"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Bonding with your family is not that easy [PV Elias] 2979874845 Bonding with your family is not that easy [PV Elias] 1973890357
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Bonding with your family is not that easy [PV Elias]

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() message posté Sam 7 Mar 2015 - 0:26 par Invité
Bonding with your family is not that easy [PV Elias] Tumblr_nhy823IH5I1qapto0o2_250Déja une semaine que je suis de retour à la maison et pourtant rien ne semble être comme avant. Je ne savais pas si c'était le fait qu'Athénaïs vivait chez moi depuis maintenant un bout de temps, mais chaque chose semblait être à sa place, rien ne dépassait, les lits étaient faits, la vaisselle absente de l'évier, et mes canettes de bière avait été confisquée sur ordre de mademoiselle qui s'était improvisée infirmière. Je n'avais presque plus le droit de faire quoi que ce soit sans qu'elle ne l'approuve tant elle avait été choquée de presque me voir dans un cercueil. Tout en sortant de la douche, je jetais un œil dans le corridor, d'abord à gauche puis à droite comme si j'allais traverser la route et qu'un bolide était prêt à me renverser, le bolide en question étant la jolie blonde évidemment. Ouf, elle devait être sortie faire des courses, c'était le jour du marché de Notting Hill, endroit que j'adorais car cela me permettait de revenir aux bases. Acheter ses fruits ses légumes comme la ménagère moyenne de Londres le fait pour nourrir ses enfants. Ce melting-pot de différence était comme une bouffée d'air frais pour moi qui n'avais connu que la bourgeoisie uptight au possible.

M'avançant vers mon placard, sans aucune pudeur je défis ma serviette, enfilant rapidement un caleçon, un jean et un pull. Ayant pris un congé sabbatique de mon boulot, je n'avais plus besoin d'enfiler le sacro-saint costume qui me donnait l'air d'un James bond de seconde zone. Retournant dans la cuisine, je pris soin de suivre le régime des plus ragoûtants que la chirurgienne m'avait prescrit. Je soupirais tant cette situation avait fait de moi un blasé de la vie. Il n'y avait qu'un bon côté dans cette histoire c'était que maintenant moi et Roméo étions enfin sur la voie de la gémellité comme on la connait communément. Je souriais en repensant à toutes ces vacheries que nous passions notre temps à nous envoyer à la figure. Moi qui avais toujours voulu un frère j'étais servi. D'ailleurs il était temps que je me prenne en main et que je me décide à aller le voir sur son territoire. Autant dire que la situation était loin d'être des plus simples. Lui avait déjà une famille, un mec, un gosse qui n'était pas certes le sien mais quand même. Moi je n'avais rien, pas d'attaches, personne pour m'aider à surmonter cette transition. Enfin si maintenant j'avais Athé mais je ne savais toujours pas exactement si nous étions un couple ou si nous étions seulement... enfin voilà il n’y avait pas de mot pour nous décrire à l'heure actuelle en dehors de deux personnes adultes qui vivent ensemble et décide de "se voir" de temps en temps. Entendre l'expression dans son sens le plus pervers bien évidemment. Malgré tout c’était ce que j’avais de plus proche de la normalité dans ma vie en ce moment.

Jetant un coup d’œil à ma montre je compris bien vite que ma colocataire avait dû préférer prolonger sa séance shopping. Je me décidais donc à aller marcher un peu histoire de ne pas m’engourdir. Même si je ne pouvais pas encore faire de longs trajets sans m’essouffler, j’avais du mal à admettre que moi je vivais désormais comme avant avec deux reins tandis que Roméo devait faire attention car il n’en avait plus qu’un. J’avais bien envie de prendre de ses nouvelles de vive voix, je me demandais s’il ne regrettait pas sa décision et si surtout il allait avoir des séquelles de cette opération. Je ne voulais pas le voir malheureux pour simplement m’avoir sauvé la vie, surtout que je ne le méritais vraiment pas. Je pris mon courage à deux mains et quelques minutes plus tard je me retrouvais dans un taxi en direction de Shoreditch. Je savais que Roméo vivait avec Elias mais je ne pensais pas les déranger à une heure aussi tardive de la matinée. Je fis un petit sourire en m’avançant vers la porte, j’avais presque une boule au ventre, ou serait-ce ma cicatrice qui fait des siennes ? Je ne faisais pas vraiment la distinction. Sonnant à la porte j’attendais qu’on vienne m’ouvrir, mettant tantôt mes mains dans les poches de mon jean, puis dans celles de ma veste, puis les frottant l’une contre l’autre. Je sentais la moiteur de mes paumes être un indicateur de mon stress naissant. Je levais la tête enfin quand je vis la porte s’ouvrir. Ah… euh… salut Elias, j’étais passé voir Roméo, mais s’il n’est pas là je peux revenir plus tard, je ne voudrais pas te déranger. Je fis un léger sourire gêné avant de m’avancer lorsqu’il se recula machinalement de l’entrebâillement de l’entrée. Je suis désolé de passer à l’improviste mais j’étais en train de me balader quand j’ai réalisé que ça faisait déjà une semaine que nous étions rentrés et que j’avais perdu l’habitude de ne pas voir sa tête de déterré de bon matin. Dis-je sur le ton de l’humour afin de détendre un peu l’atmosphère. Je ne mis pas longtemps à remarquer le petit Noam qui se trouvait non loin de là. Attendri par le sourire qu’il me faisait, je me souvins que je n’étais pas venu les mains vides. J’avais acheté sur le chemin une petite babiole afin de pouvoir enfin jouer les « oncles » gaga. Je lui ai ramené un petit truc, ce n’est pas grand-chose, mais je me suis dit que ça lui ferait plaisir. Evidemment j’avais eu l’occasion de le voir à plusieurs reprises à l’hôpital, jamais très longtemps bien sûr mais assez pour me faire apprécier de lui. Je m’accroupi donc pour me mettre à son niveau afin de lui donner la petite voiture en peluche que je lui avais ramené qui sortait tout droit du film cars qui était un peu ma référence en tant que grand gamin. Je me relevais ensuite pour me tourner vers Elias haussant les épaules quant à savoir si oui ou non Roméo était dans les parages.
