(✰) message posté Sam 18 Avr 2015 - 19:49 par Invité
Adam Bellamy Matthews
London calling to the faraway towns
NOM(S) : Matthews, parfois il lui arrive d'ajouter celui de sa mère, Calder, mais ça reste rare. PRÉNOM(S) : Adam Bellamy. Petit il n'aimait pas Adam parce que personne ne trouvait de surnom potable; à force, ses proches ont adopté Bell. ÂGE: 25 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE: 1er septembre 1989. NATIONALITÉ: britannique. STATUT CIVIL: fiancé depuis maintenant trois ans. MÉTIER: ingénieur en informatique et génie électronique. TRAITS DE CARACTÈRE : attentif + sociable + ouvert + tolérant + rancunier + peu sportif + apolitique + surdoué + bavard + jaloux + borné + responsable + parfois immature + moqueur + tête en l'air + imprévisible + ambitieux + pacifiste. GROUPE : the tube.
My style, my life, my name
il est gaucher + il a vécu aux USA pendant environ dix ans, et il en garde un bon souvenir même si Londres lui a souvent manqué + il a toujours été très intelligent, mais ne s’est jamais intéressé à grand-chose avant le lycée. C’est pendant un concours de mathématiques dans son lycée qu’il a découvert l’esprit de concurrence, et plus encore, sa vocation + c’est un génie des chiffres, au sens propre. Il adore The Big Bang Theory mais sa fiancée se moque souvent de lui parce qu’il comprend les trois quarts des références + sa petite sœur, Savannah, a longtemps été sa bête noire, jusqu’à ce qu’elle grandisse ; depuis leur adolescence, ils s’entendent très bien + il a une mémoire à chiffres, mais il est incapable de retenir un numéro de téléphone, c’est plus fort que lui + c’est un accro de la caféine et des sodas ; il ne boit que ça, quasiment + quand il était à l’université, il a commencé à créer des algorithmes pour tromper l’ennui pendant les cours, avant d’en faire des applications pour smartphones + il a monté une start-up juste après son diplôme avec une application-phare anti-piratage, qu’il a ensuite vendu à des entreprises, dont Apple ; il a amassé une vraie fortune mais il en parle rarement + il est accro au sucre, sous toutes ses formes hormis le sucré-salé + c’est une catastrophe ambulante ; il s’est déjà ouvert l’arcade sourcilière rien qu’en cherchant dans un placard + il est allergique à la poussière + il ne rigole jamais avec les chiffres, c’est d’ailleurs l’une des seules choses pour laquelle il est sérieux + il a toujours l’ours en peluche avec un tee-shirt bleu qu’on lui offert le jour de sa naissance + il a rencontré sa fiancée, Nola, pendant sa première année de fac : le premier jour + elle est son moteur, celle qui l’a poussé à se jeter à l’eau et à vendre ses applications pour être reconnu pour son talent + il est monté sur un skate-board, une fois. Il s’est tordu le genou et foulé le poignet, dans une même chute + il est apolitique ; il l'était déjà aux Etats-Unis et l'est toujours en Angleterre, où il a du mal à se refamiliariser avec le système + il a son permis, mais aux Etats-Unis ; en bref, il ne s'est pas conduire à droite et ne tient pas à se tuer dans l'immédiat + il est plutôt du matin, pas vraiment du soir + son système de sommeil est inversement proportionnel au besoin qu'il en a ; plus il se couche, plus il se lève tôt. C'est comme ça, il n l'a pas décidé + il est d'une nature à fuir les conflits, ce qu'on lui reproche parfois; en cause, la très nette propension de ses parents à se hurler dessus au minimum 18h par jour + quand il est revenu vivre à Londres, il y a un an, il a mis trois semaines à se remettre du décalage horaire, qui l'a rendu malade. Welcome to London.
PSEUDO : VANDERBILT. PRÉNOM : Camille. ÂGE : 18 ans . PERSONNAGE : scénario de sarahchoux . AVATAR : Dylan O'Brien. CRÉDITS : tumblr + prométhée. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : vous ne voudriez pas le savoir. CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?: oui .
