"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Behind a fairytale ♠ AIDEN&LAZERIAN - Page 2 2979874845 Behind a fairytale ♠ AIDEN&LAZERIAN - Page 2 1973890357
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Behind a fairytale ♠ AIDEN&LAZERIAN

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() message posté Mar 24 Mar 2015 - 23:16 par Invité

behind the frairytale

ft. Aiden & Lazerian


«cry for the moon - Saint Patrick's day »
Le coût de la colère est parfois élevé, Lazerian ne laissait jamais son énervement prendre le dessus, c’était une perte de contrôle encore une fois. La colère était comme une tempête, imprescriptible, elle naissait, envahissait, submergeait incontrôlable elle dévastait, ce n'est qu'une fois qu'elle est apaisé qu'on peut faire un bilan du dégât. Ainsi ce jeune homme s’énervait très rapidement, encore une fois un tempérament de feu qu’il dissimulait si bien. Laz’ portait un masque qui lui convenait, quant à évoquer un acte, un sentiment démonstratif en public il ne savait pas s’il en était capable. Il avait été marié, la trahison de sa femme avait été si forte en le trompant, qu’il avait balayé les souvenirs de cette relation de la main. Ce mariage avait été une duperie, une farce dont on avait pas tellement envie de rire. La conversation bondissait de sujet en sujet, sa bonne éducation, il n’y avait pas besoin d’avoir un long développement sur celle-ci. Il l’était, il le restera, il n’y avait aucune contradiction à avoir. Encore une fois aucune réponse possible. Lazerian ne savait pas si le fait de couper le lien avec sa famille avait été pour lui une bonne solution, elle avait été extrême. « Tu as autant de courage que moi, tu restes par respect pour ta mère, je ne vois rien de lâche dans ce comportement ! » Il faisait preuve d’indépendance à sa manière. Par contre parler de son travail ne lui disait trop rien. Le soir était son repos, il affectionnait énormément son boulot, sauf qu’une fois qu’il avait finis ses longues journées, il n’avait pu envie d’en parler, il ne souffrait d’aucune déformation professionnelle. « Tu es jeune un jour tu trouveras ta voie ! » Pas la peine de se prendre la tête avec les détails de l’avenir.

Il avait tout ce dont il pouvait rêver, voiture de luxe, appartement de noble, haute couture et pourtant il avait ce néant, cette solitude. Ce comportement il le gardait pour lui. Une fois sortie du bar tous les deux, il l’invita dans sa voiture, plaisantant en étant un prétendu serial Killer. Cette fois il ne pu s’empêcher d’avoir un petit ricanement en l’entendant répliquer. « Mon coffre est bien trop petit pour contenir un cadavre mon très cher Aiden ! » Alors qu’il avait démarré, il demandait où il devait déposer ce jeune homme. Encore un autre bar, il n’avait pourtant pas envie de le quitter maintenant. « Je connais un endroit assez sympa sur Hammersmith ! » C’était son magnifique Loft, les jeunes appelaient ça un after désormais. Une fois arrivé devant un bel immeuble d’une cinquantaine d’étages, il appuya sur la télécommande du garage, il alla garer sa voiture à la place qui lui était réservée.

D’un signe de tête Lazerian fit signe au jeune homme de le suivre, une porte d’ascenseur s’ouvrit devant eux et le monstre de ferraille les firent monter au dernier étage. Un minuscule couloir avec une unique porte. Le grand quarantenaire ouvrit la porte d’un tour de main. Il le fit entrer dans un magnifique et immense loft, une baie vitrée faisait une belle démonstration de la vue qu’il avait sur Londres. Un escalier en fer forgé style art nouveau montait à une mezzanine, c’était sa chambre et son bureau. Une grande cuisine ouverte, un bar dans le coin à droite. Un canapé d’angle qui faisait la taille de son salon et qui pourrait accueillir au moins une dizaine de personnes, il était d’un blanc immaculé. La décoration était épuré, il y avait aussi ce piano dont il aimait se prélasser les doigts lorsqu’il était seul. « Bienvenue chez Lazerian Ludwig Peterson, à toi de me dire ce que tu veux boire, j’ai même du champagne si tu le désire! En tout cas fais comme chez toi…j’avais envie d’un cadre beaucoup plus intime, j’en avais marre de la foule et de cette mascarade grotesque, tout le monde se croit important en boite de nuit…alors que le peu de considération qu’on leur offre est le mépris du jugement superficiel ! » Il posa sa veste sur une chaine de la table de salle à manger en marbre. Lazerian se débarrassa de sa cravate verte et ouvrit quelques boutons de sa chemise. La naissance de son torse sculpté apparu, une pilosité très masculine recouvrait ses pectoraux. « A moins que tu souhaitais vraiment aller dans un bar paumé de cette ville et que ma présence soit ta déconvenue ? » Quelque part Lazerian avait envie de plaire à Aiden, de l’impressionner, même s’il avait rapidement compris qu’une autre personne avait plus d’intérêt.


