(✰) message posté Mar 17 Mar 2015 - 22:47 par Invité
Samuel Jered McKelhann
London calling to the faraway towns
NOM : McKelhann. PRÉNOMS : Samuel (bien qu’on abrège bien plus souvent en Sam, mais jamais en Sammy, faut pas exagérer), Jered. ÂGE : 32 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 18 novembre 1982, Los Angeles, Californie. NATIONALITÉ : américain. STATUT CIVIL : en couple avec une perfection. MÉTIER : artiste peintre et musicien. TRAITS DE CARACTÈRE : ambitieux, attentif, charismatique, bourru, courageux, créatif, direct, énergique, fêtard, fidèle, franc, parfois froid, impulsif, indépendant, intelligent, ironique, joueur, lunatique, loyal, nerveux, ouvert d’esprit, passionné, persévérant, protecteur, sanguin, spontané, têtu, tendre, tolérant. GROUPE : fast in my car.
My style, my life, my name
Les tatouages ; Samuel en a tellement qu’il ne les compte même plus, ce serait une réelle perte de temps, mais autant dire qu’ils sont franchement nombreux et que le jeune homme ne connaît aucune limite avec cela puisque ses deux bras en sont recouverts, et qu’il en a également dans le dos et sur le torse, tout comme au niveau des côtes – et sans doute qu’il n’a pas l’intention de mettre un frein à ses envies d’encrer des choses sur sa peau. Les cicatrices ; il en a quelques unes, certaines sont liées à son enfance chaotique, d’autres à sa vie de jeune adulte durant laquelle il a surtout fait de nombreuses conneries en se retrouvant an milieu de bagarres qui lui coûtaient souvent quelques blessures et quelques passages dans les hôpitaux. Artiste accompli ; il est impossible pour Sam de ne plus être ce qu’il est et de mettre un terme à ses envies de peindre ou de jouer de la musique, cela fait entièrement parti de lui et il est plus inspiré que jamais, bien que son univers artistique soit toujours aussi sombre qu’avant, il n’est pas rare qu’il s’amuse à peindre des choses plus joyeuses, mais seulement pour un usage personnel – il ne souhaite pas exposer ce qui sort de son monde obscure. Los Angeles ; bien qu’il n’ait pas que des bons souvenirs de sa ville natale, il n’empêche que Samuel l’aime réellement, au point même qu’il s’est fait tatoué Los Angeles sur le haut du bras – il ne le regrette pas et se fiche bien que les gens se posent des questions à ce propos. Personnalité complexe ; il n’est pas aisé de comprendre le tatoué qui peut être à la fois adorable (surtout avec Mackenzie), mais qui peut être très froid et distant envers les autres… Il n’accorde pas facilement sa confiance et a tendance à être méfiant les premiers instants. Le café ; véritable accro à la caféine, il ne commence pas une journée sans sa tasse de café et sans sa clope. S’il rate cela, autant dire que sa journée risque d’être clairement mauvaise et les gens qui croiseront son chemin en prendront plein la gueule. Gérant de la fortune familiale ; bien qu’il ne le cri pas sur tous les toits, Samuel est riche grâce à ses parents qui sont morts il y a plusieurs années. Son père possédait une grosse société basée à Los Angeles qui fonctionne toujours aussi bien et qui lui rapporte beaucoup d’argent – il en a laissé la totale gestion à l’associé de son père et ne donne son avis que lors des grosses réunions puisqu’il est l’actionnaire majoritaire. Il reverse très souvent de l’argent à des associations qui s’occupent d’enfants maltraités puisque cette cause le touche personnellement. Maniaque ; il a tendance à l’être, mais seulement là où il peint. Les autres pièces peuvent être mal rangées, il s’en moque, mais dès que cela touche à son univers, Sam ne le supporte pas et a besoin d’un rangement clair et précis. Ancien drogué ; il écumait les soirées et buvait plus que de raison, autant qu’il prenait des drogues, cela lui permettait d’oublier sa vie durant quelques heures, mais il a mit un terme à cela il y a quelques années, dès lors qu’il a entamé sa relation avec Mackenzie, qui le change définitivement en quelqu’un de meilleur. Il est juif ; mais rejette toute forme de Religion, donc ne respecte en rien les choses que cette dernière impose.