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(✰) message posté Sam 18 Avr 2015 - 19:50 par Invité
premier septembre 1989, Cavendish Medical Centre – « Il est tout petit » « Tous les bébés sont petits » « Mais il a l’air beaucoup plus petit que les voisins » « Ne commence pas à le comparer à tous les gamins que tu vois, sinon ça va mal aller »« Je fais une simple observation, c’est tout. Pas besoin de me sauter à la gorge. » Il y eut un bref silence pendant lequel Ed et Liz Matthews contemplèrent le bébé qu’ils avaient mis au monde, derrière la vitre qui séparait le couloir de l’hôpital de la pouponnière. Une poignée de centimètres, à peine trois kilos, le tout dans un pyjama bleu dont Ed ignorait jusqu’à présent qu’il existait une taille si petite. « C’est le plus beau bébé du monde. En plus il ressemble à mon frère », déclara Liz. Ed leva les yeux au ciel mais ne dit rien, reportant son attention sur leur enfant. La situation était toujours irrémédiablement la même, avec Liz. Le coup de foudre ils y avaient cru, sitôt qu’ils l’avaient ressenti, au bout milieu du couloir du lycée londonien qu’ils fréquentaient. Elle avait sa façon bien à elle de porter son uniforme, comme si rien ne lui était imposé, ses cheveux châtains valsant en vagues bouclées sur ses épaules lorsqu’elle marchait. Se marier à vingt-et-un ans n’avait été dans les projets de l’un ni de l’autre ; et pourtant ils l’avaient décidé, et plus encore, ils avaient été jusqu’au bout de leur idée. Mariage, bébé. La suite logique. Et voilà que le grand jour était arrivé. Mais leur relation, aussi attendrissante fût-elle, était loin d’être calme. Chacun avait son caractère, et les choses s’envenimaient toujours très vite. Trop, diraient certains. Mais ils avaient simplement leur façon à eux de s’aimer, d’une façon passionnée qui ne souffrait pas de vivre dans un bonheur feutré. Leur couple était à leur image : explosif de couleurs. Ils se disputaient pour à peu-près tout. Ils s’étaient disputés à propos du mariage dont Ed avait un temps douté de la nécessité ; à propos de l’endroit où ils allaient vivre, dont Liz ne supportait de vivre hors de Londres ; à propos de la facture du canapé en cuir véritable sur laquelle Ed était tombé un jour, par hasard ; sur le choix des prénoms de leur enfant, enfin, pendant près de huit mois. C’était une habitude à prendre pour eux et pour leurs entourages respectifs. Et avec le temps, tout le monde avait fini par se résigner à les entendre, comme une sonnerie d’école au bas de la rue ou une chanson à la radio à laquelle on finit par s’habituer. « On devrait remonter dans la chambre, Gabriella et Colton ont dit qu’ils allaient passer dans la matinée », avertit Ed. Liz fit la moue. Elle n’aimait pas Gabriella, sa belle-sœur. Elle lui trouvait des airs de princesse faux-jetonne, et lui donnait, pire que tout, l’impression d’être une idiote, avec son sac à main hors de prix, son joli mari bien placé (c’était quoi déjà ? les fonds alternatifs ?) et son avis bien arrêté sur la façon dont on faisait les enfants – et l’âge de 21 ans ne faisait pas partie du paradigme, manifestement. « Je préfère rester là un moment si ça ne les ennuie pas » Ed leva les yeux au ciel mais n’ajouta rien. Ca finissait toujours en engueulade, de toute façon.