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() message posté Mer 25 Mar 2015 - 0:37 par Invité
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Depuis que mon père avait quitté le domicile conjugal pour des raisons que je ne lui connaissais pas vraiment, j'étais devenu ce petit garçon insupportable qui ne savait pas se tenir. J'avais mes soucis, mes raisons, et je n'étais pas du genre très bavard quand il s'agissait d'en dire toujours un peu plus. Mon comportement était le seul reflet de ce qu'il y' avait en moi et je ne voulais pas que les gens en sachent d'avantage. J'étais la personne que j'étais et si les gens ne m'appréciaient pas comme j'étais alors tant pis. J'étais du genre assez solitaire même si j'étais toujours très entouré lorsque j'étais en soirée et que je finissais toujours par coucher avec une étudiante. Je ne parlais jamais, je ne me confiais jamais, j'agissais tout simplement. A chaque fois que mon père revenait dans un sujet de conversation que je pouvais avoir avec ma mère, je m'énervais et je ne voulais plus en entendre parler. Je ne comprenais même pas pourquoi elle lui avait pardonné d'être parti de la sorte et de n'être jamais revenu pour m'aider à grandir et pour rester aux côtés de ma mère. Elle a dû se démener pour arriver à nous faire vivre correctement et même si je ne l'avais jamais remercié pour çà, je l'aimais et je prendrai toujours sa défense, quoiqu'il arrive. Jamais je ne pardonnerai à mon père et je n'avais aucunement l'intention de lui parler même lorsqu'il essayait de venir sur le campus. Je tournais toujours les talons, il était hors de question qu'il essaie de nouveau.  « Je n'en sais rien mais je vis ma vie comme je l'entends et c'est tout ce qui m'importe. Ma mère me casse les bonbons pour rester poli un minimum et ne pas froisser tes gênes ! Mais très franchement si je m'écoutais je serais déjà de retour à Belfast. Cet endroit n'est pas du tout pour moi mais maintenant que je suis là et que çà fait trois ans que j'endure çà, autant rester jusqu'à la fin ! » je pouvais parfois être un petit peu raisonnable. Un tout petit peu quoi.  « Je ne sais pas, pour le moment en tout cas je ne l'ai pas trouvé. Mon père embête ma mère et essaie à chaque fois de lui faire passer ds messages pour que j'aille dans cette maison d'édition mais je ne sais pas si j'en ai envie ! Ma mère m'a avoué il y'a peu que c'était mon père qui payait l'appartement dans lequel je vis... je n'ai pas vraiment apprécié et j'ai failli accepter de passer un entretien dans ce maudit endroit pour justement lui faire comprendre que je ne voulais rien de lui et surtout pas son argent pour l'appartement ! » mon ton commençait à se faire bien plus dur et Lazerian pouvait rapidement comprendre que je ne portais pas du tout mon père dans mon cœur et que tout çà me rendait complètement fou de rage à chaque fois. Il valait donc mieux pour moi que j'arrête d'en parler. Le sujet de mon père était vraiment un sujet de plus en plus tabous et mon irritation était grandissante à chaque fois que je parlais de lui.  « Je n'aime pas trop parler de ma vie ! » avais-je ajouté pour lui faire comprendre que je ne voulais plus en parler. Il ne m'avait finalement rien demandé en soi mais bon. J'avais finalement accepté son invitation de me raccompagner même si je n'avais pas envie de rentrer chez moi malgré les cours qui m'attendaient tôt le matin. Je n'étais pas d'humeur à rentrer et je voulais encore profiter d'une bonne petite heure ou plus afin de siroter encore une bière ou deux dans un autre endroit.  « Il y a toujours un endroit pour cacher ce genre de chose ! » me permis-je de lui répondre avant qu'il ne démarre.  « Si c'est un endroit sympa, alors, allons-y » je ne savais pas où il comptait m'emmener, je ne savais pas quel était donc cet endroit sympa, mais si cela pouvait me permettre de ne pas rentrer et de pouvoir boire encore un peu, alors pourquoi pas. Je n'étais pas vraiment du genre méfiant, confiance ou non. Une fois arrivés, je fronçais alors les sourcils me demandant où nous pouvions bien être. Je le suivais sans trop savoir où j'allais. Une fois arrivé, je compris que nous étions chez lui. Pourquoi m'avait-il amené chez lui ? Haussant les épaules, je regardais tout autour de moi lorsqu'il se mit à prendre de nouveau la parole. Un piano.. tient donc, en plus d'avoir de l'argent, d'être ce mec si froid et distingué, bien évidemment, il savait aussi jouer d'un instrument ! Roulant les yeux, je continuais à l'écouter sans trop l'écouter. Oops.  « Je ne suis pas du genre champagne, je vais boire ce que toi tu te prendra, ou bien une bière, ce que tu veux quoi ! Faire comme chez moi je ne sais pas si je le pourrais » pourtant j'avais moi même de l'argent et je vivais très bien mais il vivait encore mieux que moi.  « Toi et tes manières .. » finis-je par soupirer tout en posant ma veste sur son canapé. Je partais alors à la conquête de son salon, regardant un peu partout. Je n'étais pas vraiment impressionné, il avait des choses que j'avais moi aussi ou bien que je pouvais avoir enfin le loft, par contre était assez impressionnant.  « Tu sais, du moment que je peux encore boire un coup, tout me va ! Musique, calme ou tout autre chose, je m'en fiche ! » oui, j'étais un je m'en foutiste pur et dur.  « Alors pas d'enfants, pas de femme, rien ?» me permis-je de lui demander ne sachant pas du tout comment il prendrait la chose.
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() message posté Mer 25 Mar 2015 - 11:00 par Invité

