elle devait le toucher, l'éprouver pour ressentir cette réalité. Ce fut une si grande torture... une condamnation à mort de se passer de lui et la lige verte était si longue dans se couloir de la mort interminable... à cheval sur lui, elle pressait ses lèvre sur les sienne, faisant jouer sa langue avec autant de ferveur et de délectation que le dernier souhait d'un condamné. Elle ne voulait plus jamais se passer de lui... C'était comme une alcoolique qui replongeait...
Il la portait au lit, elle avait passé ses bras autour de son cou, elle était une reine entre ses bras... Elle qui était si forte se sentait tout à coup si fragile... sans doute était-ce cela s'offrir à quelqu'un, se dévoiler pleinement, montrer ses faiblesse comme un magicien dévoilant ses tours, elle lui avait fait sortir le lapin du chapeau et l'avait suivit dans son terrier jusqu'au pays des merveilles.
Ce lit elle le connaissait, elle en avait exploré les recoins, froissé les draps... déchiré....  Il était sur elle et Eira portait sur lui un regard flamboyant... il était si beau.... ca faisait si longtemps... Combien de fois avait-elle noyé son regard dans le siens ? Combien de fois y avait-elle trouvé sa rédemption ? Il l'avait sauvé tant de fois.... elle qui se sentait si étrangère à ce monde... il était un des rare à réussir à la retenir en ce bat monde qui l’indiffère.
Elle sentait ses lèvres glissait sur sa peau, elle en avait de délicieuse décharge électrique, la centrale déraillé, et plus il descendait plus elle sentait son ventre au bord de l'explosion. Elle se sentait si bien en même temps...  Elle se sentait exister dans ses yeux, dans ses caresse, c'était vitale.
Ses lèvres, ses main... elle se laissait aller, caressant la peau de son dos....  de son torse musclé, elle l'aurais cru de marbre... le David de Michel Ange. Elle se sentait frissonnant tremblante, fiévreuse sous son baisé. Elle sentait la glace de ses veine prendre feux, un froid incandescent. Sans savoir comment elle reprit le dessus... le chevauchant cette fois... Elle le regardait...  Elle sentait son regard si charnel... c'était comme si elle e redécouvrait après tout ses temps... Elle allant l'embrasser sensuellement, pressant son corps contre le siens avant de se redresser pour laisser le bout de ses doigts faire des caresse angélique sur son torse, glissant comme une plus le long de son torse.  De son autre main, elle dégrafa son balconnet, se penchant légèrement vers lui pour plonger son regard dans le sien, elle se mordillait la lèvre de désir... sa main descendit lentement juqu'à son entrejambe ou elle se heurta au jeans du jeune homme, elle ne s'en mordit que d'avantage la lèvre.... laissant sa main ou elle était elle fit glisser sa bouche sur sa mâchoire... la faisant descendre au creux de son cou qu'elle se plus à mordiller... cette chair avait été sienne... et elle se serait toujours... il était à elle autant qu'elle était à lui.... et cette nuit à nouveau... elle voulait accomplir le sacrifice sur l'autel de leur amour.  
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