(✰) message posté Dim 28 Juin 2015 - 3:47 par Invité
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Ewan & Robin
La musique adoucit les moeurs et je comprend pleinement cette citation depuis que Kaspar m'a fait découvrir cette instrument qu'étais le piano avec cette musique ✻✻✻Ce fut une matinée grise, tu n'aimais pas lr gris non tu detestait cela cela te rendait triste, car tu aimais le bleu du ciel depuis que tu était à Paris tu admirais le ciel par la fênetre de ta chambre, tu voyais ses être volant qu'on appel des oiseaux, tu voulais en être un... Fuir tout ce monde qui semblait t'effrayer au plus haut point, tu avais envie d'évasion... On t'a donné un nom et pourtant tu n'en voulais pas ou plus qui sait... On te parle de chose que tu as faite dont tu n'as pas le souvenir comme siu tout ceci était la vie d'un autre homme mais pas la tienne... Tu quittes l'hopital de paris un bon matin a partir d'un ambulance, tu n'aimais pas rester confiner dans un petit endroit et cela se voyait au moniteur cardiaque, soudain Kaspar glisse un casque sur tes oreilles et tu arque un sourcil te demandant a quoi cela pouvait bien servir et soudain tu entendait un son... du piano... Tu était comme absorber par cette instrument, tu fermas les yeux te laissant transporter par la musique, elle rechauffa ton coeur te donnant un gout de gateau au chocolat dans la bouche bien que tu e te rapelle plus la forme ni la couleur le gout revenait et tu aimais cela... Tu entendais un rire, tu ouvris les yeux mais personne ne riait serait-ce ton esprit qui te joue un tour, ce rire te fit un bon dans le coeur dans ce nouveau coeur qui avait lieu domicile dans ta poitrine... tu refermis les yeux et tu te laisse entrainer par la mélodie entendant par moment ce rire voyant des images qui se confond dans un brume indescriptible et un sourire... Tu t'endors sans faire de rêves du moins tu t'en souvenais pas, cela durera plusieurs heures avant qu'on te sorte du brancard et surtout de l'ambulance tu aperçu un ciel gris et une pluie le son du clapoti sur le toit te faisait fremir qu'el était cette chose qui tapotait on aurait dit un troupeau de formit qui songe a conquerir le monde... Tu te laisse guider dans l'hopital tu les entends parler dans une nouvelle langue, langue que tu connaissais et tu arrivais à les comprendre mieu qu'à Paris.. Serait ce ici ton pays natale tu te le demandais. Tu vois une femme au loin qui te rapelle un corbeau de par le noir de ses cheveux et elle te semblait familière et puis on te guide jusqu'à la salle d'attente le casque ne quitta pas tes oreilles jusqu'à que Kaspar te le retire tu soupir ayant aimait se confinement musicale... Je pouvais oublieru n peu mon état l'espace d'un voyage: Ewan... je dois retourner voir Ivana... Je reviendrais te voir fais ce que tu veux l'ami... Que bien te fasses pensas tu alors qu'il s'en alla, te laissant le casque sur les oreilles, avant qu'un homme plutôt petit de taille comparé au medecin de Paris s'approche de toi, il te semblais bizarrement familier il dit a un infirmier de t'emmener dans une certaine chambre dont tu te souviens déjà plus du numéro et tu le laisse guider regardant le faux plafond et les néons qui passait un à un et qui te dévisageait te flashant a chaque fois te faisant attrocement mal aux yeux. Tu arrives dans une chambre avec une grande fenêtre... Tu eu un sourire La pluie... La pluie s'est arreté... Tant mieux... Je n'aime pas la pluie... Je n'aime que son bruit... dit tu alors que tu es encore sous l'effet de la morphine tu retires ton casque le posant sur ton ventre et tu vis le medecin a ta porte: Docteur? Tout vas bien? Vous semblez ailleurs... dit tu alors que deux infirmier te porte pour t'allonger dans ta prison ce lit d'hopital qui vas surement être un endroit que tu vas fréquenter souvent a partir de maintenant.
