"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Keep holding on ♦ Alicael 2979874845 Keep holding on ♦ Alicael 1973890357
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Nathanael E. Keynes
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() message posté Ven 1 Mai 2015 - 13:26 par Nathanael E. Keynes
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Samedi 25.04.2015 • Central London • Bloomsbury • Great Ormond Street Hospital
Je m'attendais pas à apprendre que Sharona et Nikolaï se connaissaient, et quand elle m'a envoyé des messages à ce sujet, je suis resté comme un con à regarder mon téléphone, et puis j'ai éclaté de rire, un bref instant. Londres est définitivement trop petit. Et puis peut-être que mes nerfs commençaient un peu à lâcher aussi. Quand Nik s'est réveillé, pour me parler d'elle notamment, j'ai pas tout de suite fait le lien, c'est pas le prénom le plus commun du monde, mais ça voulait pas forcément dire que c'était la même Sharona cela dit, et puis c'était surtout un profond soulagement pour moi que de voir mon ami revenir parmi nous, et j'ai pas réfléchi plus loin que ça. Les messages de la brunette pote de Tyler, par contre, on raccroché les wagons et... ouais bon ça me fait clairement sourire de savoir qu'il en pince pour elle. Un peu moins comme j'imagine qu'elle doit profondément m'en vouloir pour ce qu'il s'est passé avec Handsome. Alors quand elle est arrivée, le samedi en matinée comme elle m'avait dit qu'elle le ferait, je me suis retrouvé un peu embarrassé, pas vraiment désireux de la voir passer ses nerfs sur moi dans la chambre d'hôpital de l'avocat, si bien que j'ai pris les devants.

« Hey... Hum... Tu voudras bien juste attendre qu'on soit plus devant Nik pour comment t'as dit... Mmmh... me casser la tête ? »

Elle m'a regardé bizarrement, a fini par hocher la tête, et je me suis éclipsé, songeur. Nik en pince franchement grave pour cette fille. Elle tient un minimum à lui sinon elle serait pas là, mais j'avoue que ça me fait... bizarre. Et puis... Ma demande a eu l'air de la surprendre et je sais pas si c'est parce qu'elle n'avait pas l'intention de faire ça ici - y a des gens qu'on un minimum de savoir vivre quand même, même parmi les bagarreurs - ou si c'est qu'elle n'était, juste, pas du tout au courant. Mais ça n'a pas tant d'importance pour l'instant, et j'espère que ça va bien se passer entre eux. Nik a besoin de calme, de se remettre tranquillement - et y a du boulot, forcément - et d'être entouré de ses proches, alors je suppose que c'est plutôt une bonne chose qu'elle soit venue. Sauf si elle part en mode berserk, donc, mais a priori, y a pas vraiment de raison pour.

Depuis qu'il s'est fait tirer dessus, les rares moments où j'ai quitté l'hôpital, ça a été pour aller prendre une douche et attraper un truc à bouffer avant de revenir aussi sec, et ils ont eu beau chercher à me faire partir, j'en ai jamais démordu tant qu'il était pas réveillé. Il a rouvert les yeux hier, cependant, et je suis toujours là, mais je crois que je serais parfaitement rassuré seulement le jour où il rentrera chez lui. Mais je peux quand même pas passer ma vie dans les murs du Great Ormond Street Hospital indéfiniment, et même si j'ai prévenu mon Boss au Barfly que je serai pas là ce soir,, ce qu'il a l'air d'avoir bien compris, je peux pas continuer à prendre des jours non-stop. Lundi, je retournerai au journal, et sans doute que j'enchaînerai sur le bar... comme souvent ces dernières semaines, il faut avouer.

Je me suis dirigé vers la cafétéria, dans le but de me payer un café - je tourne un peu qu'à ça depuis quatre jours, et même si j'ai un peu somnolé sur une chaise dans la chambre de Nik les premiers jours, la fatigue accumulée commence à se faire sentir. Je dois avoir une tête à faire peur, déjà que c'était pas franchement très beau avant... Si Elias me trouvait une tête de déterré quand on s'est vu à son retour d'Australie, je sais pas à quoi il me comparerait aujourd'hui, tiens... Et quand j'arrive à la machine, il y a une jeune femme qui attend sa propre boisson, à qui j'adresse un sourire pâle et un petit signe de tête en guise de salut. Elle bosse ici si j'en crois sa blouse, et il me semble bien l'avoir croisée dans les couloirs à chaque fois que j'ai quitté la chambre de Nik. Les mains dans les poches, je dois avoir l'air fin à rien dire à côté d'elle en attendant que sa boisson soit servie, mais à cet instant, je dois bien avouer que j'ai pas grand chose à sortir. Elle doit avoir autre chose à faire que taper la discut' avec un inconnu qui squatte l'hosto de toute façon...
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() message posté Ven 29 Mai 2015 - 21:28 par Invité
Alice était épuisée. Asthénique. Flagada, exténuée, harassée, vannée. Tout ce que vous voulez. Elle avait enchaîné une nuit de garde sur une journée de travail complète, ce qui n'avait sans doute rien d'incroyable pour une bonne partie du personnel de l'hôpital ; mais pour une jeune maman d'un nourrisson brailleur qui lui prenait toutes ses nuits de repos, c'était plus difficile.