PSEUDO : WS. PRÉNOM : Ingrid. ÂGE : 24 ans. PERSONNAGE : inventé. AVATAR : Adam Levine. CRÉDITS : tik tok & tumblr & fanpop. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : écrire ici. CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?: nope.
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(✰) message posté Mar 17 Mar 2015 - 22:48 par Invité
At the beginning
La ville des anges m’a vu naître. Je fais évidemment référence à Los Angeles. Ville des anges… il fallait le dire très rapidement, parce que ça n’était pas forcément une réalité. Mais je suis né dans une famille riche et bourgeoise, le genre qui roulait sur l’or et dont le père de famille pouvait se permettre de posséder une collection impressionnante de voiture ; encore une lubie qui ne servait à rien du tout. Les voitures ne sortaient jamais du garage et elles prenaient la poussière… Plutôt que foutre son fric là-dedans, il aurait pu aider quelques associations de la ville, mais rien du tout, à croire qu’il n’avait jamais foutu les pieds dans les quartiers pauvres où les gens vivent dans les rues. Mais peu importe. Ma mère n’était pas mieux puisqu’elle ne pensait qu’aux apparences et passait plus de temps dans les instituts de beauté qu’à la maison. À cette époque, on vivait dans une immense demeure que je ne supportais absolument pas, elle était trop grande, comportait des dépendances pour les invités, la famille et autres personnes qui venaient en visite chez nous. Je me fichais bien de tous ces gens, ils étaient inutiles. De toute façon, ils étaient suffisants à eux-mêmes. Même si je n’étais pas très grand, je comprenais bien que les conversations tournaient surtout vers l’argent et ces autres idioties qui concernent les riches. Cette façade était magnifique et magique. Le père aimant et attentionné, la mère douce et attentive, et le petit garçon adorable et gentil comme peu pouvaient l’être. Oui, mais derrière toute cette beauté se cachait une noirceur que l’on cachait au monde. Derrière les sourires angéliques se cachent toujours des enfers, et le mien ne pardonnerait pas. En réalité, ma mère était une femme amère qui ne supportait plus son mari depuis bien longtemps. Ils ne s’aimaient plus, mais les conventions voulaient qu’ils restent ensemble, coûte que coûte. Elle était tombée enceinte et voilà, je suis venu au monde, mais je n’étais pas un enfant désiré, je le sentais bien. Je n’étais pas stupide au point de ne pas m’en rendre compte en grandissant. Bien évidemment, j’avais tout ce que je voulais, mais cela ne me rendait pas heureux pour autant. Au contraire, j’étais un enfant renfermé, solitaire, avec des excès de violence envers mes camarades à l’école. Mais la violence semblait faire partie entièrement de ma vie et elle devait être de famille. Bordel, je ne le voulais pas être comme lui, mais ça me tombait dessus, comme ça. J’avais six ans la première fois où mon père a levé la main sur moi. Six putain d’années, juste un môme qui ne savait pas pourquoi et qui ne comprenait pas la situation. Qu’avais-je fais pour qu’il me cogne à ce point ? Je n’en savais rien et dans le fond, je ne voulais aucune réponse ; je voulais juste qu’il me fiche la paix parce que ça n’allait pas. Et ma mère, elle n’aurait pas dit quelque chose. Non. Elle faisait comme si tout allait bien et que tout était normal. Elle partait le plus souvent possible et jouait encore à la petite famille parfaite auprès des autres. Je la haïssais tellement à cette époque… elle et lui, je les haïssais profondément et je voulais qu’ils meurent. Les années s’écoulaient, mais rien ne changeait, sauf mon comportement. Si avant, petit, je pleurais… à force, je ne disais plus rien. Mon père n’avait droit qu’à ma colère sourde, à ma haine aveuglante et qu’à mes désirs de vengeance inavouables. Je subissais une routine destructrice et personne ne voyait jamais rien. Mais je faisais beaucoup de conneries et je m’étais retrouvé chez un psychologue qui voulait connaître les secrets de mon âme, mais je lui refusais cet accès. Personne ne savait et personne ne saurait jamais. J’étais dans son cabinet parce que je prenais de la drogue, et mon connard de père pensait que je devais me faire suivre. Crétin. Si je disais tout, il irait derrière les barreaux et il le savait très bien. Mais il savait que j’allais faire silence. Je ne voulais pas être vu comme le pauvre gosse battu, j’avais une putain de fierté qui bloquait les mots. Alors ces heures étaient silencieuses. Je restais muet, restant là, à fixé un tableau qui m’intriguait de plus en plus. Il ne saurait jamais qui j’étais, ce que je pensais et ce que je dissimulais avec soin. Ce silence était comme un appel au secours, mais lui non plus ne l’avait pas comprit.
