(✰) message posté Mar 31 Mar 2015 - 9:47 par Invité
Janice "Jane" Wilson
FT. RITA ORA
Jane, elle est jetée ! Mais complètement. A 24 ans, elle a la mentalité d'une gamine de 6 ans, elle est psycho, jalouse, possessive, colérique, mesquine... Jane, y a un truc qui a buggé chez elle pendant la fabrication ! Née d'une mère un peu trop jeune anglaise et d'un afro-américain expatrié depuis l'Utah sa famille n'a jamais été source d'épanouissement pour elle. Ses parents ont très rapidement divorcé, elle et sa grande soeur, Charlotte, sont restées avec leur mère qui était très irresponsable et pensait plus à sortir en boite avec ses filles qu'à payer les factures, avec son père, ça ne l'a jamais fais, et ça ne le fera jamais. Il a toujours préféré Charlotte, et avec Janice, c'est comme s'ils n'avaient rien à se dire. Jane s'est toujours sentie laissée pour compte dans cette famille. Elle a grandit dans la banlieue un peu craignos londonienne, dans une vieille baraque qui semblait être faite en carton tellement elle était petite et biscornue. Pourtant, Jane aurait aimé avoir la grande vie. Mais non, faut faire avec ce qu'on a. Du coup, Jane c'est un peu une gangsta, elle porte des baggy et traîne avec les gars du quartier, elle parle mal, elle insulte à tout va. Jane, elle n'a pas de limite, elle fait ce qu'elle veut.
CHARLOTTE WILSON
soeurs Charlotte et Janice ne se sont jamais au grand jamais entendues. Et on n'a jamais trop su pourquoi. Charlotte était indifférente envers sa soeur, Jane elle était jalouse maladive. Leurs parents avaient une nette préférence pour l'aînée, Jane a très mal vécu cela, et puis Charlotte elle a toujours eu des tas d'amis, elle a un petit copain depuis ses quatorze ans... elle a tout pour elle. Si gamine, Jane voulait lui ressemblé, l'admiration s'est transformée en haine. Plus le temps passait, plus Jane supportait mal sa soeur, son copain, sa vie parfaite. Alors, elle a tout simplement voulu la détruire. Un soir, poussée à bout par Charlotte, Jane demande à l'un de ses amis de commettre l'irréparable. Elle le paye pour droguer sa soeur à une fête, et coucher avec elle, sans oublier de filmer la scène. Le lendemain, elle poste la vidéo sur internet. Charlotte en est anéanti, elle a trop honte pour laisser entendre à un viol, et finalement, Jane a réussi : elle a brisé sa soeur.
ALEX AUCHOIX
ex de la soeur Jane connait Alex depuis plus de dix ans. Il est sortie avec Charlotte quand ils n'avaient que quatorze ans. Jane a passé sa vie à le voir, évoluer, grandir, aimer sa soeur de plus en plus. Evidemment qu'elle était jalouse, Alex c'est l'homme idéal, c'est le type parfait qu'elle aurait voulu avoir. Elle ne sait pas très bien si elle le voulait parce que sa soeur l'avait ou parce qu'elle était amoureuse de lui mais une chose est sûre, elle ne supportait pas qu'elle sorte avec Charlotte depuis tout ce temps. Surtout qu'Alex c'est le seul a avoir apprécié Jane. Il n'écoutait pas Charlotte quand elle disiat que sa soeur était folle, non, lui l'aimait bien, aimait passer du temps avec elle. Maintenant qu'Alex croit que Charlotte l'a trompé, il est au plus bas, il ignore bien évidemment que tout ça n'est qu'un plan de Jane, et elle elle est très heureuse d'être "là pour lui"
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(✰) message posté Mar 31 Mar 2015 - 9:48 par Invité
chikiboum
LONDON CALLING TO THE FARAWAY TOWNS
Hello à toi, futur membre Alors franchement, merci de t'intéresser à mon scénario, j'espère que tu vas craquer et t'inscrire :D Je te fais le topo, sur ce qui est négociable ou pas :
NOM/PRENOM : Le prénom est négociable, pas le nom, évidemment ! AVATAR : Je voyais totalement Rita Ora dans le rôle, vraiment, mais bon, si vous avez d'autres idées, pourquoi pas, gardez la cohérence "ressemblance de soeurs" avec Antonia Thomas :) LIENS : Le lien entre les soeurs n'est pas négociable, mais celui avec Alex (qui est un scénario) est tout à fait négociable, je peux éditer sur les scénarios bref, envoyez moi vos idées ! HISTOIRE : Bon, la base de la famille pas négociable, mais vous pouvez ajouter des choses comme vous voulez, éclatez vous surtout ! Par contre, n'essayez pas d'en faire une gentille fille, Janice n'est pas gentille. Si à la base c'était une bonne gamine maintenant elle a pété les plombs, elle voue une haine tellement intense pour sa soeur qu'elle est prête à tout, vous voilà prévenu :)
Ensuite, je trouve ça important que vous puissiez avoir accès à ma fiche, donc je vous le met en spoiler ci-dessous pour que vous vous fassiez une idée plus précise de Charlotte.