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«cry for the moon - Saint Patrick's day »
Lazerian n’avait en rien obligé ce jeune homme à se dévoiler sur sa vie, il ne le forçait en rien, ils étaient là juste à discuter, il n’y avait rien de fantasque. Son quotidien semblait semer de troubles, d’incertitudes, d’une volonté de bien faire avec une étrange fascination pour le je m’en foutiste. La répétition du phénomène paternelle, qu’il avait lui-même vécu. Ce jeune homme l’intriguait bien plus qu’il ne voulait l’avouer, il n’avait pas envie de parler de lui, très bien, il n’allait pas lui mettre le couteau sous la gorge. Ils avaient pris sa voiture, la blague sur le fait qu’il soit un tueur en série, était amusant. Jamais il n’avait pensé ainsi et il n’aurait aucune idée de comment dissimuler un meurtre. C’était sûrement lié à son incompréhension face à cet acte barbare sous toutes ses formes, comment peut-on prendre la vie de quelqu’un sournoisement. C’était égoïste, déséquilibré et immonde. Il avait roulé une quinzaine de minutes, un ascenseur, une porte et ils étaient chez lui. C’était son loft, son confort personnel, sa propre intimité qu’il dévoilait aux yeux de ce jeune homme. A aucun moment il n’avait la volonté de l’impressionner. Il l’invitait à faire chez lui, c’était au-delà de la bienséance ou du savoir-vivre, il avait juste envie qu’il se mette à l’aise tout comme il le faisait lui-même. Le producteur le laissait déambuler dans son appartement à souhait, il n’avait rien à cacher, il n’avait pas de photos, pas de babioles qui pourraient lui rappeler son passé. Uniquement une décoration chic qui faisait effet de cataplasme. « Soit à l’aise et arrête de maugréer pour tout ! » Aiden était un garçon relativement compliqué et il aimait ça.

