NOM(S) :Buckley. PRÉNOM(S) : Dean, Lorenzo. ÂGE : 29 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 14 février 1987 à Palerme. NATIONALITÉ : Anglo-italienne. STATUT CIVIL : En couple. MÉTIER : Avant tout réalisateur, scénariste et producteur assez réputé comme un Xavier Dolan mais pas autant qu'un Scorsese ou un Brian de Palma. Je touche un peu à tout, je n'ai pas de juste limite et j'aime bien élargir mon horizon donc si je veux faire quelque chose, je le fais et me donne les moyens pour y arriver bien que sans trop de difficultés. TRAITS DE CARACTÈRE : Ambitieux, anxieux, nerveux, généreux, calme, discret, passionné, lunatique, insomniaque, aventurier, casse-cou, drôle d'après les gens, un bon vivant, réfléchi parfois quand l'envie m'en prend, j'ai beau approcher la trentaine je reste un bambino dans le cœur et dans l'esprit, romantique, séducteur, beau-parleur, amical, dragueur parfois, je reste un homme ne m'en voulez pas. Je ne me prends pas forcément au sérieux mais sais l'être quand il le faut, un vrai paradoxe, imprévisible ne sachant même pas moi-même comment je réagis... GROUPE : Black cabs.
My style, my life, my name
Pourquoi je suis comme je suis? Je vous assure que je me creuse la tête pour trouver des faits qui vous expliqueraient mieux tout cela. Ce petit blabla inutile est juste là pour la réflexion, pour que le reste soit assez fluide. • Tout d'abord, pourquoi ne pas expliquer le pourquoi du comment je suis arrivé à un tel métier? Je dirais que j'ai comme été prédestiné. Non pas qu'un de mes parents faisait parti du métier mais plutôt dans mes centres d'intérêts, ayant toujours été du genre à traîner dans les cinémas et à écrire à mes heures perdues certaines scènes, mon moment préféré pour le faire étant l'école. • Mais parlons de l'école. J'ai tendance à être considéré comme un libre penseur, à avoir des avis bien tranchés qui ne plaisaient guère aux professeurs tout ça car je ne pensais pas comme eux. Mon côté rebelle de l'époque qui s'est un peu calmé bien que toujours présent et surtout mon côté artiste qui a pris de l'ampleur au fil des années me faisant donc avancer sur une voie qui m'était appropriée. • "Souviens-toi d'où tu viens." Oui oui, j'en suis conscient. Qu'est-ce qu'un italien vient faire à Londres sérieusement? Pourquoi ne pas être resté dans le pays de Berlusconi? Allez savoir. Mon père étant anglais, ma mère italienne, j'ai dirons-nous jonglé entre les deux pays et cultures. Mais si je suis resté à Londres c'est tout simplement que niveau professionnel, c'est plus facile, pouvant travailler avec des personnes anglophones et donc le monde entier, l'anglais étant l'une des langues les plus parlées mais je repars toujours au pays, je ne peux point m'en détacher. • "Un italien assez élégant et en plus anglais, les filles ça doit te connaître!" J'ai envie de répondre oui, mais en même temps non. C'est vrai que j'ai eu pas mal de conquêtes, je ne peux pas le nier mais je penche aussi des deux côtés, ayant même une légère préférence pour le sexe masculin. Je n'ai pas vraiment souvenir que cela fut un problème, pouvant cacher ce trait de ma personne en sortant avec des femmes bien que je papillonnais avec des hommes. J'ai appris avec le temps à m'assumer, le plus dur ayant été de l'avoir fait accepter à mon père bien que ce dernier soit assez ouvert d'esprit. • Et ce qui forge l'esprit, est aussi une partie de ma vie: les voyages. Toujours à droite ou à gauche, on ne m'arrête pas. Mes voyages pouvaient se faire dans différents pays comme dans la cabane du voisin à m'imaginer un monde bien à moi. Ou par certaines substances, et je n'ai pas peur de l'affirmer. Une fois de temps en temps ça ne fait pas de mal. Cela ne veut pas dire que je suis un junkie mais il est vrai que... Ça détend et ça m'aide parfois à me relaxer après beaucoup de pression(s). A vous de voir de quelle pression je parle, donner moi une étiquette, je m'en contrefiche. • Oui, je peux avoir l'air du gars qui se soucie de son apparence mais j'ai tendance à passer au-dessus de ça, bien que ma façon de m'habiller puisse dire le contraire. J'aime juste les belles choses, les beaux habits, ayant toujours été habitué à ce genre de luxe. Mais cela ne veut pas dire que ça me monte à la tête, je tiens à le préciser mes amis. • Parlons un peu de mes goûts (et intérêts) autre que les belles choses et le cinéma. L'art en général, c'est ce que j'aime, préférant certes, la sculpture, la peinture et la musique, le reste ne me dérange pas. Niveau musique, un peu de tout, des choses que personne n'écoute comme d'un coup du metal et par la suite une petite opérette. J'aime la cuisine épicée, disons que lorsque c'est un peu caliente je suis le premier à dégainer, je ne peux pas m'en empêcher, la chaleur... C'est un mode de vie, peu importe comment elle monte. • Je sais aussi faire du trombone et du clavecin. Dis comme ça, ça ne donne pas très envie mais je vous assure qu'un jour ces musiciens deviendront célèbrent pour leur musique et leurs instruments. Mais généralement, je dis que je sais faire du saxophone car ça a plus de gueule, et c'est aussi la vérité mais j'évite de citer les autres. • Je n'ai pas vraiment de manies ou d'habitudes particulières, si ce n'est me passer la main dans les cheveux et râler ensuite qu'ils sont gras, déboutonner et boutonner mes gilets et vestes sans vraiment savoir pourquoi, prendre le café noir avec une cigarette et aller directement aux toilettes après que cette dernière soit finie. Une routine matinale, mais si agréable. J'ai aussi l'habitude de tout vivre comme une aventure même si ma mission est de tuer une mouche ou un moustique. Et j'ai la mauvaise habitude de veiller tard à regarder les étoiles sur le toit de l'immeuble qui abrite mon appartement. L'avantage de vivre au dernier étage oui oui. • Je suis aussi polyglotte. Anglais et italien, comme par hasard, un peu de français et d'espagnol mais après si ça ne tenait qu'à moi, je dirais que je parle toutes les langues du monde sous prétexte que je sais dire "bonjour", "merci", "oui", "non" et "je t'aime" dans la majorité des dialectes.
