(✰) message posté Mer 4 Fév 2015 - 19:52 par Invité
Primrose Barbara Lewis
London calling to the faraway towns
NOM(S) : Lewis. PRÉNOM(S) : Primrose, plus connue comme Barbara par sa famille - paternelle -ÂGE : vingt trois ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE : le trente et un octobre à londres NATIONALITÉ : britannique, aux origines portugaises et légèrement françaises. STATUT CIVIL : coeur à prendre, bien qu'elle soit fiancée malgré elle. MÉTIER : poursuit des études de droits qui ne l'intéressent pas. Elle travaille dans un garage géré par l'oncle d'un de ses proche ami. TRAITS DE CARACTÈRE : Prim est une fille encore coincée, dans le sens où elle aimerait se libérer mais elle n'ose pas encore le faire. Derrière son air angélique, se cache en réalité une fille qui n'aspire qu'à s'épanouir. On dirait pas comme ça, mais en fait, une forte personnalité se tapisse au fond d'elle. Elle est encore trop emprise pour la libérer totalement mais cela vient petit à petit. Elle est rêveuse, ambitieuse et elle sait ce qu'elle veut. Un peu naïve par moment mais elle sait toutefois définir le faux du vrai, car c'est quelqu'un de très curieux qui s'intéresse à beaucoup de chose. Elle est très (parfois trop) patiente, minutieuse et concentrée dans les tâches qu'elle effectue. Perfectionniste, cette qualité qui peut être aussi un défaut lui vient de son éducation. Elle n'aime pas que les choses soient à moitié faite ou qu'elles soient bâclées. Elle est aussi indécise et parfois susceptible. GROUPE : fast in my car
My style, my life, my name
Son père désirait l'appeler Barbara pour qu'elle puisse hériter du nom de mère, sauf que la mère de Primrose n'était pas d'accord et ils ont opté pour ce prénom là. Son père l'appelle quand même Barbara, bien que la petite a une sainte horreur de ce prénom. Pas qu'elle le trouve moche, juste par simple contrariété. + Derrière ses airs de petites filles bien élevée se cache en réalité une fille pleine de vie. Elle possède un côté garçon manqué que ses parents ne connaissent pas du tout et qui n'accepteraient pas si ça avait été le cas. + Elle poursuit des études de droits dans le but de devenir avocate, mais en réalité, son rêve serait simplement d'ouvrir son propre garage. Elle adore bidouiller des voitures et cette passion lui vient depuis qu'elle a vu l'oncle d'un de ses proche ami le faire. Ça lui est venu comme ça, d'un coup, et depuis elle travaille pour lui en cachette de ses parents + Elle sait qu'à un moment donné elle devra faire face à la colère de ses parents parce qu'elle va finir par cesser de céder à leur désir. Elle cherche juste à savoir comment faire et trouver le moment propice. Ses parents ne cessent d'avoir de l'emprise sur elle en la faisant culpabiliser sur toutes les actions « inappropriées » qu'elle effectue en se rapportant directement à eux. + Elle chante sous la douche. C'est presque instinctif, elle le fait depuis qu'elle est toute petite. Depuis qu'elle a appris à chanter en fait. + Quand elle était petite, elle voulait devenir danseuse étoilée. Ravie par cette ambition, ses parents lui ont payé des cours. Aujourd'hui, elle aime toujours danser, mais ce n'est plus la même chose. Elle ne veut plus devenir la petite princesse que ses parents voulaient qu'elle soit. Cela dit, regarder des gens danser la fascine toujours autant. + Elle a aussi pris des cours particulier de langues : elle sait parler français et plus ou moins le chinois. Elle a dû aussi prendre des cours de piano ainsi que de théâtre. Il fallait qu'elle soit parfaite pour que ses parents puissent la montrer à leurs amis et en être fier. A présent, elle se renferme quand elle est en leur présence. Elle supporte de moins en moins le fait de ne pas pouvoir être elle même. + Elle est encore vierge. Ses parents tiennent à ce qu'elle le soit jusqu'au mariage. C'est une règle qu'elle n'a pas encore brisée. + Ses parents sont persuadés qu'elle adore la musique classique et les films à l'eau de rose alors qu'en fait, c'est une fan de rock, métal et de film d'horreur et de science fiction. Peu de gens qui la connaissent le savent évidement. + Elle consulte un psy toutes les semaines. + Elle écrit beaucoup afin de pouvoir livrer ce qu'elle a sur le cœur. Elle a aussi une grande imagination. Elle a aussi une passion pour la lecture, qu'elle a depuis qu'elle est enfant. Au moins, elle