Il s’approcha du bar pour prendre dans le réfrigérateur de celui-ci deux bières, pour le coup c’était de la Guiness, il déposa les deux bouteilles sur la table en verre du salon, avec deux choppes pour la verser. Il s’approcha ensuite de la chaine Hi-fi, il mit en route le CD qui était déjà inséré, c’était du Jazz, un fond sonore agréable et qui ne dérangerait pas dans la conversation, il alla ensuite s’installer sur le canapé. « La femme je l’ai eut par un temps, j’ai été obligé de rompre les liens du mariage après sa trahison ! Par chance il n’y avait pas d’enfants pour vivre cette situation désastreuse. Depuis je ne me suis pas tellement interrogé sur ma vie sentimentale ! » Il mentait un peu, il versa une partie de sa bière dans la chope pour la boire.

« Ce mariage était un mensonge, j’ai préféré l’aimer que de révéler ma véritable personnalité ! Je suis peut-être en partie responsable de ce qui est arrivé… »
Lazerian n’osait pas parler de son homosexualité, car il n’avait pas envie de gêner ce garçon sur ça, il se plaisait à le contempler, ses cheveux, son corps mince, ses lèvres qui avaient l’air si douces. Cette admiration le contentait, il ne voulait pas tenter pour le moment de peur de gâcher quelque chose. « Cette vie de célibataire me convient, je travail, je continue mes loisirs, mes voyages, rien ne peut m’en empêcher…c’est trop tard pour tenter un nouvel échec ! » Il n’était pas défaitiste, le quarantenaire c’était toujours rangé dans la catégorie des pragmatiques fatalistes, autant admettre les réalités pour en déduire la vérité.

Il avait envie de séduire Aiden, il avait envie qu’il soit attiré par lui, il avait une forme de détachement, d’interdit qu’il n’allait pas rompre, même chez lui. « Je trouve que tu es un garçon incroyable Aiden ! Profite, je fais rarement des compliments…. » C’était son coté naturel, extrême, cette franchise constante, même si tout n’était pas bon à dire, il balançait les conventions par les fenêtres.