PSEUDO : Sergie. PRÉNOM : Magda. ÂGE : 19 ans. PERSONNAGE : Inventé. AVATAR : Mariano Di Vaio. CRÉDITS : Tag. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Il me semble que c'est sur... Top-roots ou un nom comme ça, ma mémoire est parfois assez courte . CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE ?: No Sir!
Il était une fois un anglais et une italienne qui se rencontrèrent en pleine Sicile. Le pourquoi du comment je pourrais vous le décrire aussi mais ce n'est pas leur histoire que je raconte mais la mienne bien que cela en fasse parti. Mais passons cette période et ramenons nous jusqu'au 14 février 1987, le jour de ma naissance mais quel beau cadeau pour une Saint Valentin! Des courbatures, des cris, de la sueur et des regards qui tuent à tire-larigot, que demande le peuple? Un peu de repos après tant d'épreuves surtout pour accueillir un être tout ridé qui ressemble à un martien. 9 mois de dur labeur pour un machin comme ça... Qu'est-ce qu'on ne ferait pas. Mon enfance s'est passée plutôt calmement, me revoyant tout minot à faire le cake dans la cours de récréation, à embêter tout le monde et étant l'un des premiers à montrer ses talents de cascadeurs sur les murettes et les arbres de la cité de Palerme. J'étais plutôt du genre à profiter de la vie en dehors de chez moi plutôt que de rester coincé dans son lit car les gens sont minables. Je m'évadais facilement, prenant même une tournure vers l'école buissonnière bien que cela n'enchantait pas vraiment mes parents et qu'ils me grondaient pour cette faute à plusieurs reprises mais vous savez bien, la tentation de l'interdit, la pomme, le serpent. C'était un peu mon mode de vie. Mon adolescence se passa assez calmement aussi, malgré les hauts et les bas, les aléas de la vie. Les premières pertes importantes, pensant notamment à mon père et à quelques autres membres de la famille. Vous savez à quel point c'est sacré pour nous et ce n'est pas seulement un cliché je vous l'assure. Les déménagement, vers 10/11 ans sa mère et lui s'en vont vivre à Londres définitivement. Mais c'est durant cette période où j'ai appris à me connaître et à m'imposer un peu plus bien qu'étant toujours un peu dans mon monde, suivant les autres mais étant un électron libre qui fait sa vie en espérant que tout se passe pour le mieux, les filles et compagnies, les amis, les drogues douces car "viens tu verras c'est drôle" étant tout aussi un peu naïf en pensant que tout nous tombait dans la bouche, mais quelle erreur! Une fois arrivée à l'université, du moins à l'âge d'entrée n'y étant pas mis un pied, j'ai su ce qu'était ma voie aux alentours de ces années-là, cherchant à tout va des stages au pays de mon paternel mais rien n'était facile. Je ne supportais pas qu'on me refuse quoique ce soit. Non pas car j'étais un enfant gâté ou quoi mais l'échec m'effrayant. J'ai failli baisser les bras un bon nombre de fois mais je crois que ma persévérance m'a plutôt bien aidé jusqu'à que je parvienne à servir des cafés à l'un des réalisateurs qui m'avait engagé. J'ai tout appris sur le tas, n'ayant même pas eu le droit à quelques explications. Juste l'observation m'a suffi. Et durant mes temps libres, j'écrivais encore et toujours, m'inspirant des scènes qui m'ont le plus marqué, mélangeant certains styles pour créer mon propre univers... Et c'est ainsi que j'y suis arrivé. J'ai proposé mes scénarios, ces derniers ont plu mais ça m'a pris du temps. Je ne suis qu'un amateur qui a commencé par des festivals de cinémas indépendants pour courts métrages. Je ne fais que débuter mais ce commencement m'a déjà bien propulsé vers le haut, le film ayant marché pas comme un Intouchables ou un Avatar mais un minimum quand même. Du moins juste assez pour me former une situation. Voilà donc où j'en suis. Une vie stable, une vie que j'ai rêvé, imaginé et que je vis actuellement. Un métier qui me plait et dans lequel je m'épanouie et m'améliore, un amour qui semble durer depuis maintenant deux ou trois bonnes années. C'est comme si tout me souriait mais on n'est jamais à l'abris des catastrophes que l'avenir me réserve...
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