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() message posté Jeu 12 Mar 2015 - 16:55 par Invité

× BONDING WITH YOUR FAMILY ×
AUSTIN & ELIAS × 28 FÉVRIER 2015
Je débarrasse la table et pose tout dans l'évier pour m’atteler à la vaisselle immédiatement. J'ai toujours été du genre a laisser cela traîner - et surtout à compter sur mon ami le lave-vaisselle - mais j'ai vite compris que ça rendait fou Romeo, qui a tendance à être maniaque. Juste un peu... Je ne suis pas surpris de sentir ses bras s'enrouler autour de ma taille et sa tête se poser sur mon épaule à peine une minute plus tard, ce qu'il fait pratiquement tous les jours. Peut-être que le côté " mon petit copain fait le ménage " a un certain effet sur lui... Quoi qu'à ce jour, n'importe quoi pourrait avoir son effet... On a besoin de se retrouver, ce qu'on venait à peine de faire avant son hospitalisation, mais ses points de suture nous en empêche. Et si lui s'en moque pas mal, c'est loin d'être mon cas ! Si je l'écoutais (ou plutôt cédais), nous serions depuis longtemps retourner aux urgences pour avoir fait sauter ces derniers... Vive la cicatrice après ça. Je me concentre sur mon activité en ignorant son corps bouillant contre moi et fini par me tourner, fier, quand je termine enfin. Je hais la vaisselle et tout ce qui est lié de près comme de loin aux tâches ménagères et suis donc plutôt satisfait quand je fais un effort de ce côté là, comme un gosse qui range sa chambre après 3 mois de supplications de la part de sa mère. Avec un enfant qui pose ses doigts tout collants partout et un Romeo à la maison, je n'ai pas eut trop le choix de m'y habituer de toute façon. « J'vais aller faire un tour, j'ai envie de prendre un peu l'air, puis j'ai une course à faire. » Je fronce les sourcils. Une course? Je n'aime pas l'idée qu'il s'éloigne seul pour l'instant mais il n'a pas quatre ans non plus, et l'opération s'st déroulée sans aucun soucis, pendant ou après. En dehors de ses fils qui lui tirent un peu, Romeo semble plutôt en forme et n'a besoin d'aucune assistance. C'est dur pour moi à admettre, mais je sais à quel point j'ai tendance à être sur le dos de tout le monde en mode super-protecteur et donc par défaut, à quel point je peux les soûler. « J'vais survivre Elias... » Je ne peux m'empêcher de sourire, à croire que l'inquiétude est gravée sur mon front. « Ok ! Je serais bien venu avec mais je préfère éviter qu'il prenne froid. » Je désigne Noam du menton et fini par poser mes mains sur les joues de Romeo pour l'embrasser. Le petit a un rhume depuis deux jours et je ne tiens pas à ce que ça s'empire, même si je peux toujours l'emmitoufler dans 12 couches de vêtements... Surtout, je ne veux pas étouffer Romeo. Se séparer une heure par jour ne peux pas nous tuer, bien au contraire, ça nous fera du bien même si avec nos hospitalisations respectives, on a eut notre compte de séparation.

Assis sur son tapis de mousse, Noam s'occupe et je m'installe à la table de la salle à manger avec mon ordinateur pour chercher nos billets d'avion, qui ne sont toujours pas réservés. J'attendais d'être certain que tout aille bien pour nous deux (trois) et maintenant qu'on est bientôt tranquille - touchons du bois - j'ai hâte de partir au bout du monde afin qu'on se retrouve, juste nous. Je suis vite interrompu par Austin que je suis surpris de voir, ce que j'évite de montrer quand je m'écarte pour le laisser entrer. Après tout, que son frère nous rende visite ne devrait rien avoir d'exceptionnel... Lyla débarque ici quatre fois par semaine comme si elle était chez elle. « Non t'excuses pas, tu passes quand tu veux. » J'aime notre intimité, mais j'aime ma famille bien au dessus de tout. Romeo sait depuis le jour ou nous nous sommes rencontrés et devenus amis - c'est à dire il y a des années! - que ma famille passerait toujours avant tout le reste... Et Austin fait partie de la famille maintenant, il est le bienvenu. Le sourire de Noam s'évanoui quand Austin s'approche de lui et il le regarde avec des grands yeux ronds. Ils on beau être jumeaux, ils sont très différents... J'imagine que pour un gamin de deux ans, penser voir quelqu'un et réaliser que ce n'est pas vraiment cette personne à quelque chose de déroutant. « Qu'est ce qu'on dit Noam? » Il lève les yeux vers moi et fini par attraper la peluche avec un merci et un grand sourire. Son problème est déjà oublié, il n'y a plus que Flash McQueen qui compte. « Merci pour lui ! Romeo est sorti faire un tour mais il devrait pas tarder. Je te sers un truc? » Je me dirige vers la cuisine et prépare automatiquement deux verres en attendant sa réponse. « ça va toi ? Pas de soucis depuis la sortie? » Sait-on jamais. L'opération a été une réussite dans les deux sens mais restait plus risquée pour Austin que pour Romeo... Je dois admettre que je n'ai pas vraiment pensé à prendre de nouvelles.
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() message posté Dim 22 Mar 2015 - 19:58 par Invité
Bonding with your family is not that easy [PV Elias] Tumblr_mww1uo7xrS1rw1lx6o1_250« Non t'excuses pas, tu passes quand tu veux. » Tout en entrant dans la maison, je souriais intérieurement, j’avais au moins passé cette étape, la fameuse rencontre avec le copain de mon frère. Bien sur je l’avais déjà vu auparavant mais jamais en tête à tête de cette façon, et je ne savais même pas s’il m’appréciait ou si je lui étais simplement indifférent et qu’il me supportait uniquement pour Roméo. Quoi qu’il en soit, je voulais vraiment me faire apprécier, c’est pour cela que j’étais content dans un sens que mon cher frère ne soit pas là pour le moment. Et puis de toute façon j’avais passé assez de temps en réalité à l’hôpital avec lui pour savoir que parfois il pouvait être insupportable, je me demandais comment Elias pouvait vivre carrément avec lui. L’amour… encore une chose que je ne connaissais qu’en théorie, tout comme le fait d’avoir un frère, c’était une chose toute nouvelle pour moi de même imaginer ressentir des sentiments pour une fille. Une fois de plus j’avais pris peur avant de m’engager et c’était surement pour ça d’ailleurs qu’Athénaïs était devenue distante avec moi bien que nous vivions dans le même appartement. Bien sur je n’étais pas venu ici pour me plaindre mais tout de même. Je pris soin de donner son petit cadeau à Noam qui avait l’air de se demander pourquoi je ressemblais autant à son autre « papa », normal pour un enfant de cet âge d’être déboussolé. Je lui passais rapidement la main sur le haut du crâne en le voyant enfin rire aux éclats après un rappel moralisateur de son père sur la politesse. Je me redressais pour enfin me tourner vers Elias. Tu as de la chance d’avoir ce petit gars avec toi, tu fais un père vraiment excellent, j’aurais aimé que mes parents soient comme ça avec moi à l’époque où j’avais son âge. J’ai tellement essayé d’attirer leur attention que j’ai fait les pires conneries… pardon bêtises possibles et imaginables. J’acquiesçais lorsqu’il me proposa de me servir quelque chose et il se dirigea immédiatement vers la cuisine. Bien évidemment j’étais exempté d’alcool pour encore un bon moment ce qui avait le don de m’énerver, ayant pratiquement consommé quotidiennement depuis la fin de mon adolescence. Un petit verre de vin avec le dîner ne fait pas de mal si ? « ça va toi ? Pas de soucis depuis la sortie? » Je pris le verre qu’il me tendit et pris une gorgée avant de répondre. Je levais simplement les épaules car il fallait dire que je n’avais pas vraiment d’effet secondaire en dehors d’être interdit de faire tout ce que j’aime. Tu sais j’ai l’impression que le souci c’est surtout que je commence à m’encroûter, le sport, l’alcool, le sexe tout ça c’est fini pour l’instant alors c’est pas vraiment la joie mais je fais avec, je vais pas me plaindre d’être en vie quand même. Un léger sourire vint se poser sur mon visage malgré le fait que la tristesse prédominait. Sa sollicitude faisait chaud au cœur, même s’il avait surement posé la question par politesse, plus je le voyais, plus je trouvais que Roméo avait fait le bon choix en se mettant avec lui. Ce qui me faisait surtout doucement rire c’était la personnalité complètement différente des deux zigotos, entre Roméo qui était un grand fêtard et qui ne pensait qu’au sexe, et le papa poule qu’était Elias j’étais curieux de savoir d’où venait cet équilibre presque parfait qu’ils avaient créée tous les deux. Et toi alors comment tu tiens le coup ? C’est pas trop dur de supporter les caprices de monsieur ? J’ai assez souvent des nouvelles de Roméo par téléphone ou par texto mais je me doute que c’est aussi une épreuve pour toi, tout ce temps à l’hôpital plus la convalescence… je voulais encore m’excuser pour ça d’ailleurs, désolé d’avoir été un boulet. Je soupirais tout en m’asseyant sur le canapé, regardant Noam jouer avec Flash, il était tellement mignon, tellement innocent. Il en avait de la chance. Moi à côté je passais pour le diable en personne. Non seulement je faisais de la merde avec ma vie mais maintenant cela venait se répercuter sur celle de Roméo sans parler de celle d’Elias. J’étais loin d’être habitué à ressentir le moindre remord pour chacune de mes actions, mais cette fois elles ne concernaient pas seulement ma personne, c’était sans doute la seule variable qui avait réussi à me faire changer du tout au tout. J’avais hâte tout de même de voir comment Elias se sentait, surtout avant que Roméo ne revienne et ne vienne accaparer la conversation, et la place sur le canapé avec ses grosses fesses.