Robin T. Lawford
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(✰) message posté Lun 29 Juin 2015 - 22:20 par Robin T. Lawford
Lorsque l’une des réceptionnistes m’avait fait appeler m’annonçant qu’on me demandait au téléphone, j’avis d’abord était surpris de constater que l’appel venait de France. Un médecin d’un hôpital Parisien tenait à s’entretenir d’urgence avec moi m’avait-on dit. Je m’étais demandé de quoi pouvait-il bien s’agir et lorsque j’eus enfin la réponse j’étais resté murais plusieurs minutes dans le silence. J’avais d’abord cru à une blague de mauvais goût, mais je refusais de croire qu’un médecin parisien eut prit part à ce genre de petite plaisanterie. Je m’étais ensuite dis qu’il s’agissait probablement d’une erreur, ce n’était pas possible, je ne voulais pas à croire à ce que ce chirurgien venait de m’annoncer. Un tremblement s’était fait entendre dans ma voix lorsque je lui avais demandé si il était sûr de ce qu’il avançait. Et il était catégorique, les résultats qu’il avait fait prouvait que l’un de ses patients, récemment interné à l’hôpital était bien Ewan MacKinnon. Mon cœur avait fait un bond dans ma poitrine lorsqu’il avait prononcé son nom la première fois. Ewan était mort. Il était mort, on nous l’avait affirmé. Comment pouvait-il se trouver dans un hôpital Parisien ? Soudain un sentiment étrange s’empara de moi. Je n’arrivais pas à discerner ce qu’il pouvait représenter. C’était comme un tourbillon d’émotion contradictoire qui se battaient les une avec les autres pour savoir laquelle l’emporterait sur les autres. Certaines de ces émotions ressemblaient à un soulagement et à la joie de savoir qu’il était toujours là, en vie, mais tout ça se mêlait à une certaine incompréhension face à la situation et à de la colère. De la colère envers ceux qui nous avaient avertis de l’accident d’hélicoptère et annoncés qu’on ne reverrait plus notre ami. Je m’étais isolé dans une pièce et avait bombardé le médecin de questions. Que c’était-il passait ? Comment allait Ewan ? Comment s’était-il retrouvait à Paris et depuis combien s’y trouvait-il ? Le médecin m’avait demandé de me calmer et avait prit une grande inspiration avant de tout me déballer. Encore une fois un long silence s’était fait entendre à travers le téléphone. « Oui… oui je suis là. » répondis-je au docteur qui me demandait si j’étais toujours en ligne. Doucement je vins passer une main tremblante sur mon visage, fermant les yeux, songeant à ce que je venais d’apprendre. D’après ce docteur, Ewan était amnésique, il n’avait plus aucun souvenirs. De rien. Ni même de son identité. Une amnésie globale temporaire disait-il. Alors que je lui demandai quand est-ce qu’il pourrait être transféré au Great Ormond Street Hospital, il m’expliqua qu’on pouvait dès à présent entreprendre le transfère pour que celui-ci soit fait au plus vite. J’avais passé la journée enfermé dans un bureau à remplir toute la paperasse nécessaire. J’étais resté incroyablement calme durant le reste de la journée, comme si mon cerveau s’était déconnecté de la réalité et que la seule chose qui importait était ces foutus papiers. Une part de moi refusait de se réjouir trop vite. Et si ils s’étaient trompés ? Si ce n’était pas lui ? S’il était vraiment mort lors de l’accident ? Qu’est-ce qui me disais que c’était vraiment lui ? Après nous on nous avait affirmait qu’il était mort. J’avais décidé de garder ce que j’avais appris pour moi. Pas par égoïsme, mais parce que les doutes que j’avais quant à l’identité de l’homme qui allait être transféré à Londres étaient bien décidés à ne pas me quitter jusqu’à ce je l’ai vu de mes propres yeux.
