Dragonfly out in the sun |HOT|-18/ ♠ LAZERIAN&AIDEN

J’étais tellement différent de Lazerian que je ne comprenais toujours pas comment les choses pouvaient tout de même se passer correctement. Bien évidemment, par moment, les choses étaient bien plus tendues mais finalement, nous aimions tous les deux, la compagnie de l’un et l’autre. Un beau merdier se déroulait dans ma tête et je n’avais pas envie que les choses restent ainsi mais j’avais envie de profiter des vacances, d’être loin du campus (même si cela voulait dire que j’étais aussi loin de Rose) et loin de tout finalement. Je n’avais pas donné de signes de vie à ma mère et je n’étais pas prêt à lui en donner. Je savais pertinemment que ce n’était pas bien mais je n’en avais pas envie. Par moment, j’espérais être complètement seul mais je savais que ce n’était pas bien de penser ce genre de choses parce que beaucoup aimerait avoir une famille. J’en avais une mais je ne la voulais pas, alors comment faire ? Surtout lorsqu’on essayait toujours de me joindre alors que je n’avais pas envie de donner de mes nouvelles. « Alors toi aussi tu ne veux pas parler à ton père.. et bien comme çà nous avons un nouveau point commun » lui dis-je ne sachant pas s’il allait être blessé ou bien prendre mal ce que je venais dire. Il commençait à me connaître, je disais toujours tout ce qu’il se passait dans ma tête, parfois même sans réfléchir. J’étais impulsif, vif, et je n’avais pas l’intention de changer pour le moment. J’étais très bien comme çà. « Tu as un CV bien rempli ! Tu aimes travailler, ce qui n’est pas forcément mon cas. Enfin, je n’ai pas envie de faire ce qu’on veut que je fasse, et pourtant, regarde, je t’ai demandé de m’aider à avoir un entretien. D’ailleurs, je dois voir ton ami dès mon retour à la première heure. » son CV semblait impressionnant et il avait fait tellement de choses que j’en étais même assez surpris. « Du moment que toi tu fais ce que tu veux, tu emmerdes les autres ! Même si ce sont des personnes de ta propre famille ! » oui, je n’avais pas vraiment de pitié, enfin j’espérais qu’il n’allait pas prendre mal ce que je venais de lui dire. Je ne connaissais pas sa famille et je ne voulais pas la connaître de toute manière. Si je pouvais être loin de toutes les familles qui pouvaient exister, ce serait le paradis. J’avais déjà eu le droit de me battre avec le frère d’une fille qui était passée dans mon lit, alors non merci. Les histoires de cul n’étaient pas toujours simples et pourtant les règles étaient très faciles lorsque l’on était avec moi. Du sexe mais pas d’attaches, pas de sentiments. Une bonne nuit remplie de sexe mais c’est tout. Il y avait encore des filles qui ne l’entendaient pas de cette manière. Avec Rose, c’était différent, j’avais en permanence envie d’elle et çà en devenait fou ! Les choses entre Lazerian et moi n’étaient jamais simples et pourtant, je ne demanderais rien de compliquer. Qu’il s’amuse, qu’il profite de ces 7 jours en ma compagnie et qu’il arrête de vouloir en permanence contrôler sa vie. Je voulais qu’il mette du piquant dans sa vie même s’il avait déjà la quarantaine. Peu importe, il fallait qu’il arrête de rester dans son petit monde à lui et je comptais bien le lui faire comprendre. Il me prit par surprise lorsqu’il m’annonça vouloir que l’on soit un couple pendant 7 jours. S’il fallait qu’on se la joue au couple pour qu’il se déride et profite, alors je le ferais. Mais il savait très bien que je ne connaissais rien à la vie de couple et que je n’étais pas franchement doué pour çà. Je ne voulais pas me mettre en couple, je ne savais déjà même pas ce que j’allais faire avec Rosemarie alors c’était pour dire mais soit, 7 petits jours pour lui faire plaisir … et me faire plaisir ! « Ok ok, 7 jours, une fois de retour à Londres, terminé » c’était radical, je le savais mais je ne savais pas trop comment m’y prendre et encore une fois il en avait la preuve devant lui « Et alors ? je me fiche pas mal que nous soyons sur un banc mais je vais tenter de me retenir ! Et je ne sais pas pourquoi mais je savais que tu allais me dire ça, mais ce n’est pas plus mal, je préfère te laisser faire. Ce qui est rare pour quelqu’un car je prends toujours les devants et personne n’à le dessus au lit avec moi !» au lit ou peu importe l’endroit. Et voilà ! Il avait enfin compris qu’il fallait profiter et j’eus le plaisir de pouvoir goûter de nouveau à ses lèvres, laissant même ma langue retrouver la sienne. « J’ai beaucoup trop envie de me casser d’ici là tout de suite tu vois ! » et pourtant l’endroit était vraiment très joli mais j’en avais vu bien assez pour que nous puissions partir « On y va ? » lui demandais-je après avoir pris quelques clichés de plus histoire de. « Je suis jeune, j’ai faim mais pas de nourriture et j’aime pas trop attendre ! » encore une chose que Lazerian ne devait certainement pas apprécier !