La jeune femme n'avait plus aucune idée de l'heure qu'il pouvait bien être. Elle était sûrement en train de faire des heures sup' sans s'en rendre compte, ça lui arrivait régulièrement, surtout quand elle était aussi crevée. Toute notion du temps disparaissait, et seule la lumière du jour l'informait qu'il était entre six heures du matin et dix heures du soir. A part ça, elle n'avait pas beaucoup de renseignements. Personne ne prenait la peine de lui demander pourquoi elle était là depuis si longtemps : il n'était pas vraiment rare, et encore moins surprenant, de voir du personnel hospitalier debout pendant quarante-huit heures d'affilée. Bien sûr, il y avait des horloges un peu partout dans l'hôpital, mais il aurait fallu, la plupart du temps, un effort surhumain pour seulement tourner la tête afin que le cadran entre dans son champ de vision.

Elle voulait simplement se téléporter chez elle, pour se blottir entre les draps frais et les bras chauds d'Alex. Honnêtement, elle ne pensait vraiment pas être capable de faire le chemin retour vers la maison à vélo. Ça lui paraissait hautement improbable, étant donné sa difficulté à seulement faire trois pas. Et pourtant, elle se dopait au café depuis au moins trente-deux heures. Son sang avait dû se changer en caféine, vu la quantité qu'elle avait avalé. D'ailleurs, sa difficulté à effectuer le moindre mouvement rappela soudain à Alice qu'il était l'heure d'en reprendre une dose. Beaucoup de patients doivent avaler des médicaments à intervalles réguliers ; pour ceux qui travaillent dans les hôpitaux, c'est pareil, mais avec le caféine. Seul moyen de survie. La nuit en particulier, quand médecins et infirmières semblent s'être greffé des mugs de café sur la paume de la main.

Elle se dirigea, lentement et pas vraiment sûrement, vers la machine à café. Introduisit son argent dans la fente, pressa le bouton pour un expresso noir bien serré. Se rappela qu'elle avait oublié de mettre un gobelet, recommença l'opération, attendit. Bizarrement, c'est à ce moment-là qu'il lui traversa l'esprit qu'elle devait vraiment faire peur à voir. Elle tourna vaguement la tête pour tenter de trouver un miroir, une vitre, n'importe quoi qui lui renvoie son reflet. A la place, elle aperçut un jeune homme avec un sourire pâlichon, qui avait l'air d'attendre qu'elle libère la machine. Alice retourna les yeux vers son gobelet, qui devait avoir fini de se remplir depuis Dieu sait combien de temps.

- Oh, pardon, ânonna-t-elle d'une voix rauque. Je… Je crois que je dormais debout.

Alice attrapa le gobelet en polystyrène. Froid. Mais comment se faisait-il qu'autant de temps se soit passé alors que sa tête n'avait compté que quelques secondes ? Puis, sans perdre plus de temps à des réflexions qui risquaient de lui donner un mal de crâne à écraser Big Ben, elle s'écarta de devant la machine à café. Et resta plantée là, à observer le jeune homme à qui elle avait laissé la place, sans vraiment être consciente de le dévisager, à moitié perdue dans le vide.
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Nathanael E. Keynes
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() message posté Dim 31 Mai 2015 - 22:44 par Nathanael E. Keynes
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Samedi 25.04.2015 • Central London • Bloomsbury • Great Ormond Street Hospital
Je sais bien que le boulot du personnel médical peut être épuisant. Que beaucoup sont accrocs au café pour tenir le coup - ce dont je me garderais bien de faire la moindre critique - et que la notion d'heures hebdomadaires maximum qu'on peut avoir dans le privé est juste absolument utopique à l'hôpital. Mais la fille devant moi à la machine a réellement l'air sur les rotules. Je sais pas trop ce qu'elle cherchait ou attendait, mais je fronce les sourcils quand elle me présente des excuses d'une voix qui témoigne autant que les cernes sous ses yeux d'à quel point elle est exténuée.