Deux jours s’étaient passés depuis que j’avais reçu ce coup de téléphone. Rester silencieux quant à ce que j’avais appris avait été incroyablement difficile. Surtout face à Julian. Si Ewan était en vie il devait le savoir. Mais je ne voulais pas lui donner de faux espoirs, je voulais être sûr avant de le lui annoncer. Je savais à quel point il avait souffert ces derniers temps et je ne voulais pas alourdir sa peine. Pas si ce n’était pas Ewan qui arriverait au cours de la journée. Le chirurgien avec qui je m’étais entretenu m’avait donné des indications quant aux soins à pratiquer sur Ewan. Il avait reçu une greffe et était encore fragile, physiquement et mentalement. Il m’avait également demandé de le ménager. Il ne se souviendrait pas de moi et seul le temps lui rendrait ses souvenirs. La matinée m’avait paru bien longue avant que l’ambulance n’arrive enfin en milieu d’après-midi. Un instant j’avais hésité à me rendre dans le hall, probablement par peur de découvrir le visage de l’homme qui m’y attendait. Lorsque mon regard s’était posé sur lui, mon cœur fit un bond dans ma poitrine. Il n’y avait aucun doute possible. C’était lui. C’était Ewan. Je fermai les yeux, remerciant je ne sais quelle divinité, auquel je ne croyais, de nous l’avoir ramené. Les mots du médecin résonnaient dans ma tête. Il ne vous reconnaitra pas. Du moins pas tout de suite. Evitez de le brusquer et laisser le s’acclimater. Ça allait se révéler plus facile à dire qu’à faire. Je n’avais qu’une envie, le prendre dans mes bras et m’assurer qu’il était bel et bien là. Mais je ne pouvais pas. Pour lui je n’étais qu’un visage inconnu. Je demanda à un infirmier de l’amener dans l’une des chambre du service de cardiologie alors que je récupéré son dossier. M’approchant de la chambre, je restai dans l’embrassure de la porte, analysant les moindres gestes de mon ami. Deux infirmiers entreprirent de l’allonger sur le lit et son regard croisa le mien. Docteur? Tout vas bien? Vous semblez ailleurs... Je restais figé quelques secondes à le regarder. Docteur. Je savais à quoi m’attendre, mais ce n’était pas plus facile pour autant de le voir dans cette chambre, démuni de tous ses souvenirs. Je dégluti difficilement alors que je remerciais d’un hochement de tête les infirmiers qui quittaient la chambre. « Oui.. ça va, merci. » Je m’approcha du lit, son dossier à la main. « Comment vous sentez vous ? Le voyage n’a pas été trop difficile ? » Je tentai de suivre les recommandations du médecin, de le laisser s’acclimater avant d’entreprendre quoi que ce soit, mais intérieurement je brûlais de lui dire qui j’étais. Qui il était. De lui raconter les souvenirs que nous avions en commun.
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(✰) message posté Mer 1 Juil 2015 - 20:16 par Invité
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Ewan & Robin
La musique adoucit les moeurs et je comprend pleinement cette citation depuis que Kaspar m'a fait découvrir cette instrument qu'étais le piano avec cette musique ✻✻✻ Il y a dans ce genre de moment un moyen pour eviter de perdre la raison, Kaspar te la bien fait comprendre. La musique t'as permis de ne pas perdre la raison. Tu avais des flashs qui te revenait de ta captivité, pour toi ce ne sont que des mauvais rêves, mais tu les trouvais tellement réel qui ne daignait pas y faire attention. Le psychiatre qui t'avais suivit lors de ton analyse psychiatrique t'as avoué que ton amnésie était du a un choc traumatique. Dans l'état où ils t'ont trouvé, la commotion cérébrale était violente et a touché la partie de la mémoire. Les seuls choses dont tu te souviens c'est ton arrivé à l'hopital. Aujourd'hui tu as peur, peur de ne pas supporter tes proches... Peur qu'on te comble d'information et que tu perds soudainement la raison d'avantage... Tu étais là alors que les infirmiers te déposent sur le lit, tu apercoit alors ce jeune medecin au regard triste. Il semblait dans les nuages, tu regardais son visage et il te semblait familier. tu te souviens alors d'un conseil que t'avais donné le Psychiatre Quand vous retournerez à Londres, il se peut que des gens vous sembles familier. C'est normal, il y a deux mémoires, celle de votre tête et votre corps... Ton coeur s'emballa, tu ne comprenais pas le moniteur s'affola Il afficha un 135 de pulsations... Une larme coula sur ton visages quand tu entendis alors sa voix... « Oui.. ça va, merci. » Il s'approcha de toi et tu passes une mains sur ta joue passant alors ta main sur ta barbe fraichement tailler par l'infirmière de l'hopital de Paris. Tu semblais totalement ailleurs, mais tu ne t'empechas pas de sourire pour montrer que tu allais bien malgré que tu étais gené par la cicatrice plutôt voyante sur ton poitrail. « Comment vous sentez vous ? Le voyage n’a pas été trop difficile ? » Tu reprends alors conscience enlevant ses souvenir faussé de ta tête pour regarder ton interlocuteur, tu hochas la tête en lui avoua: «Je vais bien... Je me sens juste fatiguer avec le voyage mais rien de bien méchant... Le voyage était long, mais Kaspar...Mon... Assistant. Etait de bonne compagnie durant le voyage...» Tu avais du mal a te dire que Kaspar était à ton service, Kaspar avait parler un peu de votre relation, tu était Archeologue et professeur à Oxford et tu semblais ne pas y croire mais cela dit il était au petit soin tu t'en voulais presque sachant qu'il allait être papa et que sa petite amie était à Londres. Cela dit tu te concentres à nouveau: « Pardonnez ma curiosité, mais depuis que je suis à l'hopital, ma mémoire me joue de sacré tour, mais pourtant... Votre visage... Me... semble comme... Familier... Est ce qu'on se connait? » Tu ne te savais pas aussi franche, mais tu voulais savoir tu avais marre d'être dans cette état... Tu voulais simplement pouvoir te souvenir de tout ça, tu étais persuadé de le connaitre et tu esperais que le jeune medecin puisse t'aider à cela. Il te semblait bon et serviable...