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() message posté Mer 25 Mar 2015 - 12:08 par Invité
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Ma vie était complètement différente de celle de cet homme qui semblait tout avoir. Pour ma part, j'avais de l'argent, beaucoup moins que lui mais j'en avais, et je vivais très bien. Je pouvais m'offrir tout ce dont j'avais besoin et je pouvais même faire des voyages sans demander quoique ce soit. Je pourrais avoir encore bien plus d'argent si je parlais avec mon père mais je n'avais pas envie de me rabaisser à cela tout simplement pour avoir encore plus d'argent. Ce que j'avais était déjà bien conséquent. Ma mère acceptait d'ailleurs tous les mois une belle somme de la part de mon père, afin de faire oublier toutes les années où il n'était pas là. Ironique, n'est-ce pas ? Ce soir, j'avais décidé d'être un peu chiant, de faire le Aiden que tout le monde connaissait si bien et même si cela pouvait excéder Lazerian, tant pis. C'était d'ailleurs assez drôle de voir à quel point nous pouvions être à l'opposé l'un de l'autre. Il avait des manières que je n'avais absolument pas et j'étais rude contrairement à lui. J'étais chiant, je n'avais pas encore de perspective d'avenir, mais j'avais tout de même cette intelligence qui me donnait ce petit charme, n'est-ce pas ? Il était très bien élevé alors que ce n'était pas le cas pour moi. La seule chose que nous avions en commun était cette froideur qui nous qualifiait quand nous ne connaissions pas la personne que nous avions en face de moi. J'étais toujours très froid, je l'avais toujours été et ce n'était pas aujourd'hui que j'allais changer cela. J'étais aussi plein d'ironie et de sarcasmes.  « Si monsieur le veut ! » rétorquais-je tout en continuant mon petit tour. Je n'allais certainement pas me mettre à l'aise ici. Quoique j'arrivais toujours à être à l'aise n'importe où.  «  Arrête de maugréer ! » sifflais-je alors dans ma barbe avant de continuer mon inspection. Ce loft était sympa, je ne pouvais pas dire le contraire mais un peu trop grand pour quelqu'un qui semblait vivre seul, voilà pourquoi la question fatidique me piqua les lèvres. Et bien voilà, il y'a vraiment encore du sang Irlandais dans ses veines. Une vraie bonne bière. De la Guiness, bière que j'affectionne tout particulièrement. Elle me rappelle bien des souvenirs quand j'étais encore à Belfast. Je n'avais pas la majorité pour boire mais j'avais commencé tout de même assez tôt à boire. Et je ne m'en cachais absolument pas. Je n'avais pas honte de ce que j'avais bien pu faire et de ce que je faisais encore dans ma vie, pourquoi avoir honte ? Si je faisais tout ce que je faisais c'était pour une raison, je n'allais donc pas m'en cacher. Une fois sur le canapé, j'avais déjà commencé à siroter ma bière. Je fis alors une grimace lorsque j'entendis ce fond sonore. Du Jazz il me semblait... pas ma tasse de thé ! Mais quelle était ma tasse de thé de toute manière ? Sans rien dire et tout en sirotant ma bière, je me mis à l'écouter attentivement. Alors plus de femme et pas d'enfants. Il était devenu un brin solitaire. Un peu ce que j'étais aujourd'hui.  « Et ta vie en solitaire te plaît ? » voilà pourquoi je ne voulais pas me marier. Déjà parce que mes parents n'avaient pas réussis à rester ensemble et leur vie amoureuse avait été un désastre et savoir qu'encore une fois, les mariages ne servaient à rien. Lazerian était une preuve de plus qui allait m'éviter de me marier. De toute manière, pourquoi se marier ? Deux personnes peuvent très bien vivre ensemble tout au long de leur vie sans devoir dépenser une fortune pour un mariage !  « Et quelle est ta véritable personnalité ? Tu es un tueur en série, c'est çà ?! » bien évidemment, je plaisantais un peu histoire de détendre l'atmosphère. Tout çà était tout de même bien morbide. J'avais l'impression de revoir mes parents des années plus tôt se déchirer. Je passais alors une main dans mes cheveux qui commençaient à être un peu trop longs.  «  C'est ce que je me suis toujours dis. Surtout en voyant mes parents.. pourquoi se marier ? Pourquoi repousser l'inévitable. Le mariage n'attire rien de bon et encore une fois tu m'as prouvé que je disais vrai. Le mariage est simplement une façon de faire la fête et de se réunir mais y'a d'autres moyens de faire çà. Je trouve çà d'une inutilité déconcertante. Je n'aime pas le mariage et je ne me marierai jamais. Je n'ai pas envie de finir comme mes parents ! » mon discours semblait être un discours de défaitiste mais il n'en était rien. Je fronçais alors les sourcils lorsque son compliment sortit de nulle part.  « Cela tombe bien je n'aime pas les compliments ! » j'avais de la répartie et peut*être pas la bonne. Je ne voulais pas le froisser alors je repris  « Qu'est ce qui te fait penser que je suis un garçon incroyable ? Je viens de te dire que je n'avais aucune perspective d'avenir, que j'étais du genre je m'en foutiste etc. » je ne voyais rien du tout en moi qui soit bon mais soit.  « Il t'arrive souvent de ramener des gens chez toi ? »
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() message posté Mer 25 Mar 2015 - 14:48 par Invité

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«cry for the moon - Saint Patrick's day »
LIl eut un petit sourire en coin en attendant l’écho de sa propre pertinence, ce jeune garçon passait son temps à pester et cela était un jeu fort amusant pour Lazerian. Il ne se laissait affecter par rien, même pas par le comportement de ce garçon. Le quarantenaire avait mit en marche la musique qui n’était que secondaire ce soir. Evoquer le naufrage de son mariage n’était pas très gai pour lui, il le voyait comme une étape de son passé et qu’il devrait faire attention la prochaine fois. Une fois installé à ses cotés, il l’entendit le questionner sur son état de loup solitaire, il n’avait pas besoin de meute pour vivre. « La personne humaine n’est pas faites pour vivre seul, même moi….cependant j’ai déjà des habitudes de vieux garçon ! » Lazerian était du genre ours mal léché le matin avant sa douche, il aimait le débat mais n’aimait pas avoir tort. Une assurance qui lui appartenait si bien et vivement critiqué par son ex épouse. Elle aurait dû prendre un chien, au moins il lui aurait obéis. Il ne pu s’empêcher d’avoir un sourire franc à ce moment là, il était loin d’être un tueur. « Non ! » Pas plus ni moins, la négation se suffisait par elle-même. La fête, c’est donc tout l’attrait qu’il puisse trouver dans un mariage. « Le mariage a des vertus ! Il ne faut pas le nier ! J’ai loupé le miens, tes parents ont loupés le leur, pas la peine de le réfuter, il est plausible qu’un jour tu en ais besoin, tu as vingt ans et la vie devant toi ! » C’était une réalité, il n’y avait pas besoin de faire dans les notions quand on a vingt ans.