Je me demandais par moment pourquoi j’avais accepté ce voyage ? Certainement pour fuir un petit peu Londres, pour fuir cette ville qui m’était toujours inconnue et que je n’aimais pas vraiment. J’avais toujours rejeté la faute sur quelque chose ou bien sur quelqu’un et Londres avait pris bien plus cher que les autres. Je n’aimais pas cette ville mais certainement parce que mon père vivait ici et qu’il s’était remarié comme si de rien n’était. Il avait refait sa petite vie bien tranquille loin des siens, oubliant même qu’il avait un fils avant de prendre conscience que j’existais pour de vrai. Malheureusement, cette prise de conscience avait été bien trop tardive pour moi et je n’avais plus envie de le voir, ni même de lui parler.  Il avait fait du mal à ma mère, bien plus qu’à moi au final mais elle avait décidé de lui pardonner et ça, je ne pouvais pas le comprendre. C’était plus fort que moi, je n’admettais pas que ma mère accepte tout de lui-même si c’était tout de même pour notre bien à tous les deux. Les évènements me restaient tout de même encore en travers de la gorge. Et ça n’était pas près de changer. J’avais enchaîné les conneries, j’avais tout fais pour qu’on comprenne que je n’étais pas content, que j’avais bien trop de colère pour m’ouvrir correctement à quelqu’un. J’avais tout fais pour bousiller ma vie et je ne le regrettais même pas. J’étais un lâche, du moins un petit peu sur les bords, je ne le niais pas mais c’était moi, j’étais comme ça, c’était la vie. J’aimais tout de même bien trop la vie, et bien trop le sexe pour changer de comportement. Je n’étais  pas pour les relations amoureuses, et je le criais toujours sur tous les toits, je préférais les parties de jambe en l’air sans prise de tête ensuite mais pour la semaine à venir, Lazerian ne l’entendait pas de cette oreille voulant à tout prix que nous soyons.. Un couple. Rien qu’à cette idée, un rictus se positionna sur mon visage. Je ne pouvais pas refuser, ce serait refuser tout le reste. Je savais pertinemment que j’étais égoïste sur les bords mais j’étais ainsi et je pense que d’un côté, cet homme le savait lui aussi mais ne voulait plus trop y penser. J’étais content de voir qu’il prenait un peu la vie du bon côté. Enfin, les choses sérieuses pouvaient commencer. Au final, je n’avais plus envie de voir Sydney, du moins pour aujourd’hui. J’avais envie d’autre chose, et la fatigue ne m’arrêterait certainement pas ! Il m’avait donné envie, et oui, qui l’eut cru, j’étais accro au sexe mais pas que.. je pensais que les femmes seraient les seules qui partageraient quelque chose avec moi, mais finalement Lazerian était arrivé, avec son charisme et son physique. Comme quoi, tout pouvait réellement arriver mais rien n’était gagné tout de même.

Etre dans l’ascenseur était une réelle torture, il me connaissait un petit peu et il savait comment je pouvais me comporter. Et aujourd’hui n’était pas différent des autres jours. Au contraire. J’avais encore plus envie de lui, maintenant, tout de suite, laissant même mon excitation commencé à se faire voir. Une fois sortis de ce maudit ascenseur, cet homme prenait vraiment tout son temps, de quoi me mettre en rogne mais je voyais bien qu’il y prenait complètement plaisir. Satané Irlandais ! Finalement un petit sourire se fit rapidement voir sur mon visage lorsqu’il me plaqua avec fermeté. C’était ce que j’appréciai chez lui, il n y allait pas de main morte, au contraire et c’était encore plus excitant. Je répondis rapidement à son baiser fougueux, rempli d’une envie que je ne connaissais pas encore. Ma langue commença cette danse harmonieuse avec celle de Lazerian alors que mes mains s’étaient rapidement placées dans les cheveux de ce dernier. Il savait vraiment y faire, il n’y avait pas de doutes, il était le meilleur coup qu’il ait eu jusqu’à maintenant. En même temps il avait de l’expérience et c’était très agréable. Je fus rapidement nu, ma chemise noire avec des flamants roses s’était retrouvée par terre en un rien de temps. Un râle de plaisir s’était rapidement échappé de ma bouche lorsque la langue de Lazerian s’était mise à faire un petit tour sur mon corps. Il avait envie de moi, que je le touche et bien évidemment de mes lèvres. En bon dominant qu’il était, je n’avais pas vraiment le dessus et pas le choix non plus. J’espérais tout de même qu’il me rende la pareille comme il se devait ensuite parce que croyez-moi, j’étais vraiment vraiment très excité. Posant mon regard dans le sien, je dépose rapidement un baiser sur ses lèvres et fini par lui mordre la lèvre inférieure avant de descendre doucement jusqu’à son entrejambe. Me mordant la lèvre, je fini par prendre ce membre dans mes mains et à y déposer quelques caresses avant de le placer directement dans ma bouche commençant alors quelques petits va et viens sans précédent. Après plusieurs minutes, ma langue se mit à se déplacer sur le membre de Lazerian, ce membre qui commençait à me montrer son appréciation.