J’avais suivi cette thérapie durant environ deux ans avant de lâcher prise complètement. Cela me faisait perdre une heure de mon précieux temps. Je me permettais toutes les conneries dans le bureau, je fumais tranquillement, je foutais mes pieds sur la table qui se trouvait au milieu… Je me fichais totalement de ce mec. Et puis, avec mes parents, les choses n’allaient pas mieux, c’était de pire en pire. Mon père me foutait toujours des coups, mais j’en avais plus rien à foutre. Il ne se rendait pas compte qu’il me rendait encore plus fort et déterminer à lui pourrir la vie. J’en faisais des tonnes. Je foutais le bordel. Ma mère était toujours une pauvre conne incapable de faire autre chose que donner des ordres de peur de faire les choses elle-même. Mon seul désir était toujours de les voir morts, mais je ne savais pas que ce vœu allait être exaucé rapidement. Un matin, alors que je rentrais chez moi après avoir découché plusieurs jours, j’avais découvert les flics devant chez nous. Je ne savais pas pourquoi ils étaient là et je pensais que c’était pour moi parce que je faisais des conneries, mais je n’avais jamais été pris, alors… Mais en fait, non. Ils n’avaient pas voulu que je rentre chez moi alors que je devais prendre des trucs dans ma chambre. Un type est venu vers moi et m’avait expliqué la situation : mes parents étaient morts. J’étais sur le cul, mais pas choqué parce que je m’en doutais assez. C’est cruel à dire, mais j’en avais rien à foutre qu’ils soient crevés tous les deux. Ils avaient fais une enquête de routine, et j’avais appris les circonstances des décès ; mon père avait frappé ma mère si violemment qu’elle en était morte et il s’était ensuite suicidé tel le lâche qu’il était. J’avais tout juste dix-huit ans et je me retrouvais sans aucune famille et je ne pouvais qu’en être heureux. Il y avait eu les enterrements, mais sans plus, je n’allais pas verser de larmes pour eux. Heureusement, je pouvais me prendre en charge grâce au fric des vieux et je n’avais pas besoin qu’on soit sur mon dos. Je voulais qu’on me fiche la paix et qu’on me laisse avec mon art et ma musique, je n’avais besoin de rien d’autre. Mon objectif était d’intégré une prestigieuse école d’art, et grâce à l’appui de quelques professeurs, j’avais été accepté à l’école des beaux-arts de Paris, rien que ça ! Bon, ça me tuait un peu parce que je ne parlais pas un seul mot de français, mais je ne pouvais passer à côté de cette occasion. Il me semblait que cette école était réputée et je voulais en être… J’en avais vraiment envie, hein… Le premier trimestre, tout se passait relativement bien. Je m’adaptais assez facilement et je prenais quelques cours de français, et par chance, il y avait d’autres étrangers avec moi avec qui je parlais un petit peu. Je passais mon temps à essayer de voir si les françaises avaient une bonne réputation et me plaisait à visiter leurs chambres, aussi. Mais je me rendais vite compte que certains étudiants étaient des crétins finis. Ils avaient des manières de faire que je ne comprenais pas et certains me prenaient de haut ; je n’aimais pas. Du coup, je m’énervais et je fonçais dans le tas, provoquant des bagarres quasiment toutes les semaines. J’avais mon caractère et je refusais que quiconque me marche sur les pieds. Ils ne comprenaient rien à mon art et à ce que je dégageais. Même mes tatouages, ils se permettaient d’en faire des critiques. Et finalement, après une année et demi dans cette école Parisienne, j’ai jeté l’éponge parce qu’ils étaient tous des idiots que je n’appréciais pas. Je me cassais un petit peu après avoir foutu un peu de bordel une dernière fois, histoire qu’ils se souviennent de mon passage. Mais malgré cela, je n’avais pas envie de remettre les pieds aux USA. Alors j’avais fait route jusqu’en Italie. Je me la coulais