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() message posté Lun 30 Mar 2015 - 16:27 par Invité

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AUSTIN & ELIAS × 28 FÉVRIER 2015

Tu as de la chance d’avoir ce petit gars avec toi, tu fais un père vraiment excellent, j’aurais aimé que mes parents soient comme ça avec moi à l’époque où j’avais son âge. J’ai tellement essayé d’attirer leur attention que j’ai fait les pires conneries… pardon bêtises possibles et imaginables. Un sourire se dessine automatiquement sur mes lèvres mais je fais en sorte de ne pas en faire de trop, puisqu'en dehors de Noam, nous parlons aussi de son enfance à lui. J'ai été élevé dans une famille aimante, tous attachés les uns aux autres et inséparables, prêt à tout pour s'aider et j'ai bien conscience de la chance que j'ai eut. A présent, il s'agit de ma priorité dans la vie : donner la même chose et la même stabilité à Noam et ce malgré l'absence de sa mère. Résultat, je suis toujours flatté - ou plutôt rassuré - quand je reçois des compliments sur la façon d'élever le petit. Je nous sers à tous les deux un soda - moi parce que j'y suis accro, lui parce qu'il de toute façon pas l'autorisation de boire quoi que ce soit d’alcoolisé - et lui tend le sien, posant le mien sur le meuble de cuisine après en avoir bu une gorgée. Tu sais j’ai l’impression que le souci c’est surtout que je commence à m’encroûter, le sport, l’alcool, le sexe tout ça c’est fini pour l’instant alors c’est pas vraiment la joie mais je fais avec, je vais pas me plaindre d’être en vie quand même. Je lève les yeux au ciel, un sourire amusé accroché aux lèvres. Au moins, sur ce point là, Romeo et Austin se ressemble clairement. Quoi que... Je n'ai pas encore entendu Davenport se plaindre de ne pas pouvoir faire de sport... Mais côté sexe, j'en entends parlé et ce dix fois par jour - soit à chaque fois qu'il essaye de me faire comprendre qu'il ne risque rien. « Dans une semaine, vous pourrez reprendre votre vie tranquillement. Tu devrais survivre jusque là!  » Je lui adresse un bref sourire, me voyant répéter encore et encore cette phrase à Romeo. Ok, pour lui il n'est question que d'un sacrifice - outre la satisfaction d'avoir sauvé son frère! - mais pour Austin... Il est quand même passé de presque mort au mec qui doit simplement faire attention à ses mouvements, il ne peut clairement pas se plaindre. Et toi alors comment tu tiens le coup ? (...) je voulais encore m’excuser pour ça d’ailleurs, désolé d’avoir été un boulet. Sa question me surprend, puisque je n'ai pour ma part pas subit une opération importante. Je ne dis pas que ça a été facile, encore moins que j'ai sauté de joie quand nous avons eut cet appel de l'hôpital, mais mon rôle a été de le soutenir ni plus ni moins. « T'as pas à t'excuser Austin. T'as pas demandé à passer par là. » Ce n'est pas comme s'il avait détruit de son plein gré son rein. D'après les médecins, il était passé par les dialyses et plusieurs traitement avant d'en arriver à une greffe, il n'avait aucune raison de s'excuser.  « Je vais bien, merci. Mais c'est pas à moi qu'il faut poser cette question... » C'est eux l'important pour l'instant. J'avais donné assez d’inquiétude à Romeo et la famille au cours de ce début d'année., chacun son tour. « Romeo a été là pour moi y'a deux mois quand j'étais à d'hôpital. J'imagine qu'il était jaloux et s'est sentit obligé de faire pareil ! » Alors qu'on retrouvait enfin notre intimité, je grimace à cette pensée. En soit, on est passé par plus d'épreuves au cours de nos premiers mois ensembles qu'un couple normal peut parfois le faire en plusieurs années. Entre les disputes incalculables, les séparations involontaires dues à nos hospitalisations respectives et le fait d'être privé de toute activité physique - incluant le sexe -, je pense pouvoir dire que ça nous a renforcé. Je me fais, pour ma part, beaucoup moins de soucis quant à notre avenir que je ne le faisais il y a quelques mois. « Je m'occupe du dîner ce soir, si jamais tu veux rester pour passer un peu de temps avec lui, t'es le bienvenu. » C'est con mais je sais pertinemment que l'idée ne traverserait jamais l'esprit de Romeo. Ce n'est pourtant pas qu'il ne tient pas à créer des liens avec son frère - du moins je ne pense pas - mais la proposition ne lui viendrait pas naturellement.  Je me dirige vers Noam un kleenex à la main et lui essuie son nez une nouvelle fois - Elias infirmier à votre service. « Fais attention avec le petit. Il a un sale rhume depuis plusieurs jours, je suis pas sur que ce soit ce qu'il y a de mieux pour toi de tomber malade tant que t'es pas totalement remis. » Romeo s'en contre-fou et joue avec Noam du matin au soir - je ne suis pas sur que mini Hanwell lui laisserait le choix de toute façon - mais autant prévenir. Si l'un comme l'autre pouvait éviter de se retrouver à l’hôpital à nouveau, ça arrangerait tout le monde.  