Il n’avait pas pu s’empêcher de faire un petit compliment au jeune homme, l’alcool lui donnait une mauvaise humeur ou bien c’était sa façon à lui de tout rejeter. Rien n’allait dans sa vie donc aucune idée positive. « Parce que tu as un caractère bien à toi….parce que tu crois qu’il faut avoir un avenir pour être exceptionnel ? La plupart des génies ne sont jamais pris au sérieux et encore moins par eux même » Il souleva de nouveau sa chope pour en boire une nouvelle gorgée. S’il ramenait souvent des personnes dans son loft, non, seul James était venu fréquemment, sinon il ne recevait jamais, c’était son intimité. « Tu es l’un des rares à y être rentré ! » Ce lieu était son confort, il n’aimait pas qu’on y pénètre, il n’aimait pas qu’on juge son intérieur, entrer chez quelqu’un c’était découvrir sa façon de vivre.

Les longs doigts de Lazerian approchèrent d’une mèche de cheveux d’Aiden et il passa sa main dedans pour finalement la laisser choir sur sa joue, de son pouce il pressa sa joue gracieuse, il le fixa droit dans les yeux, peut-être qu’en cet instant il ne désirait qu’une chose c’était l’embrasser et la conséquence serait sa fuite de l’appartement. Un léger frisson s’expatria de sa poitrine jusqu’à son cœur, faisait augmenter son rythme. Son souffle s’accentua, de quel droit il pouvait poser ses mains sur cette jeunesse, ce corps mince et ferme. Pour son âge il était encore très bien constitué. « Arrête de tout rejeter, de tout objecter, tu profites de la vie à travers des fêtes, c’est rédhibitoire ! Tu devrais profiter de la vie au lieu de la rejeter….tu fais juste semblant pour te donner le change ! » Il laissa retomber sa main touchant la sienne au passage. Il approcha ses lèvres des siennes et les effleura sans pour autant les embrasser. Il se leva du canapé et ouvrit la grande porte fenêtre. « Je vais fumer…tu peux toujours me rejoindre ! » Il ne fumait jamais à l’intérieur, il ne voulait pas empoisonner l’air ambiant de son appartement. De sa poche de droit il sortit une cigarette et de sa gauche un briquet, il avança vers la balustrade, la flamme éclaira un instant son visage mal rasé qu’il affectionnait tant ainsi. Un petit grésillement indiqua que la cigarette était allumée, il tira dessus dans une longue bouffée de nicotine libératrice.

Aiden avait deux possibilités, soit terminer sa bière et foutre le camp, ce qui était le plus plausible en cet instant, soit le rejoindre, dans ce cas il savait quelles attentes avait Lazerian de lui. Pour ce soir il avait eut son compte de revers, de paroles âpres et désappointement.