ma fiche:
Je me dresse devant le miroir sur pied au milieu de mon salon. Je me tourne à moitié pour voir si ma combi en jean me fais un beau cul. Satisfaite, j'esquisse un sourire tout en attrapant une Winston dans mon paquet de clope qui trône sur le tas de fringue essayés à côté de moi. Laissant le bâtonnet fumer entre mes lèvres j'ajuste le bandana qui retient plus ou moins ma tignasse crépue. Sur le filtre orangé de la cigarette, mon rouge à lèvres violet à laisser des traces. Une touche de mascara et je suis prête. Le toc toc de ma porte me donne un sursaut, je me jette sur mes sandales compensée tout en faisant tomber ma main libre sur la poignet de la porte. M'attendant à voir Laury ou Jack, je tombe de haut en voyant les cheveux péroxydés de Janice. Ma soeur est là avec sa tête de pétasse habituelle. Je soupire en tirant sur ma clope. Tu tombes mal là, j'allais sortir. Elle m'observe de haut en bas et avec sa voix pleine de haine, elle commente : Tes fringues te boudinent. Je secoue la tête et m'installe sur mon canapé bleu pour enfiler mes sandales. Elle entre dans mon appartement, le regardant comme si c'était la première fois qu'elle le voyait. En même temps, c'est peut-être le cas, je ne me souviens plus de si je l'ai déjà invité ici. Tu sors avec Jack ce soir ? Jack, alias, l'ex de ma soeur. Je lève les yeux au ciel. Ouais, sauf qu'il y aura plein d'autres gens avec nous. Jack est cool. Janice serre le poing. Elle n'a jamais été patiente. Une vraie tarée. Elle volait toujours les cadeaux de Noël trois semaines en avance quand on était gamine. Alors que je l'ignore tranquillement, elle semble vouloir chercher les problèmes. Elle ajoute tandis que je me choisis un petit gilet. Et Alex il est au courant ? Je lève les yeux au ciel. Alex, mon petit-ami. Janice a fait un blocage sur lui et me parle de lui sans arrêt. Ecoute chérie, c'est pas parce que t'es jalouse de moi que tu dois te sentir obligé de me poser des millions de question. Je sais pas, trace ta route, fou moi la paix ! j'ai l'air excédée, je le suis un peu. Mais je suis surtout moqueuse. Je sais qu'il n'y a rien qui énerve plus ma soeur que de sous-entendre qu'elle veut me ressembler. C'est sans doute trop vrai et ça la met hors d'elle. Comme à l'accoutumance elle monte sur ses grands chevaux. Jalouse ? De quoi ? De ton gros cul et de ta face de carpe ? je ne peux me retenir de rire, face de carpe, bien trouvé cela dit. Les insultes de sa part ne me font plus rien. Elles durent depuis trop longtemps. J'enfile un gilet rose et je prend mon petit sac à dos. Indifférente, je lui répond tout en me dirigeant vers la sortie : La carpe, elle a des amis. Et un petit ami. Alors franchement... Allez, bonne soirée Jane, claque la porte en sortant. Je sors dans l'immeuble tranquillement, sans m'inquiéter de savoir ma soeur toute seule chez moi. Elle classerait sans doute quelques trucs et finirait par partir, comme à chaque fois. Elle a toujours été comme ça avec moi. Trop jalouse. Et pourtant, elle n'a jamais rien eu à m'envier. Elle fait un bon mètre soixante dix tandis que j'en mesure à peine cinquante cinq, elle a de beau cheveux, lisse et tout le bordel, un visage solaire, quand elle sourit elle vous éclairerait un jour d'éclipse. Mais, je ne sais pas pourquoi, Jane, elle ne m'aime pas. Quand on était petites, ça allait, elle se contentait de me copier tout le temps et de criser quand je lui interdisais de me voler des fringues, sauf qu'elle était tellement teigneuse qu'elle a finit par se mettre plein de gens à dos. Au début, je l'intégrais dans mes groupes d'amis, on n'a qu'un an d'écart alors ça me semblait logique. Mais Janice, c'est une peste. Elle emmerde tout le monde alors que moi