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() message posté Mar 31 Mar 2015 - 2:38 par Invité
Bonding with your family is not that easy [PV Elias] Tumblr_mww1uo7xrS1rw1lx6o1_250« Dans une semaine, vous pourrez reprendre votre vie tranquillement. Tu devrais survivre jusque-là! » Je lui fis un sourire accompagné d’une mou presque enfantine à l’idée qu’il me restait encore une semaine à tenir dans cette situation. Je pris une gorgée de mon soda qui me semblait bien fade sans une goutte de whisky ou de rhum l’accompagnant. Aujourd’hui je préférais accompagner mes alcools d’un soft pour éviter de trop en sentir le goût et retomber dans la dépendance à laquelle j’étais sujet depuis maintenant quelques années. Pourtant j’aimais jouer avec le feu, impossible pour moi de me mettre à la diète complète alors j’avais adopté mon propre programme des alcooliques anonymes : le but étant bien sûr de savoir me contrôler, de combattre l’addiction et de tuer tous ces préjugés sur les alcooliques notoires. Plus facile à dire qu’à faire en effet, c’était une lutte de tous les jours que je semblais pourtant mener avec brio. Autant j’avais pu passer au-dessus de ça, autant maintenant je devais faire face à un tout autre problème. La vie m’en voulait certainement bien plus que je ne le pensais. Comment pouvait-elle encore s’acharner sur moi après tout ce temps ? Un abandon, une adoption, suivi d’un rejet de ma famille, puis d’une solitude pesante… il ne me restait plus qu’à me jeter d’un pont et la boucle serait bouclée. « T'as pas à t'excuser Austin. T'as pas demandé à passer par là. Je vais bien, merci. Mais c'est pas à moi qu'il faut poser cette question... » Il ne semblait pas réaliser à quel point tout ce qui arrivait à Roméo se répercutait aussi sur lui. Les choses n’allaient pas que dans un sens, en tout cas pour eux, et c’était tant mieux. Si seulement moi aussi j’avais aussi quelqu’un qui tenait autant à moi… il ne se rendait pas compte à quel point il avait de la chance d’avoir trouvé une personne qui soit la dans les bons comme les mauvais moments. Il suffisait de voir le nombre de visites que j’avais eu à l’hôpital, elles se résumaient à Athénaïs de temps en temps et bien sûr Elias par procuration qui s’enquérait de mon état lorsqu’il venait pour voir mon frère. C’était pitoyable de ressentir autant de félicité par un simple geste de politesse du petit-ami de votre frère. Tu ne devrais pas faire tout le temps passer les autres avant toi tu sais, c’est sûrement le côté paternel qui doit faire ça mais ça ne fait jamais de mal d’être un peu égoïste parfois. Je me doute bien que cette situation n’est pas la meilleure mais comme tu dis dans une semaine tout sera rentré dans l’ordre et c’est tant mieux. Je posais une main sur son épaule, lui donnant une tape sur l’omoplate et l’invitant à se rapprocher du canapé. Oui j’avais du mal à rester debout de manière statique encore, je préférais nettement être assis et me préserver pour ne pas risquer de prolonger mon calvaire. « Romeo a été là pour moi y'a deux mois quand j'étais à d'hôpital. J'imagine qu'il était jaloux et s'est senti obligé de faire pareil ! » Je levais soudain la tête surpris de cette nouvelle. Roméo ne m’avait jamais mentionné ce passage d’Elias à l’hôpital, pourtant ça avait du être un vrai coup dur pour lui qui tient à ce mec plus qu’à n’importe qui d’autre au monde. Je soupirais à nouveau. Encore un signe qu’il ne me fait pas assez confiance pour me parler de sa vie, ça en devenait presque lassant. Même mon frère jumeau ne me considérait pas comme son frère alors qu’est-ce que je pouvais attendre du reste du monde franchement ? « Je m'occupe du dîner ce soir, si jamais tu veux rester pour passer un peu de temps avec lui, t'es le bienvenu. » Passer du temps avec lui ? Je ne demandais que ça moi, mais j’avais l’impression que maintenant que c’était moi qui voulait le connaître, il me fuyait comme la peste. Tu étais à l’hôpital vraiment ? Enfin je veux dire oui, Roméo… m’en avait parlé brièvement. Je suis content de voir que tu as la pêche, d’ailleurs puisque tu parles de dîner j’avoue que je commence à avoir un petit creux alors si tu as des talents de cuistot au-dessus de tout ça, c’est moi qui vais t’épouser. Je me mis à rire presque instinctivement tant la vision d’un mariage entre moi et le mec de mon frère me semblait absurde. Pour un millier de raison. Mais si je pouvais trouver une personne avec les mêmes qualités que lui, qui me comprenne et m’accepte comme je suis, je serais sans doute le plus heureux des hommes. Me tournant vers le petit Noam, qui venait de se faire moucher le nez, un sourire attendrissant apparut presque instantanément sur mon visage. Il était tellement innocent, tellement candide encore. Il avait bien de la chance de vivre dans un foyer aussi aimant, il sera sans doute un mec qui fera des ravages sur les filles dans un avenir bien plus proche qu’on ne pourrait l’imaginer. Et à ce moment-là ce sera bien sûr tonton Austin qui sera là pour lui donner les bons conseils… enfin quoique… il vaudrait peut être mieux qu’il suive l’exemple de son père pour le coup. « Fais attention avec le petit. Il a un sale rhume depuis plusieurs jours, je suis pas sur que ce soit ce qu'il y a de mieux pour toi de tomber malade tant que t'es pas totalement remis. » Je fis non de la tête avant de me mettre à mon tour accroupi près du petit qui continuait de jouer. J’adorais les enfants, d’ailleurs j’étais moi-même encore un grand enfant parfois. J’attrapais une pièce dans ma poche afin de lui faire le coup classique de la pièce qui disparaît et réapparaît derrière l’oreille, juste parce que cela me faisait rire de voir sa tête ahurie d’enfant qui essaye de comprendre et qui finalement se marre en vous voyant se marrer. Un moment que je n’avais pas pu vivre à de nombreuses reprises étant enfant unique. Ne t’inquiète pas, si j’ai pu survivre à une greffe de rein je pense qu’un petit rhume ne devrait pas me faire plus de mal. Ce qui m’inquiète le plus c’est surtout que tu puisses penser que Roméo ait envie de passer du temps avec moi. J’ai l’impression qu’il a des tas d’autres choses en tête en ce moment, et je ne peux pas lui en vouloir, après tout je ne suis qu’un élément secondaire dans sa vie, il vous a vous, ses amis, sa famille… je ne sais même pas si j’ai le droit à ce titre en dehors de notre lien biologique. Je fis un léger sourire tout en continuant de jouer avec le petit, passant d’une grimace des plus débiles à des petites chatouilles avant de finir par me relever pour faire à nouveau face à Elias. Il avait du comprendre que mon opération m’avait un peu fait réfléchir à ma relation avec mon frère. Pourquoi perdre plus de temps sans lui après déjà 25 ans de perdues ?