n'a pas perdu cela. + Elle s'interroge beaucoup sur les garçons, sur elle même. Dans sa famille, on ne parle pas vraiment de la sexualité, du coup, elle est un peu larguée sur le sujet. Il y a pas si longtemps que ça, elle était persuadée qu'elle pouvait tomber enceinte juste en embrassant un garçon. A présent, elle sait que ça n'est pas le cas, mais elle reste effrayée par le moment où cela doit arriver. Ses parents lui ont toujours montré la chose comme terrible, effrayante, mal. Du coup voilà. + Inutile de préciser que du haut de ses vingt-trois pommes, elle n'a jamais eu de petit ami. + Le matin, elle sort pour faire un jogging matinal. Le week end, elle va en salle afin de faire de la zumba. Ca l'aide à la défouler un peu. + Elle est allergique au lactose. + Elle adore la boisson Oasis, bien qu'elle soit extrêmement sucrée. Du coup, elle modère mais c'est parfois difficile. + Son thé préféré est celui aux fruits rouges. + liste non exhaustive
PSEUDO : bright star PRÉNOM : camille ÂGE : vingt quatre ans PERSONNAGE : scénario. AVATAR : victoria justice CRÉDITS : mind dreamer COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : sur bazzart si je me souvient bienCE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?: non.... c'est un triple compte
Invité
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(✰) message posté Mer 4 Fév 2015 - 19:52 par Invité
At the beginning
Les repas se faisaient en général sur une longue table située dans le salon. Père était à un bout, mère à l'autre et moi entre les deux. Ils commençaient en silence, après que les domestiques nous aient servis avant de repartir. Comme dans les films de princesse. Sauf que c'était tout, sauf joyeux. Parfois, Père prenait la parole, soit pour nous parler de son boulot avec des mots que je ne comprenais même pas. Ou alors pour parler de moi. « Comment s'est passé ta journée de cours Barbara? » - il m'appelait toujours comme ça, bien que j'avais une sainte horreur de cette appellation. La manière dont il le prononçait m’écœurait. Ma mère, elle, m'appelait bel et bien Primrose, c'était grâce à elle que j'avais pu être nommée ainsi. - « Comment se passent tes leçons de piano ? As tu progressé ? » ou encore « Ce n'est pas en continuant ainsi que tu vas pouvoir devenir aussi brillante que ta mère et moi le sont au jour d'aujourd'hui. ». Quand j'osais leur raconter que j'avais bu un verre avec deux trois amis, autrement dit, quand je m'amusais, ils prenaient tout de suite un air sévère en me le reprochant : « Un verre ? Tu bois de l'alcool ? Et tu n'as pas honte ? Il est hors de question que tu deviennes comme ces pauvres manants de classe moyenne ou basse. Tu vaux bien mieux que ça, tu es une Lewis. Notre unique fille. Ce n'est pas ainsi que nous t'avons élevée ! ». Heureusement, ils ne m'enfermaient pas dans ma chambre dès que j'étais à la maison comme une princesse dans sa tour. Du moment que la police ne me ramenait pas chez eux pour cause d'ennuis, ils me faisaient plus ou moins confiance. Enfin, mon père ne me faisait pas confiance, mais il n'avait pas le choix que de me laisser vivre un peu ma propre vie. Il n'était pas souvent à la maison, ma mère non plus d'ailleurs. C'étaient des personnes très portées sur le travail mais qui avaient aussi une importance capitale. Le genre de gens qui disaient bonjour qu'à ceux qu'ils jugeaient digne qu'on leur adresse la parole. J'aurais pu devenir ainsi, si je n'avais pas passé le plus clair de mon temps avec une nourrice étrangère qui avait su être maternelle avec moi quand ma mère ne le pouvait pas. Et mes parents étaient l'exemple type à ne pas suivre. Je me souvins particulièrement d'un épisode où nous mangions tous à table jusqu'à ce que mon père fasse venir le Chef. « J'avais demandé une cuisson saignante. Vous trouvez cela saignant vous ? C'est presque grillé ! » « Je suis désolé Monsieur, je veillerais à ce que ça ne se reproduise plus. » s'était-il excusé en transpirant de peur. « Ah mais ça, j'en suis certain. » avait répondu mon père. Et il avait évidement fallu comprendre par là que le Chef avait été licencié. Le lendemain, un autre avait pris sa place et on m'avait expliqué que je ne reverrais plus jamais l'ancien. Dans mon esprit de petite fille, c'était une chose très effrayante que je ne comprenais pas. Et pour la première fois de ma vie, j'avais haï mes parents.