j'ai le même groupe d'amis depuis mes six ans, le même copain depuis que j'ai quatorze ans. Ces gens m'aiment bien, et Jane ne le supporte pas. Alors elle a commencé à me critiquer, dans mon dos, à vouloir me mettre des gens à dos. Ses tentatives pour m'évincer ont souvent été sans résultat, même si elle a quand même réussi à répandre quelques rumeurs. Mais tout le monde voyait clair dans son jeu. Sauf Alex, Alex il est trop gentil de toute façon, il est aussi innocent et bon que Bambi avant que sa mère ne se fasse buter. Alex, il l'aime bien. C'est le seul, allez comprendre ! Même mes parents aussi cruel que ça peut sembler être avaient une nette préférence pour moi. J'ai toujours été la fifille à son papa, il m'adore, je l'adore. Avec Jane, c'était plus compliqué. Et puis ma mère, on est des copines, on se confie nos problèmes, on sort ensemble en boite. Elle est difficile à gérer, je l'avoue. Elle est devenue maman trop tôt, on avait pas beaucoup d'argent on vivait vous savez, dans ces petites baraques de banlieue, un peu craignos. Mais moi, plus jeune, j'étais facile à vivre. Une vraie petite fille, mais une bonne gamine. Ma soeur, elle, faisait des crises tout le temps. Elle n'arrive pas à être proche de nos parents, et sans doute que ça la pèse de voir qu'avec moi, c'est facile. Enfin.
Je suis arrivée au lieu de rendez-vous, un bar plutôt folklorique, notre lieu de rendez-vous habituel. Je dis bonjour à tout le monde, suis accueillie comme la reine de la soirée. Je suis de nature extravertie, mon côté petite peste, les gens l'apprécient, mes amis me connaissent trop bien pour me juger. J'ai toujours eu un bon groupe d'amis, depuis très jeune. Des gens différents, des gens plus vieux. Si au départ on me pense souvent superficielle et inintéressante, on apprend vite à me connaitre. C'est pas toujours facile d'être une jolie fille, métisse, d'un milieu populaire. On a tendance à vous foutre dans une case de laquelle vous avez du mal à sortir. Souvent, on se demande ce que fou Alex avec moi, depuis si longtemps. Lui il est pas comme moi, il est intelligent, réservé, gentil... Notre relation a longtemps dérangé, mais ça fait tellement longtemps, plus de dix ans. Enfin, je sirotes des cocktails, je m'enfile des shooters, je trinque avec tout le monde et on parle de nos vacances en Espagne, prévue le mois prochain. Jack, l'ex de ma soeur, le prend à aparté. Hey, Alex vient ce soir ? J'hausse les épaules, je n'en ai aucune idée. Parce que j'aimerais bien... enfin, qu'on s'accorde un moment, seul à seul, pour parler. un sourire s'esquisse sur mes lèvres pleines. Je met la paille dans ma bouche, lui lance un regard félin, et joueuse je répond. C'est pas ce qu'on est entrain de faire ? je suis comme ça, j'aime attiré l'attention sur moi. J'aime me sentir désirée. Ca fait peut-être de moi une allumeuse, certainement pas une pétasse. J'suis pas une femme à homme, moi, je n'en ai connu qu'un. Et malgré les multiples occasions, jamais je ne l'ai trompé, jamais je ne le ferais. Jack ne sait pas trop quoi répondre, il se contente de faire un pas vers moi, je le regarde, pas le moins du monde destabilisé et je m'allume une cigarette, comme pour inventer une distance entre nous. Heureusement, Vanessa surgit de nul part, cri que "c'est notre chanson" et m'emmène sur la piste de danse. Alors je danse, libérée, assumée. Je n'ai aucun problème avec l'image que je peux renvoyer, je m'en fiche. Je suis heureuse dans ma vie, dans mon corps, dans mes baskets. Je bouge mon boule, confirmant les clichés sur les black et leur don pour le remuer. Mon père n'est pas afro-américain pour rien, ça je peux vous le dire. Je l'ai vu à l'oeuvre, il bouge encore mieux que moi.
Le trou noir.