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() message posté Jeu 2 Avr 2015 - 15:54 par Invité

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AUSTIN & ELIAS × 28 FÉVRIER 2015
Tu ne devrais pas faire tout le temps passer les autres avant toi tu sais, c’est sûrement le côté paternel qui doit faire ça mais ça ne fait jamais de mal d’être un peu égoïste parfois. Je me doute bien que cette situation n’est pas la meilleure mais comme tu dis dans une semaine tout sera rentré dans l’ordre et c’est tant mieux. Je pince les lèvres. Il ne va pas s'y mettre lui aussi... On m'a bien souvent fait cette remarque mais ce que les gens ne réalisent pas, c'était que c'est ainsi que j'ai été élevé. Ainsi que je suis heureux, quand le monde autour de moi l'est. Je suis déjà devenu bien plus égoïste sur certains points depuis que je suis avec Romeo, faisant passer notre couple avant tout et tout le monde (en dehors de Noam, bien sur). Je ne le regrette pas mais j'en venais quand même à culpabiliser parfois. « Que veux-tu, j'ai fini chez les altruistes. Pète-sec un jour, pète-sec toujours... » Je souris, bien conscient que si Austin n'a pas lu ou vu divergente, il ne comprendra pas un traître mot de ce que je lui raconte. J'ai tendance à souvent faire des références aux films et séries que je regarde, mes préférés étant les Marvels puisque Romeo les déteste. Un moyen comme un autre de jouer avec ses nerfs. Tu étais à l’hôpital vraiment ? Enfin je veux dire oui, Roméo… m’en avait parlé brièvement. Je suis content de voir que tu as la pêche, d’ailleurs puisque tu parles de dîner j’avoue que je commence à avoir un petit creux alors si tu as des talents de cuistot au-dessus de tout ça, c’est moi qui vais t’épouser. Mon regard glisse systématiquement sur mon corps - dont j'ai honte - quand il mentionne que j'ai la forme. Sans le moindre muscle, avec huit kilos en moins... Mais oui on peut dire ça. J'ai au moins retrouvé un teint normal à défaut d'avoir celui de yoda, j'imagine que c'est un progrès à ne pas négliger. Le reste viendra. « Physiquement, t'es pas mon style. Désolé. » Je prends un air faussement désolé en levant les épaules. Humour de merde bonjour, il est juste un copié collé de mon mec... Quoi que pas tellement, je ne vois que leurs nombreuses différences mais c'est sans doute le côté accro-à-Davenport qui fait ça. Je suis sûr que n'importe quelle chaudasse en boite n'y verrai que du feu. Encore faudrait-il que je laisse Romeo jouer un peu pour en faire l'expérience, ce qui n'est pas prêt d'arriver. « Un sale virus dans le sang, rien de bien dramatique. » Virus qui avait en premier lieu été pris pour une hépatite, rien que ça... Mais je n'aime pas m'étendre sur le sujet. Rien que d'y repenser, ça me donne envie de vomir mes tripes - ce que j'ai fait pendant deux longs mois - alors non merci. (...) Ce qui m’inquiète le plus c’est surtout que tu puisses penser que Roméo ait envie de passer du temps avec moi. J’ai l’impression qu’il a des tas d’autres choses en tête en ce moment, et je ne peux pas lui en vouloir, après tout je ne suis qu’un élément secondaire dans sa vie, il vous a vous, ses amis, sa famille… je ne sais même pas si j’ai le droit à ce titre en dehors de notre lien biologique.  J'ai don hérité du plus silencieux des deux... Heureusement vu que je ne suis pas la personne la plus bavarde du monde, je serais vite devenu fou si Romeo était un moulin à paroles. En fait, ça ne serait pas plus mal qu'il parle un peu plus par moment... mais c'est aussi ce qui fait son charme - ou je suis complètement aveuglé par mon amour pour lui, ce qui est tout aussi probable. « Tu l'as eut pratiquement deux semaines juste pour toi, chacun son tour. » C'est enfin le mien après nos nombreux soucis de calendrier, qu'on me le laisse! Dire que je dois l'emmener au bout du monde pour l'avoir à moi tout seul n'est qu'un doux euphémisme... « Romeo est pas le mec le plus expressif du monde, tu sais... J'ai mis 6 mois et demi à lui faire admettre qu'il était fou de moi, t'as encore de la marge! » Près de sept mois pour lui décrocher un je t'aime que j'avais fini par ne même plus attendre. Ce n'est pas comme si j'avais besoin qu'il le dise pour le comprendre de toute façon... Ce qui bien sûr ne change pas le fait que je suis aux anges dés qu'il le prononce - et j'y ai droit à la pelle maintenant, à mon plus grand bonheur! « On a pas mal de choses à faire en ce moment. On prépare nos vacances en Australie qui ont été retardées avec son opération, puis on cherche à emménager ensembles... du coup les recherches et les visites nous tuent la plupart de notre temps. » Emménager ensembles pour du vrai, et non pas que je squatte chez lui ou nous n'avons même pas deux chambres, pour Noam et nous. « T'en fais pas, je suis sur que ça lui fera plaisir que tu passes la soirée avec nous. » Je lui tape l'épaule d'un air rassurant et m'installe à mon tour dans le fauteuil. J'espère en tout cas que ça sera le cas et qu'il ne va pas me sauter à la gorge en me demandant ce qui m'est passé par la tête quand je l'ai invité.
