(✰) message posté Lun 5 Jan 2015 - 0:17 par Invité
Zola Babí Capucine Alvarez-Bayer
London calling to the faraway towns
NOM(S) : Alvarez-Bayer. Un nom composé, non pas parce que ses parents sont divorcés, mais simplement car ils voulaient tout les deux garder une trace de leur nom de famille respective: Alvarez côté paternel, et Bayer côté maternel. PRÉNOM(S) : Zola, prénom choisi par sa maman et Babí, choisi par son papa. Et Capucine en hommage à sa grand-mère qui est morte quelques jours avant sa naissance.ÂGE : 21 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : née à Brighton le 21 novembre 1993 NATIONALITÉ : anglaise de par son papa et brésilienne de part sa maman. STATUT CIVIL : célibataire. MÉTIER : animatrice d'un club med et étudiante en production cinématographique en espérant devenir aussi douée que Tim Burton.. TRAITS DE CARACTÈRE : indépendante, rêveuse, amoureuse de la vie gentille (peut-être même un peu trop), attentionnée, très famille, attachée à ses origines, consciencieuse, jalouse, dormeuse. GROUPE : Double-Decker
My style, my life, my name
Zola est une jeune femme particulièrement indépendante, et ceci suite à un événement bien précis. En effet, la jeune femme a été victime d'un cancer de la moelle à l'âge de 14 ans. Un cancer plutôt rare pour les jeunes tels que la petite blonde. S'en suivi trois années particulièrement compliquées, tant pour elle que pour sa famille. Depuis qu'elle s'en est sortie, elle estime qu'elle doit s'occuper d'elle-même et au mieux. Elle sait qu'elle a été un fardeau pour ses parents, mais elle sait aussi que cela a pesé sur ses sœurs et son frères. Elle tente donc tant bien que mal de ne dépendre de personne et ainsi d'alléger l'attention que les gens doivent lui porter. Au-delà de ça, Zola est une jeune femme pleine de vie. Cela est d'ailleurs certainement due à sa maladie. Elle croque la vie à pleines dents et vit au jour le jour, ne se souciant pas forcément de ce que demain sera fait. Elle a en même temps les pieds bien collés au sol. Elle fait attention à ne pas faire n'importe quoi et à ne pas dépasser les bornes. Zola est peut-être un peu trop perfectionniste et positive parfois, ce qui la mets dans des situations où ses réactions ne sont pas forcément les plus adaptées. Elle est également très peu sportive, malgré le fait qu'elle sache que cela serait une bonne idée pour se maintenir en forme. Pour les informations un peu plus futiles, Zola tient à ses cheveux plus que tout. Elle les a perdu à cause de la chimio et elle le vivait terriblement mal. Elle aime bien s'habiller plutôt sobrement avec des t-shirt unis ou avec de petits motifs, des petits short mignons ou des jeans slims tout ce qu'il y a de plus classique. Elle ne se maquille que très peu et aime surtout mettre en valeur ses lèvres avec un rouge matte profond, mais ne touche quasiment jamais à ses yeux. Elle a une passion pour les films cultes, surtout depuis sa maladie puisqu'elle passait son temps devant la télé pendant ses traitements. Ce qui l'a menée à des études dans le domaine, c'est-à-dire la production. Elle aime les cours qu'elle suit et espère pouvoir travailler avec les plus grands. Pour le moment elle a produit un court-métrage avec les moyens du bord et l'aide précieuse de ses amis les plus proches qui ont joué les acteurs avec grand plaisir ! Les parents de Zola ont en réalité eu des triplés en ce 21 novembre, constitué de Zola, de sa sœur Capucine et de son frère Thiago. Zola est très fière d'avoir son frère et sa sœur et aimerait à son tour donner naissance à des jumeaux ou des triplés. Ils ont accueilli Dalia, la petite dernière quelques années plus tard. Ainsi, Zola est extrêmement proche de sa famille, même si c'est pas facile tous les jours à cause de son cancer etc.