« Oh, pardon. Je… Je crois que je dormais debout.
- C'est rien... »


À vrai dire, je suis pas franchement beaucoup mieux. Elle a attrapé son gobelet, s'est écartée pour me laisser la place, et je me suis donc servi à mon tour, sous son regard vague. Ma boisson finalement en main, je ne retourne vers elle en buvant une gorgée de café, étonné qu'elle ne soit pas repartie déjà.

« Euh... Je veux pas me mêler de ce qui me regarde pas, mais je crois que vous avez vraiment besoin de vous reposer... »

J'esquisse un sourire et avale une nouvelle gorgée de ma boisson qui a autant le don de me réchauffer que de me maintenir éveillé, avant de reprendre sur le ton de la dérision.

« Non parce que je sais que je suis plutôt mignon mais tout de même... »

Un instant, je me demande quand même si on ne se serait pas déjà rencontrés auparavant pour qu'elle me fixe ainsi, mais non, impossible. Une jolie brunette aux yeux clairs comme elle, je m'en souviendrais.

« Ça fait combien de temps que vous n'avez pas dormi ? Parce que sans vouloir vous offenser, j'ai déjà pas mal l'air d'un zombie, mais vous semblez encore plus explosée que moi. Vous ne voulez pas vous asseoir un instant ? »

Non parce que j'ai l'impression qu'elle va s'effondrer d'un instant à l'autre, et c'est quand même un tout petit peu inquiétant. Pour elle comme pour les autres d'ailleurs,parce que bon, moi, si je m'écroule, c'est un peu ridicule, mais ça a rien de dramatique, je suis que simple visiteur. Mais elle, si elle flanche pendant une intervention, non seulement elle risque de se faire mal, mais en plus la santé de ses patients peut se retrouver mise en jeu...
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() message posté Mar 2 Juin 2015 - 19:06 par Invité
Maintenant qu'elle y pensait, il semblait bien à Alice qu'elle avait déjà vu ce jeune homme quelque part dans l'hôpital ; visiblement pas en tant que patient, toutefois, étant donné qu'il pouvait se balader n'importe où en vêtements de ville sans qu'on lui dise rien. C'était sans doute un de ces proches de malade qui passent leur vie dans la chambre d'un ami, père, sœur, conjoint, ou Dieu-sait-quoi encore, en attendant qu'ils aillent mieux. La plupart de ces gens-là erraient sans but dans les couloirs autorisés au public quand on leur demandait de laisser le patient se reposer, ou en attendant la fin d'une opération, ou quand il fallait changer les perfusions, ou…

–  Euh... Je veux pas me mêler de ce qui me regarde pas, mais je crois que vous avez vraiment besoin de vous reposer…

La voix du jeune homme tira Alice de sa torpeur contemplative.

– Hein ? Euh, oui, je…

Elle n'arriva même pas à aligner une phrase complète et cohérente, quoique l'homme en face d'elle eut le temps d'avaler une gorgée de café brûlant.

– Non parce que je sais que je suis plutôt mignon mais tout de même...

Alice rougit vaguement, avant de glousser d'un air niais. Sérieusement, elle était devenue débile ou bien… ? Hé oh, ici la Lune, en plus d'avoir perdu ta langue, tu retournes à la maternelle ? En plus, ce mec n'est même pas ton genre.

Le garçon reprit encore, d'un ton un peu soucieux.

– Ça fait combien de temps que vous n'avez pas dormi ? Parce que sans vouloir vous offenser, j'ai déjà pas mal l'air d'un zombie, mais vous semblez encore plus explosée que moi. Vous ne voulez pas vous asseoir un instant ?

Sympa. A vrai dire, c'était vrai que ce garçon avait l'air échappé d'un film de vampires blanchâtres à cernes violacées ; si Alice était pire que lui, ça promettait. Clairement, ce gars devait avoir raison. Elle avait vraiment besoin de s’asseoir, ou elle risquait de mettre tout le monde, a fortiori des patients, en danger, si jamais elle faisait une mauvaise manipulation, ou si elle tombait en plein milieu d'une opération, outils chirurgicaux en main – elle préférait ne pas y penser, mais c'était une éventualité non négligeable. Sauf que si elle s'asseyait, ou pire, s'allongeait, ne serait-ce qu'un millième de seconde, elle risquait de s'endormir, et de ne se réveiller qu'à la prochaine aire glacière. Faut savoir qu'avec le réchauffement climatique, cette dernière n'est pas prête d'arriver. Et là, en l’occurrence, elle avait une tonne de patients qui attentait qu'on leur prodigue des soins élémentaires.