Tout ce que je demandais c’était de passer du bon temps, oui, j’étais jeune et j’avais toujours envie de passer du bon temps. Je n’étais pas très sérieux, je ne recherchais rien de sérieux. La stabilité d’une relation n’était tout simplement pas pour moi et je savais toujours très bien à quoi m’en tenir mais beaucoup ne comprenait pas que je ne veuille pas me poser. En même temps, je n’avais que 21 ans et j’étais encore jeune. J’avais la vie devant moi alors pourquoi se prendre la tête avec une relation. Je parlais, je parlais mais j’avais Rosemarie dans le collimateur et elle me faisait toujours bien trop effet pour que je ne l’oublie une minute. Il était très difficile de se concentrer à l’université alors que je savais que la jeune femme était dans les parages. J’avais toujours envie d’elle et je le lui faisais toujours comprendre. Le braquage de la banque quelques semaines auparavant avait tout changé, du moins, pas mal de choses étaient en train de changer et je ne savais pas encore comment bien m’y prendre avec elle. Tout ce que je savais c’est que j’avais encore plus envie d’elle qu’avant et que je commençais même à éprouver des sentiments pour la jeune femme. Enfin, pour le moment, j’étais en Australie, le temps était au beau fixe et j’avais la chance de pouvoir profiter d’une bonne semaine de vacances en compagnie de Lazerian. Autant profiter de tout, n’est-ce pas ? Et je voulais réellement en profiter. Je fus soulagé de voir qu’il avant enfin décidé de se laisser complètement aller et de profiter ce qu’il pouvait avoir ici. Terminé les prises de tête, du moins pour le reste de la semaine, car croyez-moi, je comptais bien lui montrer que je ne voulais pas me prendre la tête mais simplement pouvoir profiter de son corps tout entier pendant 7 jours même s’il voulait aussi jouer au petit couple le temps de cette période. Quelle idiotie tout de même mais il avait réussi son coup puisque j’étais du genre insatiable et que je n’allais pas en rester là. Torse nu, il me mordit la lèvre, un petit air joueur dans les yeux. Alors allait-il me montrer à quel point il pouvait être le mâle dominant ? Encore une grande première pour moi qui n’était que dominant avant de le rencontrer. Encore une fois, avec lui, tout n’était que première de toute manière.J’étais bien plus pressé que Lazerian, comme toujours mais en même temps, l’excitation que je pouvais en cet instant éprouvé n’était pas qu’une simple chose, il m’avait donné envie pendant tout le trajet, car oui, j’aurais aimé coucher avec lui déjà dans cet avion. Un fantasme qui ne se réaliserait pas encore. Pour mon plus grand malheur. A genou, je défis rapidement le pantalon de Lazerian, et d’un rapide coup d’œil, je fini par lui enlever le caleçon qui était bien trop imposant. Une fois nu, le sexe imposant de Lazerian me faisait de l’œil. Je n’avais qu’une envie, le prendre dans ma bouche et lui montrer à quel point, j’en avais envie. Encore une fois : une grande première. J’enchainais alors les va et viens, laissant son sexe prendre possession de ma bouche mais rapidement, je voulus passer ma langue tout le long de son entrejambe afin de le titiller un peu plus. Enfin, je voyais déjà que je lui faisais du bien. C’était gratifiant mais je n’en avais pas terminé avec lui. Finalement, cet homme me fit comprendre que je devais aussi m’occuper d’autre chose. D’accord, çà, ce n’était pas vraiment prévu, mais soit. Alors que ma langue continuait son chemin délicat, mes mains s’attardèrent sur les deux petites copines de son entrejambe.Voilà qu’il était bien tendu dans ma bouche et je me pris même à sourire un instant avant de le reprendre délicatement. Sans prévenir, il me surprit à poser sa main sur mon crâne afin que je puisse le prendre en entier. Le dominant était donc de sortie. Je l’entendis me dire que j’étais gourmand, mais ne le savait-il déjà pas ? je ne répondis rien, laissant encore à Lazerian le plaisir de ces quelques vas et viens. Il me souleva alors rapidement et en termina avec mes vêtements. Parfait, j’allais pouvoir lui montrer que moi aussi, j’avais très envie de lui. Je me laissais totalement faire, il était le maître et c’était très bien comme çà. Sans Attendre, je m’étais retrouvé contre le mur, à sa merci, mais complètement excité « Alors qu’est-ce que tu attends ? » lui demandais-je alors qu’il était déjà prêt à entrer. Je lui pris rapidement la bouche, laissant ma langue se faufiler et rapidement retrouver la sienne. Baiser qui était le signe de mon envie. « Montre-moi que tu as vraiment envie de moi, prouve le moi » qu’il se fasse plaisir, qu’il y aille plus fort que la dernière fois, qu’il fasse sortir ce qu’il avait en lui.