Depuis ma naissance, ma vie est cadrée. De mes premiers mots, mes premiers pas, jusqu'à maintenant. Il fallait que je sois parfaite et présentable quand des invités venaient nous rendre visite. Ils m'avaient inscrit dans une école privée pour fille et qui s'approchait de près à un couvent. Là bas, on apprenaient pas seulement à lire et à écrire, mais aussi comment être une bonne petite femme, exactement comme dans les temps anciens. Je devais avoir tels ou tels amis, telles ou telles fréquentations et quand je m'intéressais aux autres enfants quand nous marchions dans la rue, mon père me prenait la main et m'éloignait d'eux. Je ne devais pas m'attacher à ces personnes, parce qu'elles n'en étaient pas « digne ». Pour mes parents, les valeurs étaient importantes à tel point que j'en eu une indigestion. Fort heureusement, quand j'arrivais au lycée, on m'inscrivit dans un établissement qui était mixte. Celui pour les filles étaient complet et mes parents n'avaient pas eu d'autres choix. Pour la première fois de ma vie, je vivais en harmonie avec des garçons, « bien élevés » eux aussi. Enfin, la plupart d'entre eux. Parce que moi, celui qui fut mon tout premier ami masculin, c'était un garçon qui avait pu être ici que grâce à une bourse et qui s'appelait Jesse. J'en ai jamais parlé à mes parents évidement, ils ne l'auraient pas acceptés. Du coup, après les cours, il m'emmenait voir les choses que je ne savais pas. J'avais découvert tout un tas de chose grâce à lui, et si au début, j'avais eu du mal à le suivre dans des endroits « pas fréquentables » d'après mes parents, j'avais fini par me laisser aller. Pour la première fois de ma vie, je m'amusais ! Pour la première fois de ma vie, j'avais fais des choses très simple que les gens en général faisait : aller dans un fast food, au cinéma – qui me changeait de l'opéra –, faire des emplettes dans une épicerie, m'acheter des friandises , que mon ami et moi cachions chez lui pour ne pas que je m'alourdisse et que mes parents ne le découvre, regarder des séries à la télévision, aller à des concerts, mais aussi, j'ai pu entrer pour la première fois de ma vie dans un garage. C'était celui où travaillait l'oncle de Jesse. Surpris par mon émerveillement, ce dernier m'avait un peu expliqué comment il s'y prenait et m'avait même demandé si je voulais essayer. Au début, je m'étais résignée malgré mon envie intense de le faire, par peur de me salir (être garagiste signifiait forcément se retrouver noir à la fin). Il m'avait alors proposé de me changer et m'avait assuré qu'il y avait une douche en arrière boutique que je pourrais prendre en sortant. Alors je me suis prêtée au jeu et j'ai trouvé ça excitant ! Tellement que j'avais passé un peu trop de temps à apprendre à réparer des voitures. Quand je rentrais à la maison, on me demanda ce qui m'avait fait rentrer si tard et j'ai du prétendre vouloir retenir un professeur pour me réexpliquer la leçon du jour. J'avais réussi à trouver plein de petites excuses bidon pour retourner au garage (pas tous les jours évidement) et aider l'oncle de Jesse de manière tout à fait bénévole. Quand j'entrai à la fac, il décida de m'embaucher, sous secret, car il était au courant que je n'avais pas le droit d'être ici. Finalement, il était comme un deuxième père pour moi. Quant à Jesse, il avait poursuivit ses études en Erasmus en Amérique. Par conséquent, nous ne communiquions plus que par internet. Pendant les vacances, il venait et on se voyait le temps de quelques heures puis on se séparait. Il avait trouvé une copine là bas et m'avait expliqué le bonheur qu'il avait d'être avec elle. Du coup, ça avait éveillé ma curiosité, mais surtout la sienne car il me demandait plusieurs fois si j'avais trouvé l'amour à mon tour. Mais à chaque fois, c'était négatif. L'amour, je ne l'ai jamais connu. Mes parents n'accepteraient jamais l'idée que j'ai un petit ami s'ils ne l'ont pas choisi pour moi. Déjà qu'ils n'étaient pas au courant que je fréquentais un garçon en toute amitié...
Tout se passait bien jusqu'à ce jour où j'entendis mes parents m'appeler. Quand j'arrivais au salon, je me rendis compte qu'il y avait du monde et on ne m'avait pas averti de leur arrivée. Un couple accompagné d'un garçon qui devait avoir le même âge que le miens et que je n'avais jamais vu de ma vie. Que diable passait-il?
Nathanael E. Keynes
sometimes it lasts to love and sometimes it hurts instead.
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hâte de pouvoir jouer cette petite! 
merciiiii en tout cas 