vingt-six décembre 1991, Londres – « Tu abuses quand même »« Oui, bien sûr, tout est ma faute, comme toujours ».« Je ne dis pas que c’est ta faute, mais que tu aurais pu être plus aimable ». « De toute façon, elle n’avait qu’à pas me chauffer. C’est elle qui l’a voulu ». « Tu aurais pu mettre un peu plus de formes ». Liz, impérieuse et vexée, tourna le visage vers la fenêtre de la voiture et le paysage qui défilait. Si Ed voulait qu’elle s’excuse, il pouvait toujours courir. Comme sa sœur, d’ailleurs. Depuis le temps qu’elle laissait passer ses commentaires vexants sans rien dire ! Elle n’avait jamais cherché à lui plaire, pas plus que le contraire. Entre elles, c’étaient juste impossible, une incompatibilité totale. Une blonde, une brune. Une volcanique, une frigide. Une franche, une fourbe. Une femme active, une femme au foyer. Non, vraiment rien ne parvenait à les rassembler sur un point. Même les enfants n’y étaient pas parvenus. Alors quand Gabriella avait eu la bonne idée, au Réveillon, de dire à Liz devant toute la famille réunie qu’elle trouvait « admirable la façon dont elle parvenait à confier son enfant » et à « accepter l’idée de le voir grandir et s’épanouir loin d’elle au profit de ses ambitions personnelles », la bienséance seule n’avait pas permis à Liz de garder son sang-froid. Elle ne parvenait plus exactement à se souvenir dans quels termes elle s’était exprimée, mais elle croyait se rappeler avoir prononcé les mots « entretenue », « garce » et probablement quelque chose d’aussi aimable et poli que « cul serré ». Certes, Liz elle-même ne venait pas d’une famille sans le sou ni sans manière, mais les siens toléraient au moins (et respectaient même) le fait qu’elle puisse trouver un épanouissement dans une carrière professionnelle plutôt que derrière les fourneaux de sa cuisine. Et s’il y avait bien une chose que Liz ne tolérait pas, plus encore qu’à elle-même dans sa fonction de femme, c’était qu’on s’attaque à sa fonction de mère. Elle jeta un œil à son fils par le rétroviseur ; du haut de ses deux ans, Adam, sanglé dans son siège auto, laissait son regard vagabonder partout où il pouvait se poser. Ed poussa un soupir et mis son clignotant d’un geste de la main. « Tout le monde pense que c’est toi la garce » « Je m’en fiche »« Pas moi. Imagine un peu si je devais hurler sur la terre entière chaque fois que ton frère me lance une vanne ! » Liz eut un ricanement. « Ben tiens ! Vous vous disputez à propos de polo, les risques sont limités. Je ne vais pas me laisser insulter pour faire plaisir à tout le monde, c’est une vraie conne et je ne veux pas entendre parler d’elle ».
16 juillet 1999, Kensington – « Tu te fiches du monde ! La maison pue la peinture, ça pue jusqu’au bout de la rue ! » « Et alors, je n’y peux rien il suffit d’attendre un jour ou deux en aérant et ça va passer ! C'est toi qui voulais refaire la moitié de la baraque » « Oh oui, joli, et puis on en fait quoi des enfants ? On les laisse attraper la mort en laissant les fenêtres ouvertes jour et nuit ? Et la journée on fait comment, tu le préfères de quelle couleur le post-it qu’on collera sur la porte d’entrée à l’intention des cambrioleurs avec comme mention « SERVEZ-VOUS DE TOUTE FACON ON VOULAIT CHANGER LE MOBILIER » ? » « Pourquoi tu dramatises tout, A CHAQUE FOIS ? » Assis sur le gazon, Adam feignait de ne pas entendre les vociférations provenant de l’intérieur, mais force lui était de constater que toute sa bonne volonté était de plus en plus mise à l’épreuve tandis que le volume augmentait, lui aussi, de plus en plus. Les chamailleries de ses parents, qui d’ordinaire ne les concernaient pas toujours mutuellement, commençaient à changer de visage ; ce n’était désormais plus que des disputes successives, sans réels intermèdes de réconciliation, et même Adam, du haut de ses dix ans, le comprenait comme n’importe qui d’autre. Il n’était absolument pas un enfant malheureux. Ni lui, ni sa sœur. Leurs parents les aimaient d’un amour tout-à-fait normal, inconsidéré, et leurs disputes n’entamaient pas le moins du monde leurs sentiments à leur encontre. Seulement, même l’habitude trouvait des difficultés. Il jeta un œil de l’autre côté de la clôture, mais les Moriarty n’étaient manifestement pas encore rentrés. Avec un sourire aux lèvres, Adam fixa la petite tortue qui s’agitait mollement dans son bac rempli d’eau. Il avait hâte de voir la réaction de Maura. Savannah avait été terrifiée en la voyant (la tortue, pas Maura), et sa mère avait fait la grimace dans l’animalerie en le voyant jeter son dévolu sur elle plutôt que sur le joli poisson rouge d’à côté. Mais Maura, c’était autre chose, il en était sûr. Avec un peu de chance, elle lui trouverait des qualités. Il continua à dévisager sa tortue, hissant le bac à eau à la hauteur de son visage et cherchant à capter les petits yeux noirs du reptile, avant d’entendre des portières claquer dans le jardin d’à côté. Avec un grand sourire, il patienta quelques minutes supplémentaires et ne tarda pas à entendre sa propre mère saluer la petite rouquine. Son bac à tortue sous le bras, il se précipita dans la maison aussi vite que le lui permettait l’eau. « Mau, regardes » , s’exclama-t-il en guise de bonjour, l’air triomphant. Liz eut un soupir résigné et caressa les cheveux de son fils. « Chéri on dit bonjour » . « Je l’adore », trépigna Maura en dévisageant la tortue qui la fixait, l’air interrogateur. « Adam, mon cœur, fais attention avec l’eau dans la maison. Et on dîne tôt ce soir ».