Tout était arrivé tellement vite que je ne savais même plus ce que je faisais. Ce serait mentir que de dire que je n’appréciais pas le moment, bien au contraire, j’avais accepté ce voyage aussi pour pouvoir prendre du plaisir avec lui. Soyons honnêtes un petit peu, même si j’étais complètement dans le flou avec mes sentiments, je ne savais pas quoi faire et j’avais besoin de prendre un peu de recul, loin de l’université. Je n’avais pas envie de passer toute la semaine à me prendre la tête avec cet homme charismatique qui était en face de moi, je voulais prendre du plaisir et pouvoir profiter des 7 jours que nous avions. Même si j’étais du genre têtu, par moment, je savais aussi la fermer et faire en sorte que tout se passe pour le mieux, la preuve en était puisqu’en cet instant, j’avais laissé Lazerian prendre possession de tout ce que je pouvais lui offrir. Je n’avais pas envie de prendre le dessus, je voulais qu’il le fasse et il m’avait d’ailleurs bien fait comprendre que de toute manière, ce n’était pas le genre d’homme à se faire prendre, au contraire. Son attitude me plaisait et j’avais envie qu’il fasse plus, je ne voulais plus attendre, je ne voulais pas de tendresse, juste un peu de sauvagerie. Je n’avais jamais été réellement tendre de toute manière, je ne connaissais pas ce mot. J’avais enfin pris le coup de main et je savais désormais comment lui faire plaisir. Du moins, je le pensais en tout cas. Une fois dans ma bouche, je fis des va et viens et fini par le titiller avec la langue sans laisser de côté tout ce qu’il y’avait autour. Mes mains sur son fessier, j’avais fait en sorte de le prendre un peu plus en bouche avant relâcher cet engin. Je ne savais pas comment je faisais pour le prendre autant vu la taille mais j’étais assez fier de voir que j’étais assez doué même si par moment, je sentais que j’étais au maximum. Je ne savais pas d’où Lazerian pouvait sortir toute la force qu’il pouvait avoir mais elle était bel et bien là et je me laissais faire sans rechigner. Mon corps contre le sien, je ne voulais faire preuve d’aucune résistance, si ce n’est attendre qu’il soit enfin en moi. Mes jambes autour des hanches de Lazerian, j’avais tout de même cette sensation étrange, me disant que c’était en général les étudiantes qui étaient dans cette position et non moi. Je n’étais pas vraiment préparé mais tant pis, je ne pouvais plus attendre et Lazerian l’avait bien compris, puisqu’une fois bien installés, enfin du mieux que nous pouvions en cet instant, il entra rapidement en moi et un gémissement de ma part se fit entendre. Je crois bien que les clients de l’hôtel n’étaient pas prêts d’être tranquilles. La douleur était là, mais l’excitation était elle aussi bien présente et je ne voulais donc pas y penser alors qu’il était en train de faire monter la température. Je fis de plus en plus de gémissement, entre la douleur et l’excitation, Lazerian continuait ses vas et viens alors que nos deux corps étaient collés à l’un et l’autre. Tant pis pour la douleur, le plaisir était présent et prenait le dessus sur tout le reste. Je commençais à sentir la chaleur me monter et m’agrippant à Lazerian, je ne pus m’empêcher de passer ma langue sur les lèvres de ce dernier alors qu’il continuait ses vas et viens à un rythme soutenu. Le plaisir arrivait tout de même à prendre le dessus, me laissant par la même occasion sortir quelques râles tout en continuant à me focaliser sur les lèvres de ce dernier. L’embrassant alors à pleine bouche, je finis ensuite par lui mordre la lèvre, tout en continuant à m’agripper à lui. « Il .. va falloir… que » je n’arrivais même pas à parler correctement « nous allions.. Acheter… ce qu’il faut ! » je n’avais rien avec moi et c’était la première fois que cela m’arrivait.