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() message posté Mer 25 Mar 2015 - 16:11 par Invité
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Je passais mon temps à pester, je passais mon temps à tout rejeter. Je détestais ma vie, je détestais toutes les personnes qui pouvaient m'entourer. C'était un fait. Je le savais, je savais bien que je pouvais être arrogant, impétueux même, que je pouvais passer mon temps à faire chier les gens mais j'étais comme çà et j'en jouais aussi souvent. La vie n'était pas un long fleuve tranquille, je ne le savais que trop bien mais tout ce qu'il m'était arrivé dans la vie n'était pas non plus supportable. J'avais grandi bien trop vite, ou bien non, je n'avais peut-être pas encore grandi. Je ne savais pas où me placer et mes réactions pouvaient être puériles mais elles étaient ce que j'étais et c'était à prendre ou bien à laisser.  « Qu'est ce que tu en sais ? On peut très bien vivre seul. Regarde toi, tu vis bien tout seul et depuis combien de temps ? Tu as déjà des habitudes de vieux garçon comme tu dis ! Je suis contre toutes ces conneries de mariage et tout le reste. L'amour n'existe pas, ou bien elle existe pour faire souffrir son monde, c'est tout ! » j'avais trop vu ma mère pleurer, se morfondre dans sa chambre, oubliant même qu'elle avait un fils. Non, je ne ferai absolument pas la même connerie que tous les autres. A quoi bon se marier, si la moitié des mariages finissaient mal ? Son simple « non » ne me fit pas peur, mais je ne répondis pas. Haussant les épaules, il reprit la parole et je le laissais faire, me laissant porter par la Guiness que je buvais petit à petit. Je buvais beaucoup, je ne me souvenais pas de la première fois où j'avais pris une cuite mais je savais que j'étais jeune. Je devais peut-être avoir 14 ans à tout casser. Je n'avais eu la vie que ma mère voulait, elle n'avait d'ailleurs pas eu la vie qu'elle aurait aimé avoir mais elle avait tout de même tout fait pour moi. Du moins, elle avait essayé une fois qu'elle avait repris le dessus. Moi, j'étais déjà très loin et avais complètement laisser tomber les bonnes manières et tout le reste.  « 21 ! » rétorquais-je comme si mon âge pouvait compter vraiment  « Les fondements du mariage je ne les connais pas vraiment et je ne veux pas les connaître. Tout ce que je sais c'est que je continue à être le spectateur d'une génération qui se marie pour se déchirer ensuite ! Une génération je suis gentil parce que toutes les générations se confondent quand on parle de mariage ! Qui de nos jours arrivent à faire tenir un mariage ? Pas grand monde ! L'amour c'est complètement bidon, il faut ouvrir les yeux ! » oui j'avais encore la vie devant moi, j'étais jeune, sans ambition mais le mariage était tout de même quelque chose que je réfutais et personne ne me fera changer d'avis ! Son compliment et son comportement commençaient à me faire un peu peur. Enfin peur c'était un bien grand mot. Etait-il bi ? Gay ? Loin de moi l'idée de le juger, bien au contraire, j'avais des amis qui n'étaient pas hétéros. Enfin, amis.. là encore c'était un bien grand mot. Je me fichais pas mal de ce que les gens pouvaient bien faire de leurs corps et de tout le reste.  « Tout le monde pense que j'ai un sale caractère et que je suis arrogant. Je te passe tous les noms auxquels j'ai le droit mais je le vis très bien ! Je n'ai rien d'exceptionnel pour autant ! Génies ? Rien que çà ! Dis moi, tu ne penses pas que tu vas un peu loin pour le coup ? » ce n'était pas que je commençais à être mal à l'aise mais je ne savais plus quoi lui répondre en vérité. L'alcool avait pris une grande place dans mon corps et je me sentais un petit peu défaillir. De plus son comportement commençait à me prouver qu'il était certainement bi ou bien même gay. Je lui plaisais ? Woow, lorsqu'il se mit à tripoter une mèche de mes cheveux, je me mis à sursauter. Non, je n'étais pas ce genre de personne, je couchais avec beaucoup d'étudiantes mais je n'étais pas du tout de ce bords. Je ne voulais pas le froisser mais fuck, non il devait s'arrêter là !  « Je profite de la vie comme je l'entends ! Je me fiche pas mal de ce que toi ou bien les autres peuvent penser ! Je ne vis pas pour vous ! Je ne rejette pas la vie, du moins une partie peut-être, le reste, je le vis, et pleinement ! » il s'approcha bien trop de moi et effleura mes lèvres ce qui me fit me décaler rapidement. Je me levais en même temps que lui. Non, je ne savais pas pour qui il me prenait mais je n'étais pas de ce bord là. J'étais 100% hétéro et je n'avais rien contre son mode de vie mais moi, je n'avais pas du tout le même mode de vie que lui. Je finis ma bière d'une seule traite, je ne peux pas rester ici si c'est pour qu'il pense que je suis comme lui.  « Woow ! Je ne suis pas de ce bord là ! Tu fais ce que tu veux, je ne te juges absolument pas ! » commençais-je alors qu'il était parti sur le balcon pour fumer ! Je me devais de partir, je ne voulais pas qu'il recommence !  « Je m'en vais ! »
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() message posté Mer 25 Mar 2015 - 16:56 par Invité