douze juin 2002, Kensington – « Bell mon cœur, tu peux venir nous aider à ranger les cartons ? Savannah est déjà en train d’aider ». Le gamin de treize ans observait le plafond, allongé à même le sol. Les cartons s’amoncelaient dans sa chambre, près de la porte, mais il n’avait jamais eu la sensation qu’elle ait un jour été aussi vide. Les murs étaient nus. Les posters qui avaient figurés à certains endroits laissaient une emprunte sombre sur le mur, mais il avait beau cherché, il ne se souvenait plus de ce qu’il y avait dessus. Avec le temps, ils s’étaient comme fondus dans la couleur des murs ; là pour toujours et à jamais. Plus de lit, plus de bureau, plus de tapis. Plus de rideaux à la fenêtre, plus de commode dans le coin, simplement l’écho, désagréable. « J’arrive ». Il se leva mollement en position assise. C’était bien la première fois que ses parents parlaient de déménager, et voilà que six mois plus tard, c’était une réalité. Mutation. Adam détestait ce mot depuis qu’il avait saisi l’ampleur de ce qui allait se produire. Tous les changements dans sa vie que ce simple mot entraînerait. Il soupira et se releva, jaugeant les cartons d’un œil mauvais. Toute sa vie empaquetée dans une dizaine de cartons. Ca paressait tellement peu ! Livres. Jouets. Affaires d’école. « Erreur énorme » avait-il envie d’écrire au marqueur sur chacun d’eux. Le vacarme de l’agitation lui parvint depuis le rez-de-chaussée, et il se décida quand même à faire au moins bonne figure. Il essaya de soulever un carton qui s’avéra peser une tonne, bien plus que ses deux seuls bras pouvaient en porter. « M’man, c’est trop lourd ! », s’écria-t-il. D’un coup de pieds rageur il fit trembler la pile de cartons. Il sursauta en entendant toquer doucement à la porte. « Salut ». Sa colère s’évanouit aussitôt qu’il découvrit Maura sur le pas de la porte. « Salut ». « Vous partez ce soir ? »« Demain matin, en fait. Mais on ne dort pas ici, ça parait logique ». Il embrassa du regard la pièce vide et Maura fit la grimace. « Tu m’appelles en arrivant ? Ta mère a promis à la mienne qu’elle le ferait, donc elle te laissera aussi ». Adam hocha la tête. Il ignorait ce dont il avait le plus envie. Partir à Atlanta avec elle, ou rester à Londres avec elle. Dans les deux cas, il peinait à imaginer sa vie sans elle, tant elle avait pris d’importance à ses yeux. A l’étage du dessous, Liz et Ed s’époumonaient encore à propos de cartons de vaisselle, et Maura et Adam échangèrent un regard habitué. « De toute façon, quand je pourrais je reviendrais ».