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() message posté Mer 8 Avr 2015 - 17:00 par Invité
Bonding with your family is not that easy [PV Elias] Tumblr_mww1uo7xrS1rw1lx6o1_250« Que veux-tu, j'ai fini chez les altruistes. Pète-sec un jour, pète-sec toujours... » Cette citation me fit beaucoup rire. J’avais vu ce fameux film il y a peu de temps et comme une petite adolescente en chaleur, je m’étais empressé d’acheter les bouquins que j’avais dévorés. Parfois je ne me comprenais pas moi-même, j’étais l’archétype du macho par excellence, mais cela ne m’empêchait pas d’assumer mon côté ado ou même mon côté précieux venant de mon éducation bourgeoise. Je ne t’aurais pas vu ailleurs de toute façon. Personnellement, je trouve que les audacieux ont beaucoup plus de mérite, j’ai toujours été un peu attendri par l’idée de défendre la veuve et l’orphelin. Certainement mon côté impulsif. Je commentais presque comme si je parlais de quelqu’un d’autre. Il était impossible de m’autoévaluer, à vrai dire j’avais une personnalité tellement bizarre et complexe que les gens avaient abandonné tout effort pour me comprendre. « Physiquement, t'es pas mon style. Désolé. » Ma tirade dithyrambique sur toutes ses qualités pouvaient laisser penser que j’essayais de le draguer. Elias était un beau gosse, même moi qui n’avait aucune attirance physique pour les mecs devait l’avouer objectivement. Si j’avais été gy il aurait totalement pu être mon style bien qu’un peu trop propre sur lui et gentil pour que nos caractères soient compatibles. Le plus drôle dans tout ça c’est qu’à quelques grains de beauté près, Roméo et moi étions des copies conformes. L’humour presque railleur d’Elias me faisait doucement rire, il n’était pas qu’un papa poule ennuyeux après tout, il pouvait certainement parfois se lâcher, d’ailleurs je doutais que l’inverse plairait longtemps à mon frère qui semblait être une vraie pile électrique. Désolé de te décevoir, c’est la barbe c’est ça ? Ou tu dois t’être habitué à la petite bouée que Roméo porte si bien. Je lui fis un petit clin d’œil toujours enclin à clasher mon jumeau. Je savais que si nous avions été élevés ensemble c’est ce qui serait certainement arrivé, nous aurions passé notre temps à nous charrier sans que jamais l’un des deux ait le dernier mot. Ce qui me rassurait c’était que maintenant Elias était là pour lui, même si moi j’avais loupé le coche, il avait réussi à trouver une famille, une vraie famille. Avec une personne à aimer et un petit être à protéger. Je l’enviais pour ça. Certes il n’avait pas autant d’argent que moi, il n’était pas aussi beau gosse que moi, mais il avait tout ce qu’on peut rêver d’avoir pour être heureux. Et je n’hésiterais sans doute pas une seconde à tout lui donner si je pouvais obtenir ne serait-ce qu’une once de cette perle rare. « Un sale virus dans le sang, rien de bien dramatique ». Il était passé une fois de plus rapidement sur sa propre condition mais je croyais comprendre qu’il n’avait surtout pas envie d’en parler. Je ne voulais pas non plus paraître trop intrusif, à force de parler et de parler, je ne me rendais même plus compte qu’Elias était toujours un inconnu pour moi. Enfin bien sur nous avions des relations plutôt cordiales, mais j’imaginais qu’il était loin de me voir comme un ami, pourtant c’était ce que je voulais être pour lui. Il était là pour Roméo, dans les bons comme les mauvais moments. Il jouait un rôle des plus importants et en plus était une vraie crème. Impossible de ne pas aimer ce type. « Tu l'as eut pratiquement deux semaines juste pour toi, chacun son tour. Romeo est pas le mec le plus expressif du monde, tu sais... J'ai mis 6 mois et demi à lui faire admettre qu'il était fou de moi, t'as encore de la marge! » Je riais à sa remarque tout en acquiesçant, puis pris une gorgée de mon soda. Je ne pouvais pas mieux dire. Roméo était un sacré coco, il fallait vraiment creuser encore et encore pour savoir ce qu’il ressent. Elias avait du remarquer que c’était un des points où nous différions pas mal. Moi je n’avais aucun mal à dire ce que je pensais, et à développer dessus pendant 5 minutes, une qualité comme un défaut certainement pour les non averti. Mais en général c’est ce tempérament qui fait que socialiser devient une tâche facile pour moi. Je me doute bien qu’il ne va pas m’accueillir dans sa vie à bras ouverts au bout de quelques mois, mais c’est lui qui est venu me chercher, j’imaginais qu’il serait un peu plus enthousiaste maintenant que j’ai enfin accepté le fait que ma vie avait été un mensonge depuis ma naissance. J’avais dit ça sur un ton presque un peu trop réprobateur sans m’en rendre compte. Je me calais dans le fond du canapé avant d’esquisser un sourire. Désolé, je sais que je passe mon temps à me plaindre, c’est un de mes traits de caractère les plus marquants. Je te donne un aperçu de ce que tu auras certainement dans quelques années avec Noam quand il n’aura pas ce qu’il veut. J’espérais simplement qu’il ne serait pas un ado aussi perturbé que je l’ais été. Avec des parents comme Elias et Roméo c’était très peu probable de toute façon. « On a pas mal de choses à faire en ce moment. On prépare nos vacances en Australie qui ont été retardées avec son opération, puis on cherche à emménager ensembles... du coup les recherches et les visites nous tuent la plupart de notre temps. T'en fais pas, je suis sur que ça lui fera plaisir que tu passes la soirée avec nous. » Ils avaient l’air tellement occupés, moi qui végétais depuis un moment sur mon canapé laissant Athénaïs s’occuper de tout l’appart sous prétexte que j’étais souffrant, je commençais à culpabiliser légèrement. Ils partaient donc en vacances, une idée qui était loin d’être mauvaise. Je devrais sans doute aussi songer à emmener la jolie blonde quelque part, pourquoi pas un week end, ou même un aller-retour en Italie pour aller dîner dans un restaurant avec vue imprenable sur le capitole ? Oui je voyais toujours les choses en grand. C’est génial tous ces projets, je suis certains que vous allez finir mariés en mode vieux couple tous les deux, j’en mettrais ma main à couper. Je donnais une légère tape sur l’épaule d’Elias qui se voulait rassurante face à la vie monotone qui l’attendait. Après tout c’était un choix, chacun ses goûts. Tu penses que si je le prends dans mes bras en lui disant que je l’aime quand il arrive, il va faire une crise cardiaque ou simplement s’évanouir ? Je me mis à rire imaginant la tête de Roméo si je venais à lui faire cette déclaration d’amour fraternelle en le prenant un peu en traître. Priceless.