douce jusqu’à la prochaine rentrée qui arrivait trop vite à mon goût. J’avoue que je préférais largement les italiennes aux françaises, certaines étaient moins farouches, mais peu importe… Par miracle, j’avais réussi à intégrer l’Accademia di Belle Arti de Palerme, en Sicile. Je ne savais pas vraiment comment j’avais fait, mais ils avaient dû être surpris et intéressés par mes dessins et peintures réalisés quelques temps plus tôt. Il faut dire que j’avais déjà du talent, même si mon univers restait spécial. Mais malheureusement pour moi ou pour eux, les mêmes scènes se produisaient. Je ne tenais pas en place, je ne savais pas être en présence de toutes ces personnes. J’étais assez solitaire dans le fond, j’avais besoin d’être seul pour peindre ou pour dessiner. Je n’aimais pas qu’on gravite autour de ma personne, ça me perturbait trop. Du coup, je m’isolais la plupart du temps et je préférais l’air calme de l’extérieur. Une année s’était écoulée, puis une seconde et je décidais de nouveau de partir de cet endroit. OK, je ne récoltais aucun diplôme, mais j’avais acquis de l’expérience au travers de ces enseignements, c’était le principal. De toute façon, depuis quand l’art parle par ses diplômes ? Alors ouais, j’avais vingt-cinq ans lorsque j’ai remis les pieds aux Etats-Unis. Le changement était brusque, mais pas déplaisant. J’aimais bien l’idée de retrouver mon pays, même si Los Angeles avait trop de mauvais souvenirs. Je n’avais pris le temps de régler quelques détails que j’étais déjà en train de quitter la ville. Je m’étais acheté un loft à New York dans lequel je m’installais très vite. Il était assez grand pour que j’ai un coin dans lequel je pouvais peindre tranquillement. Quelques galeristes acceptaient d’exposer mes tableaux et certains achetaient même ce que je faisais. Certes, je n’avais pas franchement besoin d’argent, mais au moins, cela prouvait que j’étais bon dans mon domaine et que cela intéressait les amateurs d’arts. Je ne changeais pas vraiment mes habitudes, je voyageais beaucoup dans le but de trouver l’inspiration, mais je la trouvais aussi dans la drogue qui était toujours comme une meilleure amie.
Elle n’était pas que mauvaise, la drogue. Elle me conduisait parfois à des soirées où les toxicomanes comme moi se trouvaient. Et c’est là que j’avais fait la connaissance de Mackenzie. Jolie petite blonde qui me laissait un peu perplexe, de base. Je me demandais ce qu’elle foutait là alors qu’elle ne semblait pas être aussi détruite que tous les autres, qu’elle ne semblait pas aussi perdue contrairement à ceux que je voyais habituellement. Mais je ne disais rien. Ce n’était pas mon genre. Mais il y avait eu cette fameuse soirée où elle avait clairement abusé. Et moi, j’étais là, je me demandais ce que j’allais faire : la laisser là avec tous les autres ou la conduire chez moi pour la nuit ? Je n’avais aucune arrière pensée, je ne voulais juste pas qu’on la salisse, qu’on souille son corps et qu’on brise son âme. Contrairement aux apparences, elle était plus en sécurité avec moi qu’avec eux… Une fois chez moi, je lui avais juste enlevé sa robe et je l’avais couché dans un lit avant de la recouvrir. Je veillais parfois durant la nuit, lorsque le sommeil me refusait l’apaisement, mais elle se portait bien et je pouvais rejoindre mes draps pour gratter quelques heures de repos qui ne venaient jamais réellement. Le lendemain matin, elle s’était questionnée, la jolie Mackenzie. Elle croyait que j’en avais profité avant de prendre conscience que non… J’étais bien une sorte de connard, mais pas à ce point ! Elle avait fini par m’embrasser avant de disparaître de mon loft comme une fusée… Elle l’ignorait sans doute, mais elle venait clairement de foutre le bordel dans ma tête. Je ne l’avais pas revu avant un bon moment. Et j’aurai pu ne