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ft. Aiden & Lazerian


«cry for the moon - Saint Patrick's day »
Quel traumatisme ce jeune homme avait vécu pour renier autant l’amour, il était comme révolté rien qu’à l’idée que ça puisse lui arriver. Tant de colère ne pouvait être que la source d’une peur d’être aimé et délaissé, il semblait préférer rester seul que de vouloir faire une tentative. Jamais il ne lui avait demandé de tomber amoureux là dans la minute, pourtant cela semblait s’inscrire dans son cerveau. Aiden était un jeune homme bien étrange, qui ne semblait pas connaitre les bases, il n’avait pas besoin d’être un savant pour se dire qu’il y avait eut beaucoup de souffrances là-dessus. Cependant Lazerian ne faisait que dans les spéculations pour le moment, il aimerait presque soulager cette révolution constante. « Ne me retiens surtout pas comme exemple comme loup solitaire, car un jour tu te rends compte que la solitude que tu as tant voulue pendant des années, celle que tu désirais tellement comme amie, devient ta pire ennemie ! » Il ne voulait pas terminer ses jours, avec ce loft, peut-être un jour un chien. Alors à quoi rimerait l’existence s’il se faisait ainsi, sans le grand amour. Pourquoi n’avait-il pas le droit d’y connaitre ? Il avait aimé sa femme, il n’y avait jamais eut ce feu d’artifices, c’était plutôt une tendresse qu’il avait cru comme amour, il avait fait une erreur et voila. Ce garçon lui plaisait c’était incontestable, il avait envie de l’étreindre. Lazerian n’avait fait qu’une allitération, il ne l’avait pas qualifié de génie, il lui avait dit juste qu’il était exceptionnel, un ressenti qu’il avait, comme lorsqu’il avait un scénario ovni entre les mains et qu’il savait au plus profond de lui qu’il allait en faire un carton.  De nouveau ce ton révolté, il profitait de la vie. Laz’ c’était rapproché, un peu trop, il avait brisé les limites qu’il c’était imposé, il n’était pas saoul mais l’alcool l’avait un peu désinhibé. Il était patient, il voyait bien que le jeune homme réagissait très mal aux marques d’affection, encore plus lorsqu’il avait effleuré ses lèvres avec les siennes, il avait fait au moins un bond de dix kilomètres en arrière sur le canapé. Lazerian avait voulu essayer et il avait été fumé. C’est étrange, il revivait le même film qu’avec James, cependant à son meilleur ami il n’avait voulu que lui donner une leçon, c’était comme son frère, il n’avait donc aucune attirance pour lui. S’il pouvait il l’adopterait tel quel. La différence était là, ce jeune homme au tempérament enflammé lui plaisait.

En l’écoutant parler, il ne fit rien, il n’allait pas admettre une erreur, il n’avait rien fait de mal, il avait tenté sans insister. Le plus dur pour un homme qui aimait les hommes était de trouver un autre qui correspond et qui aime tout autant. « Attends ! » Lazerian trouvait que c’était une excellente idée qu’il parte, pourtant pas comme ça. Il rentra exceptionnellement dans l’appartement avec sa cigarette, chercha à l’intérieur de sa veste son porte carte, il tira une petite fiche dans un papier cartonné, avec une légère dorure sur laquelle était inscrite dans une écriture calligraphiée son nom et son numéro personnel. « Si un jour tu as besoin de moi, je serais là ! » Il lui donna la carte. Il sortit son téléphone et appela aussi son chauffeur. Il devrait arrivé avec sa Berline Noire dans cinq minutes, il doit être disponible toute heure du jour comme de la nuit. « Mon chauffeur t’attendras en bas le temps que tu descendes, rentre bien Aiden ! »

Ensuite il se retourna pour retrouver son balcon et la fraicheur de la nuit, il allait enlacer sa douce solitude pour le reste de la soirée, quelques heures de sommeil et une autre journée pleine de folies allait s’offrir à lui. Ce soir était une preuve supplémentaire qu’il savait très bien séduire la gente féminine qu’il ne saura jamais s’y prendre avec les mecs malgré son assurance.


"Ici ton dialogue."

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