4 mai 2005, Atlanta – Sa besace glissée sur son épaule, le pas nonchalant, Adam déambulait dans la rue au rythme de la musique qui résonnait dans ses oreilles, à travers les écouteurs. Il n’était pas un expert en musique. A vrai dire, en dehors des chiffres, il n’était pas expert en grand-chose. Mais U2 l’avait toujours mis de bonne humeur. S’il avait dû compiler sa vie selon un échantillon de musiques, aucun doute qu’ils seraient au générique du début. Il fixait son regard sur le ciel bleu, s’accrochant parfois aux feuilles vertes des arbres plantés le long de la rue, tandis que flottait dans l’air l’odeur de la bonne saison. Il avait beau être d’un naturel angoissé, la somme de toutes ces choses suffisait l’espace de quelques instants à le rasséréner, jusqu’à lui arracher un sourire tranquille. Et Dieu savait qu’il était de nature tout sauf tranquille. Il en était là de ses réflexions étonnamment positives lorsqu’il emprunta le perron de la maison et croisa son père, pressé par sa démarche furieuse, qui lui accorda à peine un regard. « Salut ? », dit Adam à tout hasard, retirant ses écouteurs et le fixant s’éloigner avec un air grave que forçait l’habitude. Avec un soupir, il se glissa dans la maison. Savannah patientait, assise au bas de l’escalier. « Londres », expliqua-t-elle avec désinvolture face au regard de son frère. « Comme d’habitude », soupira-t-il en secouant la tête. Il défit sa besace, qu’il laissa tomber près de l’entrée, et suivit les bruits qui s’échappaient de la cuisine. Comme à chaque fois qu’elle s’énervait, Liz éprouvait un besoin irrépressible de passer la cuisine au crible. Autant dire qu’il était difficile de trouver une cuisine mieux lavée, rangée, astiquée que la leur, probablement sur toute la surface de l’Etat. « Salut maman », dit Adam en prenant un verre dans le placard tandis que Liz s’énervait sur une tâche imaginaire avec son éponge. Elle frottait la table de la cuisine d’une façon compulsive, avant de jeter l’éponge dans l’évier sur un sursaut rageur. Adam détailla sa mère en silence, appuyé contre les éléments de la cuisine. Liz passa une main encore humide dans ses cheveux, contrôlant sa respiration où tremblaient des vibrations de colère. « Pauvre con », siffla-t-elle d’une voix rauque, plus pour elle que pour Adam. Ce-dernier nota cependant l’insulte ; sa mère n’était pas d’un naturel vulgaire. Ce qui, de toute évidence, situait la dispute un peu plus haut que d’ordinaire sur l’échelle qu’il avait imaginé au fil des années. « Mes conneries, tu parles, comme si c’était à cause de mes conneries qu’on n’en était là ! Pauvre con, mais pauvre con. J’ai plaqué mes amis, pas famille, mon boulot pour venir vivre ici et tout ça pour quoi ? pour qu’on me dise que tout est ma faute si je ne suis pas heureuse ? ».« Personne ne te reproche rien, m’man ». Liz releva la tête, surprise, comme si elle avait omis sa présence jusqu’alors. Elle lui accorda une moue contrite. « C’est toujours ce que tu dis mon cœur ».
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(✰) message posté Sam 18 Avr 2015 - 19:51 par Invité
Re-bienvenue! Excellent choix d'avatar et de scénario!
Alycia Hemsworth
growing strong
» Date d'inscription : 15/02/2014
» Messages : 62617
» Pseudo : margaux ; stardust
» Avatar : zoey deutch
» Âge : 28yo
» Schizophrénie : jamie & gabrielle
(✰) message posté Sam 18 Avr 2015 - 19:55 par Alycia Hemsworth
Re-Bienvenue .
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(✰) message posté Sam 18 Avr 2015 - 19:57 par Invité
Re-bienvenue, quel choix canon.
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(✰) message posté Sam 18 Avr 2015 - 19:59 par Invité
merci le mérite revient à Sarah ceci dit
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(✰) message posté Sam 18 Avr 2015 - 20:09 par Invité
LE PLUS BEAU. Cam, tu fais littéralement du soleil dans cette journée grise.
(Re)bienvenuuuuue chez toi. Promis, quand je n'aurais pas la flemme, je vais te faire un accueil digne de ce nom.
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(✰) message posté Sam 18 Avr 2015 - 20:11 par Invité
re-bienvenue
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(✰) message posté Sam 18 Avr 2015 - 20:14 par Invité
rebienvenue!!
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(✰) message posté Sam 18 Avr 2015 - 20:14 par Invité
le titre et excellent choix de scénario/avatar (re)bienvenue