PSEUDO : madder red. PRÉNOM : agathe. ÂGE : 20 ans PERSONNAGE : inventé mon ptit bébé AVATAR : Sarah Jane Hyland. CRÉDITS : j'arrive. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : bah j'ai vu de la lumière, et PAF ça fait des chocapic
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(✰) message posté Lun 5 Jan 2015 - 0:18 par Invité
At the beginning
“ Enfance „
LET'S GO CRAZY TILL WE SEE THE SUN. I KNOW WE ONLY MET BUT LET'S PRETEND IT'S LOVE. AND NEVER STOP FOR ANYONE, TONIGHT LET'S GET SOME... AND LIVE WHILE WE'RE YOUNG ! Des triplés. C'est certainement la nouvelle à laquelle les parents Alvarez-Bayer ne s'attendaient pas. Et quand, suite à une échographie de contrôle, on leur annonçait qu'il allait grandir, dans ce petit ventre, trois êtres bien distincts, les parents ne purent y croire. C'est en voyant l'image de l'écho qu'ils comprirent que c'était bien réel et qu'ils n'allaient certainement pas y échapper. Après plusieurs jours de gros doutes dans leur capacité et leur envie, ils finirent par se faire à l'idée, et à l’apprécier également ! Les 9 mois ne se passèrent pas dans la plus grande des facilités, mais c'était tout à fait normal. Ils se soldèrent par une césarienne au bout de seulement 7 mois et demie. Encore une fois, une situation plutôt normale étant donné les circonstances. Monsieur et madame Alvarez-Bayer eurent alors le plaisir de rencontrer leurs trois enfants. Il s'agissait de deux petites filles et d'un petit garçon. La sage-femme leur avait expliqué qu'il y avait deux bébés dans une poche et un troisième dans une deuxième, mais ils n'avaient pas voulu connaître leurs sexes. Ils furent alors heureux de donner les prénoms de Capucine et Zola aux deux petites filles et de Thiago pour le garçon. Et sur un coup de tête, ils donnèrent un second prénom à Zola, pour la simple raison qu'elle portait la même tâche de naissance sur la joue que Capucine, son arrière grand-mère.
L'amour qui émanait des triplés dès leur naissance illustrait bien le reste de leur enfance. Les deux petites avaient été en contact direct durant toute la grossesse, mais le garçon était un peu à l'écart au final. Mais étonnement, les jumelles ne cherchaient qu'à être proches de Thiago, et dans le sens propre du terme. On aurait pu croire qu'ils cherchaient, tout les trois, à se faire des câlins constamment ! C'était un spectacle merveilleux à voir et cela dura, pour le plus grand plaisir de toute la famille. Ils grandirent main dans la main, avec certes des moments de disputes inévitables, mais avec un esprit de famille plus présent que jamais ! Et l'arrivée de Dalia, la petite dernière, deux ans plus tard, ne changea rien. Ils foraient à présent une fratrie de quatre plus soudée que jamais.
“ Cancer, quand c'est ? „
ET TU AIMES LES PETITS ENFANTS DECIDEMENT RIEN NE T'ARRÊTE TOI ! MAIS ARRÊTES DE FAIRE TON INNOCENT. SUR LES PAQUETS DE CIGARETTES "FUMER TUE", TU M'ETONNES, MAIS TU M'AIDES. 14 ans, l'âge de l’insouciance, du bonheur sans effort, du début de l'apprentissage de la vraie vie. Une période de la vie qui est en général un bon souvenir pour chaque personne. Mais pas pour Zola. Alors qu'elle voyait ses amis, ainsi que ses sœurs et son frères profiter de la vie, faire du sport et tout un tas d'activités extérieurs, la jeune fille se sentait fatiguée. Mais pas de ces petites fatigues qui vous clouent au lit pendant un ou deux jours avant de vous foutre la paix pour le reste de l'année ! Non, elle était fatiguée, chaque jour un peu plus, pensant qu'elle ne pourrait plus jamais aller mieux. Et puis il y avait ces fractures. Deux en un an. Une au poignet, et une au tibia. Pourtant Zola n'était pas du genre casse-cou, contrairement à son frère ! Mais ses blessures n'avaient rien d'égales à celle que Thiago se faisait après une mauvaise chute en vélo. Elles étaient subites et sans réelles explications. Alors les médecins la soignaient, et contrôlaient ses fractures, mais rien de plus. S'enchaînait ensuite des infections à répétition. De la petite au niveau d'une coupure au doigt, à la plus grosse, au niveau des poumons. Mais ce qui finit d'inquiéter la famille, c'est cette hémorragie interne. Après une course aux urgences, tout un tas d'échographies et d'IRM, la jeune fille finit par se faire opérer. L’hémorragie fut localisée au niveau de l'estomac. Inexplicable. Et ce fut la première opération d'une longue série.
Après un nombre incalculable d'examens, on lui diagnostiqua une maladie de Kahler, ou myélome multiple. Une espèce de variation du cancer de la moelle osseuse en gros. Ce fut la nouvelle la plus douloureuse que la famille Alvarez-Bayer eut à porter. Complètement anéantie, la maman de Zola ne put s'arrêter de pleurer pendant plusieurs jours tandis que le père se sentait complètement impuissant. Zola quand à elle, était bien trop fatiguée pour exprimer quoique ce soit, mais au fond d'elle, un volcan venait d'entrer en éruption. Un mélange de colère, de tristesse et de déception tournoyait au fond d'elle. Elle se sentait tellement faible, transparente, et ceci depuis tellement longtemps. Elle qui était une jeune fille pleine de vie, avec le sourire aux lèvres en permanence. Elle se sentait disparaître tout doucement. Alors il y avait Capucine, Stefan et Dalia. Ils étaient là pour elle, et ils furent particulièrement indispensables tout au long de l'évolution de sa maladie.