jamais la revoir. Il y avait eu ce crash dans la grosse pomme et vu ma chance, ouais, j’en étais. Fichu avion de merde. Il m’avait bousillé, mais pas assez pour me mettre KO définitivement. J’avais passé quelques temps à l’hôpital avant de pouvoir rentrer chez moi et la jolie blonde était réapparue. Elle aurait pu être un ange, tiens. Et après l’enfer, voilà que je commençais à apercevoir les portes du paradis, et Mackenzie était l’ange qui me conduisait vers la lumière, me sortant lentement mais sûrement des ténèbres qui entouraient ma vie jusqu’alors. Je ne pouvais pas franchement y croire, ça devait être trop beau pour être vrai, mais même pas… On était ensemble et ça allait mieux dans nos vies. Si avant j’étais un adepte des relations sans lendemain, ce n’est pas ce que je voulais avec elle et cela se voyait. On passait beaucoup de temps ensemble, presque tout notre temps libre lorsqu’on ne bossait pas. Et on partait en vacances ensemble. Je l’avais emmené en Crète, je voulais qu’elle profite autant, qu’elle s’amuse, qu’on se déconnecte de la grosse pomme et ça nous a bien réussi : on avait décidé là-bas qu’on devrait emménager ensemble une fois de retour à la ville. La belle histoire se poursuivait, comme si après tous les malheurs, on avait nous aussi droit à notre part de bonheur. On s’était bel et bien installé ensemble et ça me plaisait bien. Je ne voyais plus ma vie sans elle alors ça m’allait très bien. Je ne dis pas que je suis guéri, je ne le serai sans doute jamais, mais il y avait du beaucoup mieux. Alors lorsque Mackenzie a eu cette proposition de travail, je n’ai pas hésité une seule seconde avant de dire oui, qu’on pouvait partir à Londres. Moi, je ne suis pas franchement attaché à une ville, alors New York ou Londres, tant que nous sommes ensemble, ça me va très bien ! D’autant que je sais que je n’aurai aucun mal à exposer mes œuvres dans la capitale anglaise. Et nous voilà donc repartis pour un second emménagement avec de nouveau la tête dans les cartons (et c’est sans doute la partie la moins amusante !).
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(✰) message posté Mar 17 Mar 2015 - 22:49 par Invité
welcomeeee ici :) :) :) De NYC à Londres il n'y a qu'un pas (a) hihi
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(✰) message posté Mar 17 Mar 2015 - 22:52 par Invité
Adam, super choix. Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche.
Alycia Hemsworth
growing strong
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» Pseudo : margaux ; stardust
» Avatar : zoey deutch
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» Schizophrénie : jamie & gabrielle
(✰) message posté Mar 17 Mar 2015 - 22:52 par Alycia Hemsworth
Huhuhu un nom familier :hihi:. Re-Bienvenue Ingrid . Je suis tellement contente de vous voir débarquer & de pouvoir suivre la suite de vos aventures .
En attendant d'être validé tu peux venir papoter sur la cb cb ou faire un tour sur le flood pour faire plus ample connaissance avec nous . Et si tu as besoin, n'hésite surtout pas .
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(✰) message posté Mar 17 Mar 2015 - 22:53 par Invité
omg omg omg Adaaaam Leviiine l'homme de ma vie Bienvenue parmi nous, puis ce prénom, ce pseudo, ce mec quoi Je viendrais demander un lien
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(✰) message posté Mar 17 Mar 2015 - 22:57 par Invité
(Re)bienvenue parmi nous.
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(✰) message posté Mar 17 Mar 2015 - 23:04 par Invité
Tout est parfait BIENVENU parmi nous Bonne chance pour ta fiche
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(✰) message posté Mar 17 Mar 2015 - 23:07 par Invité
merci à vouuuuuuuus
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(✰) message posté Mar 17 Mar 2015 - 23:18 par Invité