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() message posté Mar 28 Avr 2015 - 17:26 par Invité

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AUSTIN & ELIAS × 28 FÉVRIER 2015
Désolé de te décevoir, c’est la barbe c’est ça ? Ou tu dois t’être habitué à la petite bouée que Roméo porte si bien. Je lève les sourcils et me retient de sourire pour ne pas lui donner raison. Certes, Romeo a peut-être pris un peu de poids depuis que nous sommes ensembles... Mais en contrepartie, j'ai la peau sur les os depuis mon virus et suis donc bien loin d'être parfait. Ce n'est clairement pas moi qui irai critiqué son physique, même en plaisantant... Même si avouons le, répartir nos poids pour faire balance ne ferait de tord ni à l'un ni à l'autre. Je me doute bien qu’il ne va pas m’accueillir dans sa vie à bras ouverts au bout de quelques mois, mais c’est lui qui est venu me chercher, j’imaginais qu’il serait un peu plus enthousiaste maintenant que j’ai enfin accepté le fait que ma vie avait été un mensonge depuis ma naissance. Je grimace. Je ne me mets pas à leur place à l'un ou l'autre car je serais tout bonnement incapable de le faire. Je peux prétendre les comprendre mais la vérité est que personne ne peut le faire sans être passé par là. J'ai été élevé dans une famille aimante, voir un peu trop par moment, avec des cousins dans tous les sens. S'il y a bien une chose dont je ne peux pas me plaindre, c'est la stabilité de ma vie sur le plan familial... Alors savoir pourquoi Romeo agit de telle façon, pourquoi ces deux là n'arrivent pas à réellement se connecter, c'est hors de portée. Désolé, je sais que je passe mon temps à me plaindre, c’est un de mes traits de caractère les plus marquants. Je te donne un aperçu de ce que tu auras certainement dans quelques années avec Noam quand il n’aura pas ce qu’il veut. Ou pas. Aussi aimants soient mes parents, ils étaient aussi très strictes sur notre éducation et se plaindre n'en a jamais fait partie. Ça ne va pas : tu trouves une solution, tu te concentres sur autre chose et tu te relèves, point à la ligne. « T'exagères, Romeo n'est peut-être pas le mec le plus doué pour montrer ses sentiments mais il est content de t'avoir dans sa vie. Tu ne peux juste pas t'attendre à ce que tout soit parfait en trois semaines et qu'un lien magique se développe soudainement entre vous. » J'ai toujours été une personne assez réaliste et terre à terre quitte à ce que ça fasse mal et ne faisait que lui donner ma façon de penser. Ils finiraient sans doute par réellement former une famille mais ça demandait du temps et qu'ils y mettent tous les deux du leur, s'ils attendaient juste que ça leur tombe dessus, on était pas prêts de les voir complices. C’est génial tous ces projets, je suis certains que vous allez finir mariés en mode vieux couple tous les deux, j’en mettrais ma main à couper. J'agite la tête négativement en riant. Vieux couple, il y a malheureusement de grande chance que ça arrive... Et je dois bien admettre que c'est ce à quoi j'aspire. Je ne demande pas à ce que ma vie soit une aventure chaque jour, être posé avec Romeo à mes côtés pour le restant de mes jours est une perspective que je suis prêt à poursuivre. Mariés... Y'a beaucoup plus de doutes à ce niveau là. J'ai mis une fois un genou au sol et cette demande restera la seule et unique que je ferai. Tu penses que si je le prends dans mes bras en lui disant que je l’aime quand il arrive, il va faire une crise cardiaque ou simplement s’évanouir ? Je roule des yeux et bois une gorgée avant de reposer mon verre sur la table. « Laisse le venir à toi. Si tu l'étouffes, il va partir en courant. » Et il en a ma parole pour être passé par là ! Je me suis torturé un bon moment au début de notre relation pour ne pas lui dire ce que je ressentais, ne pas me montrer trop accro de peur de le voir partir en courant... Et au final, ça a fini par payer. C'est limite s'il n'est pas plus démonstratif que moi à présent. « Au lieu de critiquer sa bouée - qui ne me dérange pas soit-dit en passant - tu pourrais l'encourager à reprendre le sport et y aller avec lui. Si ça peut vous aider à passer du temps ensembles tout et qu'il récupère un corps de rêve, c'est win win ! » Je lui adresse un sourire amusé. Concrètement, je m'en fou que Romeo retourne à la salle, il me plait tel qu'il est - et s'il ne plait plus aux autres, c'est peut-être pas plus mal ! Mais en dehors de sa silhouette, c'est important pour sa condition physique et sa santé qu'il se bouge. Dit le mec qui n'a pas bougé un petit doigt depuis des mois. Si l'on exclu le sport à domicile, évidemment. « T'as parlé de lui à tes parents? Ça doit être flippant pour eux de vous voir trouver votre famille biologique... » Pour dire vrai, je ne mêlais pas forcément de ce qu'il se passait entre eux, résultat j'ignorais pratiquement tout d'Austin en dehors des choses que Romeo avait pu me dire ou ce que j'ai pu constater de moi même lors de nos brèves rencontres. Quand à Madison, je ne sais même pas si elle était au courant vu tout le respect et l'amour qu'elle avait à mon égard.
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() message posté Mer 29 Avr 2015 - 23:10 par Invité
Bonding with your family is not that easy [PV Elias] Tumblr_mww1uo7xrS1rw1lx6o1_250« T'exagères, Romeo n'est peut-être pas le mec le plus doué pour montrer ses sentiments mais il est content de t'avoir dans sa vie. Tu ne peux juste pas t'attendre à ce que tout soit parfait en trois semaines et qu'un lien magique se développe soudainement entre vous. » C’est mignon comme il était pragmatique lorsqu’on venait à parler de Roméo. Même lui le connaissait sans doute bien mieux que je ne le connaitrais jamais. Je ne pouvais pas imaginer de toute façon que débarquer dans la vie de Roméo chamboulerait son quotidien. Au final c’était lui qui était venu vers moi, qui m’avait retrouvé et qui avait demandé à me connaître, mais voilà qu’aujourd’hui c’est moi qui courais après son attention. J’avais eu l’impression l’espace d’un instant que ma vie allait changer, qu’enfin je n’aurais plus à me soucier de devoir gagner l’amour des soi-disant membres de ma famille. Au final Roméo et mon père n’étaient pas si différents, je devais une fois de plus prouver quelque chose, toujours faire l’effort d’aller vers eux en espérant le moindre geste en retour. C’était fini tout ça, si Roméo ne voulait vraiment pas me voir entrer dans sa vie, je n’allais pas non plus le forcer. Il ne me connaissait pas de base alors je comprenais qu’après quelques semaines, il n’ait absolument plus envie de traîner avec moi. Peut-être même qu’il regrettait de m’avoir retrouvé d’ailleurs… autant de questions qui se bousculaient dans ma tête tandis que je faisais part de mes craintes à Elias. « Laisse le venir à toi. Si tu l'étouffes, il va partir en courant. » Je pris une profonde inspiration, faisant tourner mon verre dans mes mains, écoutant de loin les petits gazouillis de Noam qui semblait bien s’amuser dans son coin. Tu sais je me suis toujours dit que c’était une bénédiction d’avoir pu retrouver mon frère, enfin qu’il m’ait retrouvé plutôt. Mais au final, je me rend compte que je suis plus un fardeau qu’autre chose, je lui fais me donner un rein, je lui fais subir des semaines d’hôpital, et encore c’est que le début… Tu vois je n’espérais pas qu’on soit comme des frères au bout d’un mois, mais plus le temps passe, plus notre relation se dégrade au lieu de s’améliorer. Je levais les yeux vers Elias après avoir énoncé cet état de fait des plus troublant. Je réalisais enfin qu’il fallait que je lâche un peu prise, que j’arrête de m’inquiéter pour lui, de vouloir à tout prix que les choses changent quand il fallait surement laisser du temps au temps. Pour lui aussi ça avait du être dur toutes ces années, et maintenant qu’il touchait au bonheur, je ne pouvais pas exiger de lui qu’il le mette de côté pour satisfaire mon désir égoïste de relation fraternelle. « Au lieu de critiquer sa bouée - qui ne me dérange pas soit-dit en passant - tu pourrais l'encourager à reprendre le sport et y aller avec lui. Si ça peut vous aider à passer du temps ensembles tout et qu'il récupère un corps de rêve, c'est win win ! » Un grand sourire se dessina sur mes lèvres alors qu’il m’engueulait limite d’avoir pu me foutre de la gueule de Roméo. Pour moi l’humour était la qualité principale qui me permettait de me sortir de toutes les situations. Un rendez-vous qui se passe mal ? Une petite blague et c’est reparti ! Une engueulade qui commence à prendre un peu trop d’ampleur ? Un rire et un bon mot font l’affaire pour calmer le jeu. J’ai toujours marché comme ça, et personne ne s’en était plain jusque-là. Si je n’avais même plus ça j’allais devoir dire ce que je pense réellement et ce ne serait pas très joli à voir. C’est une bonne idée, moi je ne demande que ça mais bon on n’habite pas tout à côté et je ne sais pas s’il sera très chaud pour se taper toute cette route avant qu’on puisse commencer à courir. Sans parler de son rythme qui risque d’être assez pathétique. Je me mis à rire. Non je rigole, je lui en parlerai. Tu es de bons conseils ! Je lui fis un petit clin d’œil, terminant enfin mon verre et jetant un œil négligemment à ma montre. Je n’allais pas trop tarder, je ne voulais pas m’incruster, et je savais qu’en plus j’allais sûrement rater Roméo une fois de plus. Elias était d’une gentillesse sans nom avec moi, bien qu’il ait toutes les raisons de me détester, mais je sentais qu’il n’était pas très à l’aise malgré tout. « T'as parlé de lui à tes parents? Ça doit être flippant pour eux de vous voir trouver votre famille biologique... » Question des plus légitimes, malheureusement mes parents étaient bien trop superficiels pour s’en faire plus que ça sur la quête de mon passé. Je leur ai parlé de Roméo oui, la première chose qu’ils m’ont demandé c’est si j’étais sur que Roméo n’en avait pas après mon argent pour apparaître d’un coup comme ça dans ma vie… enfin je ne suis pas surpris, c’est leur manière à eux de me « protéger » tout en étant d’une incroyable délicatesse… et puis ils m’ont dit qu’ils comprenaient que je fasse des recherches sur ma famille. Je sais que dans le fond ça leur fait du mal même si jamais ils ne l’admettront. Mais je pense que j’ai besoin de faire ça, qu’on en a besoin tous les deux d’ailleurs. Je levais les yeux au ciel en lâchant un petit rictus nerveux. Je n’avais pas besoin d’expliquer d’où me venait mon côté superficiel, égoïste et élitiste. La pomme ne tombe jamais loin de l’arbre comme on dit. Enfin, personnellement je n’avais jamais eu ce genre d’inquiétudes vis-à-vis de Roméo. Je savais qu’il était honnête.