Zola été entré en traitement immédiatement après le diagnostique. Elle enchaînait les opérations pour qu'on lui retire les cellules cancéreuses, mais il s'agissait d'un travail particulièrement compliqué, et même les meilleurs médecins ne pouvaient faire un travail parfait. Il y avait aussi la chimiothérapie, certainement la pire expérience qu'elle ait eu à vivre. Les séances étaient longues et désagréables, et elle refusait de laisser ses sœurs et son frère l'accompagner. C'était donc ses parents qui lui tenaient la main pendant qu'elle vomissait et perdait ses cheveux, chose qu'elle n'acceptait absolument pas.
1 an et demi de dure labeur et Zola avait enfin retrouvé son véritable caractère. Une jeune femme enjouée et pleine de vie et d'ambition ressortie de ce cauchemar. Elle avait reçu une belle leçon de vie et elle comptait bien en profiter.
“ le reste de ta vie „
ART IS THE ONLY SERIOUS THING IN THE WORDL AND THE ARTIST IS THE ONLY PERSON WHO IS NEVER SERIOUS. C'était certain, la maladie ne pouvait qu'avoir des conséquences sur la vie future. Qu'elle soit personnelle, sociale, ou même familiale. Et ça, Zola l'avait su dès qu'elle avait commencé à guérir un peu. Elle s'été mise à réfléchir, au sens qu'avait sa vie et ce qu'elle désirait en faire plus tard. Elle en avait conclu que quoiqu'il arrive, rien ne serait plus jamais pareil, et qu'elle devrait prendre ce cancer comme une chance, et un moyen d'aller de l'avant. Elle allait tirer le meilleur de cette situation et allait avancer, coûte que coûte. Mais elle ne pensait pas que cela allait toucher la fratrie à ce point. Les relations n'étaient pas les mêmes. Cette complicité qui les unissait depuis leur naissance avait disparue. Du moins elle n'existait plus par rapport à Zola. Elle sentait qu'un lien s'été brisé, et cela lui pesait. Elle se dit alors que ça allait passer avec le temps, que tout s'arrangerait. Mais ça n'avait pas été le cas.
Tout avait commencé par le départ de Thiago pour l'armée. Le jeune garçon avait toujours été du genre hyperactif, à ne pas savoir se tenir et à se casser un os tout les 2 du mois. Mais plus il grandissait, plus il dépassait les limites. Et un soir, alors qu'il était rentré à la maison bien plus tard que prévu, les filles Alvarez-Bayer assistèrent à la scène où les parents annonçaient à Thiago qu'il devrait aller à l'armée. Zola était bouche bée. Elle n'avait rien vu venir. En même temps, les soins que demandait encore sa maladie lui occupaient une grosse partie du temps, pour le reste, les parents la protégeaient toujours des mauvaises situations. Ils avaient peut-être peur qu'un gros stresse la fasse rechuter. En tous les cas elle était au courant que l’attitude de Thiago n'était pas exemplaire, mais elle ne pensait pas que cela était à ce point. Mais le plus dur dans cette scène, c'est le regard que Capucine, sa sœur jumelle, lui jeta avant de tourner les talons et s'enfermer dans sa chambre. Elle fut littéralement glacée sur place. Jamais sa sœur ne l'avait regardée de la sorte et elle se sentait terriblement mal, sans même savoir pourquoi.
Ce fut le début de la fin pour les jumelles. Rien ne se passait comme avant. Elles ne s'entendaient plus, tout simplement. Le pire était que Zola savait parfaitement pourquoi. Sa maladie. A cause d'elle, les parents Alvarez-Bayer s'été éloignés de leurs autres enfants, trop occupés à organiser les soins nécessaires au rétablissement de la jeune fille. Et même suite à ça. Ils avaient une peur constante que les choses dérivent à nouveau et il était impossible pour eux de ne pas se stresser. Zola le savait, cela n'avait pas plus ni à Capucine, ni à Thiago et ni à Dalia. Et ils lui faisaient payer maintenant. Mais elle ne cherchait pas d'explications. Elle avait laissé les choses couler, pensant que tout allait s'arranger. Malheureusement ce ne fut pas du tout le cas. Et ce fut au tour de Dalia de quitter la maison, mais cette fois, il s'agissait d'une fugue. Elle provoqua une immense peur dans la famille, jusqu'à ce qu'ils reçoivent une carte postale, annonçant qu'elle allait très bien. La situation fut à nouveau jetée sur le dos de Zola. Capucine s'été vraiment rapprochée de Dalia et elle n'acceptait pas son départ.
Au final, tous les enfants Alvarez-Bayer se sont retrouvés à Londres. Chacun motivé par quelque chose. Pour Zola, c'était la production, l'industrie du film et surtout: l'indépendance. Elle avait besoin de se détacher de ses parents, d'apprendre à vivre seule et à profiter un peu de la vie. Elle avait également besoin de faire comprendre à ses parents que cela faisait maintenant 6 ans quelle était guérie et qu'elle voulait maintenant vivre pour autre chose que pour sa maladie.
Alycia Hemsworth
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(✰) message posté Lun 5 Jan 2015 - 0:20 par Alycia Hemsworth
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Nathanael E. Keynes
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