Je me réveille dans mon lit, encore vêtue des habits de la veille. Le soleil m'agresse, il doit être midi. J'ai la nausée. Je n'ai pas le temps d'ouvrir complètement les yeux qu'on frappe durement à ma porte. Je soupire, me traîne jusqu'à celle-ci. Alex. Il a l'air en colère. Je le laisse entrée et puis, sur le ton de la rigolade, je confesse : J'te préviens, j'ai la gerbe. Ca ne le fait pas rire. Pourtant ça fait longtemps qu'il n'y a plus de chichis entre nous. Depuis les onze ans qu'on sort ensemble, tous nos petits états d'âme sont confiés sans la moindre pudeur. Cependant, je ne m'attendais pas à ce qu'il réponde, du tac au tac, aussi froidement : Ouais, moi aussi. Alors que je nous prépare un thé, je l'interroge du regard. Comment t'as pu faire ça ? ajoute-t-il d'une voix tordue. Je fronce les sourcils, je ne comprend pas un traître mot de ce qu'il veut dire. L'eau boue dans la casserole, je la verse dans nos tasses respectives. Lui s'est installé sur la table du salon, devant mon ordinateur portable. Ecoute, désolé si je t'ai envoyé des messages bizarre hier, j'étais un peu bourrée, enfin beaucoup. J'me souviens pas de grand chose. il rigole froidement. Il me fait presque peur. Il se connecte à mon ordinateur, à mon compte facebook et tourne l'ordi dans ma direction. Et ça, tu t'en souviens pas peut-être ? Le thé dans les mains, je regarde devant moi. Sur mon mur facebook, une vidéo. Qu'apparemment, j'aurais posté moi-même. Aucun souvenir. Il la lance et là, je crois mourir. Je tremble de plus en plus, découvrant les images qui défilent devant moi comme si c'était la première fois que je les voyais. En fait, s'était bien la première fois. On m'y voit, complètement molle, voire dans le coma, sur des chiottes, nue. Un mec avec moi. J'me vois me faire baisée, violée, niquée. Je tremble de peur, de dégoût. je m'avance vers l'ordinateur, et referme si violemment l'écran que je l'ai sans doute cassé. Je suis incapable de prononcer un mot, incapable je vous dis et pourtant, j'ai envie de hurler à m'en déchirer les poumons. Alex ne me regarde même pas, lui aussi à l'air de crever sur place. C'est fini Charlotte. Je ne bouge pas d'un centimètre, je serre mes mains autour de ma tasse fumante de thé. Je ne peux ni bouger, ni rien dire pour le retenir. Alex il m'a prit comme j'étais, aussi délurée et festive, aussi stupide que je pouvais le faire croire. Il m'a vu sous un autre jour, comme la fille la plus jolie et gentille du monde, la plus honnête aussi. Il n'a jamais écouté les rumeurs qui au fil des années s'étaient répandues, il n'a jamais écouté tout ceux qui voulait nous séparer, parce qu'un couple qui s'aime depuis longtemps, ça dérange. Mais là, je l'ai perdu. En une seconde, il ne m'appartenait plus. Il me hait. Je ne peux toujours rien dire, il semble pourtant attendre une réaction. Comme elle ne vient pas, il finit par se lever. Au moment où il passe près de moi pour sortir, il me dit, tout bas : Je pensais pas qu'ils avaient tous raison à ton su je ferme les yeux. Dès qu'il a passé le pas de la porte, je lâche ma tasse qui s'écrase sur le sol et je cours jusqu'à l'évier. Ma respiration est rapide, je suffoque. C'est pas vrai, c'est pas possible. je me le répète pour que ça rentre. Et puis, je me met à vomir. Dégoûtée.
JANICE : J'attend patiemment mon invité, un sourire ne quitte plus mon visage depuis ce matin. Mon ordinateur est ouvert à la page facebook de ma soeur, je regarde sans me lassée la vidéo que j'ai posté plus tôt dans la matinée. Sans attendre, je me déconnecte de son compte. Enfin, on sonne à la porte. Je me lève tranquillement et va ouvrir. Devant moi, un type. Type que j'avais contacté quelques jours plus tôt pour mettre en place la pire vengeance que je pouvais imaginer. Je lui souris et tend la liasse de billet que j'ai préparé. N'hésite pas, si t'as d'autres trucs à me demander. Me dit le mec, je lui souris.
Enfin bref, j'espère vous avoir convaincu pour ce personnage complètement jeté :D