Robin T. Lawford
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(✰) message posté Sam 1 Aoû 2015 - 0:55 par Robin T. Lawford
Le dossier ouvert dans mes mains, je l’analysais comme si je le découvrais pour la première fois alors que je l’avais lu en long, en large et en travers depuis qu’il avait été transféré à Londres. J’avais analysé le moindre détail, la moindre notation reportée sur son état et la lourde opération qu’il avait subit. Je ne voulais manquer aucun détail. Pour lui je me devais d’être au point, il le fallait car je savais qu’au moment où je me retrouverais devant lui je risquais de perdre mes moyens. Comment étais-je censé agir devant lui alors qu’il ne me reconnaîtrait pas ? La réponse était simple, je devrais faire ce que le médecin qui l’avais en charge en France m’avait dit : me comporter le plus naturellement possible, sans le brusquer, c’était à lui de se souvenir, personne ne devait le forcer au risque d’empirer les choses. Alors c’était exactement ce que j’avais fait, rester en retrait et me comporter comme si je n’étais qu’un simple médecin à ses yeux. Un inconnu qu’on croise à un moment donné de sa vie. Docteur. Ses premières paroles à mon égard résonnaient encore dans ma tête alors que je m’approchais du lit pour prendre ses constantes et vérifier que tout allait bien. Je lui demandai si le voyage s’était bien passé, mais lorsque l’intonation de ma voix parvint à mes oreilles, celle-ci sembla plus froide que je ne l’aurais voulu. Je n’arrivais pas à rester chaleureux et souriant alors que les circonstances m’interdisaient de me réjouir pleinement du retour de mon ami, de pouvoir le prendre dans les bras et lui dire à quel point il m’avait manqué et le sentiment d’injustice et d’effroi que j’avais ressenti lorsque j’avais cru ne plus jamais pouvoir le voir, entendre son rire et ses taquineries. «Je vais bien... Je me sens juste fatiguer avec le voyage mais rien de bien méchant... Le voyage était long, mais Kaspar...Mon... Assistant. Etait de bonne compagnie durant le voyage...» Un faible sourire apparut sur mon visage. J’étais content d’entendre que tout s’était bien passé et qu’il n’avait pas été seul durant le voyage, Kaspar avait été le rejoindre en France et s’était assuré que tout se passe bien pour son retour en Angleterre. « C’est normal après l’opération que vous avez subi… » Je pesais chacune de mes paroles comme si ma vie en dépendait, je devais les choisir avec précaution comme si un seul mot de travers risquait de trahir un secret qui n’avait pas lieu d’être. Les mots se bousculaient dans mon esprit, j’avais tant à lui dire et devoir me taire finirait par me rendre dingue tôt ou tard. « Je vais vous laisser vous reposer, vous devez reprendre des forces… » Je m’apprêtais à partir lorsque sa voix se fit de nouveau entendre. « Pardonnez ma curiosité, mais depuis que je suis à l'hopital, ma mémoire me joue de sacré tour, mais pourtant... Votre visage... Me... semble comme... Familier... Est ce qu'on se connait? » Instinctivement je relevais les yeux vers lui et vins croiser son regard cristallin, je senti mon cœur se serrer dans ma poitrine alors qu’une lueur d’espoir commençait à naitre en moi. Oui Ewan. Oui on se connait. Je n’avais pas le droit, je ne devais pas me lancer là-dedans car je savais que si je commençais à lui parler de moi, de lui, de notre amitié, je ne m’arrêterais plus. Mais je ne pouvais pas rester là devant lui à prétendre n’être qu’un inconnu. Je n’y arriverais pas, c’était au dessus de mes forces. Mon regard se perdit quelques instants dans le vide avant que je ne le repose sur lui, prenant une inspiration avant de me lancer. « Oui… depuis pas mal d’années à vrai dire. On… on est amis, de très bons amis même. » Un sourire commença à se dessiner sur mon visage. « Robin. » lançai-je comme si je me présentais pour la première fois à lui.