– C'est gentil, mais je ne peux pas vraiment me le permettre, fit l'infirmière avec un pâle sourire qui se voulait rassurant, mais qui devait surtout être alarmant, en fait. J'ai encore…

Elle jeta – enfin ! – un coup d’œil à l'horloge du grand hall. 15h37.

– Trois heures et demie à tenir, pas grand-chose, enchaîna-t-elle après un rapide calcul. J'imagine que je peux tenir au café jusque-là. Enfin, je crois que je vais devoir refaire celui-là, soupira-t-elle en montrant son gobelet de café froid.

Avec un peu de chance, le prochain serait réussi.
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() message posté Dim 7 Juin 2015 - 22:56 par Nathanael E. Keynes
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La jeune femme est perdue dans ses pensées, ou son rêve éveillé, je ne sais pas trop. Une chose est certaine, elle est clairement plus en état de bosser, là, et je sais bien que je suis pas son père ni rien, mais j'avoue que ça m'inquiète, pour elle autant que pour les autres. Et je risque pas d'être rassuré quand elle a du mal à me répondre...

« Hein ? Euh, oui, je… »

Ok... Et personne vous a déjà envoyé vous coucher là ? Non parce que moi, je vous ai sous mes ordres dans cet état, je vous renvoie chez vous et hors de question de discuter quoi. Sérieusement ma blague est pourrie, en plus, elle mérite à peine un sourire, et vous êtes en train de glousser, alors je veux bien qu'il y ait des gens très bon public, mais quand même... Je sais bien que c'est pas vraiment mon rôle de m'inquiéter pour elle, mais je peux pas vraiment m'en empêcher. Elle a quand même déconnecté suffisamment pour laisser son café complètement refroidir quoi...

« C'est gentil, mais je ne peux pas vraiment me le permettre. J'ai encore... Trois heures et demie à tenir, pas grand-chose. J'imagine que je peux tenir au café jusque-là. Enfin, je crois que je vais devoir refaire celui-là. »

Je secoue la tête, absolument pas convaincu. Ni prêt à lâcher l'affaire.

« Mais vous pouvez vous permettre une erreur médicale parce que vous aurez pas été assez vigilante ou réactive ? »

Je soupire, songeant qu'on a vraiment un problème dans le milieu hospitalier.

« Y a vraiment pas moyen que vous preniez je sais pas... un quart d'heure et qu'on vous réveille pour la fin de votre shift ? Je comprends que vous puissiez pas rentrer chez vous mais vous pouvez franchement pas rester comme ça non plus. Ça fait combien de temps que vous avez pas dormi ? »

Je me dis qu'il doit bien y avoir une salle de repos quelque part, et qu'elle doit bien avoir des collègues conciliants. Après tout, ils sont tous dans la même galère... Et quitte à ce que ça soit pas par bonté d'âme, ça pourrait au moins être à charge de revanche... Je me serai bien proposé, mais j'ai pas vraiment accès aux zones réservées au personnel. Et puis ça pourrait paraître déplacé, on pourrait croire des choses et si j'en crois son alliance, Madame n'est pas tout à fait célibataire. J'ai pas vraiment pour habitude de briser des couples, c'était déjà pas mon truc quand j'étais célibataire et dragueur invétéré, je me vois pas commencer sur le coup de rumeurs à la con, infondées en plus. N'empêche, elle a besoin d'un minimum de repos. Et vu qu'elle a pas l'air décidé à chercher une salle de repos...

« Je vous propose un truc. On se pose sur les chaises mises à disposition dans le couloir du service pedopsy où y a pas grand monde... »

Oui parce que j'ai un peu arpenté tout l'hôpital depuis le début de la semaine alors...

« Un quart d'heure, vingt minutes max, et je vous réveille avec un café chaud cette fois pour que vous y retourniez un peu plus en état de finir vos trois heures. Ca pourrait vous aller ? »

Non parce que sérieusement, là, je voudrais pas être un de tes patients ma jolie, tu me ferais trop peur, je t'assure... J'ai pourtant pas été trop surpris qu'elle décline et retourne bosser en me plantant là. Et j'ai bu mon café, un peu inquiet pour elle, mais en me répétant que je pouvais rien y faire. Je suis repassé par la chambre de Nik, mais je suis pas entré, quand j'ai entendu un bout de leur conversation, et un sourire étire mes lèvres comme je quitte finalement l'hôpital. Je suis décalqué, et je rentrerai dormir un peu je pense, après. Mais je vais commencer par aller visiter un autre pote qui a besoin de soutien en ce moment, l'avocat a l'air d'être entre de bonnes mains pour sa part...
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