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() message posté Ven 15 Mai 2015 - 18:07 par Invité

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AUSTIN & ELIAS × 28 FÉVRIER 2015
« Tu sais je me suis toujours dit que c’était une bénédiction d’avoir pu retrouver mon frère, enfin qu’il m’ait retrouvé plutôt. Mais au final, je me rend compte que je suis plus un fardeau qu’autre chose, je lui fais me donner un rein, je lui fais subir des semaines d’hôpital, et encore c’est que le début… Tu vois je n’espérais pas qu’on soit comme des frères au bout d’un mois, mais plus le temps passe, plus notre relation se dégrade au lieu de s’améliorer.» Il exagère. Leur relation ne s'est pas dégradée, Romeo a juste eut d'autre préoccupation. C'est à dire moi et je ne serai certainement pas celui qui va aller s'en plaindre. Austin m'énerve un peu - beaucoup - à se plaindre alors que je n'ai jamais entendu Romeo le faire. Jamais il n'a dit regretté d'avoir rencontré Austin, lui avoir donné un rein ni même les semaines à l’hôpital qui en ont découlé. « C'est une bénédiction. Sans lui tu serais mort. » Simple constatation. « Je pense que t'en attends beaucoup trop de lui et beaucoup trop vite. Forcément tu ne peux être que déçu vu la vitesse à laquelle Davenport avance dans ses relations... » J'ai l'impression qu'Austin veut tout, tout de suite. Qu'il voudrait partagé avec Romeo ce que je partage avec Aloysia par exemple, alors que nous avons été élevé ensembles ces 24 dernières années ce qui est loin d'être leur cas. Je ne dis pas qu'ils n'atteindront jamais cette complicité mais c'est clairement pas pour maintenant. Ce serait juste flippant que ce soit le cas. « Vous avez passé deux semaines ensemble H24, normal que ça te semble bizarre de plus le voir autant... Mais on a des choses à rattraper nous aussi. » Comme baptiser chaque pièce de l'appartement dés qu'il aura enfin retrouver des forces. C'est pas tout mais entre mon hospitalisation et la sienne, nous avons passé plus de temps séparés qu'ensemble depuis que nous sommes en couple. Je n'ai pas envie de faire un petit exposé de notre vie personnelle à Austin mais qu'on le croit ou non, j'ai un petit côté égoïste, côté qui ne tient qu'à une chose : garder Romeo le plus longtemps possible pour moi tout seul. «  C’est une bonne idée, moi je ne demande que ça mais bon on n’habite pas tout à côté et je ne sais pas s’il sera très chaud pour se taper toute cette route avant qu’on puisse commencer à courir. Sans parler de son rythme qui risque d’être assez pathétique. Non je rigole, je lui en parlerai. Tu es de bons conseils ! » Je ris mais pas à sa blague, en réalisant à quel point il ne le connait pas. Est-ce qu'ils ont au moins un peu discuter pendant leur hospitalisation ou ils sont restés comme deux abrutis à se regarder dans le blanc des yeux? Voir devant la télé... « Tu n'sais pas de quoi tu parles, c'est sa spécialité la course. En une semaine il aura repris le rythme et tu le supplieras de t'attendre. » Je souris en imaginant Austin au bout de sa vie 100 mètres derrière. Je suis passé par là mate, tu survivras. C'était sa spécialité. Il continuait quand on s'est mis ensembles mais ça fait un moment qu'il n'y est pas allé - et maintenant il n'a plus le choix de rester à la maison jusqu'à ce qu'il aie complètement cicatrisé. Même s'il plaisante, j'ai l'impression qu'Austin ne fait que relever les points faibles de Romeo, ce qui a tendance à m'énerver... A croire qu'il a besoin de le rabaisser pour se sentir supérieur... Je fais taire le petit ami qui défend un peu trop son chéri en moi et m'abstiens donc de tout commentaire malgré mon envie de relever ce détail.

Je l'écoute me parler de sa famille adoptive sans le couper en essayant d'imaginer à quel point ça peut être déroutant. En soit, je comprendrais que Noam cherche plus tard à connaître sa mère... Mais en sachant la manière dont elle l'a abandonné sans un regard en arrière, à quel point elle m'a déçu et blessé, je pense que je ferais tout pour l'en empêcher. Sans compter le fait que j'ai promis à Charlie de ne jamais révéler son identité au petit... Mais s'il suit les traces de mamy et papa, il saura trouver un emploi qui lui permet d'avoir accès à des dossiers confidentiels. Il saura que mamy paternelle a tuer papy maternel pour protéger papa, que maman est partie comme une voleuse. Bref, là n'est pas la question. J'espère m'en sortir avec Noam suffisamment bien pour que l'idée ne lui traverse jamais l'esprit. « Romeo s'en tape de ton argent. » Je précise, juste au cas ou il aura encore un doute la dessus. J'ai mes parents pour ça et bientôt - on l'espère - nous aurons tous les deux retrouvé une situation professionnelle stable. « J'ai un peu peur que vous finissiez déçu de la vérité... Voir blessés. Mais je comprends votre envie de savoir d'où vous venez. Puis c'est un moyen comme un autre pour passer du temps ensembles. » Moins éprouvant que du sport d'ailleurs.
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